Chanette 34 – Le cas Jérôme – 10 – Fiesta lubrique

Max a acheté un téléphone prépayé, il recopie l’enregistrement de la confession de Passant. réalisé par Carole
Voilà qui n’a rien de difficile, la seconde étape, en revanche, va être plus compliquée. Juché sur sa moto (dont la plaque a été bricolé) devant la sortie voiture, il attend à partir de 17 heures que Passant veuille bien sortir des bureaux de Colbertson Management. Valentin est garé dans une voiture « empruntée », 50 mètres plus loin, prête à démarrer.
Et quand Max aperçoit enfin Passant, c’est pour se rendre compte que l’homme est affublé d’un chauffeur de maître. Voilà qui contrarie son plan basé sur les conséquences d’un accident de circulation provoqué. Il lui faudra donc faire autrement.
– Allo Valentin, changement de plan, je suppose qu’il va rejoindre son domicile, on se retrouve sur place.
Max suit le véhicule jusqu’à l’avenue Foch dans le 16ème arrondissement, là où habite Passant.
Sur place, après avoir laissé passer cinq minutes, et en toute décontraction Max actionne l’interphone.
– Je viens de la part de Monsieur Leriche, c’est très urgent et important.
– Vous ne pouvez pas m’en dire plus ?
– Pas par l’interphone, Merci de me recevoir, je vous répète que c’est super urgent.
– Euh, je suis en famille, je vais descendre, vous me parlerez dans le hall.
– Parfait !
Le vieil ascenseur hydraulique descend doucement, Passant en sort en complet veston et cravate (eh oui, il y a des gens qui conservent leur costume de ville en rentrant chez eux !)
– Valentin ne perd aucune seconde et pulvérise au visage de Passant une dose de « Poudre du diable », annihilant provisoirement toute volonté.
Max a alors une idée, non prévue dans le plan initial.
– Il y a qui chez toi en moment ?
– Personne, ma femme est allée au théâtre…
– Je croyais que tu dinais en famille ?
– Non, non !
– Alors on monte vite fait…
Une fois dans l’appartement, on lui fait ouvrir le coffre. Il y a de tout là-dedans du liquide, des lingots et même un magnifique bijou.
Il serait contreproductif, pour la suite de vider le coffre, mais Valentin ne peut s’empêcher de ramasser un peu de liquide, idem pour le bijou et en prime, il embarque un lingot… Max en fait de même.
Les deux compères redescendent. Bras dessus, bras dessous entre Max et Valentin, Passant est conduit jusqu’à la voiture. Valentin prend le volant, tandis qu’à l’arrière, Max surveille leur victime.
– Attends moi je vais garer ma moto plus loin… on ne sait jamais…
Le véhicule roule jusqu’à l’entrée du cimetière de Montmartre, peu fréquenté à cette heure tardive. Les trois hommes en descendent, Passant soutenu par nos deux acolytes.
Max repère un vieux monument funéraire, une sorte de mini-chapelle dont la porte en fer forgé parait bien fragile.
Une fois dans les lieux, ils déshabillent complétement Passant et lui attachent les poignets et les chevilles à l’aide d’un cordon de serrage. Un autre cordon est enroulé autour de sa cuisse droite permettant d’y coincer le téléphone accusateur.
Mais avent, Max téléphone à la police.
– C’est pour signaler un enlèvement…
– Ne quittez pas !
– Non, merci d’enregistrer ce que je vais vous dire, ce ne sera pas long, Monsieur Jerôme Passant, fondé de pouvoir chez Colbertson Management vient d’être enlevé par des gros voyous, il est actuellement immobilisé au cimetière de Montmartre dans un monument funéraire au nom de la famille Ricordeau. Vous trouvez sur lui un téléphone comprenant un enregistrement où il révèle toutes les malversations qu’il a commise au détriment de la société qui l’emploie, cela devrait intéresser la brigade financière. Merci de votre attention.
– Attendez !
Mais Max a déjà raccroché.
– C’est une plaisanterie ? Demande la fliquette qui a enregistré la communication.
– Le téléphone a été localisé au cimetière de Montmartre, on peut toujours envoyer une équipe…
Ceci étant fait, Max fait respirer à Passant un tampon d’ouate imbibé de chloroforme. Dans les vapes, Passant !
Ils récupèrent ensuite ce qui trainait dans ses poches, puis sortent, jettent ses vêtements dans une poubelle et sortent du cimetière.
– Tu me raccompagnes jusqu’à ma moto ! Demande Valentin
– OK, après j’abandonne la bagnole dans un coin et on se retrouve chez Chanette. Carole doit déjà être en route.
Je téléphone à Emma
– C’est pour te dire que j’ai récupéré tes 1 500 euros.
– Comment tu as fait ?
– Secret professionnel ! Si tu veux passer le chercher, je te donne l’adresse… on va arroser ça avec quelques amis, ce sera très festif si tu vois ce que veut dire.
– On ne va pas me violer au moins ? Se gausse-t-elle.
– Sauf si tu es consentante !
– J’arrive alors !
Et nous voici donc tous les quatre chez moi, Max, Carole et Valentin. Ce dernier me refile le bijou trouvé dans le coffre…. Je ne le conserve pas et l’offre à Carole qui l’a bien méritée.
Emma arrive dix minutes plus tard. Présentations et bisous !
On sable le champagne.
– Tchin, tchin ! En espérant que l’affaire soit terminée ! Proclamais-je-en levant mon verre.
– Et pourquoi voudrait-tu qu’elle ne soit pas ? Objecta Valentin.
– J’en sais rien, mais on ne sait jamais, touchons du bois.
– Voilà je touche du bois ! Intervient Carole.
Mais le bois qu’elle touche est un peu particulier, puisqu’il s’agit de la braguette de Max.
– Mais dis donc, grosse coquine, veut tu retirer cette main ! Proteste mollement l’intéressé.
– Peut-être pas ! Hé vous autres, ça vous dérange si je sors la bite de Max ? Ça va lui faire du bien de prendre un peu l’air !
– Non, non, fais comme chez toi ! Répondis-je.
Et voilà Max le dur, la bite à l’air, une bite pour l’instant demi-molle mais que quelques mouvements de masturbation de la part de Carole ont tôt fait de la rendre toute raide.
– Et voilà, c’est du prêt à sucer ! Proclame Carole.
– Si tu te mettais à poil avant de me sucer, ce serait plus cool, proteste Max.
– Mais c’est pas vrai, il nous fait une fixette sur mes nichons, ils n’ont pourtant tien de spécial !
– Ils n’ont rien de spécial, mais ils sont beaux !
– Finalement tu bouffes à tous les râteliers, les bites, les chattes, les nichons…
– T’as oublié les trous du cul ! Réplique l’intéressé.
Carole accepte de se déshabiller (on s’en serait douté !) Max en fait autant. Et pendant qu’elle se met à sucer la bite de Max, Valentin à qui on a rien demandé entreprend à son tour de se débarrasser de ses vêtements
Il est beau gosse, tout de même ce Valentin, un peu frêle diront d’aucun mais c’est ce qui fait son charme.
Je l’invite à s’approcher de moi et je lui tortille ses gros tétons. Bien sûr, ça le fait bander grave d’autant que de son côté il me plote les nichons à travers mon tee-shirt.
Attends, moi aussi je vais me mettre à l’aise…
Du coup nous voici tous à poil à l’exception d’Emma qui pour l’instant se sent un peu larguée.!
Je suce Valentin, Carole suce Max.
Et soudain celle-ci croyant sans doute avoir une idée lumineuse s’écrie !
– Et maintenant on permute !
Ben non on ne permute pas…. moi je me trouve très bien avec la pine de Valentin dans la bouche. Mais cet abruti se dégage. Il ne va tout de même pas rejoindre sa copine qu’il connait par cœur… non ce qui l’intéresse c’est la bite de Max…
Du coup Carole vient me voir ! Bien sûr que je la connais dans tous ses détails, mais ne dit-on pas qu’on ne se lasse jamais des bonnes choses ? Alors on se plote, on s’embrasse, on se câline… Ses doigts vont partout… et les voilà dans ma chatte. Je ne mouille pas encore beaucoup mais assez quand même pour que son introduction digitale produise un insolite bruit de floc-floc.
Et pendant ce temps, Valentin suce la bite de Max comme si c’était la meilleure des friandises, ceci avant de se mettre à quatre pattes, croupion relevé, fesses écartées.
Pas difficile de deviner ce qu’il désire ! Max s’en va farfouiller dans son portefeuille et en extrait une capote (en voilà un homme prévenant) et après l’avoir revêtue s’approche du cul de Valentin.
C’est donc parti pour l’enculade, Non pas tout à fait car préalablement Max vient faire une feuille de rose au jeune homme (rien ne vaut la lubrification naturelle)
– Attention, j’arrive !
La bite de Max entre d’un seul coup dans le fondement de Valentin, qui pousse un petit cri de surprise, puis le pistonne en cadence.
Max ne se contrôle plus, son attitude est presque mécanique et il transpire à grosses gouttes avant de jouir comme un fauve.
Epuisé, il gagne le fauteuil et réclame à boire.
Ben alors qu’est-ce qu’il nous fait, Max ? C’est vrai qu’il n’a plus 20 ans non plus !
En bonne maîtresse de maison, je me dois de laisser Carole afin d’aller dans mon frigo dénicher une bouteille de jus de fruit ! C’est qu’il avait grand soif, monsieur Max !
Je vais retrouver Carole mais elle n’est plus seule et est maintenant enlacée dans les doux bras d’Emma ! Grand bien leur fasse,
Valentin reste planté là à les regarder, la main sur la bite.
– Tu veux qu’on te suce ? lui propose Emma.
– Ben, pourquoi pas ?
– On le suce à deux propose-t-elle à Carole.
Pipe à deux bouches, mais pipe ultra rapide, alors que les deux femmes n’avaient pas encore usé de tous leurs talents conjugués, il se dégage, me rejoint et m’envoie tout son sperme sur mes nichons.
Je cherche de quoi m’essuyer.
– Laisse ! me dit Carole qui se mit à lécher tout ça !
Valentin est à son tour parti s’assoir. Alors avec Carole et Emma nous avons repris nos ébats jusqu’à la jouissance dans un trio infernal.
A suivre
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Chouette ! Une partouze à la Chanette pour terminer l’année en beauté