Vestiaire lubrique par Elian Lvekman

Vestiaire lubrique par Elian Lvekman

Texte contenant un passage scato explicite !

Bonjour je m’appelle Sophie, j’ai 29 ans. Comme tous les lundis je me rends dans une petite salle de gym, histoire de maintenir mes formes). Une fois dans les lieux j’introduis ma carte d’accès et me dirige dans les vestiaires pour filles pour me changer. Une fois dans une cabine je suis surprise par un petit bruit de fond. Je stoppe mes mouvements pour essayer de savoir ce que c’est. Les bruits proviennent du vestiaire d’à côté. Et comme je le pensais les deux paires de pieds m’indiquent que deux personnes batifolent.

Curieuse de nature je m’assois par terre et sort de mon sac le miroir qui me sert pour me recoiffer. Même si l’image est à l’envers, je peux voir que cette fille est en très bonne compagnie. L’homme est assis sur le banc et elle est à califourchon sur lui. Ses gestes sont lents et une de ses mains est sur la bouche de sa partenaire pour étouffer ses gémissements. Au bout d’un moment, le gland sort de sa chatte, elle se soulève un peu, saisit le sexe et le dirige contre son anus. La pénétration se fait avec quelques difficultés mais ça rentre. Moi à terre je me suis mise nue et mes doigts fouillent ma petite toison brune. Je sens le plaisir et l’envie monter en moi, j’aimerai les rejoindre, mais je n’ose pas.

De leur côté les choses ont évolué. Il la prend en levrette et ne pouvant plus étouffer ses bruits je peux l’entendre prendre son pied. Il continue son ramonage avant de rejoindre la bouche de sa partenaire qui est toujours à genoux devant lui. Il jouit à son tour et sa semence atterrit sur le visage de la fille. Elle attrape le plus de sperme possible dans ses mains pour le porter à sa bouche et finit par enfouir le sexe entier entre ses lèvres. Je n’en peux plus, je m’allonge sur le dos et me masturbe et comme mon envie est très forte je m’introduis ma brosse à cheveux dans la chatte et trois doigts dans l’anus. Je prends mon pied en tentant d’étouffer mes gémissements mais y parviens mal. Ils m’ont forcément entendu. Comment gérer ça ? Ils s’essuient, se rhabillent et sortent.

J’attend un peu, je n’entends plus rien, je sors à mon tour.

Ils sont là ils m’attendaient. Je suis déboussolée !

– Alors on mate ? Me dit la femme.
– Je n’ai pas pu m’en empêcher ! Bredouillais-je.
– On devrait te punir ! Reprend la femme.
– Euh faut que j’ aille ! De toute façon je n’ai rien vu, j’ai juste entendu…
– Nous on aime bien punir les petites vicieuses. Reprend-elle
– Ça ne se reproduira plus ! Balbutias-je
– Dommage que tu ne sois pas un peu soumise, on aurait pu s’amuser à te punir à notre façon !

Et c’est là que je me suis demandé si je ne devais pas rentrer dans leur jeu.

– Tu partais ? Demande l’homme
– Non, je viens juste d’arriver.
– T’es en voiture ?
– Oui !
– Alors changement de plan, tu te remets en tenue de ville, tu vas vers ta voiture, tu ouvres les portières, tu mets les clés sur le contact et tu t’assois à l’arrière.
– Ça va pas, non ?
– Réfléchis, tu passes peut-être à côté d’un bon petit moment.
– C’est tout réfléchis.

Le couple s’éloigne de quelques pas. Bizarrement je n’ai plus trop envie d’aller en salle de sport, je regagne ma cabine et remets mes vêtements de ville.

Je me dirige vers la sortie. Comme je le pensais ils sont sortis et me suivent. Je vais jusqu’à ma voiture, ouvre toutes les portières et m’installe à l’arrière. Le couple arrive

– J’ai mis les clefs sur le contact ! Leur précisais-je

L’homme s’installe au volant et elle à ses côtés.

– Enlève tes fringues ! M’ordonne la femme. Je m’appelle Natacha et lui c’est André, tu nous dois le respect !
– Ah ! Moi c’est Sophie !
– On s’en fout de ton prénom !

Charmante !

On est encore en pleine ville et il y a beaucoup de monde dans les rues que nous empruntons, mais poussée par l’excitation, j’obéis. Il traverse la ville et à tous les feux je sens le regard des passants et des automobilistes se poser sur moi. On sort de la ville. Du rétroviseur je sens son regard se poser sur moi. Natacha est restée silencieuse et pensive. André arrête la voiture au bord d’un petit bois.

– Allez descends, poufiasse !
– Comme ça toute nue ?
– Evidemment, quelle question ?

André sort de son sac de voyage un collier de chien assorti d’une laisse et me le passe autour de mon cou. Je commence à comprendre le jeu, la femme est sa soumise et aujourd’hui il a l’occasion de changer d’esclave. Comme la femme n’a pas l’air traumatisée, ça me rassure un tout petit peu.

Je sors du véhicule et André me fais signe de me mettre sur le capot. La chaleur du moteur me réchauffe. Il donne deux coups de klaxon et au bout de cinq minutes je vois deux promeneurs arriver. Le couple se dirige vers eux. Ils parlent quelques temps et le quatuor vient vers moi. Dès qu’ils sont au niveau du pare-chocs les deux arrivants tombent leurs pantalons, exhibant leurs bites bien raides.

Natacha sort la queue de la braguette d’André. L’un des promeneurs m’installe sur: sur le ventre, toujours sur le capot, les jambes en direction du pare-brise et la tête vers l’avant. Je prends les bites dans les mains et les suce l’un après l’autre. Le couple observe et ne bouge pas. Les deux types se bousculent légèrement pour être dans ma bouche, et soudain l’un d’eux me fait faire 90° sur la droite et passe derrière moi. Il frotte son gland sur ma chatte et me pénètre en un seul mouvement. Il m’a fait mal et je n’ai pu retenir un cri. Son compagnon toujours dans ma bouche, il me laboure sans précaution avec de grands mouvements et de grands râles. Il aurait dû faire bûcheron.

Celui qui me prend en levrette me soulève et il pose ses fesses sur le capot. Il sort son sexe de ma chatte en chaleur et toujours avec sa délicatesse très personnelle me sodomise. L’autre a fait le tour de la voiture et le sexe droit et humide, il commence par mettre son gland devant mon clito et le tapote avant de me pénétrer à son tour. J’avais toujours rêvé d’avoir deux sexes en moi mais jamais je n’avais pensé à une telle situation. Mon enculeur accélère ses râles et je sens très vite son foutre en moi. Ce sperme chaud fais basculer mes sens et je serre l’homme devant moi, je me plaque contre lui et je joui à mon tour. Mon esprit est dans une espèce de brouillard et je suis bien, plus rien n’a d’importance. Les deuxième promeneur me place sur les sièges arrière de ma voiture et éjacule sur mon ventre. Je passe ma main dans ce sperme et l’étale sur mon pubis. Les promeneurs partent comme ils sont venus, sans m’adresser le moindre mot.

C’est fini ? non !

Le couple se déshabille ! Je peux enfin admirer les beaux seins laiteux de Natacha. Elle vient devant moi attrape mes tétons et les tortille fortement.

– Aïe !
– Ta gueule poufiasse !

Elle me roule une pelle bien baveuse, puis nus tous les trois, nous déambulons dans la contre allée, nous croisons deux autres promeneurs, un vieux et un jeune un peu efféminé. ils sont nus, leurs affaires dans un sac à dos.

– Salut ! Dit le premier en se tripotant le bite
– Salut ! Répond André.
– Tu regardes ma bite ?
– Elle est belle !
– Tu veux la sucer !
– Avec plaisir !

C’est la première fois que je vois un mec en sucer un autre ! Je suis tombé sur les pervers du coin, ma parole ! André à l’air de se régaler, et pendant ce temps là Natacha suce le vieux ! Et moi qu’est-ce que je deviens dans tout ça ? Je regarde et j’attends.

Le bites bien sucées sont maintenant bien raides, s’en suit une très brève discussion entre ces messieurs dames au terme de laquelle André et Natacha se retourne offrant tous deux leurs anus aux assauts des deux types ! Incroyable de voir ça.

Tout le monde a joui… sauf moi. Les deux rigolos s’en vont. Natacha me demande de m’allonger par terre.

– Je vais te pisser dessus ! Me prévient-elle

C’est gentil de me prévenir, mais comme la chose m’amuse plus qu’elle ne me dérange, j’obtempère, elle s’accroupit au-dessus de moi et se concentre. Comme signe de bonne volonté, j’ouvre la bouche signifiant par-là que je ne suis pas contre le fait d’avaler son nectar ! Message reçu, elle rectifie la position. Le jet est puissant et j’en avale une bonne rasade.

– Je ferais bien quelque chose de plus consistant ! Me dit-elle
– Euh !
– Tu me dit « oui » ou « non », « Eu », je ne sais pas ce que ça veut dire.

Je n’aurais jamais pensé accepter une chose pareille, mais l’excitation fait faire de ses choses parfois.

Un magnifique boudin sort du cul de Natacha, je reçois tout sur le visage, bouche fermée, Elle m’enlève tout ça, mais en prélève un morceau qu’elle lèche vicieusement. Elle me propose de l’imiter. Alors j’ai léché sa merde, et ma foi, ce n’était pas mauvais du tout.

André n’en peut plus de spectacle et se branle comme un malade, je reçois son sperme sur le visage, en avale un peu.

Natacha m’embrasse à nouveau ! Drôle de baiser où persiste le gout tenace de toutes nos perversions.

– On va rentrer, tu nous raccompagnes chez nous ! Me suggère André.
– Déjà ? Proteste Natacha, je me serais bien fait prendre par un chien !
– Oui, ben la prochaine fois ! Je fatigue ! Et toi la poufiasse tu t’es déjà amusée avec un chien ?
– Non, mais je ne demande qu’à apprendre.

On est reparti en ville, je les ai déposés non pas chez eux, mais devant une supérette, ils ne m’ont pas communiqué leurs coordonnées. C’était un coup d’un jour

Je ne suis pas retournée à la salle de sport, allez savoir pourquoi ? J’ai pris un abonnement dans une autre salle. Et je n’ai jamais revu ces deux zygotos.

J’ai eu d’autres expériences, mais celle-là restera longtemps gravé dans ma mémoire

Bisous tout le monde !

Elian Lvekman, d’après une histoire originale de Bougetoi publié en 2000 sur le site disparu de Sophiexxx

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5 réponses à Vestiaire lubrique par Elian Lvekman

  1. Elmer dit :

    En fait c’est le canevas d’une histoire intéressante, mais nous n’avons que le canevas, pas l’histoire telle qu’elle devrait être développée

  2. Colombo dit :

    L’auteur nous promet une suite avec un chien , puis referme cette possibilité. Dommage !

  3. Olivia dit :

    Il n’y a pas que les vestiaires qui sont lubriques !!!!

  4. Claire dit :

    C’est malheureusement très factuel, on ne sait rien de ce couple sorti de nulle part. Mais lu comme un petit délire sans prétention, ce n’est pas si mal

  5. Nidromel dit :

    Mais pourquoi le mec balisait-il sa copine dans la cabine du vestiaire ?

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