Promenade coquine par Mikado

 

 

Monsignor lui avait donné rendez-vous pour une ballade dans l’un des parcs de la ville avant d’aller dîner. Comme à son habitude Monsignor avait posé des préalables, des règles à ne pas enfreindre au risque d’avoir les fesses rougies. Cette fois il avait exigé le port d’une mini-jupe en jean, d’un débardeur et d’une paire de baskets pour cette promenade. Bien sûr il avait exigé qu’elle ne porte aucun dessous et que son sexe soit glabre. Comme à son habitude elle avait protesté, plutôt pour la forme et pour laisser miroiter l’éventualité d’une fessée le soir venu.

Ils s’étaient donc retrouvés vers 19 heures 30 à l’entrée du parc. Elle était vêtue d’une courte jupe en jean qui lui découvrait les genoux, lui moulait les fesses et les hanches, d’un débardeur blanc laissant apparaître un joli soutien-gorge de dentelle blanche et d’une paire de chaussures de sport blanches. Ils s’embrassèrent fugacement et s’engagèrent sous l’ombrage d’une allée de tilleuls. Ils parlaient de la pluie et du beau temps, surtout du beau temps et de la chaleur ambiante en cette fin de journée d’été. La main de Monsignor commença à descendre le long de son dos, s’attardant ostensiblement sur la ligne du soutien-gorge puis, continuant son chemin se posa sur sa croupe. Se sachant seuls Monsignor souleva la jupe de son odalisque jusqu’à hauteur des hanches pour s’assurer que ses fesses étaient nues et son sexe glabre. Il en profita pour glisser rapidement un doigt entre les grandes lèvres et constater que son odalisque avait déjà la chatte humide. Il remit la jupe et place et lui dit :

 » – Ma chérie tu n’échapperas pas à la fessée, j’avais dit pas de sous-vêtements…
– Et si je suis très sage j’ai une chance d’y échapper ?
– On verra si tu es obéissante pendant cette soirée…

Ils se dirigèrent vers un banc, non pour se reposer mais pour faire une halte coquine. Ce coin retiré du parc était peu fréquenté à cette heure du jour, ils s’embrassèrent goulûment. La main de monsignor se posa sur ses cuisses et remonta vers cette chatte, qu’il imaginait encore plus chaude et coulante de désir, tout en retroussant la jupe au-delà de l’indécence. Son odalisque n’était pas en reste, à travers son pantalon elle cherchait un sexe qui déjà durcissait. Monsignor avait déjà introduit deux doigts dans ce sexe qui n’en finissait pas de mouiller et de son pouce il lui caressait le clitoris. Son odalisque se mit à gémir et au bout de quelques instants, le supplia de lui donner ce dont elle avait envie… Repérant un bosquet d’arbustes dense, susceptible de leur apporter un peu « d’intimité », Odalisque le guida vers cette modeste cache, libéra le sexe de son amant, s’accroupit et commença, tout en se caressant l’entrejambe, à le sucer goulûment, prenant successivement en bouche ses couilles ou sa bite. Cette fois c’est Monsignor qui gémissait…

Puis il s’allongea sur la mousse, épaisse en ce sous-bois, elle reprit sa fellation avec un plaisir non dissimulé.

Monsignor lui demanda de placer sa chatte sur sa bouche, sa langue se perdit dans les profondeurs humides et titilla son clitoris jusqu’à l’extase.

Ne résistant plus à l’appel de son sexe tendu, Odalisque descendit vers sa bite et chevaucha Monsignor pour le galop final.

Pendant quelques instants, ils restèrent enlacés là, pour prolonger ces instants merveilleux.

Soudain alertée par des bruissements, Odalisque se leva précipitamment et s’enfuit à  » l’approche d’un sanglier  »

Elle est nue elle n’a pas pris le temps de s’habiller. Un sanglier dans un parc de la ville… Un gros chien oui … Monsignor s’habille, récupère les vêtements laissés épars par la fuyarde et la rejoint un peu plus loin.

– Vite, mes vêtements et partons.
– Quels vêtements ?
– Les miens, bien sûr
– J’ai bien récupéré des vêtements mais ils étaient abandonnés
– Allez, je ne plaisante pas, rends moi mes vêtements !
– C’est comme ça que tu parles à ton seigneur et maître ?
– Je vous en prie Monsignor, rendez-moi mes vêtements, s’il vous plait
– Il me plait que tu sois nue et tu vas le rester selon mon bon vouloir
– Je vous en prie monsignor, si quelqu’un passait….
– Ce n’est pas mon problème, continuons la promenade, la nuit tombe, tu seras masquée par la pénombre

Comprenant qu’il n’y avait pas d’autre issue, Odalisque reprit la promenade en compagnie de son amant.

Monsignor s’amuse de ce corps nu. Tout en marchant il lui caresse les fesses, remonte vers les seins puis retourne vers les fesses. Après quelques minutes de ce manège Odalisque lui dit :

– Je suis prête à payer pour récupérer mes vêtements
– L’argent ne m’intéresse pas
– Qui te parle d’argent ? Regarde

Elle s’accroupit, écarte largement ses cuisses et commence à ce caresser. Elle laisse tournoyer son index sur son clitoris. Après quelques secondes son sexe devient luisant, elle continue avec plus d’insistance.

Monsignor bande, il se caresse à travers son pantalon, il rend à Odalisque son débardeur.

Entre deux gémissements, elle n’oublie pas de remercier son maître.

– Regarde bien, ce n’est pas fini. Dit-elle

Elle introduit ses doigts dans sa chatte ouverte et trempée. Instantanément un liquide doré s’écoule à travers ses doigts, inondant ses cuisses et ses fesses ; Odalisque pisse…

Monsignor bande de plus belle, Odalisque a terminé, elle se relève, le regard brillant elle s’approche de Monsignor et lui dit :

« Je t’ai fait bander, vieux cochon, me voilà toute humide de pisse et d’excitation, ma dernière offrande sera cet entrejambe ruisselant pour ta langue habile… »

Sans mot dire, Monsignor plaque Odalisque contre un arbre, lui relève une jambe, s’accroupit et se met à lécher goulûment cuisses, sexe et même raie des fesses. Ce nettoyage émoustille à nouveau Odalisque qui se met à jouir bruyamment. Monsignor se relève, Odalisque veux le branler, il s’éloigne, ramasse la jupe, la tend à son amante, sort de sa poche une boule de geisha et lui dit :

– « Nous sommes attendus au restaurant. »

Odalisque introduit l’objet dans son sexe en feu, remet sa jupe, prend le bras de son homme et tous deux se dirigent vers la ville.

Odalisque et Monsignor se dirigent main dans la main vers le restaurant.

Les clients aux allures de petits bourgeois de province sont déjà installés dans la salle à manger. Le serveur place le couple, avançant la chaise d’Odalisque.

Une fois assise, elle se trémousse sur le siège, cherchant le regard de Monsignor par-dessus la carte. Elle écarte les jambes sous la table, le sexe nu à l’insu des clients qui mangent autour d’eux.

Elle sait que le fait qu’elle n’ait pas de culotte excite Monsignor, elle enlève discrètement sa chaussure et, du bout du pied, fait pression sur son sexe. Monsignor bande, son sexe dur est la promesse d’une nuit d’amour.

Monsignor ouvre son pantalon et laisse Odalisque introduire son pied. Avec une agilité surprenante, elle lui caresse les couilles puis d’un lent mouvement de va et vient, elle le branle. Au dessus de la table rien ne transparaît. Odalisque contracte les muscles de sa chatte afin de faire vibrer ses balles, elle sent son envie monter et un liquide chaud s’échappe de sa chatte et lui mouille les cuisses qu’elle tient serrées. Elle augmente le rythme de ses contractions et branle de plus belle Monsignor. Le serveur vient prendre la commande. Craintive, Odalisque retire son pied. Il était temps car Monsignor allait gicler tellement le pied de son amante était agile. Faisant mine de ranger sa serviette, il remet de l’ordre dans sa tenue. Durant tout le repas, Odalisque le lui dit plus tard, elle n’avait pas arrêté de se faire jouir silencieusement, la chaise en garderait des traces. Elle était chaude et excitée. A la sortie du restaurant elle demanda à son homme de la prendre….

La nuit douce et le ciel clair les invitent à la flânerie.

Ils empruntent de petites rues désertes. Excité par la main baladeuse d’Odalisque, Monsignor à envie d’une fellation. Cachés sous le porche d’une bâtisse, Odalisque se saisit du sexe de son amant et le suce avec avidité. Soudain, les aboiements d’un chien les décident à poursuivre leur chemin.

Un peu plus loin Monsignor s’assoit sur un banc, sort son sexe, Odalisque retrousse sa jupe et se met à califourchon sur lui. En quelques mouvements de va et vient, elle le fait jouir en elle et jouit à son tour bruyamment.

Ils s’embrassent et prennent le chemin de leur chambre. Odalisque est dégoulinante du plaisir de Monsignor. Ils prendront une douche avant de s’étendre sur le lit.

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6 réponses à Promenade coquine par Mikado

  1. Werber dit :

    n’importe quoi !

  2. Michael dit :

    Extravagant à défaut d’être excitant

  3. Muller dit :

    De bonnes choses gâchées par des répliques ahurissantes, genre : »ma dernière offrande sera cet entrejambe ruisselant pour ta langue habile ». Vous en connaissez des gens qui parlent comme ça, vous ?

  4. Alteralter dit :

    Amusant et déjanté, j’ai bien aimé !

  5. Frank25 dit :

    C’est pas mal;, mais quele idée bizarre d’affubler les protagonistes de noms aussi farfelus

  6. Gaston dit :

    En lisant au second degré on se fend bien la poire !

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