BCBG Très 16ème par Georges_1

Cette fois encore c’est grâce à Internet que j’ai noué un dialogue avec
Ureine. Tel était son pseudonyme. Elle était obsédée par un fantasme qu’elle
ne pouvait réaliser avec son mari. Elle avait bien essayé. Elle lui avait
parlé de la chose, négligemment, incidemment, comme d’une description
qu’elle aurait lu dans un livre. La réaction horrifiée de son conjoint, sa
pudeur naturelle et le classicisme habituel dont il faisait preuve au lit,
lui on fait comprendre que jamais elle ne pourrait vivre ce fantasme avec
lui. Ce fantasme s’était lentement construit en elle au fil des années. Les
racines en étaient profondes et devaient probablement remonter à l’enfance.

Elle aimait son mari. Elle ne l’avait jamais trompé, mais son fantasme ne
cessait de grandir en elle, jusqu’à la ronger. Elle essayait de compenser ce
manque en s’évadant dans les dialogues osés et anonymes d’Internet. C’est
ainsi que nous sommes rentrés en contact. Après plusieurs semaines de
dialogues anonymes, et après avoir virtuellement vécu la scène ensemble,
elle s’est laissée convaincre de satisfaire mon désir de lui faire vivre ce
fantasme.
Nous eûmes quelques échanges téléphoniques, destinés à conforter la
confiance qui s’était construite entre nous. Décision fut prise et rendez
vous fut arrêté de nous retrouver dans un grand hôtel parisien du quartier
de la place Vendôme.

J’espère que le récit de cette expérience donnera au lecteur autant de
plaisir que celui que j’ai eu à la vivre.

Après avoir garer ma voiture dans le parking sous la place Vendôme, et après
avoir bu, comme Ureine me l’avait demandé, une bouteille entière d’eau
d’Evian, je me suis rendu à l’hôtel convenu. Il était environ 9H15, heure
plutôt matinale pour un premier rendez-vous avec une femme. Elle avait
choisi cette heure pour pouvoir accompagner, selon son habitude, ses enfants
à l’école. Elle m’avait aussi prévenue qu’elle me quitterait à 11H30 afin de
lui laisser le temps de retourner chez elle se changer, avant de reprendre
ses enfants à leur sortie, en mère exemplaire.

Après être entré dans le hall grandiose de l’hôtel, tout tapissé de marbre,
passé devant le portier, puis le concierge, je me dirigeai, sans hésitation
vers le bar de l’hôtel. Après y avoir jeté un coup d’œil pour donner le
change, je poursuivis d’un pas assuré vers les toilettes. Je ne me souviens
plus si j’étais plus absorbé par l’excitation de vivre une expérience
prometteuse, ou le besoin de plus en plus impératif de vider ma vessie. Je
me précipitai dans les toilettes qui dans ce genre d’hôtel sont luxueuses et
spacieuses. L’urgence de la miction me poussait à déjà ouvrir ma braguette
et à y glisser la main prête à saisir et à sortir mon sexe pour me permettre
d’uriner. Je poussai la porte entre ouverte d’un WC tout en sortant ma
verge, tellement le besoin d’uriner était impératif au point d’être
douloureux et presque incontrôlable.

Elle était bien là, comme convenu. La scène était étonnante : C’était une
très belle femme, milieu de la trentaine. La perfection et l’élégance de sa
coiffure, de ses boucles d’oreilles, la montre et le très beau chemisier
qu’elle portait, montraient sans hésitation qu’elle appartenait à la haute
société. Cette femme qui, sans aucun doute, devait en d’autres circonstances
donner l’image d’une mère BCBG modèle, urinait d’un petit jet, les jambes
largement ouvertes avec pour seul habit, un chemisier déboutonné en voile
transparent et des chaussures à talons aiguille qui relevaient ses genoux,
donnant par l’illusion d’une pose accroupie, une indécence obscène à la
situation. Elle semblait prendre plaisir à s’enduire et à se caresser les
seins de l’urine qu’elle avait laissée couler.

– Excusez-moi, dis-je, la verge sortie, une fois entré dans ces toilettes
spacieuses, propres et tout en marbre, je dois absolument pisser. Utilisant
ainsi le langage cru et direct qui l’avait tellement excité lors de nos
échanges épistolaires sur le net.

– Mais cher monsieur, vous voyez bien que la place est prise, que je pisse
et je ne fais que commencer.

– J’insiste madame, je ne peux me retenir, je dois pisser !

– Approchez et voyons cela !

Je m’approchai d’elle. Elle me prit par la ceinture pour que j’approche
encore. Mon sexe était presque contre son visage. Elle défit la ceinture,
ouvrit le pantalon, approcha le visage contre mon sexe. C’est à ce moment
qu’elle est comme passé dans un autre monde, celui de son fantasme. Elle
s’est mise à respirer, à humer, à s’imprégner de l’odeur forte de ma verge
et de mon slip. Son visage se transforma, ses yeux se fermèrent, sa poitrine
se gonfla, elle semblait à la fois totalement présente et comme absente,
droguée. Il était évident qu’elle vivait pleinement le moment qu’elle avait
toujours attendu, sans jamais croire qu’il serait un jour possible. Moi
aussi je savourais ce moment, pour d’autres raisons : j’éprouve un plaisir
très particulier, que j’ai du mal à analyser: celui de permettre, de pousser
une femme à vivre les fantasmes qu’elle n’ose avouer. Peut être est ce du à
la jouissance perverse de sentir la femme dépendante de l’homme qui lui
donne cette excitation nouvelle, un peu comme le drogué qui est dépendant de
son dealer pour apaiser son besoin.

– Il y a si longtemps que je rêve de ce moment, dit-elle avec une intonation
de voix où semblait se mêler le bonheur de la délivrance et la tristesse
d’une défaite ou d’une honte. Il y a si longtemps que j’imagine en secret
ouvrir le pantalon d’un homme et d’y trouver l’odeur forte d’urine et la
vision d’un slip taché. Tu ne peux pas savoir combien de fois j’ai imaginé
cette scène en me masturbant, en respirant ma propre urine, ou en faisant
l’amour avec mon mari. C’est avec une tristesse infinie dans la voix qu’elle
me fit cette déclaration étonnante: Je me rends compte à cet instant que je
te connais depuis 15 ans que c’est avec toi et non avec mon mari que je
baise depuis tant d ‘années. Aujourd’hui encore, bien des années plus tard,
c’est phrase reste gravée dans ma mémoire et y laisse un souvenir jouissif
et terrible à la fois.

Elle continua son discours tout un continuant à respirer les odeurs qu’elle
aspirait tel un drogué sa cocaïne.

– Tu ne peux pas savoir tout ce que j’ai fait pour tenter de connaître cette
sensation que tu m’offres aujourd’hui.

– Si, racontes moi! C’est mon plaisir à moi, c’est mon coté de voyeur
d’entendre de ta voix à quel point tu es vicieuse. Je veux ta confession.
Ceci dit, je dois absolument pisser.

– Mais pisse, cher ami, pisse, pisse et pisse encore. Sur mon visage, dans
ma bouche, sur mes seins, sur et dans mon sexe, pisse-moi dessus, d’une
pisse chaude, jaune et odorante, répondit-elle pour finir par prendre mon
sexe en bouche tout en glissant une main dans mon slip, sous les couilles.

– Maintenant je ne peux plus, je bande et pas un peu !

– Mais si, répondit-elle, le besoin de soulager ta vessie va te faire
débander un petit peu, suffisamment pour pisser un peu. Je ne te touche
plus, je ne fais que m’enivrer de l’odeur de ton slip dégoûtant. Je n’ai
jamais osé avouer ce penchant à personne et surtout pas à mon mari. Combien
de fois dans un parking, dans un passage souterrain, ou dans un endroit
clos, quand l’odeur forte d’urine imprégnait les lieux, je me plaignais à
mon mari de l’insalubrité des lieux, comme pour me disculper à l’avance du
moindre soupçon qu’il aurait pu avoir à mon encontre sur le sujet, alors que
je m’en délectais et que cette senteur, venait telle la madeleine de Proust,
éveiller mes désirs. Combien de fois, seule dans cette situation, ai-je
ralenti le pas, sentant s’éveiller dans mon bas ventre un feu que jamais mon
mari n’a réussi à allumer. Oserais-je te dire que, chez nous, je vais
systématiquement aux toilettes après mon mari, espérant à chaque fois qu’il
aurait oublié de tirer la chasse et respirer ainsi un peu de cette odeur
chérie.

Moi, je n’en pouvais plus, mon besoin d’uriner devenait de plus en plus
douloureux. Cette douleur finit par l’emporter sur l’excitation de son récit
et me permis de débander quelque peu pour lâcher un petit jet d’urine. Ma
queue étant cependant encore fort droite, ce jet s’écrasa sur son visage.

– Ouiiiiii ! Dit-elle, en étalant le liquide sur le visage. Elle est chaude,
elle sent fort. Continue ! Regarde, moi aussi je pisse, continua t elle en
écartant largement les jambes et en étalant sur son ventre le saint- chrème.
Continue, envoie sur ma figure, dans ma bouche, sur mes seins.

Mon jet fut cette fois plus abondant, long et puissant. Son visage en était
inondé. Elle ouvrait la bouche pour en recueillir. Le liquide ruisselait
abondamment sur sa poitrine et sur son chemisier. Je bandais à nouveau et ne
pu continuer.

– Lèche-moi, déshabille-toi et suce-moi. Déshabille-toi, tu risques d’en
avoir plein tes vêtements!

En trente secondes j’avais enlevé pantalon, chemise, cravate et blazer,
accrochai le tout à une patère. C’est fou ce que les toilettes de ces grands
hôtels sont bien équipées!

– N’oublie pas tes chaussettes, mais garde ton slip, son odeur m’excite
trop. Viens lèche ma chatte !

Je m’exécutai, me mis à genoux et commençai à lécher chaque recoin de sa
vulve et de son clito. Elle lâchait régulièrement un peu d’urine qui me
coulait dans la bouche et sur mon visage.
Elle reprit sa confession. Peut-être avait-elle besoin de raconter, de se
libérer comme sur le divan d’un psy:
· Souvent, quand mon mari est en déplacement professionnel, je joue avec mon
urine, je la laisse couler le long de mes jambes, à travers ma culotte, en
espérant que son odeur devienne à chaque fois plus forte. Je garde alors ma
petite culotte jours et nuits. Je mets une aussi une serviette éponge dans
le lit sur laquelle je m’abandonne à mes plaisirs uros. Je ne lave jamais ni
cette culotte ni cette serviette. Elles sentent fort et je les conserve
secrètement dans une poche plastique cachée au fond d’un vieux sac. Je
tremble parfois à l’idée que mon mari découvre ces pièces à conviction. Mon
désir et mon excitation croissent ainsi lentement et quand ils atteignent
leur paroxysme, quand je n’en peux plus d’attendre, j’enlève ma culotte, me
la met sous le nez et me branle lentement en m’enivrant de mon odeur
excitante en imaginant les scènes les plus obscènes comme celle que tu
m’offres aujourd’hui et parfois, plus cochon encore! Quand l’absence de mon
mari coïncide avec les vacances des enfants chez leurs grands-parents et que
la femme de ménage est elle aussi absente, je passe mes journées nus pieds
et je laisse couler l’urine sur le carrelage de la cuisine. Il m’est même
arrivé de me rouler dedans toute habillée.
Oh ! C’est bon gémit-elle, tandis que je la suçais avec conviction.
Continue, j’ai du plaisir.

Je ne sais ce qui lui donnait le plus de plaisir, ma langue titillant son
clito, le vécu de son fantasme ou son expérience libératrice. Il était
certain qu’elle vivait un moment érotique d’une rare intensité. L’abandon
total dont elle faisait preuve m’excitait au plus haut point et je me
régalais de me laisser glisser dans le scénario qu’elle mettait en scène.
Elle continua :

· Donne-moi les bouteilles d’eau qu’on remplisse nos vessies pour continuer
à jouer, dit-elle en me désignant les 4 bouteilles d’Evian qu’elle avait
amenées pour la circonstance.

Après avoir bu abondamment elle étala une serviette de bains sur le sol,
m’invita à continuer à la lécher mais en 69, allongé sur la serviette. Cette
fois encore je la suivis dans son fantasme. Dès que je commençai à la
lécher, elle se mit à gémir de plus belle et à uriner par petits jets sur
ses fesses, sur mon visage et sur la serviette. Mais déjà elle se mit à
exprimer ses nouvelles instructions.

· J’adore respirer ton slip, il sent presque aussi fort que je l’espérais.
J’ai évidemment quelques variantes au fantasme que je réalise aujourd’hui
avec toi. Variantes encore plus difficiles à réaliser.

· Lesquelles ?

· J’imagine entrer dans la cabine d’un chauffeur de poids-lourds, ceux qui
traversent toute l’Europe et qui dorment dans leur couchette. Il parait
qu’en dehors de se raser et de se rafraîchir les mains et le visage, la
plupart ne font aucune toilette pendant les nombreux jours que durent leurs
aller-retours. Je me vois, allongée à côté de l’un d’eux, ouvrant son
pantalon pour découvrir sa forte odeur d’entrejambe, de sexe, de
transpiration, d’urine, de cul, et de foutre. Il paraît que beaucoup de
chauffeurs de poids-lourds se masturbent souvent tout en conduisant. Ma
deuxième variante est encore plus dégueulasse : le fantasme est toujours le
même : découvrir un sexe sans hygiène qui sent le plus fort possible. Je
m’imagine faire une pipe et m’offrir à un de ces clochards qui hante les
couloirs de métro ou autres cloaques de Paris. Plus d’une fois, lors des
absences de mon mari, j’ai été tentée d’aller dans ces endroits pour me
donner à un clochard. Je n’ai évidemment jamais osé, et les clochards n’ont
pas Internet !

Je continuais à lui sucer la chatte et le clito.

· Continue ! C’est bon, mais lâche ta vessie, j’ai envie de te sucer !

Nous nous sucions mutuellement avec une conviction, une passion, un plaisir
qui croissait au fil des minutes. Elle ne lâchait sa proie que pour gémir,
m’envoyer des  » c’est bon, continue ! « , m’ordonner de vider ma vessie. Je
bandais tellement que la chose m’était évidemment impossible. Elle par
contre ne s’en privait pas : nous baignions dans la pisse, il y en avait
plein la serviette et le sol, son chemisier était trempé et lui collait à la
peau, le rendant presque transparent.
Elle continuait à donner ses ordres :

· Prends-moi dit-elle tout en me faisant comprendre qu’elle voulait changer
de position.

Après s’être dégagée, elle se releva, se pencha fortement pour poser les
mains sur la cuvette de WC me montrant une croupe toute mouillée et
appétissante.

· Prends-moi ! Baise-moi ! Fourre moi ! Enfonce ta bite !

Son excitation hystérique devenait contagieuse, je bandais comme un fou. Je
m’exécutai docilement et la pénétrai sans aucun ménagement. Je me mis à la
fourrer intensément. Sa vessie n’arrêtait pas de se vider. Elle continuait à
donner ses ordres.

· Vas- y baise-moi, plus fort, plus vite, montre-moi que tu aimes ça.

J’avais beau me déchaîner, elle en voulait toujours plus.

· Plus fort et pisse dans mon con.

La chose m’était impossible, je bandais trop.

· Dans le cul maintenant, encule-moi, encule-moi comme une salope. Je suis
vierge du cul, mon mari ne m’a jamais pris dans le cul et toi tu es
tellement cochon que j’en ai envie tout d’un coup. Encule-moi !

Je m’exécutai cette fois encore et entrai dans son postérieur sans
difficulté. La dame, très sûrement parfaitement réservée dans son
comportement habituel, se mit à crier comme un porc égorgé, pardon, comme
une cochonne! Je m’inquiétais sérieusement de savoir si nous ne risquions
pas de voir intervenir le personnel du palace.

Je jouis, je jouis comme une folle, je jouis comme une folle, dit-elle dans
un profond râle en allant et venant, avec une rage peu commune, à la
rencontre de mon sexe. Mon excitation n’était évidement pas en reste et joui
peu de temps après elle.

Ce qui se passa ensuite n’est pas le plus banal de l’histoire. Après nous
être doucement désaccouplé, elle se lava, sans dire un mot, rapidement et
superficiellement, au lavabo qui se trouvait dans les toilettes. Elle sortit
deux serviettes de son cabas, une pour elle, une pour moi. Elle s’essuya
rapidement. C’est à ce moment que je remarquai qu’elle avait les yeux
humides, qu’elle pleurait. Ca ne va pas, demandais-je doucement en
accompagnant mes propos d’un geste tendre.

· Fichez-moi la paix, me répondit-elle sur un ton haineux tout en sortant de
son cabas des vêtements propres et en se rhabillant précipitamment.
Rhabillez vous et allez-vous en, continua-elle en me donnant une autre
serviette qu’elle avait prévue.

· Que se passe-t-il ? Pourquoi cette haine, pourquoi ces pleurs, pourquoi ce
vouvoiement, lui demandai-je. Mais-en posant la question je devinai déjà la
réponse qui fut plus cinglante qu’un coup d’épée.

· Tu es l’homme le plus abject que j’ai rencontré. Toute ma vie j’ai lutté
contre mes pulsions animales et sordides. Cela aurait peut-être eu un sens,
et encore, de les vivre avec l’homme aimé. Tu as pris un plaisir pervers à
me faire glisser dans la pourriture, à me faire succomber à mes faiblesses
au lieu de m’aider à y résister. Tu m’as fait goûter à un plaisir qui
enlèvera désormais toute saveur aux caresses de mon mari ! Toute ma vie je
serai torturée par le désir de ce que j’ai connu avec toi et la honte de
m’être abandonnée à cette perversité. Je vous déteste.

Je voulu répondre, la rassurer, dissiper sa tristesse, mais elle ne m’en
laissa pas le temps. Elle avait terminé de se rhabiller, de se refaire un
visage présentable. Elle sortit des toilettes sans dire un mot de plus,
laissant celles-ci dans un état peu banal. Je me hâtai, moi aussi, de me
refaire une apparence et de quitter les lieux, n’ayant aucune envie d’être
surpris dans un tel chantier.

Quand je traversai les couloirs de l’hôtel vers la sortie, elle avait déjà
disparue. Je fuyais, moi aussi, craignant de traîner derrière moi une odeur
gênante. Je fis cependant un crochet rapide par la réception pour signaler
au concierge  » une fuite importante dans les toilettes  »

Cette rencontre est restée sans suite. Je n’ai plus jamais eu de nouvelle de
cette jeune femme. Son pseudo a disparu du net et mes mails me reviennent
comme ne pouvant être délivré à une adresse désormais inconnue. Si par
hasard vous rencontriez Ureine dites-lui que je garde de cette rencontre un
souvenir impérissable et un goût certain, depuis cette époque, pour les jeux
dorés.

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2 réponses à BCBG Très 16ème par Georges_1

  1. Werber dit :

    Dommage ces dialogues long come des jours sans fin ! on n’est pas dans Shakespeare, à ce que je sache !

  2. Claire dit :

    Un bon petit texte uro

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