Le trio des vacances : au club par Venite

Le trio des vacances
Au club
par Venite


Nous avions fait connaissance lors d’une semaine dans un petit hôtel club du sud de la Grèce. Ils formaient un couple étonnant puisqu’ils étaient trois… Erwann, Philipp et Sabrina. Ma femme les appelait Jules et Jim. Elle refusait de l’avouer mais elle semblait fascinée par le trio.

Il nous était arrivé de diner à la même table, nous nous croisions au bar ou papotions sur la plage. C’est ainsi que nous nous retrouvâmes ce soir-là dans notre bungalow, légèrement grisés par l’alcool et les vacances qui finissaient.

Enfoncé dans un canapé, Sabrina à mes côtés j’observais Marion, ma femme flirter avec les garçons, Erwann et Philipp la faisant danser à tour de rôle et elle minaudant comme une adolescente en se frottant à eux.

Sabrina mis la main sur ma cuisse en se penchant vers moi :

– « On dirait que ça t’excite de voir mes chéris draguer ta femme, non ? «

Et sans attendre ma réponse elle remonta vers mon sexe constater qu’il faisait une jolie bosse dans mon bermuda.

– « Ou bien est ce de la voir, elle, dans cet état ? »

C’est vrai que Marion paraissait psychologiquement très ouverte, très moderne…

Sa main était restée posée sur mon sexe et le pressait doucement. Le moment semblait magique, je décidai de me tenir à carreau

Erwann dansait enlacé avec Marion et sa main s’était glisser sous la minijupe qui lui entourait la taille. Marion m’avait complètement oublié et le laissait fourrager entre ses fesses ; le souffle soudain plus court. Philipp, placé dans son dos, l’enlaça à son tour et enserra de ses mains ses seins. Ma femme, s’abandonnait complètement à cette double étreinte, les yeux fermés, les lèvres entrouvertes…

Erwann se mit alors à l’embrasser, les fesses de Marion bien calées entre les mains. Philipp en profita pour faire descendre la culotte de Marion à mi cuisses et lui glissa deux doigts vers sa chatte.

J’étais au comble de l’excitation. Sabrina entrepris alors de retirer mon tee-shirt puis mon bermuda, elle saisit alors ma queue bien dure puis commença à doucement la branler.

– « Ne t’inquiètes pas, ils vont parfaitement s’occuper d’elle ».

Ce dont je ne doutais pas au vu du présent spectacle. Elle retira à son tour ses vêtements : j’avais une envie folle de plonger ma langue dans sa fente soigneusement épilée mais elle m’arrêta :

– « Ce soir on s’occupe de Marion, garde tes forces pour elle »

Les garçons en avaient profité pour se mettre torse nu, Marion entre eux désormais plus vêtue que de sa seule jupe, les embrassant à tour de rôle, se laissant honteusement fouiller l’entre jambes.

Je vis Erwann lui susurrer quelque chose à l’oreille. C’eut pour effet de faire s’agenouiller ma femme devant Philipp et entreprendre de lui retirer son pantalon, libérant une grosse queue bien raide et bien humide qui battait devant son visage. Erwann lui présenta la queue de son ami, et aussitôt elle se mit à la lécher, des couilles jusqu’au gland : j’étais fasciné par le spectacle (d’autant plus qu’elle ne m’avait pas vraiment habitué à ce genre de pratique…). Cela ne dura pas car ce fut au tour de Philipp de laisser la place à Erwann. Marion fit comme précédemment mais libéra cette fois ci une jolie et fine queue que sans doute enhardie elle goba sur la moitié de sa longueur. Elle marqua alors un temps d’arrêt avant d’entreprendre des va-et-vient buccaux sur l’engin. C’est Philipp qui l’interrompit pour demander un traitement identique… ce qu’elle eut un peu plus de mal à faire vu la taille du gourdin.

Erwann en profita pour s’agenouiller derrière elle : le spectacle devint alors magnifique, ma femme à genoux suçant cette énorme queue alors que son deuxième amant l’enfilait par derrière.

Sabrina demanda :

– « Il te plait mon scénario ? »
– « Oh oui », murmurais je. »

Nettement préférable à la soirée karaoké du club, je songeais

C’est alors qu’elle plongea vers ma queue et l’engloutit entre des lèvres avides et brulantes en me malaxant les couilles. Cela cessa aussi rapidement que ça avait commencé, elle remonta vers mes lèvres et après m’avoir embrassé me dit :

– « Continuons à jouir du spectacle ».

Au cinéma aussi l’eskimo, avait été remplacé par le popcorn…

Et il était somptueux : ses deux amants la prenaient à tour de rôle puis lui présentaient leurs queues, la petite, la grosse, la petite, la grosse, toutes deux dégoulinantes de mouille, à sucer, ce qu’elle faisait avidement, l’autre queue fouillant le fond de sa chatte. Une chose me gênait cependant : elle avait toujours refusé de sucer ma bite après que je l’ai eu prise mais ce soir-là… ses tabous tombaient, aurait dit un psy. Et ils étaient nombreux : j’aime pas sucer, j’aime pas avaler et je refuse de me faire enculer.

Les garçons étaient formidables : Philipp, debout derrière elle, avait accroché ma femme sur sa grosse queue et donnait sa fente à lécher à Erwann. Oui vraiment c’était de formidables amis. Et moi un mari plus que raisonnablement moderne…

Puis ils s’étaient mis côte à côte pour qu’elle suce leurs queues alternativement. C’était vraiment la fête de la sucette…

– « Continuez les garçons cette petite et une championne de la pipe ! » lança Sabrina

La phrase eut pour effet de détourner les yeux de Marion vers moi, moi allongé sur le canapé de cuir blanc, la queue gonflée et les couilles dans une des mains de Sabrina…

Elle lâcha la queue qui lui emplissait la bouche et nous regarda comme étonnée d’être là…

Sabrina sentit le flottement et engloutit mon sexe défiant Marion du regard. Ma femme plongea aussi ses yeux dans les miens, tétant une approbation qu’elle semblait cependant exiger, Je ne baissai pas les yeux, elle y interpréta un signe de la modernité de notre couple Du coup fermant les siens elle reprit son tétage de queue avec frénésie. Erwann, profitant du flottement s’était enfoncé jusqu’à la garde dans sa chatte, et lui murmurait à l’oreille je ne sais quoi.

Marion semblait hésiter, puis se releva, Erwann toujours en elle qui lui pelotait les seins pendant que Philipp s’était allongé sur notre lit. Elle se dégagea, grimpa sur le lit et vint s’empaler sur Philipp. Elle resta un moment sans bouger puis commença à monter et descendre sur l’énorme poutre. Erwann s’approcha du couple vint coller sa queue entre les fesses de ma femme et se mit à lentement et tendrement la branler. Marion gémissait de plus en plus, les caresses d’Erwann sur son clito commençaient leur effet. Il lui glissa à nouveau quelque chose à l’oreille qu’elle sembla approuver… mais il y avait déjà beaucoup de « oui , oh oui » dans ses cris…

Je compris l’objet de leur marchandage en voyant Erwann diriger sa queue entre les fesses de ma femme visant sa rondelle. J’étais fasciné et compris pourquoi Sabrina m’avait parlé de « son petit scenario ».

Philipp écartait à pleines mains les fesses de Marion pendant qu’Erwann crachait sur le bout de ses doigts : il lui enduisit le cul de salive pendant que la main droite de Marion avait remplacé celle d’Erwann dans un branle frénétique. Il pointa alors son gland sur le trou du cul de ma femme mais resta immobile et ce fut elle qui se mit à pousser avec son cul pour se faire doublement prendre… j’étais abasourdi et me sentis même avoir été un piètre amant pour ne pas avoir eu l’honneur de lui dépuceler le cul. Je n’en bandais cependant pas moins fort. Je vis la fine queue d’Erwann s’enfoncer complètement entre les fesses de Marion (ou était-ce ses fesses qui aspiraient sa bite ?…)

Sabrina à mes côtés avait commencé à gentiment se branler et j’entendais nettement son souffle qui s’était raccourci. Soudain elle cessa, tendant ses doigts pleins de mouille vers ma bite. Mais ce n’était pas à elle qu’elle s’intéressait : elle plongea la main entre mes cuisses, posa son pouce sur mon anus et me pénétra. Ce fut plutôt surprenant ! Passé un moment elle commença des allers et retours sur le même rythme que celui adopté par Erwann dans le cul de ma femme me léchant alors à l’oreille :

– « C’est pour que tu comprennes totalement ce que Philipp lui fait éprouver… ». Je me laissais faire : et oui, c’était bon…

De son côté Erwann avait commencé à lui limer le cul, ses couilles battant sur le cul de ma chère Marion, qui continuait à se toucher en gémissant de plaisir. C’est alors que se déclencha la jouissance de Philipp. J’imaginais sans peine sa chatte se faire remplir de foutre. Ça devait en balancer un paquet une queue de cette taille, non ?…

Erwann ressortit du cul de Marion afin que son ami puisse se dégager. J’eu le temps, alors qu’elle se désempalait de Philipp, de voir sa chatte dégouliner de jus. Erwann fit alors mettre Marion à genoux, le cul en l’air, entre les jambes de Philipp. Ce dernier attira le visage de ma femme vers sa queue luisante de foutre qu’elle se remit tout naturellement à sucer alors qu’Erwann recommençait à lui défoncer le cul.

– « Tu l’aimes alors mon petit scénario ? »demanda Sabrina tout en continuant à me limer avec son pouce.
-«Ben oui… forcément »…« Puis j’espère que désormais elle me laissera l’enculer… »

Les doigts de Marion s’agitaient sur son bouton et, soudain, elle se mit à jouir, délaissant la bite de Philippe, et brailla son plaisir, le visage barbouillé de sperme, pendant plus de deux minutes, Philippe lâchant alors ses giclées au fond de ses reins.
Whaoufff !!!

Sabrina sortit son doigt de mon anus en même temps qu’Erwann de celui de Marion, je constatais alors que du sperme coulait de ma bite et ce, sans que je n’ai joui.

Le spectacle avait été magnifique mais moi, j’avais la queue douloureuse à force de bander : je me penchais vers Sabrina bien décidé cette fois ci à explorer sa fente avec ma langue. Puis plus si affinité…

– « Non, lâcha-t-elle. Je sais que Marion est jalouse, il faut lui demander avant »

Ah bien celle-ci elle était excellente. Ma chérie venait de sucer deux bites, avaler le foutre d’un autre, s’était fait baiser, enculer sous mes yeux et elle serait jalouse !?

– « Il suffit de lui demander » continua Sabrina. « Marion, ma chérie j’ai une chose à te demander » enchaina t’elle en se tournant vers ma chérie.
– « Quoi ? » interrogea ma femme un peu hagarde, relevant son visage barbouillé de semence
– « Que préfères-tu : laisser Thomas me faire l’amour sous tes yeux ou, toi qui sembles tant apprécier, le laisser t’enculer ? »

J’aimais tout de suite le cadeau que me faisais Sabrina. D’un autre côté j’aurais aussi aimé pouvoir avoir les deux… parce que les deux possibilités m’enthousiasmaient à l’avance.

Ma femme se releva alors et s’approcha de moi :

– « Prends-moi comme tu le souhaites mon chéri », me dit-elle en se mettant à 4 pattes et offrant son cul à nos quatre regards.

Il était tout tartiné de sperme et sa petite rondelle toute rosie. Je fus assez brusque el lui glissait ma queue au fond de sa chatte restant collé à elle, jouissant de cette chatte chaude et trempée. Sabrina lui glissa alors deux mots à l’oreille incitant Marion à se dégager de l’étreinte : ma femme se retourna et pris ma queue, toute enduite du foutre de Philippe « gros-engin » entre ses lèvres puis, brusquement elle m’embrassa à pleine bouche.

– « A toi de jouir, mon amour », glissa-t-elle avant de se retourner pour à nouveau me présenter son cul. Je trouvais le goût du sperme un peu écœurant mais j’étais fasciné par sa rondelle de laquelle perlaient des gouttes de foutre, j’y pointai mon gland et la pénétrai doucement, glissant en elle jusqu’à sentir mes couilles contre ses fesses. Ah ce cul brulant qu’elle m’offrait sous le regard attentif des trois autres. Marion avait fermé les yeux, un peu honteuse, je crois, de la situation.

– « Branle-toi ! » lui intima Sabrina.

Marion glissa sa main entre ses cuisses et se mit à s’astiquer le minou. Je n’osais bouger mais je sentis à sa façon de me donner des coups de fesses qu’elle souhaitait que je commence des va-et-vient dans son cul. J’obéis à son désir mais je fus bien rapide à lâcher de longues giclées de foutre au fond de ses reins. Je restai ainsi, vidée, pendant que Marion se finissait seule en gémissant, toute pudeur envolée sous nos yeux fascinés. Je constatais au passage que Erwann et Philippe avait chacun glissé une main entre les cuisses de Sabrina, haletante et tétanisée par le spectacle auquel se livrait Marion.

Je me dégageais alors, restant fasciné par tous nos spermes mélangés qui sourdaient de l’entrecuisse de ma femme, restée à quatre pattes sur le sol, ouverte et impudique. Peut-être aussi un peu honteuse, maintenant que son désir était satisfait.

– « Eh bien ma chérie, tu vas aller nous chercher une bouteille de champagne dans le frigo et nous servir tous les cinq. Je crois que tu nous dois bien cela » ordonna Sabrina. »

Marion eu comme un charmant petit sourire de remerciement.

– « Mais avant, continua Sabrina, cela remets ta culotte sinon tu vas en semer partout ».

Nouveau petit sourire de ma femme, complicité féminine cette fois ci, avant d’enfiler son mini short et filer vers le mini bar

Elle revint mutine, la bouteille à la main et nous servit une coupe à chacun, recueillant de chacun une caresse remontant de ses cuisses vers son entre jambes. Des trainées de foutre laissaient de longues traces claires qui descendaient de sa chatte vers ses pieds. Elle semblait des plus à l’aise. Quelle trainée, j’avais épousée…

– « A quoi boit on ?, demanda Sabrina »
– « A mon cul ! » lança Marion.

Quelle salope, quand même…

« A son cul ! » répondirent quatre voix

Nos chers amis nous laissèrent rapidement, après que Marion leur ai, à tous donné, un long baiser. Dès qu’ils eurent passé la porte j’attirai ma femme vers moi :

– « J’ai envie de toi » lâchais-je en glissant ma main entre ses cuisses, main qui rencontra une culotte trempée de mouille et de foutre.
– « Moi aussi » avoua t’elle, rajoutant « je t’aime »

Je la jetai alors sur le lit, arrachant sa culotte poisseuse puis lui donnant un long baiser.

– « Avant de me prendre, je voudrais que tu me lèches, implora t’elle… personne ne l’a fait ce soir «

Son sexe, plein de nos jus, sentait fort mais ma langue et moi nous occupâmes bien de sa fente et de son clito ; quand je la sentis prête, je la pris tendrement, tranquillement, « à la papa » pour une nouvelle jouissance partagée

« Qu’est-ce qu’on va leur dire demain ?… » S’inquiéta Marion
« Demain ? » « Demain matin ?… ou demain soir ?… »

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Une réponse à Le trio des vacances : au club par Venite

  1. Voisin dit :

    C’est très bien écrit surtout au début parce que vers la fin ça devient un peu confus. Et puis c’est purement factuel, qui sont tous ses personages, jamais on ne le saura !

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