Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 14- Trio torride au Carrie’s bar par Nicolas Solovionni
La tension est retombée, je reprends la parole :
– Mesdames messieurs les naufragés, vous aller vous retrouvez sur Vargala… Vous connaissez ?
Non, ils ne connaissent pas ..
– Etant donné que vous êtes sans ressources, il va falloir vous diriger vers le pôle administratif, comme ils ont rien à foutre ça les occupera, ils sont en droit de vous attribuer une cagnotte de dépannage, en attendant de vous trouver du boulot, il y a toujours de la demande dans les restos ou à l’extérieur dans la zone agricole… Vous monsieur Ozawa vous n’aurez aucun mal à retrouver un poste de navigateur ..
– Pourrais-je bénéficier de votre recommandation ?
– Mais avec grand plaisir, reste le problème de l’hébergement…
Dilos s’est alors proposé de les loger provisoirement dans son hôtel.
La nuit commence à tomber sur Vargala et dans le ciel se dessine les deux petits stellites brillants de mille feux.
Après avoir réintégré rapidement mon appartement dans lequel personne n’avait fait le ménage (Mais putain les aspirateurs robots ça sert à quoi ?), ma première visite fut comme vous vous en doutez pour le Carrie’s bar dans lequel je retrouvais Marcia, ma vieille copine. (dans tous les sens du terme)
– Ah ! Te voilà, toi ! Je commençais à m’inquiéter…
– Beaucoup d’impondérables, je te raconterai, mais j’ai récupéré ton collier.
– T’es un amour !
Et je lui déballe l’objet sous ses yeux incrédules.
– Il est joli mais ce n’est pas le bon !
– Quoi ?
– C’est pas grave, c’est sympa d’avoir essayé.
Je tombe de haut. Toutes ces péripéties pour rapporter un truc qui n’est pas le bon !
– Mais non, je rigole, arrête de faire cette gueule.
– C’est malin !
– Allez viens, je vais te gâter, on va attendre ma fille, ce sera mieux, elle est occupée mais ne devrait pas tarder à descendre. Ce sera gratuit, je te dois bien ça !
J’ai commencé à narrer nos aventures sans le plus grand désordre quand Carrie est descendu précédé de son client.
Bisous, bisous, je me régale à l’avance du petit trio auquel je vais participer avec ces deux belles coquines. Mais Carrie est curieuses comme une chatte et me pose un tas de questions.
– Il nous racontera ça tout à l’heure, je crois qu’en ce moment il a surtout envie de se détendre ! Intervient Marcia.
On laisse donc Candice, leur nouvelle recrue faire le service en bas et on monte dans la meilleure chambre. Nous nous mettons immédiatement à poil et hop sur le lit tout le monde…
Me voilà au milieu de ces deux superbes créatures, je leur caresse les nichons, m’attardant sur les tétons. Je passe de la mère à la fille et de la fille à la mère.
Au bout d’un moment Marcia s’étale de tout on long sur le lit en écartant les jambes. Je m’apprête donc à lui lécher sa chatte offerte. Mais Carrie me devance.
– Attends une seconde, ça fait plusieurs jours que je n’ai pas léché la moule de ma mère !
Je la laisse faire, on ne voit pas ça tous les jours. C’est assez rapide la langue de Carrie a tôt fait de cibler le clito maternel. Marcia jappe, Marcia hâlette, Marcia jouit, Marcia hurle son plaisir…
Carrie se dégage et me laisse la place… Je laisse Maria souffler quelques instants en revenant sur ses seins dont les tétons sont maintenant durcis et érigés. Inutile de préciser que je me régale.
Pendant ce temps, Carrie est passé derrière moi et me doigte le trou du cul avec énergie. Quelle sensation !
Et quand elle retire son doigt, c’est pour me flanquer une bonne fessée sur le cul que je n’avais pas demandée.
Excité comme un poux, je pénètre Mamie Marcia en position du missionnaire et commence à la besogner. Au bout de quelques minutes elle me suggère…
– Attends, on va changer de position !
Elle se retourne, se met en levrette, soulève son popotin, écarte les cuisses m’offrant à la vue tous ses trésors.
Je suis comme fou, son trou du cul m’attire inexorablement, je le lèche rencontrant un goût âcre qui ne me gêne pas plus que ça. J’allais écrire « au contraire »… Mais… bon ça y est je l’ai écrit.
Et que pensez-vous que faisait Carrie pendant ce temps ? Eh bien elle s’est posé à côté de sa maman, dans la même position que cette dernière.
Un autre cul à butiner ! Je suis comblé ! Je me déplace donc derrière la fille en lui réservant le même traitement. Le cul de Carrie sent la savonnette, elle a dû se le nettoyer avec son dernier client. Dommage, je préfère les odeurs naturelles.
Je retourne derrière Marcia et cette fois je l’encule bien comme il faut.
– Un peu mon tour ! Me supplie Carrie.
Ok, je décule de chez Marcia pour enculer la fille, et je change ainsi de partenaire plusieurs fois tandis que mes couilles se remplissent.
Et pendant toute cette agitation les deux femme se roulent des patins qui ne semblent pas vouloir finir.
J’essaie de me contrôler mais quand ce n’est pas possible, ce n’est pas possible, c’est dans le fion de Marcia que je projette ma jouissance.
Bonnes filles elle viennent tous les deux me nettoyer la queue polluée par le sperme et d’autre chose aussi.
Elles n’ont pas joui et si Marcia a eu un orgasme, c’est uniquement sous l’effet de la langue de sa fille. Les putes ne jouissent pas avec leur client (du moins en principe) Elles ont toutefois eu l’honnêteté de ne pas faire semblant.
– Alors, ça t’a plus ? Me demande Marcia.
– Bien sûr !
– Il y a autre chose qui te ferait plaisir.
– Si vous aviez envie de pipi ! Osais-je.
– Pas de problème !
Et elle sont venues se soulager, l’une après l’autre sur mon corps allongé sur le sol et dans ma bouche. C’est chaud, c’est gouleyant ! J’ai adoré !
Le lendemain je décidais d’aller faire un visite de routine au Diable Rose, cabaret dont je suis rappelons-le, le propriétaire.
C’est Riquita qui m’accueille toujours aussi avenante et sexy.
– Ah patron, content de vous revoir, on commençait à se demander…
– On a fait une virée qui a duré plus longtemps que prévu, sinon tout va bien ?
– Oui, on a récupéré Sierra, j’ai avancé l’argent…
– De quoi ?
Mais ce n’est pas possible, j’ai mal entendu, elle me raconte n’importe quoi.
Elle m’explique mieux
– Ça alors ! Et elle est où en ce moment ?
– Je regarde… Elle est dans la salle au comptoir, je la fait monter ?
– Bien sûr.
Je n’en crois pas mes yeux, Sierra est là devant moi en maillot deux pièces jaune citron, en pleine forme et tout sourire.
– Ça alors !
– Ben oui !
On s’étreint…
– Je vous laisse en tête à tête ? Suggère Riquita
– Bonne idée !
– Euh, j’ai avancé l’argent…
Ça fait la deuxième fois qu’elle me le dit.
– OK, dis-moi la somme, je te vire ça de suite.
A suivre
La mère et la fille ! Super !
Un délicieux parfum d’inceste !
Hum, ce petit bar et ses deux gérantes me font fantasmer grave !
J’adore ce personage de Marcia