Lettre à ma femme que j’aime
par barain24
Enfin, oui, je me décide à t’écrire ce soir : oui j’ai bu mais ne faut il pas un peu de soutien pour se délivrer ? Oui je me délivre, oui je me livre, oui j’ai envie….
Oh qu’il est doux, ce verre, le dernier ? Non, il y en aura d’autres, il faut que je termine… et toi me termineras-tu ?
OUI j’ai envie de toi, envie de fourrure comme tu le sais, mais envie de toi… en moi, oui c’est dit, j’en ai envie, j’ai besoin que tu me prennes, que tu me sodomises, que tu…m’encules… oui que tu m’encules, profond, lentement, durement, doucement, sauvagement jusqu’à un orgasme que je n’ai jamais connu, venu du fond du ventre, mon sexe se répandant dans les profondeurs fourrées que tu lui auras réservées….
….Ce matin, cet après-midi, ce soir là, que sais-je si le soleil illuminera la chambre, si la pluie s’unira à nos soupirs, ou si le doux rayonnement de cette guirlande que tu as mis au-dessus du lit entourera ce moment unique, mais je te vois, couchée, lisant sérieuse et concentrée, comme d’habitude, rejeter la couette, t’offrant dans ce magnifique manteau de guanaco que nous avons acheté pour satisfaire mes besoins fourrés que tu aimes partager. Je viens vers toi, et un doux baiser, langues se cherchant, se trouvant, bouches explorant, se perdant, devient un long baiser, les mains cherchant à redécouvrir ce qu’ils connaissent depuis déjà tant d’années.
Tout à mon frottis sur le corps aimé, ma main descendant cherchant à caresser rencontre un objet inaccoutumé : dotée d’un superbe pénis, sous ta fourrure, tu m’attendais.
Surpris, je te regarde, et ton sourire posé est déjà une promesse. Je descends, ma langue s’attardant sur tes tétons, le droit réagissant plus fort, j’insiste, tu gémis, ta main enserrant mon pénis, le faisant doucement mais sûrement s’épanouir. Remplaçant ma bouche par mes doigts qui continuent d’agacer ce téton qui n’en finit pas de se dresser et de durcir, ma bouche descend le long du ventre à la rencontre de ce merveilleux sceptre. Nous nous tournons naturellement dans une position de léchage mutuel et tandis que je découvre cette nouveauté dans ma bouche, mon sexe explore ta bouche à la recherche de ta langue qui court le long des endroits les plus sensibles, du méat au frein, puis qui enveloppe le gland et recommence sa course furtive. Tout en enduisant de salive ce faux pénis, j’explore ton sexe et tes reins de mes doigts, tu frémis sous les caresses, ta bouche se fait plus saccadée, moins à son ouvrage, le plaisir te gagne.
Je me dégage et doucement te retourne pour redécouvrir cette croupe tant de fois aimée, je la caresse, te prenant sous le ventre, je relève cette croupe, je n’en finis pas d’admirer cette chute de reins si bien faite se perdant entre ces deux globes majestueux. Les écartant, je m’insinue et me glisse délicieusement dans ta fente humide. Commence alors un doux va et vient que nous savons devoir inexorablement arriver à un cri dans l’oreiller mordu à pleine bouche… Que tu es belle ainsi frémissante dans ta fourrure, la croupe élevée perlant de plaisir, avec ce godemichet, se balançant sous toi. Je continue à caresser ce que tu m’offres et j’insiste remontant l’humidité de ton puits vers cet œillet sombre que je caresse en rond de plus en plus rapidement attendant ce relâchement, cette ouverture qui ne sait tarder. A nouveau je présente mon dard, cette fois-ci devant ton anus et doucement je le viole, la résistance est furtive et ne bougeant plus, planté au fond de toi, j’attends que tu te mettes à onduler, à réclamer que je te sodomise, oh, que cela est dur de ne pas jouir tout de suite, entre ce spectacle et les pensées de ce que tu vas me faire subir ….
Jouis, mon amour, je t’en prie : JOUIS…….
Couché sur toi, je devrais dire vautré, nous reprenons souffle et esprit. Tu redescends doucement, je débande, abandonnant ta petite rondelle qui se referme. Tu ressens le surcroit de chaleur sous la fourrure et ma présence. Nous roulons sur le dos et contemplons le ciel de lit. Un temps infini s’écoule, j’ai la tête en feu qui ne demande qu’à déverser sa lave dans un sexe redevenu bien posé. Mais je ne voudrais en aucun cas précipiter des suites que je ne fais qu’entrevoir…. Tu te lèves, retire le manteau que tu étends à ta place sur le lit fourrure au-dessus, tu m’abandonnes pour quelques ablutions, les bruits d’eau t’accompagnent et me mettent la tête à l’envers, je t’attends, je t’attends, mais n’est ce pas le meilleur moment ?
Tu reviens et sans un mot m’enfourche pour poser ta chatte sur mon visage et commencer à la frotter sur une langue qui a dardé de suite, tu accompagnes de délicieux pincements sur mes tétons qui s’érigent, je sens mon pénis durcir sous ces caresses. Quand tu juges que le mâle est fait (excuse-moi, je n’ai pas pu m’en empêcher), tu me laisses, retournes les manches du manteau à l’envers et me mettant à plat ventre dessus, tu me les fais enfiler, refermant les pans sur mon dos, tu le fermes, je suis en contact avec la fourrure sur tout le corps. Tu me places un loup opaque sur les yeux et me repliant les bras dans le dos, tu les attaches fermement. Je gémis, de plaisir ; tu décides de me bâillonner, utilisant une de tes mules garnie de fourrure avec un collant, la bouche prise, je commence à saliver. L’odeur de ce chausson m’enivre. Je gigote dans mes liens … ne pas penser, surtout ne pas penser, profiter du moment, de chaque seconde, profiter de tous ses sens.
Les secondes passent : ne rien voir, écouter, sentir, ressentir, c’est merveilleux, es-tu partie ? Non, je l’aurais entendu. Que fais-tu ? Tu admires ton ouvrage ? Tu fais durer le plaisir…
Je sens que tu dégages la fourrure de mes fesses qui ne cessent de s’agiter, entretenant une érection qui en devient douloureuse ; deux claques les font sursauter, suivies d’une fessée en règle donnée, je présume, avec ton autre chausson. Mes gémissements changent de tonalité, je me surprends à penser « Surtout n’arrête pas … ! » . Tu alternes fessées et caresses, je ne sais plus quoi attendre et tout est délicieusement bon. Le plaisir est passé ailleurs, mon sexe si érigé quelques instants auparavant, est redevenu une petite chose molle. Quand tu l’as bien constaté, tu me soulèves pour glisser cette petite couleuvre dans ta mule. Je reprends un souffle devenu court. Tu me caresses doucement les fesses douloureuses, descendant sur mes testicules qui ne demandent que ça, et petit à petit, je sens que tu t’approches de mon orifice anal et refaisant les gestes que j’ai eus pour toi, tu l’obliges à se dévoiler, à s’offrir.
Tu te mets en place entre mes cuisses largement écartées. Je sens que le moment tant attendu, et peut être redouté, est arrivé. Doucement je sens ton godemichet me caresser la raie, descendant, remontant, cherchant calmement une ouverture. Il s’arrête, il s’appuie, il pénètre, il s’enfonce, je le sens, il m’emplit, je pousse les reins, je le veux tout au fond, bien ancré. Oh, cet instant de plénitude, je suis possédé, et c’est la femme que j’aime qui m’offre ce moment inoubliable. Et tu te mets à remuer, je te sens, je te sens, une main se glisse et me caresse la verge à travers la mule, est-ce nécessaire pour que je jouisse ? Je ne sais pas, mais ne t’arrête surtout pas. De toutes façons, je ne peux rien dire, rien voir, rien que ressentir, et je te sens mon amour…. JE TE SENS……
Et si la prochaine fois, tu en mettais un plus gros…. Je sais, je deviens gourmand… mais il y a une limite à tout, sauf à l’amour que je te porte.