Descente à la cave
par Mondoi
L’autre jour, je descends au sous sol dans les archives du bureau chercher des documents, la porte est ouverte mais pas de lumière, je rentre quand même, cherchant l’interrupteur à tâtons dans la pièce et j’entends des râles et des gémissements dans le noir, provenant de derrière les étagères.
Au fond de la pièce, il y a un petit soupirail qui donne sur la rue et qui éclaire faiblement la pièce, je m’approche à pas de loup pour voir ce qu’il ce passe et, entre deux rayons de classeurs, j’aperçois un couple, de dos, entrain de faire l’amour.
La femme est courbée en avant, appuyée sur des cartons, la jupe relevée sur le dos et la culotte sur les chevilles, c’est elle qui gémit car l’homme derrière elle, la burine en férocité en poussant des râles de plaisir,
Je commence à avoir une érection et décide de rester mater la suite de la copulation, le mec a aussi le futal et le slip sur les chevilles, sa chemise lui cache les fesses mais je vois ses testicules balancer à chaque coup de rein, j’ai sortis ma queue et je me branle doucement, un peu de salive sur le gland et le prépuce coulisse de haut en bas, je vais me régaler sans me faire voir.
A un moment, l’homme arrête son pilonnage et se baisse pour lécher la raie de la femme, il se retrouve dans le rayon de lumière et je le reconnais, c’est un mec du service compta, la trentaine, j’ai toujours cru que ce gars était homo, je ne suis pas le seul d’ailleurs mais bon, on peut se tromper, moi j’en ai huit de moins.
A l’instant où il rentre sa bouche entre les fesses de la femme, elle se retourne pour le regarder et l’encourager, je la reconnais aussi, c’est une vieille du secrétariat- direction, la cinquantaine passée, bien conservée quand même, une grande brune hautaine à lunettes, les cheveux noués en chignon sauf là, ils sont défait et magnifiquement déployés sur ses épaules dénudées, son chemisier est sur ses hanches, son soutif dégrafé, quand elle s’est retournée , j’ai vu un sein blanc volumineux.
Elle lui dit :
– Oh oui, bouffe moi le cul, lave moi la raie avec ta langue et elle lui tend ses fesses dans une attitude d’un érotisme torride, elle parle crûment, ce qui la transforme en chienne lubrique, elle si distinguée d’habitude, elle tortille des fesses en poussant des soupirs qui en disent long sur le plaisir qu’elle prend à se faire lécher l’oignon. « Prend moi le cul », lui ordonne t’elle dans un râle de femme en chaleurs
Il se redresse, je le voie positionner son gland contre l’anus de la vielle et sans ménagement, d’un coup de rein, il enfile son morceau de viande dans le sphincter de la sodomite, il est aux ordres apparemment.
– Haaa, salaud, tu me déchire, haaa la vache, c’est gros, continue, bourre-moi.
Lui, ne dit rien, il lui burine la petite porte en la tenant fermement aux hanches, il s’active mécaniquement en bon employé qui fait le travail qu’on lui demande. Ils sont de dos et maintenant je ne voie plus les chairs de la secrétaire, je fais quelques pas discrets, la teub à la main, pour m’approcher et changer d’angle de vue et patatras, je me prends les pieds dans des cartons qui traînent au sol, j’essaie de me rattraper mais mon pantalon baissé me bloque les jambes et je me vautre sur un rayonnage de classeurs.
Les deux baiseurs se retournent d’un coup, je suis fait comme un rat.
– Ho mais regardez ça Jean Paul, qui est là en train de nous mater la bite à la main, c’est le branleur des archives.
– Alors, on se rince l’œil dans le noir en s’astiquant le manche,
– Peut-être qu’il aimerait une petite gâterie dit-elle, approche mignon, on ne va pas te manger.
Je m’approche du couple, Eric est toujours dans les fesses de la dame et la baise lascivement, elle m’attrape par la queue et de suite me décalotte pour me lécher le gland à grands coups de langue comme une affamée devant un dessert, elle me malaxe les testicules avec force, comme pour en faire sortir le jus.
– Humm, tu sens bon de la bite, j’aime ton odeur de jeune queue me dit-elle avant d’enfourner ma tige et de commencer une fellation de folie.
Elle me pompe comme un aspirateur, me branlant d’une main et me pelotant les fesses de l’autre, sa bouche est chaude et ses lèvres enserrent mon dard dans des va-et-vient furieux. Sa main, derrière se fait plus indiscrète et des doigts passent dans ma raie, elle teste l’élasticité de mon anus, elle remonte ses doigts à sa bouche, dépose de la salive dessus et me tartine l’orifice. J’aime bien, ma copine me le fait de temps en temps pendant les pipes, je pousse un peu pour me détendre la rondelle, elle s’en rend compte et en profite pour m’enfiler son pouce dans le cul, je dis le pouce parce que ça me semble plus gros que l’index ou le majeur que je prends avec ma chérie.
– Tu aimes ça toi le doigt fureteur, je le sens, tu prends bien me dit-elle
– Heu oui
– Je vais te mettre plus gros, tu es accueillant du petit trou.
Et joignant le geste à la parole, elle m’enquille deux doigts d’un coup et profond en plus, de suite, elle les bouge dedans, elle me fouille, elle m’élargit le passage, j’ai un peu mal au début mais sa bouche fait des merveilles sur mon braquemard et sa main me masse les couilles, je me détends, offrant mes fesses à la pénétration digitale.
Eric, derrière elle, a reprit sa vitesse de croisière dans son conduis rectal, il la besogne en me regardant me faire sucer et doigter, il a un sourire au coin des lèvres, je me demande ce qu’il pense de moi, qui me laisse sodomiser par une femme devant lui, je ne vais pas tarder à avoir la réponse à ma question.
– Eric, vous savez que le branleur a un cul bon à fourrer, ça ne vous direz pas de lui faire goûter à votre machin ?
– Pourquoi pas répond-il
– Allez, venez le mettre au bout votre queue dit-elle en se déculant, il vat me bouffer la chatte et vous allez lui casser sa boîte à chocolat.
La femme s’assoie sur un rayonnage vide, jupe relevée, jambes largement écartées, elle me tire par les cheveux pour me faire me courber entre ses cuisses, elle sent de la fente, pas trop fort mais elle sent la chienne en rut et l’urine, en me penchant, j’aperçois son anus ouvert et boursouflé, il me donne un aperçu de ce que je vais prendre.
Je lèche la vulve dégoulinante de cyprine, écartant la forêt hirsute de ses poils odorants, le val de chairs rouges reçoit mes caresses languées, je la bouffe comme un chien lèche sa gamelle, je lui suçote le clito puis descend dans son trou vaginal, elle relève encore un peu les jambes me faisant comprendre que sa rosette en veut aussi, je lui darde ma langue dans les fesses, le goût est un peu âcre mais l’odeur supportable.
Le mec derrière moi est plein d’attentions, il me fait une feuille de rose lubrifiante, je l’entends saliver sur mon ouverture, il me masturbe aussi, il doit être bi pour savoir y faire de la sorte, j’angoisse quand même un peu, j’ai vu la taille de son morceau quand il a changé de capote et c’est pas un petit bras. J’ai pris par derrière une fois, une soirée avec mes beaux parents qui sont portés sur la chose. Ils voulaient savoir si j’étais un bon coup pour leur fille qui était absente ce jour là et j’avais eu le droit à tout, pipes, cunni, j’avais sucé et lécher puis sodomie avec Madame pour commencer, munie d’un gode ceinture, elle m’avait perforée l’anus avant de m’offrir à mon beau père qui m’avait dépucelé la rondelle en me disant que dans leur milieu, il fallait être ouvert à tout pour se faire des relations. J’avais eu mal au cul pendant plusieurs jours mais je faisais à présent complètement partie de la famille, mon épouse entretenait ma souplesse anale en m’enculant régulièrement et moi je m’occupais de la sienne.
Bref je m’égare, Eric, debout, m’écartait les fesses en appuyant son gland sur mon anus, je donnais de moi-même en poussant et la verge me pénétra en douceur, c’était quand même un gros morceau, je le sentais passer, m’écartelant le sphincter, la pénétration ne finissait pas, il fit quelques petits va-et-vient et m’embrochât complètement, ses poils pubiens me chatouillaient la raie.
– Alors ça y est, vous êtes dedans ? demanda la secrétaire
– Oui Madame, et bien au fond ! répondit Eric
– C’est bon une rondelle toute neuve hein ?
– A ça oui, je suis serré comme dans une paire de chaussures neuves mais avec le plaisir en plus
– Et toi le branleur, ça te fais quoi de te faire enculer par un mec, c’est bon ?
– Oui mais un peu mal
– Ca va passer, il va bien te limer le cul et tu vas prendre du plaisir croit moi.
– Aller Eric, rentre lui ta bite à fond dans le cul et baise le comme une chienne.
Eric se met en mouvement dans mon conduit et me baise comme une femme, il me tient aux hanches et s’agite en moi, sa verge glisse bien à présent, je sens le plaisir monter, je me masturbe d’une main, de l’autre je doigte l’anus de la secrétaire, trois doigts que je lui enfonce profondément, je les vrille à l’intérieur en lui aspirant son cornichon, elle gémit de contentement. Plus je lui rentre les doigts plus elle est contente, elle en dégouline de plaisir, sur moi, dans ma bouche, je bois tout.
Eric me défonce le trou, parfois j’ai l’impression de faire sous moi mais c’est seulement quand il retire son énorme dard pour me le replanter aussi sec, il pousse des soupirs et des râles de jouissance, il ne va pas tarder à venir, moi aussi d’ailleurs. Je ressens cette brulure de plaisir qui monte de mon conduit rectal et de mes testicules, je retiens l’éjac encore quelques secondes, la secrétaire descend alors de la table en réclament nôtre sperme, elle m’embouche la bite, je lui la baise et lui lâche ma purée au fond de la gorge.
Eric se retire de mes fesses, enlève sa capote et lui fourre son dard avec le mien, je jus lui coule des commissures tellement elle a de foutre dans sa bouche écartelée, elle suffoque. Elle se frotte la vulve d’une main et se met à jouir devant nous, elle avale tout le sperme qu’elle peut. Depuis ce jour, c’est devenu un rituel, elle me demande de la documentation entreposée à la cave et quand je descends, ils sont là tous les deux à m’attendre pour un coup au boulot et quel coup.
Voila une petite séance bisex très imagée, l’auteur a du s’exciter comme un fou en l’écrivant et moi ça m’a fait bander de lire ça. Un seul petit reproche, la conclusion fait vraiment rédaction de 5ème.