Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 4 – Julien, homme à tout faire par Chanette

Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 4 – Julien, homme à tout faire par Chanette

Tout en tirant sur sa clope, le marquis se demandant s’il n’avait pas été trop loin dans ses délires, tint à préciser :

– Je t’ai raconté un peu n’importe quoi tout à l’heure, tu vas me prendre pour le roi de pervers…
– Mais pas du tout, si un jour Monsieur me demande des choses que je ne souhaite pas faire, et bien je lui dirais, mais pour l’instant ce n’est pas le cas.
– Ah ! Dans ce cas tout va bien !
– Est-ce que je peux me permettre de poser une question à Monsieur ?
– Pose toujours, tu verras bien si je répondrais.
– J’ai vu que Monsieur avait pris beaucoup de plaisir avec cette bite en plastique, je me demandais si…

Elodie ne put finir sa phrase, devenant rouge comme une tomate

– En fait tu es curieuse comme un pot de chambre et tu voudrais savoir si j’ai déjà fait la même chose avec une vraie bite ?
– C’est-à-dire… je ne voulais pas être indiscrète…
– Mais non, tu as le droit d’être curieuse, je vais te raconter, tu va voir comme je suis cochon…
– Oh, Monsieur !

Adolescent, Honoré avait passé sa scolarité dans une institution pour jeunes gens, à l’occasion de ces premiers émois d’adolescent il avait joué à branli-branlette avec quelques camarades aussi obsédés que lui. Un jour il avait réussi à s’isoler avec un autre garçon et celui-ci lui avait alors proposé de faire une « pine au cul », c’était ses propres termes qui raisonnaient encore aujourd’hui dans sa mémoire. Alors non il n’y avait pas eu de « pine au cul », mais il lui avait sucé la bite, il avait aimé ce contact très doux, mais la chose fut brève, l’autre indiqua, qu’il allait jouir et envoya au sol une belle quantité de foutre avant de se reculotter, honteux. Par la suite le garçon l’évita, Honoré dû reprendre ses jeux de branle avec d’autres, à vrai dire il ne s’en souvenait pas bien d’autant que nous étions en fin d’année scolaire et même en fin de scolarité puisqu’Honoré, redoublant et quasi dernier de la classe fut invité à aller buller ailleurs.

Cet ailleurs fut un précepteur, morgue et ennuyeux, passons puisque la question n’est pas là.

Vint le moment des premiers flirts, ce n’est pas qu’Honoré était moche mais il ne pouvait rivaliser avec les kékés prétentieux et arrogants qui n’avaient qu’à lever le petit doigt pour voir débouler tous les canons du coin.

A défaut d’être un play-boy, il avait des sous, ça aide. Il crut plusieurs fois rencontrer l’âme sœur mais chaque fois ces liaisons peu sincères l’amenèrent dans le mur.

Nous avons parlé plus avant de son mariage d’argent auquel il se résigna, puis déçu aussi bien par son épouse que par sa maîtresse, mais pour des raisons fort différentes, il se tourna vers les amours tarifés et cela lui convenait plutôt bien.

C’est dans ces circonstances, que plusieurs années plus tard, il rencontra Karita, il ignorait qu’elle pratiquait la domination, mais au fil du temps elle lui proposa tout un tas de petites misères qui comblèrent le marquis d’aise : un peu de martinet, un peu de pinces sur les seins, un peu de pipi et surtout un peu de gode dans le cul.

Du coup il devint accro et allait la voir pratiquement toutes les semaines, le jeu variait peu, et entre eux s’était établi une bonne complicité à ce point qu’il leur arrivait d’aller ensemble au restaurant.

Elle lui faisait sucer son gode, l’enculait avec et assortissait ses gestes d’une même réflexion inlassablement répétée :

– T’aimerais bien une vraie bite, dis-le !

Ben non il ne le disait pas, parce que la chose n’était pas si simple, étant ado dans un univers sans fille, les relations avec les garçons n’était qu’un substitut, il estimait avoir dépassé ce stade ! Et puis il y avait autre chose, jamais la vue d’un homme ne l’avait excité, il n’était donc pas bisexuel.

Un jour il voulut s’expliquer :

– Je ne suis pas bi, je ne peux pas faire ça !
– Attends, on ne te demande pas de faire l’amour avec un mec, on te demande juste de jouer avec sa bite.
– Oui évidemment, vu comme ça ! Concéda-t-il sans trop de conviction.
– Tu voudrais que je t’arrange un petit trio avec un autre client ? Ça va te plaire, tu vas voir !
– Quand je serais prêt.

Le temps passa, d’abord il déclara ne pas être prêt et quand il le fut plusieurs impondérables empêchèrent la chose de se faire, le jour où cela aurait été enfin possible, il se fit voler son portefeuille dans la rue. Obligé d’aller au commissariat… il s’excusa auprès de Karita qui sans doute de mauvaise humeur ce jour-là le prit plutôt mal.

– T’as trouvé un prétexte pour te dégonfler !
– Mais non, je t’assure !

Bref ils s’engueulèrent et Honoré décida de la bouder quelque temps, quand il revint la voir, elle était absente, il alla donc voir ailleurs, mais ce n’était pas la même chose et la réalisation de son fantasme s’éloignait.

– Et voilà ! conclu Honoré
– Et maintenant, vous le feriez ?
– Je pense, oui !
– Alors j’ai peut-être une proposition à vous faire, j’ai un ami, pas vraiment un ami, disons une relation, il était jardinier, mais sa boite a déposé le bilan, il vit de petits boulots, il est bisexuel et très gentil, pourquoi ne l’embaucheriez-vous pas, puisque Nicole va prendre sa retraite.
– Je ne veux pas gérer de personnel.
– Mais il n’y aurait rien à gérer, si vous êtes d’accord je lui dirais de s’inscrire comme moi chez « Maison-service », vous le réclamerez et le tour est joué.
– Et il est comment physiquement ?
– 35 ans, assez fin, lunettes…
– Il a une belle bite ?
– Oui, Monsieur le marquis !
– Tu as baisé avec lui !
– Non mais je l’ai sucé !
– T’es un grosse cochonne !
– Oui, Monsieur le marquis !
– Et tu pourras lui expliquer ce que j’attends de lui ?
– Parfaitement, Monsieur le marquis.
– Tarifs standard ?
– Je vous dirais, mais ça ne devrait pas poser de problème

Bref, Honoré fut tenté par l’expérience, il réclama cependant une photo de l’intéressé, voulant savoir à quoi ressemblait ce type qui le sodomiserait peut-être. Le type envoya sa photo sur le téléphone portable d’Elodie. Le marquis fut rassuré, il n’aurait pas supporté un look trop macho.

Le lendemain il se présentait au château. Le marquis avait demandé à Elodie de rester avec eux. :

– Bonjour, je suis Julien, vous voulez voir mon CV ?
– Non, on va faire les choses dans l’ordre, enfin dans l’ordre qui me convient, on va d’abord faire ce qu’Elodie vous a rapporté, je ne sais d’ailleurs pas trop dans quoi je me lance, ensuite nous procéderons à l’examen d’embauche, je vous ai préparé une enveloppe, la voici ! Si vous voulez bien vous déshabiller ?

Julien prit l’enveloppe sans l’ouvrir et se déshabilla.

Honoré jaugea son interlocuteur à présent nu comme un ver, il était ni trop musclé, ni trop chétif et modérément poilu. Quant à sa bite, elle était moyenne, autant que le marquis pouvait en juger, n’en ayant pas vu tant que ça dans sa vie. Moyenne mais plaisante.

– Vous avez déjà travaillé dans le sexe ? Demanda le marquis.
– Oui, je me suis un peu prostitué pendant plusieurs mois.
– Est-il indiscret de vous demander pourquoi vous avez arrêté ?
– Je répondrais à toutes vos questions pendant l’entretien d’embauche, mais nous n’en sommes pas là !

Le marquis est surpris, il n’a pas l’habitude de se faire rembarrer et est à deux doigts d’envoyer le type se rhabiller (c’est le cas de le dire), mais c’est sans doute la vision de cette belle bite qui le nargue qui l’empêche de mettre son projet à exécution.

Honoré s’apprête alors à demander à Julien de s’approcher, mais il en est soudain incapable, comme paralysé..

– On laisse tomber ! Elodie, raccompagne ce monsieur ! Dit-il en quittant la pièce

La soubrette n’en fait rien, laisse passer quelques courtes minutes, demande à Julien de se rhabiller et rejoint son patron dans la bibliothèque. Elle espère redresser la situation mais ne sait pas trop comment..

– Il est parti ?
– Il va le faire, il m’a demandé un café…
– Ah ?
– Elodie, je coince, pouvez-vous faire quelque chose pour moi ?

Mais bien sûr qu’elle peut faire quelque chose et elle le lui suggère :

– J’ai une idée, je vais prendre la direction des opérations, je vous donne des ordres à tous les deux et vous m’obéissez… On fait ça juste le temps de démarrer ensuite je n’interviendrais que si ça bloque !
– Mais c’est parfait ça ! Empêchez-le de partir, on va faire comme ça !

– Bien désolé de ce contretemps, on recommence à zéro ! Commença Honoré.
– C’est moi qui vais vous lancer ! Précise Elodie, déshabillez-vous tous les deux, voilà… Rapprochez-vous l’un de l’autre. Voilà comme ça, et maintenant Monsieur le marquis va s’accroupir devant Julien et lui prendre sa bite dans ses mains

Ça y est le contact est établi, Honoré caresse la queue de l’homme et se met instinctivement à la branloter quelque peu.

– Et maintenant, dans la bouche !
– Slurp !
– Sucez la bien, monsieur le marquis ! C’est bon n’est-ce pas une bonne bite dans la bouche ?
– Foui !

Et c’est qu’il se régalait, Monsieur le marquis, cette situation lui rappelait sa première bite, celle de…. Impossible de se rappeler le prénom du gars. Pourquoi n’avait-il pas fait ça plus tôt, il allait maintenant rattraper le temps perdu, sa bite bandait comme un arc, il résista à l’envie de se la toucher, mais il ne fallait pas qu’il jouisse déjà !

Mais le spectacle fascinait et excitait également Elodie qui failli en oublier son rôle « d’animatrice »…

– Puis-je suggérer à ces messieurs de se rendre sur le canapé, Monsieur le marquis pourrait ainsi se mettre en levrette afin que Julien l’enculasse.
– Non, Elodie, j’admire vos efforts de langage, mais enculasse c’est de l’imparfait !
– Il faut dire comment, alors ?
– Afin que Julien l’encule… si ce dernier est d’accord, bien évidemment.
– Je suis là pour ça, monsieur !
– Eh, bien allons-y.

Elodie, prévenante, lui tend un préservatif qu’il enfile, et enduit le troufignon du marquis de gel intime.

Honoré n’a plus qu’à attendre l’assaut.

– Elodie, mettez-vous devant moi et montrez-moi vos nichons pendant que ce monsieur va tenter de m’enculer.
– Mais avec grand plaisir, monsieur le marquis !

Honoré s’écarte les fesses et ouvre son anus afin de faciliter l’introduction, Ça ne passe pas du premier coup, mais ça finit par passer et ça entre.

Bizarrement, la sensation est un peu différente qu’avec les godes, évidemment une bite, c’est vivant, c’est chaud et ça bouge.

Quelques moments de désarroi puis les premiers frissons de plaisir l’envahissent. Elodie s’en aperçoit !

– C’est bon de se faire enculer, n’est-ce pas, Monsieur le marquis ?.
– Oh ! Oui !
– T’aime ça que je t’encule, hein pédale ! Croit intelligent d’ajouter Julien.

Une réflexion qui provoque le courroux de la soubrette.

– Tu n’as pas à lui parler comme ça ! Pour l’instant c’est ton client tu lui doit le respect !
– Je croyais qu’il aimait ça !
– Tais-toi et continue à lui donner du plaisir, on ne te demande rien d’autre.

Et pendant que Monsieur le marquis frétillait du cul, Julien termina son œuvre en silence se contentant d’un gros soupir à moitié étouffé au moment de sa jouissance.

Honoré dans un état second, s’épongea le front et éprouva le besoin de se toucher sa queue bien raide. Bonne fille, Elodie vint alors le turluter. Elle aimait sucer… surtout quand il y avait un petit pourboire à la clé !

Et c’est ainsi qu’à presque 50 ans, Honoré concrétisa sa bissexualité restée jusqu’ici latente et fantasmée.

Julien expliqua ensuite qu’il était chômeur et que les travaux ménagers et de jardinage ne lui faisaient point peur… bref il voulait se faire embaucher.

Le marquis tint alors à mettre les choses au point, certains propos de l’homme, proférés sur le canapé alors qu’ils s’enfilaient n’étant pas de son goût.

– Si je vous embauche, il faut que les choses soient claires, vous me devez le respect et pendant les périodes de service normal, aucune allusion à nos activités sexuelles ne devra être prononcée.
– Pas de soucis
– Je n’ai pas terminé, pour le sexe vous serez rétribué dans les mêmes conditions qu’Elodie, mais là encore je vous demanderais de me respecter, dans ces moments-là, je ne serais pas votre copain mais votre client. Et comme le client est roi, je préfère que les choses se passent en silence.
– Bien Monsieur, j’ai bien compris le message.

Bref après une période d’essai, il embaucha le Julien.

En fait le marquis n’était que légèrement bisexuel, et faire des choses uniquement avec Julien ne lui venait même pas à l’esprit… Mais entrons plutôt dans son intimité afin de regarder comment ça se passe :

– Elodie, j’ai envie !
– Je suis à la disposition de Monsieur le marquis.
– Montrez-moi vos nichons, Elodie !
– Avec plaisir, monsieur.

Il commence à les connaître par cœur, mais ne s’en lasse pas, alors, il caresse, il malaxe, il tripote, il agace les tétons et les suce comme une friandise. Et évidemment il bande.

– Sortez ma bite de sa braguette, Elodie !
– Tout de suite, monsieur le marquis.

Les petites mains d’Elodie ont tôt fait d’aller farfouiller dans l’intimité du marquis et d’en extraire une jolie queue bien bandée.

– Oh ! Monsieur le marquis est en pleine forme ! Dois-je caresser, branler, sucer ?
– Et bien tu vas faire tout ça dans l’ordre !
– Je m’en réjouis d’avance ! Répond-elle en venant caresser la douce peau de la verge tendue.

Mais voilà que la main de la soubrette s’enfonce plus avant dans la braguette.

– Aurais-tu perdu quelque chose, charmante soubrette.
– Je cherche à dégager les couilles de monsieur !
– Ah ?
– Puis-je suggérer à monsieur de baisser son futal afin de m’en faciliter l’aspect ?
– Que je baisse quoi donc ?
– Votre pantalon, Monsieur le marquis !

Le pantalon dégringole sur les chevilles du chatelain, le caleçon le rejoint dans la foulée.

Le bas étant dégagé, Elodie peut maintenant mettre la pine d’Honoré dans sa bouche tout en lui malaxant ses boules.

– Allons sur le canapé, nous y seront plus à l’aise.

Elodie s’en va alors dans la salle de bain et revient avec une grande serviette, mais ne l’étale pas sur le canapé.

– Un problème, Elodie ?
– Pas du tout, mais puis-je suggérer à Monsieur le marquis de continuer dans sa chambre, nous y serons mieux installés et puis il y a tout ce qu’il faut dans votre petit tiroir.
– Allons-y.

Une fois en chambre, le marquis ordonna à sa soubrette de se déshabiller entièrement et il en fit autant.

– Viens me montrer ton cul, Elodie.
– Le voici, Monsieur le marquis, il est à vous !
– Et si je te donnais une fessée ?
– Pas trop fort, alors ?
– Non, ce ne sera pas fort, mais il faut bien que je te punisse, après toutes les bêtises que tu as faites !
– Je dois avoir quelques problèmes de mémoire, car je ne me souviens pas quelles bêtises j’ai pu faire, Monsieur le Marquis !
– Et me sucer la bite, moi, un homme marié et respectable, ce n’est pas une bêtise peut-être ?
– Hompf !
– Ne rigole pas, et me faire baisser mon pantalon pour me tripoter les couilles, ce n’est pas une bêtise non plus ?!
– Monsieur à raison, je suis une vraie trainée et pour ça je mérite une bonne fessée ! Répondit Elodie entrant dans son jeu.

Le marquis arma sa main et la fit retomber sur le cul de la belle qui se contenta de sursauter car elle ne l’attendait pas si tôt.

– Tiens, vilaine !
– Oh, oui, j’ai été vilaine ! Très vilaine même !
– Tiens, morue, tiens salope !
– Monsieur le marquis est un poète !
– Impertinente en plus !
– Tous les défauts ! Aïe !

Moment d’hésitation.

– Je t’ai fait mal ? Demande le marquis.
– Non, ça va mais pas plus fort !

Honoré distribua encore quelques fessées puis écarta les fesses de la soubrette et fit pénétrer son doigt préalablement humecté de salive dans son conduit anal.

– Oh ! Monsieur le marquis me met un doigt dans le cul !
– Ce n’est pas moi, c’est mon doigt, parfois il fait ce qu’il veut !
– Mais pour l’instant il me fait du bien !
– Alors tout va bien !

Quand le doigt ressorti, il n’était pas très net et le marquis en mauvais comédien fit semblant de s’en offusquer.

– Tu es une cochonne, Elodie, j’ai maintenant le doigt tout cacateux !
– Ciel ! Que monsieur le marquis m’attende une minute, je vais chercher de quoi essuyer ce doigt.
– Veut tu rester là, il n’y a pas le feu.

Le marquis porta le doigt a ses narines, l’odeur l’enivra et sans réfléchir davantage il le porta à sa bouche et le suça.

– Hum, c’est délicieux, je crois que je vais en reprendre un peu ! Dit-il en faisant replonger son doigt.

Evidemment le marquis bandait comme un sapeur, mais il ne rentrait pas dans ses intentions de jouir de suite, il voulait s’amuser encore, aussi se positionnât-t-il en levrette en demandant à sa soubrette de s’occuper de son cul.

Celle-ci fit alors frétiller sa petite langue sur l’œillet brun d’Honoré, puis elle le ramona de son index. Au bout d’un moment elle ouvre le tiroir et en extrait le gode.

– Monsieur le marquis désire-t-il le gode dans son cul, ou préfère-t-il que j’appelle Julien.
– Appelle Julien ! Je veux qu’il soit nu avant de pénétrer dans la chambre, il ne devra pas prononcer un mot, je le sucerais un peu, après il m’enculera et après… zou… on reste tous les deux pour le final.

Elodie actionna l’interphone et donna ses instructions à son collègue.

– … Et surtout pas un mot, tu ne parles que si on te poses une question, grouille-toi, on t’attend.

Julien arriva et comme convenu présenta sa bite au marquis, celle- était demi-molle mais Honoré eut tôt fait de la rendre bien dure et de s’en régaler ! Comment avait-il pu se priver de se plaisir pervers pendant des années et des années. Une petite goutte de liqueur séminale finit par darder au sommet du gland, rendant la chose encore plus délicieuse.

– Tu veux goûter, Elodie ?
– Juste un peu, je ne voudrais pas gâcher le plaisir de Monsieur

Ils se partagèrent ainsi la bite de Julien pendant quelques instants, léchant et suçant partout, jusqu’à ce que le marquis ordonne :

– Mets-toi une capote et sodomise-moi !

Julien faillit dire « Bien Monsieur le marquis » , mais se souvint qu’on lui avait intimé l’ordre de rester silencieux. Il se présenta donc à l’entrée brune, écarta comme il convient les fesses d’Honoré et le pénétra.

– Vas-y encule le bien ! Commenta Elodie qui elle, avait le droit de parler.

Sodomiser un quinquagénaire au physique moyen n’était pas dans les fantasmes de Julien, aussi œuvrait-il en fermant les yeux s’imaginant besogner une belle femme mature au trou du cul accueillant ou un bel éphèbe au corps glabre.

Mais c’est qu’il enculait bien, l’animal, et Honoré en miaulait de plaisir. Au bout de dix minutes, peut-être moins, peut-être plus, allez savoir puisque la baise dilue la notion du temps, Julien accéléra sentant sa jouissance proche, il s’écroula sur son patron en éjaculant, puis comme il en avait été convenu, il quitta la pièce sans un mot.

– J’espère que Monsieur le marquis a apprécié ? lui demande Elodie.
– Super ! Et puis cette fois il n’a pas parlé !
– Hi ! Hi !
– Allez Elodie, c’est à mon tour de t’enculer.
– Avec grand plaisir, Monsieur le marquis, mon trou du cul est à vous !.
– J’espère bien !

A suivre

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4 réponses à Chanette 26 – Les manuscrits de Sacha – 4 – Julien, homme à tout faire par Chanette

  1. Xtra dit :

    Se faire enculer par son patron ! quel délicieux fantasme !

  2. Baruchel dit :

    Tout ce que j’aime !

  3. Muller dit :

    Buller dans son manoir en étant entouré d’un petit personnel pas farouche, c’est beau la vie de chateau

  4. Darrigade dit :

    Il fallait bien que la bisexualité masculine s’invite à ces amours ancillaires et c’est ma foi fort bien fait

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