Ma cousine Sophie : Une grosse cochonne pour un gros vicieux 1 – premiers émois et découvertes par FétichOdeurs

Ma cousine Sophie : Une grosse cochonne pour un gros vicieux
1 – premiers émois et découvertes par FétichOdeurs


J’ai toujours eu une relation ambigüe avec ma cousine. Déjà petit, vers l’âge de 10 – 12 ans, quand mon oncle venait chez mes parents, ma cousine dormait dans ma chambre. Je ne sais pas pourquoi mais Sophie avait une odeur très forte. Surtout elle sentait des fesses, et mon petit zizi d’enfant devenait tout dur quand ses effluves parvenaient à mes narines.

C’est le soir quand elle se déshabillait pour enfiler sa chemise de nuit que ces parfums érotiques m’électrisaient. On bouquinait souvent dans le même lit. Très innocemment on aimait bien se coller l’un à l’autre pour lire. Moi j’adorais sentir la chaleur de son corps chaud contre moi. Même à travers les vêtements cela m’excitait et cela se transformait souvent en séance de guili-guili, et de bagarre où chacun essayait de plaquer l’autre au sol.

Avec l’arrivée de l’adolescence, le développement de notre corps on est devenu un peu plus pudique.

Pendant 4 ans on ne s’est plus revu et vers l’âge de 18 ans on s’est retrouvé en vacances, on dormait dans la même chambre mais il n’y avait aucun sous-entendu.

C’est sur la plage que j’ai découvert la transformation du corps de Sophie.

Elle avait pris un peu de poids, mais du coup avait acquis des rondeurs qui ne me rendait pas insensible. J’ai appris après qu’elle faisait du bonnet D.et ses cuisses charnues étaient surmontées de deux globes généreux et musclés que je rêvais de caresser.

J’ai eu une chance formidable, nous étions en 1978. A cette époque, sur la plage, 80% des jeunes filles faisaient du topless et arboraient fièrement leurs seins brunis par le soleil. La deuxième particularité de cette époque bénie, étaient que la plupart des femmes ne se rasaient ni ne s’épilaient les aisselles, et nombreuses ne s’épilaient ni le maillot ni les cuisses. Ma cousine avait une forte pilosité, et je devais souvent m’allonger sur le ventre pour cacher l’érection que me déclenchait la vue des poils frisés qui sortaient du maillot de Sophie.

Autant vous dire, que dans la mer ou les toilettes il fallait que j’aille souvent éteindre le feu qui s’allumait en moi, lorsque je voyais ou m’imaginait les seins lourds, les fesses charnues de ma cousines. Je finissais par exploser lorsque je m’imaginais la tête entre ses cuisses devant sa chatte poilue.

Un jour avant la fin des vacances, je suis tombé le matin sur sa culotte sale qui trainait au pied du lit. J’étais seul et je l’ai ramassé. Elle était fortement tachée et comme aimanté j’ai rapproché mon nez du slip et j’ai respiré l’odeur forte qui s’en échappait. Aussitôt mon bas pyjama s’est transformé en toile de tente. J’ai sorti mon sexe tendu et décalotté. J’ai fermé les yeux et j’ai commencé une lente masturbation.

Les parfums de pisse, de sueur et de mouille de Sophie loin de m’écœurer accélérèrent mon excitation, et j’explosais rapidement souillant les draps du lit de ma cousine de mon sperme abondant.

Je n’eus pas le temps de réaliser.

Sophie me surpris :

– Eh bien mon cochon, tu es un gros dégueulasse.

Je devins rouge de honte, cachai mon sexe encore raide comme je pus, et lâchai la culotte odorante par terre.

– Ça t’excite de respirer mes slips sales, espèce de porc ! Tu veux que je dise tout à ta mère ?

J’étais mort de peur.

– Tu as 2 minutes pour nettoyer mes draps. .

J’allais descendre chercher une éponge, lorsque Sophie me dit :

– Ou tu vas ?
– Chercher une éponge
– T’es un cochon, nettoie les draps avec ta langue !!!
– Mais ….
– Tout de suite !!!! .

Paniqué, je me suis penché et j’ai commencé à lécher et sucer mon sperme. C’était la première fois que je gouttais du sperme : pas beaucoup de gout

– Alors tu as aimé ton jus de couille petit cochon, ça te servira de leçon !

Pendant toute la journée, on a tout fait pour ne pas se retrouver seul à seul. A aucun moment nos regards se sont croisés. Le soir on s’est couché sans oser se dire un mot, juste : bonne nuit.

Je tournais en rond dans mon lit repensant à l’évènement du matin : et je bandais dur. Ma cousine aussi ne trouvait pas le sommeil.

Soudain elle rompit le silence :

– Bernard
– Oui
– C’est pas grave pour ce matin
– Merci, mais je suis gêné
– Moi aussi
– Ah bon
– Oui
– Pourquoi ?
– J’ai honte, mais ça m’a excité
– Quoi ?
– Quand je t’es vu te branler. J’ai trouvé que tu avais une grosse …. J’étais hypnotisée par ton sexe ton gland rouge. En fait je t’ai observée depuis le début.
– Depuis le début ?
– Oui ! Et …ça t’as pas écœuré de respirer ma culotte sale ?
– Non ! Au contraire ! Ça m’a rendu fou, c’est pas normal ?
– J’en sais rien. Moi ce que je comprends pas, c’est que j’ai aimé te traiter de cochon et ça m’a excitée de t’ordonner de lécher ton sperme.
– Ah on est bizarre
– Un max, dit-elle en riant, et c’était pas trop dégueu à lécher ton sperme ?
– Non, ça a pas trop de gout, ça m’a même plut, c’est bizarre
– Oui … Bernard ?
– Oui Sophie
– Je dois t’avouer un truc, tout a l’heure je suis allée au toilettes et j’ai fait comme toi ce matin, j’ai respiré l’odeur de ma petite culotte sale.
– Eh
– Au début j’ai trouvé que ça puait la pisse, mais j’ai continué à renifler son odeur, et j’ai commencé à mouiller et je me suis masturbée
– Alors je suis pas seul à être un cochon !
– Non on est deux cochons ! Ou plutôt un gros cochon et une grosse cochonne.
– Oui, il faut que je t’avoue, mais là, depuis qu’on parle, j’ai une grosse érection.
– C’est vrai, dit-elle toute joyeuse,… moi je suis toute mouillée. Tu te caresses ?
– Un peu, et toi ?
– Un peu aussi …. – Après un silence – Tu veux bien me remontrer ton sexe Bernard ?
– Euh…. Oui et toi tu me montreras aussi ? J’en ai jamais vu …

Elle alluma la lumière, ouvrit ses draps. Je fis de même. Ma bite tendue sous mon pyjama se .tenait fièrement. On n’osait pas se dévêtir…

J’osai :

– On se met tout nu ?
– Oui à 3 : 1, 2 et 3 !!!! .

Elle retira sa chemise de nuit et moi mon bas de pyjama

– Juste on regarde, on fait pas l’amour !
– D’accord !
– Tu peux enlever ton haut de pyjama ?
– Bien sûr !
– Elle est longue
– Je pense qu’elle est normale, 16 cm
– En tout cas, quand tu bandes c’est plus joli qu’un zizi normal
– Moi j’aime bien tes seins, Ils sont gros …
– Ça te plait les gros nénés ?
– Oui on a envie de les caresser,
– Tu veux les toucher ?
– Oh oui
– Viens !!! .

Je me lève me met à genoux par terre elle est assise sur le bord du lit. Et je commence à prendre ses gros seins, entre mes mains. Je les caresses,

– Ils sont tout doux, ….merci
– Continue Bernard c’est bon (sa respiration devient bruyante)
– Je peux les embrasser ?
– Oh oui vas-y … mmm .

Je couvris les tétons de bisous et commençais à les lécher puis les sucer. Je senti la main de Sophie descendre et glisser entre ses cuisses.

– Continue T’arrête paaaas,…. Ouiiiiii .

Je m’activais comme je pu suçant un sein et malaxant l’autre de plus en plus fort. Soudains je senti le corps de ma cousine se raidir et Sophie se jeta en arrière la main entre les cuisses : MMMM ohhhhhhh .

Ma cousine avait les yeux qui brillaient c’était beau. Elle souriait jusqu’aux oreilles.

– Oh c’était Bon Putain ! Regarde ma main elle est toute poisseuse tellement j’ai jouit ! Il faut que je m’essuie … .

Elle me fixa, eu un sourire :

– Tu veux sentir l’odeur de ma mouille ?
– Oh oui !

Elle avança sa main et je respirais cette odeur assez forte chez elle.

– Tu aimes petit cochon ?
– Oui cochonne !
– Lèche … C’est bon ?
– Oui j’adorrrrre !!!
– Suce mes doigts cochon …. C’est bon hein ?
– Oui super, … et toi tu as déjà gouté ?
– Non jamais !
– Essaye ! Vas-y !
– Ok j’essaye !

Elle retira sa main, mit un pied sur le bord du lit et écarta les cuisses, dévoilant enfin sa fente à ma vue. Jusqu’ici je n’avais vu que sa grosse touffe brune.

– Ça te plait ?
– Oui, c’est la première que je voie un sexe de femme
– Et alors ?
– C’est bizarre
– Comment ça bizarre ?
– C’est une fente pas un trou.

Elle éclata de rire, mis le deuxième pied sur le lit, ce qui eut pour effet d’entrouvrir les lèvres de sa chatte. Sophie pris une main écarta ses grosses lèvres.

– Tu vois là le petit bouton c’est le clitoris, c’est super sensible j’adore me le caresser ; MMMM .

Et joignant le geste à la parole elle fit tourner ses doigts autour de son bouton

– Et là, mmmh c’est mon vagin. elle introduisit deux doigts et fit quelques aller-retour.

Elle regarda ses doigts poisseux

– Allez goutte ! Suce-les ! Lui dis-je

Elle ferma les yeux et ouvrit ses lèvres, avança ses doigts doucement. Elle referma ses lèvres et suça bruyamment ses doigts.

– Alors c’est bon non ?
– Oui, bizarre, mais j’adore, je suis vraiment une cochonne.

Elle refourra ses doigts dans sa chatte poisseuse (j’ai découvert plus tard que Sophie avait des sécrétions 10 fois plus forte que la moyenne des femmes que j’ai connu).

Tu veux encore gouter ?
– Avec plaisir
– Suce cochon ! Bouffe ma mouille !

Elle me fourra ses doigts dans la bouche et je la vis, 10 secondes plus tard, sucer les doigts de sa main gauche.

– MMMh C’est vraiment bon, j’ai même pas honte c’est trop bon.

Elle regarda mon sexe :

– Je peux la toucher
– Oui, mais vas-y doucement, je suis trop excité c’est très sensible

Elle se saisit lentement de ma verge tendue et caressa doucement :

– La peau est douce c’est agréable à caresser
– Fait des vas-et-viens doucement je suis au bord de l’explosion
– Comme ça
– Je vais jouir arrête
– Non je veux voir comment ça fait !

Elle accéléra le mouvement, et j’explosais sur elle.

Elle me regarda dans les yeux avec un grand sourire

– C’était bien ?
– Oui mais vas-y très doucement. C’est trop sensible après avoir jouit.
– J’en ai partout !
– En effet, désolé
– C’est pas grave, c’était génial de sentir ton sexe durcir et vibrer. Et voir le sperme sortir par jet de ta queue ça m’a plu.

Elle avait du sperme plein la main le bras, un peu sur le cou et beaucoup sur ses seins et ça coulait sur le ventre.

Sophie me dit :

– Il va falloir nettoyer maintenant !
– Tu n’as qu’à sucer tes doigts
– Ok mais je ne sais pas si je vais aimer, en tout cas j’aime bien l’odeur de ton sperme

Elle suça un doigt

– Alors, tu trouves ça comment ?
– Attend j’ai pas bien gouté.

Cette fois elle racla tout ce qu’elle avait sur la main

– Ça colle un peu, en fait c’est un peu acre, mais pas trop, un peu gluant mais pas désagréable, le gout est léger pas terrible. En fait, si le gout est moyen, c’est excitant de gouter un truc sale, de se sentir salope…. Je te choque ?
– Non, en fait ce matin ça m’a plu quand tu m’as ordonné de lécher mon sperme
– Ça t’a excité espèce de petit pédé de bouffer du sperme.
– Un peu mais tu peux parler toi qui a adorée ton jus de moule
– Oui Bon en attendant viens me nettoyer j’ai ton sperme dans le cou et sur les nichons

Elle se mit debout et je commençais à lécher les traces de sperme

– Continue ta langue est douce, j’en ai aussi sous une aisselle, plein les poils si tu n’as pas peur de l’odeur ….

– Non j’en rêve de respirer l’odeur de tes aisselles poilues
– Elles sentent forts hein !
– Oui j’adore
– J’ai beaucoup transpiré aujourd’hui, lèche petit cochon.

Ce fut un délice de lécher et sucer les poils noirs des aisselles de Sophie, de fourrer et frotter mon nez dans cette toison humide aux parfums entêtants et piquants.

– Tu sais Bernard je suis encore toute excitée
– Moi aussi
– J’ai envie que tu me fasses un truc
– Tout ce que tu voudras
– Est-ce que tu voudras bien essayer de me lécher la chatte, j’en ai très envie
– Oh oui j’adorerai
– et moi je te sucerai après
– Ok allonges toi
– Viens Bernard, tu aimes ma Chatte ?
– Ca m’excite tes grosses cuisses et ta grosse touffe très poilue.

Je m’approchais de sa forêt vierge : elle était toute poisseuse, elle brillait et, au milieu, ses grosses lèvres s’entrouvraient. En fait cela faisait 2 jours qu’on n’avait pas pris de douche, et des effluves de sueurs, de pisse et de son abondante cyprine emplirent mes narines. J’étais fou d’excitation.

– Tu aimes l’odeur de ma chatte ? Ça ne t’écœure pas ?
– Non au contraire
– Je suis sale, tu sais ! Tu es vraiment un cochon
– Oui, mais c’est trop bon
– Allez lèche moi j’en peu plus ……. Mmmmm ….. ouiiii … .

Elle posa une main sur ma tête me plaquant sur sa moule. On peut dire moule tellement l’odeur était forte. .

– Écarte mes lèvres avec tes doigts et suce-moi le clito….Ouii …… continue ….mmmm…. comme ça ….. Ooooooh …. C’est bonnnnnn.

Je me laissais guider, léchant, suçant, dégustant sa grosse chatte poilue. Sophie de sa main libre se caressait les seins, pinçant les tétons qui pointaient.

– Enfonce moi un doigt dans la chatte !…Ouii,…. Ohhh … bouge le plus fort …. Encore… MMMMMMM.

Je mis un deuxième doigt et fit mon maximum. Soudain, je senti le corps de Sophie se raidir, son corps fut traversé de spasmes et elle m’écrasa le visage sur sa chatte tout en jouissant. Après 30 secondes de repos, elle me sourit, se redressa et vint me rouler une pelle magnifique :

– Vache ! J’ai jamais eu un aussi gros orgasme ! Merci …. Il faut que je te remercie.

Elle posa sa main sur mon sexe, se mis à genoux, et commença à lécher ma bite. Elle entoura mon sexe de sa main et ouvrit la bouche. Elle engloba mon gland turgescent et mis tout son cœur à le sucer, l’aspirer, sa main s’activait sur ma hampe. Je lui dis au bout de 30 secondes (je sais c’est court mais j’étais trop excité) :

– Attention je vais jouir !

Elle sera ses lèvres accéléra le va et vient de sa main et j’explosais dans sa bouche. Elle garda mon sexe en bouche aspirant mon jus. Sophie recula doucement laissant mon sexe sortir entre ses lèvres. Elle se releva posa ses lèvres sur les miennes et me roula une pelle mémorable : la coquine avait gardé tout mon sperme dans la bouche ….

Elle se lécha les lèvres et me dit

– Bernard … je pense qu’on a été très loin…. C’était super, …. Mais je ne veux pas qu’on recommence, ce sera notre petit secret…
– Oui, je crois que tu as raison. Alors bonne nuit
– Bonne nuit il est déjà 3 h et demain je me lève à 7 h pour prendre le train.

Le lendemain, on s’est regardé avec des sourires, conscient qu’on avait vécu une parenthèse hors du temps. J’ai aidé ma cousine à faire sa valise à la charger dans la voiture et lui ai fait deux bises très tendres sur les deux joues. C’est à ce moment que j’ai senti sa main glisser un petit papier dans la mienne.

Une fois la voiture hors de vue j’ai ouvert le petit papier :

. Bernard, je t’ai laissé un petit souvenir sous ton oreiller.

J’ai filé dans ma chambre soulevé l’oreiller, il y avait un autre papier et un petit sac plastique noir.
. C’est ma culotte sale, j’ai pris grand soin de m’essuyer la chatte avec ce matin. J’étais encore toute poisseuse…. Et pour te faire plaisir je me suis essuyée avec après avoir fait pipi. J’espère que mon cadeau plaira à mon gros porc de cousin !!!!!!

PS : détruit ce papier et planque bien mon cadeau que ta mère ne tombe pas dessus

PS2 : On en reparle plus, c’était juste un fantasme dans nos rêves.

On a grandi, eut des aventures, je me suis marié elle deux ans plus tard. Je n’ai jamais ressenti quelque chose d’aussi intense au niveau sexuel avec mes autres partenaires. Il faut dire que c’était plus sage.

J’ai gardé jalousement le petit bout de tissu, me suis branlé en le respirant et le léchant. J’ai même porté cette culotte lorsque j’étais célibataire… .

On n’a jamais reparlé de cette folle nuit,… enfin jusqu’à l’âge de 50 ans, mais c’est une autre histoire…

 

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8 réponses à Ma cousine Sophie : Une grosse cochonne pour un gros vicieux 1 – premiers émois et découvertes par FétichOdeurs

  1. Pascalou dit :

    J’ai bien aimé, vraiment

  2. Lemoine dit :

    J’aime les femmes qui sentent la femme

  3. dobsongdong dit :

    Moi aussi j’aime les grosses cochonnes

  4. Tiffiny dit :

    étonnant qu’avec un tel thème la scato ne soit pas évoqué

  5. Baruchel dit :

    Un bonne histoire qui m’a bien bander la bite. Si un jour vous faites un peu le ménage dans les histoires, celle-ci il faudra a conserver

  6. Darrigade dit :

    Délicieusement salace !

  7. Verdon dit :

    Super. J’ai eu de petites aventures aussi coquines avec une cousine un peu plus âgée, sauf qu’on s’est fait surprendre par la tante chez la quelle nous passions les vacances…Je ne fus pas grondé mais au contraire à toutes les deux elles m’ont déniaisé et je suis devenu un parfait libertin ! …Ce n’était pas si osé à l’époque, on savait tenir un secret et l’on était moins puritain qu’aujourd’hui.

  8. henri_kro2014 dit :

    Que voilà une histoire tout à fait bandante et bien salace. J’ai adoré.

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