L’auberge de jeunesse de Montréal par Laurie
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Ce récit peut se lire seul, mais il est une suite du texte « Vol humide » publié le 11 janvier dernier
Je sortis de l’avion après 8 heures de vol aussi chaudes qu’humides. Je rejoins rapidement la douane de l’aéroport Pierre Elliot Trudeau à Montréal. Je passais devant un douanier qui vérifia mon identité.
– Alina Chung ? demanda-t-il.
– C’est bien moi, approuvais-je.
– Que venez-vous faire au Québec ?
Je ne pouvais dire à cet homme que je venais pour une soirée libertine dans le quartier gay de Montréal.
– Je suis là pour quelques jours de vacances. Je voudrais visiter Montréal, dis-je, omettant la partie sexuelle de mon périple.
– Très bien, bon séjour, fit-il avant de me rendre mon passeport.
Je le récupérais et filais prendre ma valise. Arrivée aux tapis roulants, aucun bagage n’était sorti. Je passais donc aux toilettes me rincer le visage et faire une toilette de chat, après ce long vol. En ressortant, je vis que les bagages commençaient à arriver. Je pris le mien et filais hors de l’aéroport. Le froid me mordit en quittant les lieux. Les températures étaient déjà bien basses en ce mois de novembre. Je rejoins rapidement les petits abribus chauffés et m’y abritais en attendant le bus 747 qui devait m’emmener près de mon logement. Il arriva au bout d’une dizaine de minutes et je m’installais. Un québécois enveloppé s’installa à côté de moi. Il renifla plusieurs fois en me regardant d’un air suspicieux. Je me tournais vers la fenêtre pour l’ignorer. Je pris une mèche de mes cheveux brun foncé et les portait à mon nez. Il sentait fort, un souvenir de mon vol agité. Je comprenais l’air dégoûté de mon voisin. Le bus s’arrêta enfin à la station berri UQAM. Je descendis et retrouvais le froid canadien. Mon logement n’était qu’à dix minutes de l’arrêt de bus. Je décidais de poursuivre à pied. J’arrivais enfin au L-hostel. En entrant dans le bâtiment, je vis directement la réception, un grand bureau tout en longueur derrière lequel travaillait deux standardistes.
– Hello, me fit une grande femme à l’épaisse crinière rousse.
Je m’approchais d’elle et répondis.
– Euh bonjour.
– Ah une Française, fit-elle. Ravie de vous accueillir chez nous. Vous avez une réservation ?
– Oui, bien sûr. Attendez.
Je fouillais dans mon sac à main et en sortis la feuille de réservation que j’avais imprimé avant de partir. La rousse la prit et commença à lire. J’examinais le comptoir en attendant. Des cartes de la ville étaient disponibles en libre-service et montraient les principaux sites touristiques. Des prospectus présentaient les visites guidées que proposaient l’auberge. Je repérais le code wifi et le pris en photo. Mes yeux finirent par tomber sur la deuxième standardiste. Elle était assez petite, sûrement autant que moi, très fine mais sacrément belle. Elle avait de longs cheveux châtain clair qui tombaient jusqu’au milieu de son dos et tenus par un foulard rouge. Elle avait des yeux bleus virant vers le gris, plutôt rieurs. Sa peau était claire et semblait incroyablement douce. Elle avait un petit sourire attaché aux coins des lèvres alors qu’elle travaillait qui la rendait mignonne. Elle portait un débardeur blanc serré, qui moulait bien ses seins qui semblaient aussi petits que les miens, surmonté par une petite veste en laine.
Je fus tirée de ma contemplation par la première standardiste.
– C’est bon pour la réservation Mme Chung. Le règlement a bien été fait et votre lit est prêt. Votre traitement spécial a bien été pris en compte.
– Mon traitement ? fis-je, en arrêtant de mater la jolie brunette.
– Comme indiqué sur la réservation, continua la rousse. Vous êtes dans un dortoir pour 4 mais pour le moment, il n’y a que deux autres réservations. Vous êtes dans la chambre numéro 250. Elle se situe dans le bâtiment qui se trouve de l’autre côté de la cour. Vous montez au deuxième étage et tout de suite à gauche jusqu’au fond.
J’acquiesçais, les explications étant claires.
– Une fois dans la chambre, vous aurez le lit 253. Les numéros sont sur les lits. Vous avez une douche dans votre chambre à partager. Le check out se fait jusqu’à 11 h du matin, voici votre pass pour la chambre et les couloirs. Des questions ?
– Non tout est clair, remerciais-je en prenant la carte.
– Si vous voulez boire un verre, nous avons un bar qui reste ouvert jusqu’à 1 h 30. Il suffit de descendre les escaliers derrière vous.
– Merci pour toutes ses informations, fis-je.
– Bienvenue, fit la rousse, avec son petit accent québécois.
Je quittais la réception et me dirigeais vers la chambre. Je pris l’ascenseur qui était immense et finis par arriver devant la porte. Je pensais avoir ma chambre, je ne pensais pas que je serais dans un dortoir, mais je n’avais qu’à vérifier davantage quand j’avais laissé l’organisatrice de la soirée pour laquelle j’étais venue au Canada faire les réservations d’avion et de logement. Je ne pouvais me plaindre. J’entrais dans la pièce. En face de moi, se trouvait la salle de bain, puis à droite un grand espace avec quatre lits superposés, Deux à droite et deux à gauche. Ils se trouvaient dans des sortes de gros caissons fermés par des rideaux.
– Ça va, pensais-je. Ça reste confortable.
Je m’approchais des lits et constatais que ceux de gauche étaient occupés. Les deux autres étaient libres. Celui du bas portait le numéro 253. Je posais ma valise à côté et m’assis sur le matelas. Un bruit de plastique froissé retentit. Je glissais la main dans le lit et me rendit compte que c’était des draps jetables et qu’une alèse en plastique de qualité moyenne recouvrait le matelas.
– Pas si confortable que ça, grommelais-je.
Je m’allongeais tout de même sur le lit. Je sortis mon téléphone et tapais le code du wifi pour me connecter. Je vérifiais mes mails quand la porte de la chambre s’ouvrit. Une jeune femme aux cheveux bruns et portant des lunettes entra.
– Bonjour, me salua-t-elle.
– Bonjour, répondis-je en la regardant.
Elle n’était pas vilaine, sans être aussi belle que la standardiste sur laquelle j’avais craqué à l’accueil. Elle grimpa quelques barreaux d’échelle pour atteindre le lit d’en face et fouillais dans un sac. J’avais ainsi une superbe vue sur son cul. Ses fesses semblaient bien charnues et un peu tombantes dans son jean un peu large. Elle finit par redescendre et s’enferma dans la salle de bain. Je finis la lecture de mes mails et sortit de ma valise, une nouvelle tenue. J’hésitais entre rester au lit ou sortir un peu, mais je n’étais pas si fatiguée et ça pouvait être sympa de descendre voir le bar de l’auberge. J’optais pour une tenue décontractée avec un jean et une blouse ample. Je changeais aussi de culotte, la mienne étant bien humide après mes ébats durant le vol. J’entendis bientôt le bruit d’une chasse d’eau et la brune à lunettes sortit de la salle de bain pour quitter la chambre. Je pris sa place et m’enfermais. La petite salle de bain comportait un lavabo sur lequel traînaient quelques affaires, laissées par les deux autres occupantes, une grande baignoire et une toilette. L’odeur me frappa quand j’occupais les lieux. Une assez légère mais désagréable odeur de merde stagnait dans l’air. Je compris que ma colocataire venait de se soulager.
– Ah les joies des toilettes communes ! me dis-je.
Heureusement, ce genre d’odeur ne me gênait pas du tout et j’aurais pu trouver ça presque excitant. Je me déshabillais et prit une bonne et longue douche, heureuse de me sentir propre. Je finis par me rhabiller et descendre au bar. Je repassais par l’accueil et constatais que les deux hôtesses avaient disparu, remplacées par deux autres, une beaucoup plus âgée portant une longue chevelure grise, une autre plus jeune et avec le crâne presque rasé. Elles me dévisagèrent longuement avant de me saluer. Je fis un signe de tête et descendis au bar. Je fus accueillie par une pile de fût de bière, qui encombrait l’entrée. Je m’avançais sur la gauche pour rejoindre un grand comptoir en bois, surmonté par un tableau indiquant les prix des différentes consommations et des lustres fait en bois de caribou.
– Bonjour, me salua une barmaid très souriante. Je peux vous aider ?
– Euh… je réfléchis mais j’étais venu pour prendre un verre.
– Plutôt cocktail ou bière ?
– Partons pour un cocktail, fis-je en réussissant à me décider. Je vais prendre un cosmopolitan.
– Très bien, je vous fais ça.
Je jetais un coup d’œil autour de moi en attendant. Derrière moi, se trouvait un billard et l’entrée d’une petite salle plus cosy. De l’autre côté, trois femmes se tenaient au bar et discutaient un verre à la main. Elles semblaient bien se connaître et riaient beaucoup. Derrière elles, se trouvaient quelques tables avec des banquettes collées au mur. Sur l’une des banquettes, deux femmes se roulaient une pelle enflammée. Je les observais avec envie. Je me rendis compte que l’une d’elle était la standardiste qui m’avait tant plu. Elle avait quitté sa petite veste et elle portait juste son débardeur blanc et un petit short en jean qui remontait haut sur ses cuisses. L’autre femme, assise sur ses genoux, m’était inconnue. Elle était un peu ronde et semblait tripoter la belle standardiste. Les deux femmes continuèrent à s’embrasser alors que la barman me tendait le verre rouge.
– 12 dollars, me dit-elle.
– Par carte, répondis-je en sortant ma carte bleue.
Je payais avec le sans contact et bus une petite gorgée.
– C’est une soirée spéciale ? demandais-je à la serveuse. Je ne vois que des femmes.
Cette dernière rigola.
– C’est toujours une soirée spéciale alors. On est dans le quartier gay, ma belle. Dans l’auberge de jeunesse la plus lesbienne de Montréal, alors oui il y a que des femmes.
– Oh tout s’explique alors.
– Tu es seulement de passage dans le coin ? demanda la serveuse.
– Oui, je ne reste que quelques jours, j’ai …
Je fus coupée dans ma conversation par une cliente qui revenait chercher deux bières. Je regardais à nouveau autour de moi. La standardiste était à présent seule. Son amie l’avait quitté et elle me fixait. Je rougis doucement et je la vis me sourire. Je souris à mon tour quand la serveuse revient.
– Désolée, on a été coupée, me dit-elle. Du coup, tu passes tes quelques jours de vacances ici ou tu pars découvrir le Québec ?
– Je reste ici pour le moment.
– Cool, tu vas voir, y a plein de choses à faire ici.
Elle se pencha au-dessus du comptoir, me laissant une vue plongeante sur ses seins.
– Et tout un tas de jolies filles à séduire. Enfin, si ça t’intéresse.
– Oh ouiii, dis-je, un peu trop enjouée. Je suis un peu venue ici pour ça.
La barmaid caressa ma joue du dos de la main.
– Jolie comme tu es, tu n’auras pas de mal à en séduire plus d’une.
– Merci, dis-je, en rougissant.
Je ne savais pas trop si elle commençait à flirter avec moi ou avait juste cette honnêteté qu’on trouve chez quelques patrons de bar. Je repris une gorgée de mon cocktail et sentis une présence venir à mes côtés.
– Deux bières, s’il te plaît Laura.
Je me retournais et tombais nez à nez avec ma standardiste qui venait de commander.
La barmaid partit s’occuper de sa commande alors que je mangeais la jolie brune des yeux.
– Bonsoir, fit celle-ci en riant.
– Euh… bonsoir, fis-je.
– Moi, c’est Riley, se présenta-t-elle. Tu te plais dans notre auberge ?
– Alina, répondis-je. Oh oui, c’est vraiment très bien. Je ne m’attendais pas à ça.
Elle s’approcha tout près de moi pour chuchoter quelques mots à mon oreille. Je sentis le parfum de ses cheveux m’étourdir de désir.
Et encore, ce n’est que le début. D’autres surprises arrivent.
Je la regardais perplexe alors qu’elle attrapait ses bières et me faisait un clin d’œil en partant.
– Riley te plaît ? fit la voix de Laura, me sortant de ma contemplation.
– Euh … je, balbutiais-je.
– Ne me la fais pas à l’envers. J’ai bien vu comme tu la matais.
– C’est vrai qu’elle est super sexy.
– Et incroyablement bonne au lit, fit la barmaid.
Je la regardais un peu surprise.
– Elle a commencé à travailler ici, il y a 3 mois. Une bonne recrue selon moi, elle est sérieuse et consciencieuse dans son travail et en plus elle plaît beaucoup à nos clientes. Je sais pas combien de filles elle a conquis depuis son arrivée mais elle a fait des ravages et pas que parmi les clientes, crois-moi. Tiens d’ailleurs, voici sa dernière conquête.
Je regardais dans la direction de la standardiste. Elle était debout, serrée contre une brune assez grande qu’elle embrassait à pleine bouche. Les deux femmes finirent par s’asseoir pour discuter. Les voir me rendit un peu humide et je sentis mon entrejambe ruisseler légèrement. Je reviens à la conversation avec la barmaid, mais mon esprit était ailleurs. Je n’arrivais pas à me sortir la petite brune de la tête. Son odeur, son visage me hantait et j’étais jalouse de la femme qui était avec elle ce soir. Je tentais tout de même de suivre la conversation. Je finis un autre verre et j’aperçus alors Riley entraînait son amante par la main. Les deux femmes entrèrent dans les toilettes et s’enfermèrent. Un peu dépitée, je décidais d’aller me coucher pour être prête demain soir et profiter de ma soirée libertine. Je saluais Laura et partit. Je remontais alors à la chambre, entrais en silence dans la pièce et me brossais les dents. En retournant près de mon lit, je constatais que personne n‘occupait celui du dessus. Je me glissais dans ma cabine et fermais les yeux. Je restais éveillée quelques minutes, cogitant sur la soirée et tous les sous-entendus qu’on m’avait lancé. Finalement, la fatigue et l’alcool eurent raison de moi et je finis par m’endormir. Je fus réveillée, quelques heures plus tard, en sentant un poids sur moi.
– Mais … que… ?
– Chut, me fit une voix, en posant un doigt sur ma bouche. Je suis venue pour toi.
Malgré la pénombre, je reconnus les longs cheveux châtains et la voix de la standardiste.
– Riley ? fis-je, surprise.
– Oui, c’est moi. Je vais m’occuper de toi, pour ton traitement spécial.
– Hein ?? De quoi tu parles ?
– Dans ta réservation, tu as pris un supplément pour un moment sexy et bien chaud avec une de nous, fit-elle, en s’approchant de moi. Eh bien, je suis là pour ça.
Je comprenais d’un coup les informations, les sous-entendus des différentes employées. Les mots « ce n’est que le » de la jolie brunette me revinrent aussi en tête. L’organisatrice n’avait pas pris n’importe quelle auberge, mais un endroit avec des lesbiennes libertines qui savent jouer avec leurs clientes. J’étais aux anges.
– Je vais t’offrir un bel orgasme, ma belle, mais avant j’ai trop envie de t’embrasser et ça depuis que je t’ai vu me mater au bar.
– Mais et ta copine ? La grande brune avec qui tu étais ?
– Ne t’inquiète pas, on est en relation libre, on peut aller voir ailleurs quand on veut.
Après ses mots, je ne résistais pas et l’embrassais à pleine bouche. Ma langue s’enroulait à la sienne alors qu’elle s’allongeait entièrement sur moi. Nous nous roulâmes une pelle pendant de longues minutes, avant que son haleine me fasse reculer. Elle avait un goût bizarre. Riley s’en aperçut et rigola.
– Tu trouves que je pue de la gueule ?
– Euh non, j’ai pas dit ça, fis-je.
Elle se lova sur moi, glissant sa main sur ma culotte et vient chuchoter à mon oreille.
– Tu n’es pas la seule petite salope uro, ici, ma belle. Moi aussi, j’adore ça et ma petite amie m’a laissé un présent aux toilettes.
Je la regardais d’abord choquée, puis je rigolais aussi.
– Tu es vraiment super, lui dis-je, en l’embrassant à nouveau.
Nos bouches se soudèrent à nouveau dans un baiser puissant où chacune cherchait à aspirer la langue de l’autre. Je l’imaginais quelques heures avant à genoux dans les toilettes, se faisant pisser dans la bouche. Ma chatte devient complètement trempée et sentir sa jambe se frotter sur moi n’arrangea rien. On finit par rompre nos baisers et on se déshabilla. Riley était aussi douce que je l’imaginais et encore plus coquine. Je sentis sa bouche parcourir mon corps petit à petit, elle découvrit d’abord mes seins qu’elle suça l’un après l’autre durant un bon moment. Puis, elle descendit le long de mon ventre, le couvrant de baisers. Enfin, elle se trouva entre mes cuisses.
– Tu es trempée, constata-t-elle, en caressant ma chatte toute chauve.
– C’est de ta faute, murmurais-je. Tu m’excites trop.
Elle attrapa ma main et la posa sur sa chatte, je sentis sa touffe de poils avant de sentir son jus.
– Je suis trempée aussi.
– J’ai envie de te goûter, suppliais-je.
– Je suis à toi, alors.
Elle se retourna sur moi et se mit en position de 69. Elle n’hésita pas une seconde avant de s’occuper de ma chatte. Je sentis sa bouche se coller à moi et elle se mit à doucement me lécher. Je fis de même la laissant poser son minou sur ma bouche. Aussitôt, je la léchais goûtant ses jus. Ma langue découvrit ses plis et son entrée secrète. Je la fis tournoyer sur son clitoris, lui arrachant des gémissements.
– Humm Alina, c’est bon, continues.
Elle reprit de son côté ses léchouilles. Je poussais ma langue en elle, la suçant aussi bien que je le pouvais. Elle se contracta d’un coup.
– Oh putain, ça vient, prépares toi, me dit-elle.
J’eus à peine le temps de comprendre que je reçus un jet chaud en pleine face. La coquine venait de se laisser aller et me pisser directement dessus. Je laissais une partie du jet m’asperger le visage et couler dans mes longs cheveux bruns, puis je collais ma bouche à sa chatte. Je goûtais le liquide acide qui dégoulinait dans ma gorge. C’était chaud et si bon. Son jet dura plus longtemps que ce à quoi je m’attendais et j’avalais plusieurs fois pour boire toute sa pisse.
– Tu as aimé, bébé ? me demanda-t-elle, une fois finie.
– Je suis à deux doigts de jouir, fis-je.
– Alors, laisses-moi t’aider.
Je sentis ses lèvres se coller à nouveau à mon clitoris alors que deux de ses doigts entraient en moi. Elle commença à me doigter doucement la chatte, me faisant gémir de plaisir. J’essayais de reprendre mes léchouilles sur sa chatte, mais je ne pouvais me concentrer tellement le plaisir était grand pour moi. Je décidais de la laisser me faire jouir avant de m’occuper d’elle à nouveau. Mon corps était secoué de soubresauts, alors que sa bouche me dévorait. Je me sentais couler sur ses doigts et l’entendais laper mon jus de chatte. Ses murmures approbateurs montraient qu’elle se régalait. Je mis peu de temps à jouir et je poussais un petit glapissement de plaisir alors que je sentis la jouissance traverser mon corps. Je fermais les yeux et poussais sa tête d’une main ferme entre mes jambes alors que je laissais un puissant orgasme m’envahir. Je déglutis plusieurs fois, sentant le goût acide de sa pisse descendre dans ma gorge, avant de retrouver mon souffle. Je finis par la relâcher et elle arrêta de me lécher.
– Tu as aimé ? souffla-t-elle.
– C’était incroyable, réussis-je, à murmurer. Merci beaucoup.
– Y a pas de quoi, répondit-elle. Je crois que ma mission est accomplie, je vais te laisser dormir.
– Mais … et toi ? Je ne t’ai pas fait jouir, tu ne peux pas partir comme ça.
– C’est pas très grave, tu n’es pas obligée de t’occuper de moi.
– J’insiste, fis-je.
– Comment refuser alors ?
Elle se redressa un peu, pour s’asseoir à moitié sur mon visage, ses mains glissant sur mon ventre pour remonter vers mes seins.
– Allez, lèches-moi.
Je posais mes mains sur ses fesses et essayais de la pousser un peu pour avoir accès à son cul.
– Oh, pas mon cul, me dit-elle, comprenant ce que je voulais. Je ne suis pas sûre qu’il soit super propre.
– Humm, fis-je, bien excitée. Comment ça ?
– J’ai dû passer chier avant de te rejoindre et pas sûr que l’essuyage avec le papier du bar soit optimal.
– Ton cul, même souillé, est parfait pour moi. Allez, laisses moi te le bouffer.
– Si c’est bon pour toi, fit-elle.
Elle se déplaça légèrement, gardant ses mains sur mes seins. J’ouvris un peu ses fesses pour pouvoir y glisser ma langue avide. J’inspirais l’air de son cul et remarquais en effet qu’elle ne sentait pas la rose, mais ça restait très léger et j’avais connu bien pire. Je passais ma langue dans sa raie, un peu poisseuse de sueur et descendit jusqu’à sa rondelle.
– Hummm, c’est trop bon, fit-elle en sentant ma langue. Vas-y, bouffe-moi le cul.
Je la sentis tirer sur mes tétons pour me pousser à glisser ma langue en elle. Je la passais sur son cul et sentit des petites traces autour de son anus. Comme elle avait dit, elle n’était pas super propre, cela me fit presque avoir un deuxième orgasme. J’ai déjà avoué être adepte des jeux urophiles mais la scatophilie m’excite au moins autant. Ma langue passa plusieurs fois sur sa rondelle et je la nettoyais rapidement. Les quelques légères traces qui restaient disparurent sur ma langue et j’avalais rapidement cette saveur, un peu terreuse. Une fois, son cul bien propre, je repris mon objectif, la faire jouir. D’une main, je trouvais sa chatte et chatouillais son clitoris tandis que ma langue virevoltait sur son anus. Je la poussais en elle, la pénétrant doucement de ma langue. Elle commença à rebondir sur mon visage, laissant ma langue aller plus profondément en elle. Cette petite sodomie semblait lui plaire énormément et je la sentis bientôt jouir. Elle s’effondra sur moi, dévastée par l’orgasme que je venais lui procurer. Après quelques minutes, elle libéra mon visage, rougi par l’effort, de son poids et s’allongea sur moi.
– C’était incroyable, me dit-elle. Tu es encore plus salope que moi.
Elle m’embrassa doucement, pas du tout choquée de sentir le goût de son cul et sa pisse dans ma bouche. Nous restâmes quelques minutes à nous embrasser et nous caresser doucement.
– Cette fois, je vais te laisser tranquille, dit-elle alors que je laissais échapper un bâillement.
– Tu ne peux pas dormir ici ? demandais-je, me sentant bien blottie contre son corps.
Elle ricana doucement et m’embrassa.
– D’accord, finit-elle par dire. Mais juste parce que c’est toi.
Elle se lova contre moi, sa tête reposant juste au-dessus de mes seins et ses bras me serrant contre elle. Je fermais les yeux et laissais sa respiration, me bercer. En quelques minutes, je m’endormis le visage plein de pisse et la bouche emplie des saveurs d’une femme magnifique.
Fin de l’épisode
Oh ! la coquine !