Enquête sur une orgie meurtrière 10 – Gardienne incorruptible par Sade_1

Enquête sur une orgie meurtrière
10 – Gardienne incorruptible
par Sade_1

Le lendemain, les deux inspectrices s’étaient donné pour but de corrompre la gardienne au premier étage. Elles n’avaient pas peur d’être prises là où on leur avait interdit l’accès, leur chef leur ayant proposé de travailler en tant que prostituées, elles avaient une bonne excuse. En effet, elles auraient très bien pu avoir envie d’aller voir les conditions de travail des femmes avant d’accepter ce qu’elles avaient pris pour une proposition implicite. Anaïs mit un débardeur blanc très court ne couvrant que ses cotes et sa poitrine et un pantalon blanc. Morgane se mit plus vêtue mais habillée de manière bien plus moulante, ainsi sa poitrine ressortait bien mieux. Elles montèrent ainsi au premier. Autour d’elles, les prostituées les chauffaient, se collant à elles, leur passant la main sur les fesses et les seins. Morgane tenait sa compagne par les hanches. Elles jouaient le rôle de deux amantes libertines, un peu ivres. Anaïs s’arrêta devant une belle femme, pas encore mature mais dont les effets de l’âge commençaient à altérer les traits. Elle poussa un rire fluet et repartit en titubant. Morgane se laissant traîner derrière elle. Les deux femmes atteignirent enfin la belle gardienne asiatique.

– C’est celle là que je veux, fit Anaïs, d’une voix qu’elle voulait bafouillante.

Elle embrassa sa compagne telle une gamine faisant un bisou à sa mère afin d’avoir la glace tant espérée.

– Combien tu veux pour faire jouir ma copine? demanda Morgane.
– Je ne suis pas une prostituée, fit la belle eurasienne. Je garde juste ce passage.
– Pourquoi ? fit Anaïs. On peut pas monter ?
– Non, c’est réservé à des clients qui ont des invitations. Vous n’en avez pas, je suppose ?
– Non, désolé. Mais vous pourriez peut être nous en procurez une, fit Morgane avec un regard sensuel.
– Je peux pas faire ça, fit la gardienne. Je vais pas risquer mon job pour vos jolis yeux.
– Même si on paye ?

L’asiatique montra la négation de sa réponse par un signe de tête. Anaïs se pencha sur la table, exhibant sa poitrine.

– Et si on baise ?

La gardienne fut surprise par la question, mais trouva vite de quoi satisfaire ses besoins et ses plaisirs.

– Je sais pas, ça dépend. Il faudrait que je puisse voir ce que vous valez et si c’est bien, à chaque fois que vous voudrez monter, vous passerez sous mon bureau.
– Alors, allons-y, fit Morgane, passant sa langue sur ses lèvres.

La gardienne leur fit signe de la suivre. Elles entrèrent ensemble dans une petite loge. Morgane s’agenouilla sous la belle asiatique, lui ôtant son jean serré et sa petite culotte rose. Pendant ce temps, Anaïs derrière passait ses mains sur les seins un peu tombant de la gardienne, les pétrissant, jouant de ses tétons avec ses doigts fins, lui soufflant des mots doux, lui baisant la nuque. La langue de Morgane vint jouer dans les chairs de la gardienne, tortillant pour s’enfoncer vers ses entrailles, puis elle se retira, laissant ses doigts travailler pour elle, ses lèvres ne faisant qu’embrasser la surface de ce sexe serré. Kate soufflait de plus en plus fort, grognant des injures, la jouissance montant dans son corps comme une vague d’eau glacée, qui pétrissait ses muscles. Anaïs s’agenouilla, sa langue parcourant tout le dos de la belle eurasienne, s’arrêtant sur ses fesses. Entre les jambes de leur conquête, les deux femmes brûlantes d’envie s’embrassèrent. Kate s’accroupit légèrement, demandant à Anaïs de sucer Morgane entre ses jambes, tandis que cette dernière la doigtait et qu’elle même goûtait à l’exquise poitrine de la brune. Elle joua de ces seins quelques temps, avant de les prendre en bouche. Elle les goûta, suça, baisa jusqu’à ce qu’il soit bien durs, fermes et gonflés. Elle aspira un des tétons, de plus en plus vite. Morgane, surexcitée, la doigtait de façon douce mais ferme. La belle gardienne fit apparaître une goutte de lait. Le plaisir que lui apportait la langue d’Anaïs et que Kate lui procurait au niveau des seins faisait s’activer Morgane dans le méat de la gardienne. Celle-ci poussa un hurlement de jouissance quand les derniers mouvements de l’enquêtrice la firent partir au septième ciel. Au même moment, elle avala cette petite goutte sucrée qu’elle avait fait apparaître. Elle s’assit alors pour reprendre des forces, admirer ces deux femmes qui s’étaient données à elle et qui l’avaient fait jouir comme rarement.

– Alors, fit Anaïs, s’essuyant la bouche. On peut monter ?

La gardienne les admira encore un peu, elle ne pourrait se compromettre pour ces deux filles.

– J’ai pas joui comme je l’aurai espéré, venant de la part de deux jolies filles comme vous, je suis déçue. Dommage.

Les deux enquêtrices se regardèrent médusées. Elles s’étaient pourtant données à fond.

– Maintenant, dégagez, conclut Kate.

Les deux femmes obéirent, étonnées par cette réaction.

– Quelle connasse ! fit Anaïs. Elle voulait nous baiser comme deux putes et elle a bien réussi.

Morgane suivit sa compagne, silencieusement la laissant jurer.

– Il nous faut un autre moyen pour monter.
– Comment ? Il n’y a qu’elle qui puisse nous fournir le passe.
– Elle, ou une femme qui a déjà accès à l’étage.
– Il faut en trouver une qui nous fournira des doubles.

Les deux femmes retournèrent dans leur loge. Morgane prit sa douche aussitôt. En sortant, elle cherchait des vêtements propres quand la porte s’ouvrit. Lisa entra dans la pièce, tombant sur la brune nue, elle se sentit gênée et s’excusa en reculant vers la porte.

– Tu viens voir Anaïs ? fit la brune, l’arrêtant d’un geste.

Lisa acquiesça, triturant ses longs cheveux châtains pour marquer sa gêne.

– Elle est dans la salle de bain. Vas y, c’est ouvert.

La masseuse s’exécuta, baissant les yeux en passant. Morgane resta un peu perplexe devant cette entrée. Naturellement curieuse, elle avait une folle envie d’écouter à la porte mais le respect de sa compagne lui préconisait de ne pax le faire. Elle finit par s’habiller, sachant qu’Anaïs lui raconterait l’essentiel. Celle-ci finit par ressortir, ses lèvres collées à celle de la jolie latine.

– Alors ? fit Morgane, une fois que Lisa les eut quittés.
– Elle voulait s’excuser, elle m’a dit qu’elle avait été si jalouse hier, que je ne devrais pas me remettre avec elle, parce que son comportement était trop idiot.
– Et ? la poussa à continuer la brune.
– On s’est remise ensemble.

Morgane lui sourit, heureuse pour elle.

– Tu pourras peut être lui demander si elle connaît quelqu’un qui pourrait nous faire monter au second.
– Ça promet une bonne partie de jambe en l’air, s’enthousiasma la blonde avec un sourire malicieux.

Les deux enquêtrices déjeunèrent.

– Qu’es tu vas faire cet après midi ? demanda la blonde.
– J’ai peut être une connaissance qui pourrait nous aider à monter.

Après un rapide repas, Anaïs fila à la salle de massage tandis que Morgane cherchait sa connaissance. Elle passa par tous les couloirs, demandant à des personnes s’ils avaient vu une belle femme aux longs cheveux blonds. Elle chercha dans la piscine, parcourut tout le rez-de-chaussée, sans résultat. Dépitée, elle alla prendre un verre au bar. La salle était presque vide, un couple buvait un verre dans une atmosphère romantique. Un homme seul semblait complètement saoul et à l’extrémité du bar était assise une belle blonde aux cheveux raides.

– Angèle ? fit Morgane.

(à suivre)

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