Chanette 28 – Magazines littéraires – 2 – Piège au donjon par Chanette

Chanette 28 – Magazines littéraires – 2 – Piège au donjon

Les premières questions sont d’abord plutôt inoffensives : Pourquoi situer vos romans dans les années 1970 ? Comment vous documentez-vous ? Avant de glisser vers des questions plus sournoises :

– Vous utilisez un vocabulaire limité…
– Ce sont des polars, la lecture ne doit pas être parasité par des termes qui obligerait le lecteur à se servir d’un dictionnaire.
– Vous l’avez apprise par cœur cette réplique ?

Ça y est, Beauregard cherche à déstabiliser l’auteur.

– Question suivante s’il vous plait ? Répond Colombani sans se démonter.

Le déclic qui permettra au plan de se mettre en branle (si j’ose dire) tarde à venir. L’éventualité avait été prévue, ce sera dans ce cas à moi de jouer.

– Vous identifiez-vous à votre personnage principal ?
– Il y a un peu de moi dans le personnage de Bontemps, mais ce n’est pas moi.
– Un personnage bien conventionnel, je trouve.
– Comment ça ?
– Plutôt réac et sexiste.
– Si vous pensez que c’est sexiste de dire d’une femme qu’elle est jolie; libre à vous.
– En plus il est hétéro pur et dur.
– Qu’est-ce que vous en savez s’il est hétéro pur et dur ? Vous n’allez pas me faire croire que vous avez lu entièrement mes cinq bouquins.

Le voici peut-être, le déclic !

– Mais si justement…
– Allons, il faut environ 7 à 8 heures pour lire un de mes bouquins, vous n’allez pas me faire croire que vous avez consacré 35 heures de votre vie à lire ma prose ?
– La lecture rapide, ça existe…
– Oui, hélas ! Alors je vous repose la question : Qu’est-ce que vous en savez si le personnage principal de mes romans est hétéro pur et dur ?
– Disons que ça transparaît…
– Donc je résume, vous avez lu mes bouquins en diagonale et vous vous autorisez à des conclusions hâtives.

Pas con ! Colombani et Baker ont bien répété leur numéro, Beauregard est en train de perdre l’initiative.

– Monsieur Colombani, si nous reprenions le cours de notre interview ?
– Comment voulez-vous que je puisse avoir confiance en ce que vous allez écrire si vous avez déjà des idées préconçues qui vont primer sur mes propres paroles ?
– Ce n’était qu’un malentendu, j’en suis désolé. On peut reprendre ?
– On va reprendre mais avant je voudrais vous dire quelque chose, mais en off, si vous voulez bien arrêtez l’enregistrement.
– D’accord mais vous prenez le risque que ce que vous allez me dire puisse influencer mon article.
– Je prends ce risque.

Beauregard coupe l’enregistrement.

– Je vais vous dire un truc, je ne suis ni hétéro pur et dur, ni bisexuel, pourtant il m’est arrivé de faire des trucs avec d’autres hommes et ça ne m’a pas déplu. Ça vous en bouche un coin, non ?
– C’est le fameux cliché du gars raciste qui a un copain noir…
– Non, c’est autre chose, je sais que vous êtes marié et que vous avez des gosses, monsieur Beauregard. N’avez-vous jamais été tenté par une aventure homosexuelle.
– Ce n’est pas parce que je combat l’homophobie que je suis moi-même tenté…
– Allons, allons, soyez donc franc, ça ne sortira pas d’ici, il est évident que vous avez des tendances.

Beauregard commence à ne plus être très à l’aise.

– Et qu’est-ce qui vous permet d’être aussi affirmatif ?

Il est évident que Beauregard craint maintenant une réponse dans le genre « on vous a vu » avec chantage à la clé, mais ce n’est pas du tout ce qui a été prévu !

– Disons que ça transparait dans vos écrits ! Se moque Colombani .
– Bon on va peut-être en rester là.

Beauregard prend son temps pour ranger son smartphone et se lever de son siège. En fait il n’est pas tranquille et attend qu’on lui dise quelque chose, mais Colombani et moi-même restons muets pour l’instant. Il prend alors, sans nous le dire, la décision de ne pas faire d’article, mais cela lui paraît insuffisant.

– Euh, je m’en vais ! Nous dit-il au cas où nous aurions pas compris.

A moi de jouer !

– Monsieur Beauregard, avant que vous partiez, nous aimerions vous montrer quelque chose. Rassurez-vous, ça ne mord pas !
– Me montrer quelque chose ?

J’ouvre la porte du donjon et invite le type à me suivre.

– C’est par là !

Et s’il accepte de venir, c’est sans aucun doute parce que cette éventualité d’un chantage dont il ne perçoit pas les contours ne cesse de le tourmenter.

– Mais c’est quoi ça ?

Eh oui, Beauregard se demande où il est tombé, il est vrai que pour quelqu’un de non-préparé, le spectacle a vraiment de quoi surprendre. Déjà un donjon n’est pas un endroit banal, imaginez, les murs peints en rouge vif, la croix de Saint-André, le chevalet, les chaines, la collection de cravaches, les godes sur les étagères et tout le fourbi…

Mais s’il n’y avait que ça ! C’est que dans mon donjon, il y a Carole affublée d’une perruque brune, chaussée de lunettes noires et habillée en tenue de domina, un magnifique corset noir en vinyle avec la petite culotte assortie et des bottes de compétition.

Et évidemment elle n’est pas seule en ce lieu, attaché sur la croix de Saint-André, il y a Valentin, complétement nu avec des pinces sur les tétons.

– Vous m’avez donné rendez-vous dans un claque ! S’offusque Beauregard.

L’instant est stratégique, Carole vient agacer les tétons de Valentin afin de la faire bander au maximum. Beauregard ne bouge pas. Je lui mets la main à la braguette. Il effectue un très léger mouvement de recul.

– Approche-toi plus près, tu verras mieux !
– Mais enfin, qu’est-ce que ça signifie ?
– Elle est jolie sa bite, hein ? Tu aimerais bien la sucer ?
– C’est un piège, vous voulez me prendre en photo, c’est ça ?

L’éventualité d’une telle objection avait été prévue.

– Mais pas du tout, passez-vous cette cagoule, personne ne vous reconnaitra.

Alors là, il ne sait plus quoi dire.

– Il y a bien un truc, non ?
– Aucun chantage !

Carole a détaché Valentin et l’a fait avancer, il est maintenant à 50 centimètres de Beauregard.

– Attendez ! Dit-il. Et vous, lâchez-moi la braguette.

Je ne lui lâche rien du tout, il semble réfléchir, puis très vite réclame la cagoule. L’instant d’après il avait la bite de Valentin dans la bouche.

Et il se régale, il s’en pourlèche les babines !

– Si tu veux, il peut t’enculer ! Lui précisais-je.
– Ah bon, c’est possible ?
– Bien sûr que c’est possible.
– Je vais me déshabiller alors !
– Oui, ce sera plus confortable.
– Vous faites ça pour ne pas que je descende Colombani dans mon article, c’est ça ?

Il a oublié d’être con, le gars !

– Je croyais que tu voulais te déshabiller ?

– Il est où, Colombani d’abord ?
– Il patiente à côté, si on lui demande un jour ce qui s’est passé ici, il ne sera même pas capable de décrire le donjon.
– Je ne comprends pas
– Tu voulais vraiment un témoin ? On peut lui demander de nous rejoindre si tu veux.
– Non, non…
– Alors, on fait quoi ?
– Bon, maintenant que je suis là, je ne peux plus reculer.
– Tu reculeras juste pour qu’il t’encule.
– Mais où suis-je tombé ? Fait-il semblant de se désoler tout en retirant son pantalon et son caleçon à petits pois rouges
– M’en parlez pas, mon pauvre monsieur !

Il s’allonge sur le chevalet, les jambes pendantes, le cul offert. Valentin s’encapote, lui tartine l’anus d’un peu de gel intime et y entre sa bite avec une facilité déconcertante avant de pilonner comme il se doit.

Valentin est prié de ne pas jouir, vous saurez pourquoi bientôt, Beauregard se pâme et pousse des cris de chatte en chaleur. Quand Valentin décule, son partenaire est en nage, les yeux hagards, il bande.

– Tu veux que je te suce ? lui propose Valentin.
– Oui, oui !

Il ne m’a même pas demandé de me mettre à poil, et il n’a pas non plus souhaité voir les seins de Carole. Serions devenues moches ?

Un peu la trouille du stress post éjaculatoire, on verra bien, Valentin l’a sucé comme un chef. Beauregard a poussé un gros soupir.

Il regarde autour de lui, attend qu’on lui dise quelque chose mais tout le monde se tait à l’exception de la belle Carole qui lui tend gentiment une petite lingette pour qu’il puisse se nettoyer le zigouigoui.

– C’était donc un traquenard ! A-t-il déclaré.

Personne ne répond, il ne va quand même pas oser cracher dans la soupe ?

– Mais, bon, je suis beau joueur, c’était un délicieux traquenard.

Ouf !

– Mais maintenant que c’est terminé, on peut peut-être jouer franc jeu et me dire ce que vous souhaitiez en échange. Reprend-il en se rhabillant.
– Mais rien du tout, cher monsieur ! Lui répondis-je

– Je vais prendre congé ! Se répète-t-il. Si je pouvais avoir un verre d’eau.

En principe les gens qui demande un verre d’eau espèrent secrètement qu’on va leur proposer autre chose. Bonne fille, je lui propose un jus d’orange.

– Si vous avez envie de rejouer ce genre de scène, il suffit de me téléphoner et je peux vous arranger ça ! Lui dis-je en lui tendant une jolie petite carte.
– Je crois que je me laisserai volontiers tenter !

Et voilà, j’avais gagné des sous et peut-être un client. Le reste ce n’est plus mon affaire.

Sauf que l’enveloppe que m’avait généreusement donné Stan Baker, contenait aussi le paiement d’un bonus pour Patrice Colombani.

Je ne voyais pas bien la raison de ce bonus ? Il avait dû se sentir obligé.

Pas grave, allons-y sauf que je ne suis absolument pas certaine que l’écrivain possède une mentalité de soumis. Il va donc falloir que je fasse de la passe classique, chose que je n’accomplis que de façon très occasionnelle. D’ailleurs dans mon studio je n’ai même pas de plumard, juste un canapé que je ne déplie jamais.

Carole me rejoint dans le salon !

– On fait quoi, tu nous libères ?
– En principe oui, je dois maintenant m’occuper de Patrice, à moins que tu veuilles le faire, la prime sera pour toi ?
– C’est comme il veut.
– Alors Patrice vous en pensez quoi ?
– Vous m’embarrassez… Toutes les deux, ce n’est pas possible ?
– C’est pas trop ce qui avait été prévu, mais on peut s’arranger. Répondis-je
– On partagera ! Me suggère Carole.
– Je peux vous donner un petit rajouti ! Propose l’homme.
– On va faire comme ça !

Et puis une question me taraude.

– Tout à l’heure pendant l’interview, quand vous avez dit à Beauregard qu’il vous était arrivé de faire des trucs avec d’autres hommes, et que ça ne vous avait pas déplu, c’était du bluff ?
– Non j’ai fait ça une fois ou deux.

J’aime bien l’expression « une fois ou deux » ! Le mec ne sait pas compter ?

– Vous ne voulez pas nous raconter ?
– Si, mais ne vous attendez pas à des choses extraordinaires, c’était il y a pas mal d’années, une soirée avec des bobos, avec alcools, fumette et cocaïne. Evidemment ça a tourné en partouze, Il y avait un mec à côté de moi avec une queue magnifique, une nana est arrivée et m’a dit « pourquoi tu ne la suces pas ? » Le mec en a rajouté une couche : »Fais-le ça fera plaisir à Lilli ! ». Alors je l’ai fait, j’avoue que ça ne m’a pas déplu…
– C’était votre première bite ?
– Oui et non, j’avais touché quelques queues au collège, mais c’était pas pareil.
– Et vous n’avez jamais recommencé ?
– Disons que je n’ai jamais eu l’occasion.
– Vous savez qu’il y a une belle d’occasion, juste à côté ?
– Je l’aurais parié, celle-ci !

Ben oui, il n’est pas idiot non plus, l’écrivain !

– On peut demander à Valentin de venir, ça ne vous engage à rien.
– Si ça ne m’engage à rien…

Valentin s’était rhabillé, il est jeans et tee-shirt.

– Valentin on va peut-être faire un petit bonus, si tu pouvais montrer ta bite à monsieur ? Lui propose Carole.
– Avec plaisir, bonjour Monsieur.

Il dégrafe son pantalon qui lui dégringole en bas des jambes. Carole s’empare de sa bite et l’embouche afin de lui donner bonne taille.

– Ma foi c’est tentant ! Admet l’écrivain.
– On se lance ? Demandais-je.
– On fait ça tous les quatre, ou… s’inquiète Patrice.

Nous avons réglé rapidement l’aspect financier des choses et nous sommes mis tous à poil. Patrice Colombani parait tellement excité de nous voir nus que la chose ne devrait pas durer bien longtemps.

Sur un signe de Valentin, Patrice vient lui sucer la bite et s’en trouve apparemment fort ravi.

On ne va pas rester debout et je fais signe à ces messieurs de se déplacer vers le canapé où ils seront bien plus à l’aise. Valentin s’y installe et Patrice vient entre ses jambes. Je m’assois à leur gauche et invite Carole à venir me voir, ce qu’elle fait avec empressement, l’instant d’après, elle me butinait la chatte. Super, il y a avait longtemps qu’on avait pas fait des trucs ensemble, nous deux !

Au bout d’un moment Patrice a envie de varier les plaisirs, il lâche la bite de Valentin et vient nous caresser.

O.K. ! On est là pour lui faire plaisir, Carole s’occupe de sa queue qu’elle gobe goulument tandis que mon doigt inquisiteur s’en va lui explorer le fion.

Il n’en peut plus, le Patrice, on se pelote, on se caresse, et bien évidemment Patrice jette son dévolu sur mes seins qu’il tripote, qu’il embrasse, qu’il lèche comme un beau diable avant de se tourner vers Carole pour lui faire subir les mêmes « outrages ». On le suce, on le doigte, il bande comme un cerf, il demande un préservatif.

Ça sent le final, il va choisir laquelle ? Ce sera Carole, il lui soulève les cuisses et l’enfourche avec vigueur avant de se livrer à une série de va-et-vient. Valentin s’approche de moi :

– Je peux ?

Je ne vais quand même pas lui refuser cette privauté. Il s’encapote à son tour et me laboure, il a joui rapidement, moi j’ai un peu fait semblant.

L’écrivain a pris congé, Carole me souffle à l’oreille qu’elle aurait aimé avoir quelques moments d’intimité avec moi. Ça tombe bien moi aussi.

– Ne m’attends pas, Dit Carole à Valentin, j’ai deux trois bricoles à voir avec Chanette… Des trucs de femmes.

Il n’est pas idiot, il a compris. Nous voilà seules, je me suis passé un kimono que je retire pour me retrouver de nouveau toute nue, Carole en fait de même avec son tee-shirt.

Nous nous embrassons comme de vieilles goudous, seins contre seins, on s’agrippe les fesses, le baiser devient fougueux. On se retrouve on ne sait comment sur le canapé, on se caresse et on s’embrasse un peu partout.

– T’as pas envie de pisser, toi, me dit-elle, l’air de rien.
– Je te vois venir, cochonne !
– Si tu me vois venir, viens !

Nous voilà dans la petite salle de bain, Carole entre dans le carré à douche et s’y assoit.

– Vas-y, ma chérie, arrose-moi bien !

Mademoiselle ouvre la bouche comme la grande gourmande qu’elle est. Je pisse tout ce que je peux, elle avale tout ça avec délectation.

– T’en veux aussi ? Me demande-t-elle.

Pas besoin de répondre, nous invertissons nos positions. Putain ce que je peux aimer ça, le bon pipi !

– On pourrait se nettoyer mutuellement ! Me suggère cette grande coquine.

Si vous croyez que c’est facile de faire un soixante-neuf sans un carré à douche, vous ? On a essayé, mais finalement on est sorti, le tapis de bain s’avérant autrement plus confortable.

J’ai toujours eu faible pour cette pratique qui donne l’impression de se lécher soi-même. Sa chatte à un goût délicieux et sa langue est diabolique, je sens que je vais partir, du coup ma bouche ventouse son clitoris. On a joui quasiment ensemble, on s’est relevé en nage, on s’est embrassé, on est bien… Une vraie douche maintenant peut-être ?

A ce stade de l’histoire, Beauregard ne se posait pas trop de questions, la situation pouvait se résumer simplement. Depuis qu’il était devenu une personnalité médiatique Beauregard avait cessé de fréquenter des lieux de rencontres où il pouvait d’adonner à ses penchants gays. Mais on avait pu le voir « avant ». Certaines rumeurs semblaient aller dans ce sens. Il démentait bien évidement toute allusion à ce sujet, mais bon, si on l’avait vu on l’avait vu… Et Colombani avait utilisé l’information que lui avait donné Baker pour le placer dans une situation embarrassante. Il aurait pu refuser d’entrer dans ce jeu… on ne fait pas toujours ce qu’il faudrait… Baker par crainte de voir l’un de ses romanciers à succès se faire ridiculiser avait fait jouer à Colombani une étrange carte. Ce dernier avait gagné. « Il faut parfois rester beau joueur » se dit Beauregard.

Mais Beauregard devait rendre un article à son journal « Lire Encore », il le fit donc sans publier l’interview, mais en louant les talents de Patrice Colombani, « assurément le nouveau Simenon, dont l’apparente facilité d’écriture révèle en fait une vision du monde d’une complexité et d’une vérité assez rare pour qu’on puisse la souligner. » Et il y en avait deux pages pleines du même acabit.

En fait Beauregard se ment tout de même pas mal à lui-même, il se dit qu’il a dans cette affaire retourné sa veste parce qu’on l’avait piégé et que dans un geste chevaleresque il avait accepté sa défaite, mais en fait il craignait plus ou moins consciemment qu’un chantage dont il ne visionnait pas les contours puisse apparaître s’il agissait autrement.

Colombani et son éditeur, quant à eux, n’avaient plus qu’à attendre les réactions…

Mais les choses se passèrent de façon un peu plus compliquées. C’est le moins que l’on puisse dire !

A suivre

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3 réponses à Chanette 28 – Magazines littéraires – 2 – Piège au donjon par Chanette

  1. Lamboley dit :

    Chanette, je m’imagine être ton soumis, je t’offre mon petit cul de lopette aux marques de ta cravache, je supporterais des pinces sur me tétons de salope et mes couilles de vicelard lubrique. Je lécherais ton cul en espérant y trouver des traces brunes, je boirais ta pisse et si un autre soumis est présent c’est avec grand plaisir que je lui sucerai la bite pendant que tu me goderas le cul en me traitant de pédé.

  2. Sochaux dit :

    Une bonne bite… prête à se faire sucer ! Pourquoi hésiterait-il ?

  3. Baruchel dit :

    L’intrigue prend forme mais on se demande bien où Chanette va encore nous mener ?

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