Nuit d’hôtel 2 – Les délices de Stéphanie par Titi01

 

Nuit d’hôtel
2 – Les délices Stéphanie
par Titi01

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DE NOMBREUX PASSAGES SCATOS EXPLICITES

9h, le réveil sonne, où suis-je ? J’ouvre les yeux et j’aperçois mes deux plantureuses amantes, puis ma vue s’affaiblit, je ferme de nouveau les yeux et me remémore cette nuit passée. Jamais je n’oublierai ce moment. La chaleur est encore présente dans la pièce, et l’odeur de nos trois corps repus m’enivre encore. Je réveille les deux déesses me bordant par de douces caresses, j’embrasse Stéphanie puis Caroline langoureusement et je me lève doucement. Je sens mes membres se réveiller mais un reste endormi, rassasié de cette nuit extraordinaire où il a jouit, réjouit, fait jouir et fait réjouir…

La vie doit reprendre, il en est ainsi après chaque merveilleux moment passé, il faut reprendre sa vie normale dans l’attente de nouvelles explosions de joie et de plaisir.

Jeudi matin, bientôt une semaine que j’ai vécu mon plus beau fantasme, mon cerveau en est encore tout retourné. J’allume mon ordinateur et je vois que j’ai un mail de ma charmante amante.

« Bonjour mon chéri,
J’espère que tu t’es remis de tes émotions et que tu es prêt à recommencer. Je te promets toujours plus de folie et toujours plus de plaisirs, à 2, 3 ou plus, ce sera la surprise !
Rendez- vous demain soir au bar de l’hôtel Athenas à 21h
Grosses bises humides et salées…
Stéphanie »

Waou, mon cowboy était déjà en train de monter sur son cheval, mon caleçon était en ébullition et mon cœur faisait résonner son battement dans chaque partie de mon corps. Elle m’en promettait encore plus, qu’allait-elle inventer ? Durant toute la journée, cette question me tarauda, puis le lendemain, mon esprit ne pensait plus qu’à la soirée et la nuit que m’avait promise mon amante.

L’heure venue, je me rendis à l’hôtel où je redécouvris Stéphanie, encore plus belle, ses jambes nues couvertes d’une mini jupe très courte qui mettait ses fesses très en valeur et un petit haut très discret mais qui en disait long sur les trésors qu’il cachait.

On s’embrasse comme deux lycéens qui ne se sont pas vus depuis plus de 2h. Puis nous discutons de tout et de rien jusqu’à ce qu’elle me pose une question qui me troubla :

– « Que penses tu que je vais t’offrir cette fois ? »

Après une minute de réflexion je lui répondis un peu nerveux qu’étant donné qu’elle m’avait parlé de plus de trois personnes, je pensais que l’on serait peut être plus mais nous n’en avions jamais parlé auparavant, je pense donc à une soirée tous les deux où nous irons au bout de nos désirs.

Et sur le ton le plus calme du monde elle me dit :

– « Tu viens on y va, on verra si tu as raison… »

J’adore quand elle prend ce ton la, ça a le don de vous mettre hors de vous-même, de pouvoir accepter tous ses désirs.

Nous nous sommes donc retrouvés dans l’ascenseur de l’hôtel, direction l’endroit de nos futurs ébats. Cette fois ci pas de bêtises dans l’ascenseur ni de ruban sur les yeux, juste un long silence qui prévenait peut être de la tempête.

Elle m’ouvrit la porte et me demanda d’entrer en premier sans allumer la lumière. Je marchai doucement jusqu’au milieu de la pièce, elle me rejoint, puis colla ses lèvres sur les miennes, nos mains se firent plus frivoles et je commençai par lui caresser les hanches puis je soulevai son haut pour y glisser ma main et venir la mettre en contact avec la chaleur de son corps. Pendant ce temps, ses mains à elle s’occupaient de défaire ma ceinture, puis les boutons de mon jean. Mon sexe commençait à se tendre à l’idée que des mains féminines qu’il sait expertes s’approchaient de lui. Je lui caressai délicatement les seins, puis après avoir dégrafé son soutien-gorge, je retirai son haut et celui-ci pour admirer cette poitrine que je chérissais tant, mes lèvres se décollèrent des siennes pour venir lécher ses tétons, les faire durcir sous ma langue, et les mordiller pour commencer à l’entendre gémir.

Elle se défit de notre étreinte puis se mit à genoux devant moi, mon sexe était désormais tendu au maximum, elle mit sa main dessus puis engloutit mon vit dans sa bouche. Elle faisait ça divinement bien, elle me suça pendant de longues minutes, bavant sur mon sexe, alternant les léchouilles et les longs moments au fond de sa bouche, puis me sentant venir elle se releva, se recula et me glissa dans l’oreille qu’elle avait quelque chose d’urgent à me montrer, elle finit de me déshabiller puis me précéda toujours en jupe jusqu’à la salle de bain.

Là, elle me fit allonger dans la baignoire, puis vint se mettre au dessus de moi, elle prit tout le temps de me faire déguster ce qui serait un petit strip-tease, elle fit glisser sa jupe sur ses jambes et l’envoya valser. Je pu découvrir un magnifique tanga violet en tissu, dont une petite tache me faisait deviner que notre mini câlin ne l’avait pas laissé de marbre. Sans dire un mot elle s’accroupit au dessus de mon sexe, toujours avec son tanga, celui-ci se dressa, il avait bien deviné ce qui l’attendait puis après quelques secondes une source chaude mouilla son tanga qui changeait littéralement de couleur qui se déversa sur mon sexe tendu au maximum.

Mes mains caressaient ses fesses puis s’immiscèrent au milieu de cette source pour caresser son sexe sans pour autant qu’elle ne s’arrête de pisser. Lorsqu’elle eut fini je crus que c’était le moment où elle allait s’asseoir sur mon sexe mais elle me demanda de ne pas bouger, elle se releva, fit glisser son tanga le long de ses jambes puis me le donna pour que je puisse m’enivrer de toutes ses odeurs, et elle reprit sa position mais cette fois elle me tourna le dos. Il me fallut quelques secondes pour me rendre compte de ce qu’elle allait faire, puis je vis son petit abricot brun sortir, puis s’ouvrir avant de déposer un bel étron marron sur mon sexe.

Quel sensation étrange et terriblement excitante, ce que je venais de voir dépassait toute mon imagination, elle venait de faire ça avec un tel naturel que mon sexe n’en pouvait plus, il me fallu toute la force du monde pour ne pas qu’il déverse son flot tout de suite, pour ne pas rompre toute la grâce de ma belle. Son petit trou était toujours écarté, elle prit mon sexe dans sa main, le caressa quelques secondes puis mit son petit trou devant, et descendit doucement, mon gland la pénétra, puis elle continua jusqu’à avoir tout mon sexe à l’intérieur de son ventre.

Je n’en étais pas à ma première sodomie mais la sensation n’avait rien à voir, j’imaginais mon sexe se glisser dans une matière molle, la chaleur était indescriptible et comprenant que je ne tiendrai pas longtemps si elle allait trop vite, elle se contenta de s’asseoir complètement sur moi et de me laisser savourer ce moment. Elle me regarda, puis me sourit, ses yeux brillés, elle savait qu’elle venait de réaliser un de mes plus beaux fantasmes, elle en était fière, fière de l’attitude qu’elle avait, et fière de me maintenir emprisonné, mon sexe dans ses fesses encore pleines. J’avais toujours son étron écrasé entre ses fesses et mon ventre. J’aurai voulu que ce moment dur une éternité, un partage simple, sans parole, sans cri, juste de la complicité qui fait que parfois le sexe prend une autre tournure et devient encore plus enivrant.

Après quelques minutes, elle se releva puis commença à faire quelques va-et-vient, mon sexe était devenu plus gros que je ne l’avais jamais vu, il lui écartait son petit trou, le spectacle était super, puis elle se releva, se retourna et découvrit mon sexe taché, elle le prit dans sa main et le caressa, puis vint déposer sa langue sur mon gland. Je savais qu’elle ne le mettrait pas dans ma bouche et ce n’était pas ma volonté, elle se contenta juste de le caresser puis elle me fit lever, et en me laissant dans la baignoire pour ne pas arrêter de me caresser elle s’assit sur les toilettes pour finir ce qu’elle avait commencé. Je ne perdis pas une miette de ce spectacle, mon sexe toujours entre ses mains expertes était prêt à exploser mais elle voulait que je jouisse dans son cul, son regard me l’avait fait comprendre, une fois fini, elle se releva donc, se baissa un peu et je me remis dans son cul, cette fois ci vide mais qui devenait un peu plus sale à chaque pénétration. Après quelques minutes de ce long supplice, elle commença à gémir de plus en plus fort, notre esprit bestial avait repris le dessus, puis elle me hurla de jouir en elle, de la remplir de ma sève brûlante. Je ne me fis pas prier et dans une ultime secousse je l’emmenai au paradis avec moi….

Il nous fallut de longues minutes pour nous remettre de ce que nous venions de faire, elle me fit allonger dans la baignoire puis se lova sur moi, sa tête dans mon cou, les mains autour de ma tête. Le temps semblait s’être arrêté, le corps encore engourdit je relevai sa tête puis notre regard se croisa, et ses lèvres vinrent se déposer sur les miennes. Elle me sourit et me dit d’un air très détendu qui me fit sourire :

– « on prend une petite douche parce que ma craquette réclame un sexe vigoureux qui va la faire jouir et réjouir ».

L’eau de la douche coula sur nos corps, le sien était sublime, trempé, puis une fois propre elle se baissa pour prendre mon sexe en bouche, celui-ci ne tarda pas à remontrer toute sa virilité, elle s’allongea alors dans la baignoire, écarta les cuisses et m’invita à venir me mettre en elle, dans sa réserve trempée, de chaleur et de bonheur. La suite de nos ébats resta des plus orthodoxes, et c’est sur un ultime baiser que je l’abandonnai à l’aube pour reprendre ma routine, avec quand même une promesse de nous revoir très vite.

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5 réponses à Nuit d’hôtel 2 – Les délices de Stéphanie par Titi01

  1. Salope du 77 dit :

    Scatologique et romantique

  2. Leloup dit :

    Bandant à souhait !!!

  3. Stablinski dit :

    Troublant et bien écrit

  4. Georges dit :

    Extrême mais bon

  5. Claire dit :

    C’est très bon, à la fois très extrême et très respectueux

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