Histoire vraie de l’été 98 par Pierre_B

Histoire vraie de l’été 98
par Pierre B

Ma femme, Claudia et moi, nous avons été invités à une soirée d’anniversaire de mariage de nos voisins d’immeuble. Pour l’occasion, Claudia s’était vêtue d’une mini -jupe en cuir noir boutonnée devant qui lui moulait son petit cul bombé, d’une culotte transparente en vinyle et d’un bustier blanc en croûte de cuir boutonnée devant, lui aussi, qui lui moulait ses gros seins et qui laissait apparaître à l’évidence le bout de ses tétons. Tout cela chaussé de talons aiguillons vernis noirs qui lui donnait une allure folle. Je lui fit remarquer qu’elle était très belle mais que sa tenue était assez provocante pour une soirée d’anniversaire de mariage. A cela elle me répondit que l’on connaissait bien nos voisins et qu’elle pouvait se le permettre vue qu’il n’y aurait qu’eux et que le déplacement n’était que d’un étage sans quitter l’immeuble, ce qui était parfaitement exact.

Nous nous rendîmes donc à cette soirée et telle fut pas notre surprise de voir qu’un autre couple était invité. Claudia constatant cela se mit à tirer sur sa jupe trop courte et salua tout le monde assez gênée quand même. L’autre couple était composé d’une femme sans intérêt et d’un superbe blond coiffé en brosse avec des yeux bleus revolver prénommé Stéphane. Je vis tout de suite que Claudia le regardait avec insistance mais ce n’était rien comparé à lui qui la dévorait littéralement des yeux.

Les présentations faites, nous primes l’apéritif puis nous passâmes à table. Bref tout cela ne se fait pas sans boire et lorsque nous eûmes fini de dîner tout le monde était bien débridé sauf la femme du couple surprise qui, elle, tirait une gueule pas possible en voyant que son mari ne s’était adressé qu’à Claudia pendant tout le repas en jetant des coups d’œil furtifs sur sa poitrine et ses cuisses.

Le repas se termina donc, lorsque la folie s’empara de nos hôtes. La maîtresse de maison mit de la musique à fond et nous pria de danser. Nos hôtes, pour nous entraîner, se lancèrent au milieu du séjour ainsi que Claudia rejointe aussitôt bien sûr par le bellâtre blond. Son épouse resta vissée sur sa chaise et moi-même je restait siroter mon verre de cognac en regardant le spectacle qui suit.

Tout le monde, l’alcool aidant, se mit à se trémousser dans une danse endiablée. Claudia ondulait son corps, laissant apparaître ses formes à l’extrême. Stéphane, tout en dansant se rapprochait d’elle et furtivement, lui frôlait les seins moulés dans son bustier qui venait s’écraser sur sa propre poitrine. Il se frottait par intervalle régulier sur son petit cul ne se gênant pas parfois pour lui mettre les mains sur les hanches et parfois plus bas. Ce spectacle m’excitait tellement que cela me donna une idée.

La soirée terminée nous nous dîmes au revoir, Stéphane embrassant Claudia sur le coin de la bouche. Le salop, il ne doute de rien.

Avec Claudia nous parlâmes de la soirée évoquant le couple surprise puis nous fîmes l’amour parce que quand même, cette salope, elle m’avait bien excitée. Puis je lui parla d’un scénario que j’avais élaboré pendant la soirée, qu’elle accepta et dont je vais vous faire le récit maintenant :

Le surlendemain, je vois arriver la voiture de Stéphane en plein après-midi sur le parking de l’immeuble. Il venait rendre sans doute visite à nos hôtes de l’autre soir et il était seul. J’ouvris la fenêtre et lui priait d’avancer à l’appartement tout de suite pour lui offrir un verre. Il accepta, évidemment, sachant qu’il pourrait profiter de l’occasion pour revoir Claudia.

Je le fait entrer, puis nous avançons prendre un verre au salon pendant que Claudia finit de se préparer. Les banalités d’usage suivent puis j’attaque mon plan et lui dis :

–  » Tu sais, avec Claudia nous sommes un couple libre « ,
–  » Ah bon  » me répondit-il sans insister.
–  » Non mais quand je dis libre, c’est très très libre  » lui dis-je.
–  » Oui mais qu’est-ce que tu entends par très très libre  » me répondit-il avec méfiance,
–  » Eh bien, tu vois par exemple, l’autre soir, je peux te dire que tu as fait beaucoup d’effets à Claudia par exemple, et que je ne serais pas contre une expérience entre vous deux « .

Alors là il marque un temps d’arrêt et me réponds  » Effectivement, je peux t’avouer que je la trouve à mon goût, mais je ne comprends pas ou tu veux en venir « .

 » Eh bien tu vas comprendre « , lui répondis-je. Puis j’appelle Claudia :  » Tu peux avancer Chérie  » lui criai-je.

Nous entendîmes alors tous les deux des pas martelant le sol avec un bruit évident de talons aiguilles, puis Claudia fis son apparition.

Elle était vêtue d’une robe de vinyle noire boutonnée devant par des pressions qui lui moulait ses gros seins et laissait apparaître le dessin de ses tétons ainsi que la marque de son porte-jarretelles en vinyle noir qui soutenait des bas de nylons noirs habillant ses longs jambes chaussées de talons aiguilles vernis noires. Elle était superbe.

Elle salua Stéphane en l’embrassant sur la bouche puis s’assit à côté de lui sur le canapé de cuir blanc. Moi je me postais en face d’eux sur le fauteuil profitant du spectacle et je lui dis :  » alors tu comprends ou je veux en venir maintenant ? « .

 » Oui, je crois que j’ai compris  » me répondit-il avec un air pervers et en souriant. Puis il se jette sur Claudia en l’embrassant d’abord. Il lui lèche la langue longuement, en n’en profitant pour lui passer une main au milieu des cuisses remontant jusqu’à sa chatte déjà toute mouillée. Il introduit ses deux doigts dedans en caressant son clitoris du haut en bas. Claudia a les cuisses bien écartées maintenant. Stéphane descend sa langue au niveau de sa poitrine. Il déboutonne énergiquement sa robe de haut en bas ne laissant que deux boutons pressions fermés au niveau de ses hanches. Ses seins sont serrés dans un soutien-gorge en vinyle noir qui laissent apparaître ses gros tétons gonflés par le désir. Stéphane les prend dans sa bouche goulûment. Sa braguette n’y tient plus. Avec sa main gauche il se voit obligé de sortir son sexe de son jeans trop serré. Là Claudia, saisit son pénis et l’introduit dans sa bouche. Elle lui fait des va et vient goulus faisant disparaître par moment ses glands pourtant bien pleins. Puis avant que la moutarde monte trop haut, il l’arrête, la saisit par les cheveux, l’embrasse sauvagement et introduit son sexe dans sa chatte mouillée. Il la lime à fond, lui suçant le bout de ses gros seins. Ses mains font crisser le vinyle sur leurs passages. Elle s’extase de plaisir et gémit la tête dans le vide au bout du canapé en serrant très fort ses cuisses et en croisant ses talons aiguilles. Tous deux sont au bord de la jouissance. Ils se fondent littéralement l’un dans l’autre jusqu’à la délivrance de la semence de Stéphane qui vient se répandre dans la chatte de Claudia avec un râle de douleur qui en dit long sur leur plaisir mutuel. Ils sont tous deux au bord de l’évanouissement.

Puis une fois le calme revenu, Stéphane l’embrasse une dernière fois goulûment, en se retirant, le sexe pendant, ses couilles vidées. Il se rhabille et se casse. Elle me sourit, les jambes encore écartées, la chatte enduite de sperme dégoulinant à l’intérieur de ses cuisses. Nous avons tous pris notre pied.

illustration fournie par l’auteur

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Une réponse à Histoire vraie de l’été 98 par Pierre_B

  1. Le fur dit :

    C’est tout ?

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