Baisée au ciné X : chapitre 1 par Alexandra_1

Baisée au ciné X : chapitre 1
par Alexandra

Alexandra, T-girl de Bruxelles, réalise un nouveau fantasme : se faire baiser dans un cinéma X

Il y a quelques jours, j’ai vécu une fin d’après-midi et soirée merveilleuses, passées en charmante compagnie et dans deux endroits que je ne connaissais pas encore.

Mais procédons par ordre chronologique avec tout d’abord ma visite d’un endroit coquin à Bruxelles et replaçons tout ça dans son contexte…

J’ai fait récemment la connaissance sur le Net de Daty, libertin de Paris qui, parfois, se déplace à l’étranger dans le cadre professionnel et voilà qu’il m’informe qu’il doit venir à Bruxelles le 27 mars. Une occasion rêvée pour joindre l’utile à l’agréable !

Je remarque qu’à cette date se tient la « Tranny night » du New Riddershof. Génial, je n’y ai jamais été, c’est une superbe occasion pour découvrir l’endroit. Mais comment occuper notre temps entre 17 h, heure d’arrivée de Daty à Bruxelles, et 20 h, heure à laquelle débute la soirée au NR ? C’est alors que germe dans mon esprit coquin une idée qui ne l’est pas moins. Daty est un grand amateur de T-girls mais il est également un « vrai bi » qui aime aussi jouer avec des hommes, ce qui le mène à fréquenter régulièrement des sauna’s gays. Or, il existe à Bruxelles plusieurs sauna’s mais, à ma connaissance, un seul qui accepte les travesties, le « Club 3000 », complexe sauna-sex-shop-ciné X situé face à la gare du Midi, par ailleurs très facile d’accès et très fréquenté par les navetteurs qui y font parfois un petit crochet en sortant du boulot, avant de monter dans leur train.

C’est un endroit que je n’ai visité qu’une seule fois dans ma vie, ce jour béni où j’ai voulu connaître les sensations qu’on pouvait éprouver en suçant une queue. Ce jour-là (26 novembre 2008), je m’étais rendue uniquement dans la partie sauna, et pas en fille. Et ce jour-là, je me souviens que j’étais quand même pas mal stressée et que je n’avais pas vraiment profité de l’endroit dont certaines parties, à l’époque, étaient en rénovation.
Aujourd’hui, j’avais envie de franchir un pas de plus en jouant le rôle de proie mise à disposition dans le cinéma porno du complexe. Mais pour être une bonne proie, il faut s’exposer à de bons chasseurs. Et plus il y a de chasseurs, plus la chasse est excitante. C’est la raison pour laquelle j’avais pris l’initiative de placer une annonce pour informer le plus grand nombre de pervers de mes intentions. Afin d’avoir une idée approximative du nombre de personnes intéressées par ma proposition, je ne mentionnais dans l’annonce ni le lieu exact ni l’heure, de sorte qu’il fallait me contacter pour obtenir ces infos. J’ai reçu une bonne vingtaine de demandes. J’étais aux anges, même si mon expérience m’a enseigné que sur dix promesses, seulement une ou deux se concrétisera. Ça semble très peu, mais croyez-moi, c’est tout ce qu’il y a de plus réaliste, malheureusement.

Je suis arrivée sur place avec un petit quart d’heure de retard sur l’horaire que j’avais mentionné dans mon annonce. J’expliquai au préposé à l’accueil que je désirais simplement accéder à la partie ciné, que les installations sauna ne m’intéressaient pas. Ben oui, en tant que travestie, vous pensez bien que je n’allais pas commencer à me dévêtir pour tester chaque « attraction aquatique »…

Mais il me fallait malgré tout un casier pour y laisser mes affaires. Le gars me donna une clef de casier et ceux-ci étant situés dans la partie sauna, j’avais par conséquent accès à tout le complexe.

Après avoir apporté la touche finale à mon maquillage, il était déjà 17 h 40 lorsque je me dirige enfin vers la salle de cinéma principale, où j’avais annoncé à plusieurs personnes que je serais présente. Pour rejoindre cette salle, il faut quitter la partie sauna en passant par le bar.

Je passe la porte et je gravis les marches en haut desquelles on peut soit continuer tout droit dans un couloir, soit prendre à droite pour accéder à la salle proprement dite. Parlons-en de la salle justement, le premier mot qui me vient instantanément à l’esprit en la voyant, ce fut : « glauque » !!

Il fait froid, ça semble vide et le film (hétéro) est diffusé sans le son. Je décide de m’aventurer un peu plus en avant pour y voir plus clair. Entre l’écran et les premiers sièges, il y a, sur toute la largeur de la salle, une sorte de corridor / labyrinthe fait de planches en bois pourvues, à intervalle régulier, d’orifices. Lorsqu’on arrive à la sortie de ce labyrinthe, on se trouve dans la partie arrière de la salle où se trouvent quelques sièges très inconfortables, quand ils sont encore présents ! Là, il y avait 2 ou 3 mecs somnolents dont un qui ouvrait de temps en temps les yeux lorsqu’il voulait porter sa canette de bière bon marché à ses lèvres.

Il y avait au fond de la salle, à gauche une sorte de petite cabine munie d’une grille où étaient entassés plusieurs mecs dont certains dénudés qui étaient occupés à se faire du bien. Dans l’obscurité, je repère une silhouette qui me fait signe, c’était un ami que j’avais déjà croisé plusieurs fois en club. Ça me faisait plaisir de retrouver un visage connu mais d’un autre côté, j’étais déçue qu’aucun candidat n’avait honoré sa promesse… Mais tout à coup je me retrouve face à un homme souriant que je reconnais sans aucune hésitation, c’est mon ami Daty qui m’a enfin retrouvée. Il est encore vêtu de sa grosse veste et je sais, étant une lectrice régulière de son blog, que d’habitude il préfère se balader en tenue d’Adam. A présent que nous nous sommes trouvés, il peut se rendre au vestiaire pour se mettre à l’aise.

Je l’ai suivi et je lui ai présenté Mona qui venait d’arriver quelques minutes plus tôt, elle aussi.

Lorsque Daty fut enfin dans sa tenue préférée, c’est à dire nu comme le bébé qui vient de naître, nous avons un peu déambulé dans les couloirs pour découvrir l’endroit. Nous sommes arrivés dans une salle assez grande où se trouvaient plusieurs cabines ainsi qu’un écran géant sur lequel était projeté un film X gay.

Devant l’écran, il y avait une sorte de canapé assez confortable et Daty me proposa de « faire plus amplement connaissance » à cet endroit, ce qui me convenait parfaitement vu qu’on ne pouvait pas trouver meilleur endroit pour être exposé au regard des autres. La sucette prodiguée à Daty le fut juste pour la forme, l’animal était déjà bien raide et il me pénétra sans difficulté aucune. Il s’en donnait à cœur joie, explorant mon petit trou avec sa grosse queue que je sentais bien aller et venir en moi. Comme toujours, j’étais assez expressive, mais cette fois mes gémissements résonnaient dans toute la salle si bien qu’il ne fallut pas attendre longtemps pour que quelques mecs viennent s’asseoir juste à côté de nous pour observer la scène de plus près. Après quelques minutes et plusieurs changements de position, Daty et moi décidions de faire une petite pause histoire d’en « garder un peu pour après ». Nous nous sommes séparés et j’ai très vite retrouvé Mona avec laquelle j’ai un peu discuté en m’interrogeant sur la possibilité d’accéder à toutes ces petites cabines privées réparties dans la salle. Un jeune homme qui passait par là nous expliqua que ces cabines se louaient à l’entrée pour 3 ou 4 euros. Alors que nous nous apprêtions à visiter le reste du complexe, le jeune homme me rattrapa et m’invita à visiter de plus près sa cabine personnelle. J’adore faire du tourisme et je ne pouvais donc pas refuser cette offre. Par contre vous ne saurez rien de ce qui se passa une fois la porte fermée ! hi hi.

Je ressortais de là quelques minutes plus tard et j’entendis quelqu’un appeler mon nom.

« Alex, c’est bien toi ? » Un jeune homme m’interrogeait, il était séparé de moi par un grillage.

« Oui c’est moi, et toi qui es-tu ? » « Je suis D. J’avais répondu à ton annonce » « Ah oui c’est vrai ! »

Nous étions très proches et D. saisit ma main pour la poser sur l’entrejambes de son pantalon

« D’après ce que tu sens, tu penses que j’ai envie de toi ? » me demanda-t-il

« Mmmhhh, tu peux sûrement encore mieux faire » lui répondis-je. « Mais pour ça il faut qu’on se retrouve sans ce grillage entre nous. »

D. m’expliqua qu’il se trouvait en fait dans la salle de ciné principale, il avait simplement suivi un couloir qui l’avait mené vers cet autre endroit où on peut accéder à une partie du complexe sauna mais juste pour regarder ce qui s’y passe puisque le grillage empêche d’aller plus loin, un cul-de-sac en quelque sorte.

Je savais ce qu’il me restait à faire et très vite je me dirigeais vers le cinéma glauque pour rejoindre D.

Nous nous sommes installés tout à l’arrière, nous avons un peu discuté mais très vite D s’est retrouvé la queue à l’air avant qu’elle ne finisse dans ma bouche. Le siège sur lequel il était assis étant très inconfortable, je lui proposai de se lever et de se mettre à son aise, en appui contre le mur pendant que je le suçais. Bonne technique puisque bientôt sa queue avait triplé de volume.

« Tu veux que je te baise ? » « Waouuuhhh ! Bien sûr oui, excellente idée !! »

Je lui enfilai une capote et je lui tournai le dos, je faisais face à l’écran, le buste penché en avant, mes mains posées sur les accoudoirs des sièges précédents, mon visage était tout proche de l’un de ces types qui passaient leur journée à somnoler dans cette salle sombre. D me pénétra sans problème et je commençai à gémir de plaisir. J’étais en train de réaliser l’un de mes fantasmes, me faire baiser dans un ciné X. Je regrettais juste qu’il n’y ait pas plus de monde pour assister à la scène ou plus de candidats pour prendre le relais après le passage de D. Lorsqu’il eut finit son affaire, il se rhabilla et nous avons encore un peu discuté avant de nous séparer en nous promettant de garder le contact.

A mon retour dans la partie sauna, un jeune homme me proposa à nouveau de l’accompagner dans une cabine. Il était déjà 19 h 40 et j’avais proposé à Daty, Mona et l’autre ami rencontré un peu plus tôt de quitter les lieux vers 20 h afin de ne pas arriver trop tard à notre destination suivante. J’exposai ce dilemme à mon futur partenaire :

« Ça me dérange pas de te suivre dans ta cabine mais on a que 20 minutes maxi donc il faudra faire vite »

« T’inquiète pas chérie, avec le corps que tu as, je suis sûr que ça va venir vite »

OK alors allons-y. Je commençai par sucer mon partenaire puis je lui proposai de mettre une capote pour aller plus loin. Il accepta mais comme c’est souvent le cas, il débanda un peu et ça ne facilitait pas la pénétration. Je lui proposai alors de frotter lentement son sexe contre mes fesses, procédure à suivre quand on tente de retrouver un peu de vigueur, en général ça fonctionne bien. Mais le coquin n’avait pas bien compris la technique, il commença à s’activer nerveusement, son sexe juste posé sur mon postérieur et après 3 ou 4 mouvements de va-et-vient, il jouit dans la capote.

« Wouaaahhh ! C’était bon !!! »

« Ah oui ? Tant mieux pour toi ! Au moins le timing a été respecté, merci pour ça ! »

Ben oui, il était à peine 19 h 50 lorsque je suis sortie de la cabine.

Moins d’une heure plus tard, nous étions en route pour un club libertin situé en Flandres, où se tenait ce soir-là une « Tranny Night ».

Je vous en parlerai une prochaine fois car une fois de plus, ce fut bien chaud !

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10 réponses à Baisée au ciné X : chapitre 1 par Alexandra_1

  1. Horace dit :

    ça sent le vécu et c’est pas mal du tout quant à l’illustration elle est bandante

  2. Dequatre dit :

    Pas mal j aime mieux travestie pute de trottoir

  3. Ematine dit :

    Bonne histoire c est vrai que les Cine x se font de plus en plus rares dans ma ville il y en a deux qui font sauna j y vais en travestie même au sauna quand il y a personne au ciné le patron le tolère et certains soirs c est chaud il faut dire que je ne suis pas regardante je suce sans capote et me fais enculer pareil car souvent les mecs débandes en la mettant

    • Eddy dit :

      L’absence de capote surtout pour la personne sodomisée ne me parait ni sérieuse ni prudente. Tu as le droit de jouer avec ta vie et avec ta santé. Avec celles des autres tu n’as pas ce droit !

  4. sapristi dit :

    Joli récit avec des passages qui sentent le vécu (et l’illustration est splendide)

  5. Enrique dit :

    Dommage que la réalité soit moins reluisante, il existe un cinéma porno à Paris fréquenté par des travestis, c’est à Pigalle, ça s’appelle l’Atlas, je ne vous conseilles pas d’y allers, c’est sale et dangereux.

  6. Q36dila dit :

    Souvenirs, souvenirs. Des bites branlées, des bites sucées, quelques connards, quelques rencontres décevantes mais quelques trip qui m’excitent encore quand je me les remémore.

  7. marco1810 dit :

    tres existant

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