Une famille unie. (texte_sans_signature)

Une famille unie. (texte_sans_signature)

Ce texte nous a été adressé par un correspondant qui a souhaité conserver l’anonymat, il s’agit d’inceste et de famille tuyau de poêle. Ce récit peut choquer mais personne n’est obligé de le lire. Les protagonistes étant majeurs et consentants, ce texte ne contrevient donc pas à notre charte de publication.

Tout d’abord je dois dire que dans notre famille nous avons toujours été très tolérant en ce qui concerne le sexe. Il n’y a jamais eu de tabou entre mon épouse et moi, et nos enfants ont grandi sans que nous ne leur cachions rien, nous n’avons jamais eu peur d’appeler un chat un chat et nous nous sommes souvent promenés nus chez nous même en leurs présences. Respect de chacun et tolérance mutuelle a toujours été notre devise. Il faut maintenant que je vous présente ma petite famille, d’abord Anne, mon épouse est âgée de 42 ans, de long cheveux tirant sur le roux, vraiment une belle femme bien proportionnée avec sa taille fine, sa poitrine généreuse et des fesses rebondies juste ce qu’il faut. Elle plait beaucoup aux hommes si j’en juge par les regards qui la suivent quand nous nous promenons.

Carine, ma fille âgée de 21 ans, belle comme on peut l’être à cet âge, brune genre italienne, un peu plus grande que sa mère mais avec la même poitrine, et un petit cul adorable.

Et enfin Cédric, mon fils de 19 ans brun aux cheveux courts que l’on peut qualifier de plutôt beau gosse.

Tout a commencé un jour d’été où Anne et Carine prenaient un bain de soleil sur notre terrasse elles étaient allongées côte à côte sur deux transats. Moi j’étais dans mon bureau et de ma fenêtre ouverte j’avais une vue plongeante sur elles.

A un moment Carine demanda à sa mère si elle voulait bien lui passer de la crème solaire dans le dos. Aussitôt Anne prit le tube et commença à oindre le dos de sa fille. Je dois préciser qu’elle faisait toute les deux du monokini, elles avaient donc les seins nus.

Quand le dos fut bien huilé, la main d’Anne passa sur le ventre de Carine qui s’était rallongée dans son transat, cette main passait partout pour protéger le maximum de peau, d’abord le ventre, les flancs, les côtes, les épaules, le cou, puis la poitrine.

C’est à ce moment que j’ai senti ma queue se dresser dans mon slip.

Ce qui se passait sur la terrasse devenait vraiment intéressant Anne avait posé le flacon pour masser les seins de sa fille à deux mains, je voyais les doigts titiller les tétons, elle était carrément en train de la peloter.

– Tu as de très beau seins ma chérie. Lui dit-elle.
– Les tiens aussi sont parfait.

En disant cela Carine leva un bras pour caresser à son tour les seins maternels.

Inutile de dire que j’avais sorti ma pine et que je me masturbais en les regardant.

D’autant plus qu’Anne avait maintenant passé une main dans la culotte de sa fille et qu’aux gémissements de Carine on pouvait comprendre qu’elle devait avoir introduit des doigts dans son sexe. Le seul vêtement qui lui restait ne fut d’ailleurs pas long à être retiré mettant à jour sa belle toison brune, je n’ai pas eu le loisir de la voir longtemps cette petite chatte car la tête de sa mère est venue se placer dessus.

J’avais toujours su que mon épouse aimait aussi les femmes, mais de là à la voir faire un broute minou à notre fille était une chose que je n’aurais jamais cru possible et je dois dire que ce spectacle me plaisait et m’excitait au plus haut point.

Les gémissements de Carine ne s’arrêtaient plus, elle avait écarté les cuisses au maximum pour que sa maman puisse y aller librement et cette dernière ne se faisait pas prier, j’imaginais les grands coups de langue qu’elle devait donner, combien j’aurais voulu moi aussi goûter à ce breuvage dont elle devait se régaler.

Anne y allait de plus en plus vite sa tête remuait entre les cuisses ouvertes. A ce rythme Carine ne fut pas longue à venir elle s’abandonna à la jouissance dans un grand râle de bonheur. Quand elle eut repris ces esprits Anne lui dit :

– Tu es très belle et je n’ai pas pu me retenir.
– Ne t’excuse pas maman, j’ai adoré. On ne m’a jamais léché comme ça.
– Moi aussi j’ai aimée, voudrais-tu m’en faire autant ? Tu n’es pas obligée tu sais.
– Tu m’as donné tant de plaisir que j’ai envie de t’en donner autant mais je ne l’ai jamais fait.
– Ne t’inquiète pas je te guiderais.

Et les places furent échangées Anne était maintenant dans le transat et sa fille avait le visage entre ses jambes. Les mains de la mère plaquées sur la tête de la fille la dirigeait s’appuyant dessus quand la langue rencontrait un point sensible ou relâchant leurs pressions suivant le cas. De voir ma petite fille faire un cunnilinctus à sa mère était un spectacle si érotique que j’ai bien cru que j’allais éjaculer de suite, mais à ce moment mon attention fut attirée par un léger mouvement à droite de la terrasse, Cédric était rentré et il avait surpris la scène incestueuse, de l’endroit où je me trouvais je pouvais voir ces mouvements de bras, pas de doute, bien que le bas de son corps était caché à ma vue, il était évident qu’il se masturbait tout comme moi.

Aux gémissements d’Anne j’ai su qu’elle ne mettrait plus longtemps à venir et en effet dans un cri elle inonda de son plaisir la bouche de sa fille. Carine se coucha sur sa mère et leurs lèvres s’unirent pour un baiser langoureux. Après avoir un peu récupérées Anne se mit à genoux par terre et le corps penché sur Carine entreprit de lui téter les seins, c’est à se moment que Cédric s’est avancé vers sa mère qui, lui tournant le dos ne pouvait pas le voir, il avait la braguette ouverte et la bite sortie, il empoigna sa mère par les hanches pour la relever, mon épouse ne manifesta pas de résistance, et la bouche toujours sur les tétons de Carine, écarta les jambes pour faciliter la pénétration. Je ne voyais que le dos de Cédric mais aux mouvements de ses fesses je compris qu’il venait de s’accoupler à elle, et cet acte contre nature qui aurait dû me scandaliser me faisait au contraire bander encore plus, mes mouvements de poignets se sont accélérés et je giclais en rugissent de plaisir.

L’écho de mon cri arriva jusqu’à Anne qui leva la tête vers moi, et me voyant elle regarda derrière elle pour constater qui la prenait

– Ah, c’est toi ! Dit-elle simplement.

Je compris alors que ce ne devait pas être la première fois ! On me cache tout dans cette maison.

Anne mit une main entre les jambes de Cédric pour lui empoigner les roustons. Il avait accéléré ses coups de reins et cette caresse sur ces bourses précipita sa jouissance, il se dégagea et déchargea sur les seins de sa mère toute sa réserve de foutre

Ensuite je suis allé rejoindre la petite bande en bas, comme ils m’avaient vu jouir il n’y a pas eu de gêne, nous avons discuté librement et tous les quatre avons été d’accord pour poursuivre ces relations en commençant dès ce soir.

La fin de la journée me parut interminable, mais elle arriva tout de même. Nous étions dans notre chambre à coucher, Anne et Cédric s’embrassaient à pleine bouche et moi j’embrassais Carine avec la même vigueur nous étions allongés sur le lit les hommes sur les femmes et pendant nos baisers ont se déshabillaient mutuellement, les vêtements volaient aux quatre coins de la pièce et très vite nous nous sommes retrouvés nus. De sentir sous moi le corps nu de ma fille me rendais dingue, je n’avais pas assez de mes deux mains j’aurais voulus pouvoir la caresser partout à la fois, je couvrais son visage de bisous, mais bien que nos sexes soient en contacts l’un de l’autre je n’osais pas encore la pénétrer, ce fut elle qui me saisissant la pine la fit entrer en elle. Quelle sensation! J’étais si bien dans sa petite grotte humide que j’aurais voulu que cela dure toujours, je commençais par donner des petits coups de reins, je sentais ses mains qui me caressaient les fesses, son regard plongé dans le mien, et ces mots qu’elle me disait.

– Vas-y papa, encore, plus fort, baise-moi à fond.

Puisqu’elle le voulait elle allait en avoir, je la martelais à grand coup de bite essayant de lui en mettre toujours plus et elle appréciait.

– Oui comme ça c’est bon j’la sens bien ta grosse pine, papa, encore n’arrête pas encore…

D’entendre ces mots, et ce qui se passait à côté me rendais fou, car l’autre couple n’était pas en retard il y a longtemps que Cédric avait pris sa mère et qu’il la pilonnait avec ardeur tout en lui suçant les seins, sa bouche posée sur le téton maternel me renvoyait des souvenirs, Je me souvenais quand il était petit et qu’il la tétait pour avoir sa ration de lait, maintenant ce n’était plus un bébé mais un homme normalement constitué. Quand il laissait le sein s’était pour dire:

– C’est bon m’man tu la sens bien? Tu aimes?
– Oh oui c’est bon mon petit chéri, je la sens bien ta grosse bite.
– Ça t’excite, petit salaud de défoncer ta mère?
– Ouais c’est trop bon. Maman, je pourrais te jouir dans la bouche quand ça viendra?
– Oui mon grand !

Puis ce fut le silence, on entendait plus que les grincements du lit, les gémissements, et le bruit des couilles qui s’écrasaient contre les chattes avec une cadence de plus en plus soutenue. A ce rythme cela ne pouvait pas durer longtemps Cédric ne tarda pas à se désunir pour venir s’accroupir sur le torse d’Anne et lui présenté sa queue qu’elle engoba de suite en faisant aller et venir ses lèvres sur cette tige dressé et en lui insérant un doigt dans l’anus.

– Ça vient maman, avale mon foutre, oui avale tout, putain c’est bon.

Et c’est ce qu’elle faisait, ont voyaient ces mouvements de déglutition après chaque décharge qu’il lui envoyait.

Ce spectacle était d’une telle intensité érotique que j’étais encore plus stimulé, je redoublais mes va-et-vient et je voyais aux yeux chavirés et aux lèvres pincées de Carine qu’elle était en train de jouir, quel bonheur pour un père de sentir sa fille atteindre la volupté sous lui, ne pouvant plus me retenir, je me soulageais dans l’intimité de ma fille.

Puis chacun reprit son souffle, Cédric fut le premier à récupérer, son sexe étant à nouveau au garde à vous il entreprit de prendre sa mère en levrette, position qu’elle adopta aussitôt. Carine lui présenta son con pour qu’elle s’en occupe et Anne plongea sa langue dedans, elle était prise en sandwich entre ses deux enfants, les coups de queue de son fils la projetait dans la chatte de sa fille. Cédric lui pelotait les seins pendant qu’il la bourrait, je m’étais placé derrière lui pour voir l’union de leurs pubis, il rentrait sa pine, qu’il avait assez longue, jusqu’aux couilles je suis sûr que s’il avait pu les mettre aussi il l’aurait fait, il était clair qu’il était excité de baiser le trou d’où il était sorti. Ce tableau m’ayant fait retrouver ma vigueur, je me suis rendu près de Carine pour lui exhiber ma virilité qu’elle absorba aussitôt pour me gratifier d’une fellation royale. Chaque membre de la famille était relié à un autre membre de la manière la plus intime qui soit. Pour être une famille unie nous étions vraiment une famille unie !

Nous avons, mon fils et moi éjaculé une nouvelle fois, Carine a avalé mon sperme en brave fille heureuse de faire ce cadeau à son papa. Et le fiston a envoyé sa semence sur sa maman. Pendant que les mâles récupéraient les femmes se sont misses en 69 ce qui a permis à Carine de goûter au foutre de son frère, je ne connais rien de mieux pour faire rebander un homme que de voir deux nanas se brouter le gazon, d’autant plus quand c’est la mère et la fille. Elles s’y allaient de bon cœur Carine n’avait plus besoin de leçon, elle donnait autant de plaisir à sa maman qu’elle en recevait, elles se bouffaient mutuellement le cul et la cramouille, ne relevant la tête que pour respirer avant de replonger dans l’entrecuisse offert. Cédric et moi avions la gaule, on se branlotait chacun de son côté en les reluquant.

– Faites comme nous, sucez-vous !.

C’était Anne qui venait de dire ça.

– Ça va pas non. On n’est pas des pédés.

Telle fut ma réponse.

– Vous aimez nous regarder non ? Ça vous excite n’est-ce pas ? Eh bien nous aussi on a envie de vous voir. Si vous ne voulez pas, je continue avec Carine mais vous vous sortez.
– Bon eh bien je crois qu’on a pas le choix papa.

Dès que Cédric eut dit cela, je vois deux cuisses poilues se positionner de chaque côté de ma tête et une bite fièrement dressée à quelques centimètres de mes lèvres.

Moi ça m’a fait débander aussitôt, j’ai sentis ses mains se poser sur ma verge et mes testicules et il a entrepris de me masturber pour me redonner de la vigueur.

Malgré moi je commençais à être émoustillé, surtout quand il la mit dans sa bouche, j’avais la sienne si près de mon visage que mon nez était rempli de l’odeur de rut qui s’en dégageait, maintenant je bandais sous sa langue, le petit fumier il s’y prenait bigrement bien. Mais il voulait que je lui rende la pareille et il poussait son bassin vers moi, son gland touchait mes lèvres je n’eus qu’a les ouvrir pour qu’il me rentre dedans. Après les choses se sont faites naturellement ce n’était pas aussi désagréable que je me l’étais imaginé. Je me surpris même à lui caresser les fesses, et à trouver agréable le contact de son petit cul.

Notre duo devait plaire aux femmes à en croire leurs gémissements, elles étaient en train de prendre leur pied. Moi aussi je n’allais pas tenir longtemps sous la bouche travailleuse de Cédric, je l’ai prévenu que j’allais venir, je croyais qu’il allait se retirer mais pas du tout il accéléra tout en m’enfonçant un doigt dans le cul comme sa mère lui avait fait tout à l’heure. Se fut trop pour moi et je lui envoyais mon foutre au fond de la gorge. Lui aussi me dit qu’il allait jouir, mais je ne pouvais me résigner à l’avaler, je l’ai donc sorti de ma bouche et je l’ai fini en le branlant, quand il a joui j’ai dirigé les jets sur mon torse et ces giclées ont finies en gouttes blanchâtres accrochées aux poils de ma poitrine.

– Vous voyez, ce n’était pas si difficile, dit mon épouse
– Et en plus c’était super excitant, rajouta Carine.

La soirée était déjà bien avancée et nous avons décidés que nous finirions la nuit Carine et moi dans son lit, Cédric et Anne dans la chambre de mon fils.

Je me suis endormi presque aussitôt avec ma fille dans mes bras.

Au réveil le lendemain matin Carine me demanda si j’acceptais de la sodomiser, c’est une pratique qu’elle n’avait jamais tenté avec ces petits copains qui sont tous trop fougueux pour ce genre d’activité.

Bien sûr que j’étais d’accord, pour commencer je la fit mettre à quatre pattes, la tête sur l’oreiller et le derrière relevé, il me fallait d’abord décontracter son petit trou ce que je fis à l’aide de ma langue en lui léchant le bord de l’anus avant de la faire entrer petit à petit, ce traitement semblait convenir à Carine qui poussait des petits soupirs, quand je l’ai senti bien décontractée je lui introduis un, puis deux doigts. Je me suis emparé du tube de vaseline qui était dans la table de chevet, pour lui en introduire une bonne dose aussi profond que possible, j’en ai mis aussi une dose conséquente sur ma queue qui était bandée au maximum et j’ai posé mon gland sur son œillet, par petits mouvements, doucement, la pénétration a commencé.

– Pousse en même temps ma chérie, comme pour chier, tu verras ce sera plus facile, ça va? Tu n’as pas trop mal ?
– Non ça peut aller.

Elle y est déjà à moitié, encore un peu ça y est ma chérie, tu l’as toute.

J’avais mon bas ventre contre ses fesses, je lui laissais le temps de s’habituer à cette intrusion. Et moi je savourais la chance que j’avais d’être le premier à entrer dans ce temple, son petit cul était serré magnifiquement, c’était un merveilleux cadeau que ma fille m’offrait là.

Lentement j’ai commencé des mouvements de va-et-vient modérément, puis de plus en plus vite sur la demande de Carine. Elle criait non pas de douleur mais de plaisir, cette enculade a duré un bon quart d’heure avant que je ne me vide dans ses entrailles.

Ensuite nous nous sommes levés, pour aller prendre nos petits déjeuners dans la cuisine, où nous avons retrouvés Anne et Cédric, mon épouse avait des cernes sous les paupières, mais un regard brillant de femme comblée. Mon fils, lui était monté dessus plusieurs fois dans la nuit, (l’avantage de la jeunesse, il lui faut moins de temps que moi pour récupérer) et à chaque fois la maman réveillée avait été ravie d’écarter les cuisses devant la bite impatiente et furieuse de son fils. Le fiston, lui était en pleine forme attablé devant des tartines beurrées et le nez plongé dans son bol de chocolat il reprenait des forces et cela lui a réussi car pendant que Carine et moi mangions il a repris sa mère debout devant nous.

Les nuits ou je me retrouve avec mon fils cela se passe en fellations et masturbations réciproques, son petit cul m’attire de plus en plus, mais il m’a dit qu’il voulait bien que je l’encule à condition que j’y passe après, je ne me sens pas encore prêt peut-être un jour qui sait ?

Mais les soirées que j’aime le plus c’est quand je suis avec Carine, c’est vraiment excitant de faire l’amour à sa fille pendant que dans la chambre à côté votre fils fait l’amour à sa mère.

fun

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9 réponses à Une famille unie. (texte_sans_signature)

  1. marc philippe dit :

    très bon scénario. pas sur réel. dommage mais bien décris dans la simplicité des parents avec leur enfants. la nuditee est belle .la sexualité est douce . j aura aimer vivre une telle aventure avec mes frères et soeurs sans se cacher librement.

  2. Mac Gullyn dit :

    – – –

    • Eddy dit :

      Nous avons effacé le contenu du commentaire ci-dessus qui ne respectait pas notre charte de publication (âge des protagonistes)

  3. Polsik dit :

    L’inceste est un tabou qu’on ne sait pas pourquoi c’est tabou

  4. Bornenbuc dit :

    Merci de briser les tabous. J’ai eu l’occasion de sucer la bite de mon père. J’étais majeure et nous en avions envie tous les deux quand l’occasion s’est présentée. Je n’en ai jamais ressenti aucune honte, aucun remord, aucune culpabilité. Nous n’avons pas recommencé, nous voulions le faire, on l’a fait.

    • Denise dit :

      Tu n’es pas toute seule. J’ai eu moi aussi des rapports incestueux avec mes parents, essentiellement avec ma mère, cela avait commencé par de tendres caresses, des baisers, puis nous nous somme léchés. Ma mère léchait superbement et moi j’adorait le goût de sa chatte. Avec mon père nous ne l’avons fais qu’une seule fois, il était excité mais semblait plus gêné que moi, je me souviens de la douceur de ses couilles et du goût de sa bonne bite !

  5. Chandernagor dit :

    Le thème abordé ne me choque pas du tout mais je trouve que ce récit manque de folie, il est trop mécanique, trop rapide, de deux choses l’une : Ou on fait plus long pour expliquer la venue de l’acte ou alors on délire carrément. Ici ce n’est ni l’un ni l’autre

  6. Serge_R dit :

    Bravo pour avoir eu le courage de publier ce récit très respectueux même si la vraisemblance n’est pas évidente. Actuellement les gens réagissent de façon complètement irrationnelle contre l’inceste sans savoir de quoi elles parlent. Si l’abus sexuel sur mineur est condamnable (et il n’y a aucune ambigüité dans mes propos sur ce point) les adultes font ce qu’il veulent entre eux, quelque que soient leur degré de parenté. Aujourd’hui avec la contraception on ne risque pas de faire des enfants anormaux pour cause de consanguinité, On est au XXIème siècle que diable. Alors si les gens qui n’y connaissent rien pouvaient la boucler un peu, ça nous ferai des vacances.

  7. Adjuvantibus dit :

    Très beau récit

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