Sans hésiter, ni réfléchir, je me retrouve sur Odile, frottant mon corps doucement sur le sien, un délice…
La chaleur du soleil dans mon dos, l’odeur des pins, le bonheur !
Je l’embrasse à pleine bouche, elle me sert fort dans ses bras et ses cuisses se relèvent… Je me souviens encore m’être soulevé pour ne pas l’écraser, et d’un coup sans qu’on fasse quoi que ce soit, je sens mon sexe entrer dans le sien. Tout doucement comme dans un rêve ses chairs les plus tendres s’ouvrent et m’accueillent dans leur intimité brûlante et mouillée. Elle pousse un gros soupir, me regarde avec des yeux troubles et me dit tout simplement qu’elle a envie de jouir ! Je suis très troublé moi aussi de voir cette miniature sous moi enfin, depuis tout ce temps à la chercher !
Je fais à peine quelques va-et-vient qu’elle s’accroche à mon cou et bouge son bassin en criant plusieurs fois mon prénom. Je ne peux résister… Je me vide en elle, un plaisir immense. Je n’arrêtais pas de jouir et elle aussi tremblait de partout. On est resté l’un dans l’autre ainsi un moment, je me suis soulevé pour la contempler… Elle pleurait, mais elle me dit vite :
– C’est normal, c’est quand je suis heureuse !
Il fallut hélas arrêter, rentrer, se séparer difficilement mais avec un rendez-vous prochain.
Une semaine plus tard, en fait, avec la précaution d’un rendez-vous dans une rue proche, n’ayant pas envie de me retrouver dans un placard ! Insolite, mais difficile à vivre !
Je la vois arriver en pantalon, un petit haut visiblement sans soutien gorge car ça ballotte fort devant et cette fois je la filme en 8 mm (que je regarde encore avec une nostalgie très forte.)
Elle me sourit, m’embrasse, et on part très vite en discutant, direction : mes collines préférées, et j’apprends qu’elle va passer le permis, tout au moins prend-elle des cours ; Elle me demande ? Ou je lui propose ? De conduire ma voiture et elle roule au ralenti puis prend un peu d’assurance, trop sans doute : une descente, un virage pris trop vite, on frôle la catastrophe, la voiture venant s’arrêter contre un bosquet à 1,50 m sous la piste et sous le bosquet 40 mètres de forte pente ! Paniquée (moi aussi !) Elle se met à pleurer, j’essaie de la rassurer, reprend la piste et on se gare à l’ombre où il y a des tables de pique-nique. OUF ! On se ressaisit, je l’embrasse, la cajole et je lui montre les photos qu’elle trouve si bien que je lui en refais tout de suite… On oublie qu’on a failli mourir en s’embrassant comme des fous, elle assise, moi debout… Je lui dénoue les bretelles de son petit haut, l’enlève et le jette au bout de la table…
Elle me regarde en se cachant la poitrine :
– Je veux que tu reste comme ça, jusqu’à ce qu’on parte !
– Tu es fou, Bernard, il peut y avoir des voitures !
– Ça fait rien, tu es trop belle, je voudrais te montrer à tout le monde… Enlève tes mains, fait moi voir tes trésors…
Je la vois rougir, elle baisse les yeux, ses mains s’écartent mais curieusement, innocemment elle les laisse de chaque côté et pousse un peu ses seins l’un contre l’autre, vision sublime !
J’ai envie de la provoquer, de lui faire faire des trucs qu’on ne lui a sans doute jamais demandé… Je me recule, lui demande de se caresser un peu les seins et elle le fait gauchement, mais elle le fait, ça me surprend ! Et ça m’encourage à faire plus. Elle a toujours les yeux baissés et regarde ses seins qui se déforment sous ses mains, c’est dingue et très excitant … Je sors mon sexe sans qu’elle le voie, je me masturbe lentement…
– Fais sortir les tétons, Odile, vas-y caresse les bouts !
Je la vois encore lever les yeux, regarder mon sexe dans ma main, puis ses yeux dans les miens me dire :
– Je suis contente de te faire bander !
Avec son petit accent particulier, c’était chavirant, peut-être le seul mot osé qu’elle savait ?
A l’époque je n’avais jamais dit à personne que j’aimais me branler, pourquoi le dis-je à elle en particulier ?
Sa réponse me reste gravée :
– Moi aussi je me suis caressée en pensant à toi, je l’avais jamais fait, tu sais ! On est fous, non ?
Elle me traitait souvent de » fou » et j’aimais ça, mais curieux je m’approche d’elle, lui demande comment et où, quel endroit elle s’était caressé :
– Ben là, en bas !
La masturbation féminine m’a toujours fasciné et je lui dis que ça me plaisait beaucoup qu’elle l’ait fait en pensant à moi, puis, je me penche pour l’embrasser ; elle avait toujours les seins dans ses mains, se triturant les tétons, assise sur le banc et j’approche alors mon sexe de sa poitrine et le glisse entre ses deux jolis globes ! Surprise par mon geste inconnu d’elle, elle me regarde :
– C’est bon de faire ça, Bernard ?
– C’est un régal, serres le bien !
Elle s’applique, reprend mieux ses seins et les écrase sur ma queue… Je fais des va-et-vient et ça l’amuse de voir mon » bout » apparaître :
– Tu vas pas me partir dessus, hein ?
– Non, j’ai trop envie de te faire l’amour, tu veux ?
– Oui, j’ai envie vite, Bernard !
Elle se lève, je lui déboutonne le pantalon, lui fait glisser, mais elle tient sa culotte ! Je veux l’enlever !
– Non Bernard ! Je ne veux pas que tu regardes !
Je proteste, elle rougit, ne veut pas, mais finalement ça m’amuse, je n’ai jamais fait l’amour avec une culotte ! Je l’enlace, on s’embrasse comme des amoureux fous, frottant nos bustes, je me suis vite débarrassé de mes vêtements et placé une grande serviette sur la table. Je l’entraîne vers le bout de la table, sa main me serre très fort, elle respire vite, on ne dit plus rien, je la tourne et incline son buste vers la table, ses seins s’y écrasent, son joli visage est tourné, ses yeux fermés.
Je lui caresse le dos, les côtés des seins qui débordent ; elle a les bras écartés, tenant les bords de la table, totalement offerte prête à me recevoir, mais je fais durer le plaisir. Je caresse ses fesses sur la culotte, ses cuisses où je frotte mon sexe que je promène partout, c’est un délice : mon gland entre le haut de ses cuisses et contre l’entre jambe de sa culotte… mes ongles sur son dos la font trembler. Puis, je me mets à genoux et lui embrasse les cuisses, les fesses… Je sens son odeur de femelle et j’écarte sa culotte à peine le temps de passer ma langue le long de son sillon fessier, elle me repousse le visage en me disant » de le mettre « . J’en peux plus, me redresse, écarte le tissu et glisse un doigt curieux, elle pousse un petit cri, elle est trempée, je fais quelques va-et-vient, elle se cramponne à la table et me dit encore de » lui mettre » Je ne résiste plus, mon gland remplace mon doigt, elle halète déjà, je pousse mon sexe en elle, c’est brûlant dedans et je m’enfonce totalement. J’ai déjà envie de jouir, je ne bouge pas savourant cette chaleur, cette brûlure, mais elle bouge sous moi, se redresse un peu, se tenant toujours sur les côtés. Je saisis ses seins, les pétris, durcissant les tétons entre mes doigts, puis on glisse l’un dans l’autre comme dans un rêve, la culotte en plus frotte sur mon sexe et décuple mon plaisir.
Je me souviens m’être redressé pour ne pas l’écraser et aussitôt elle se pousse sur moi avec ses bras, je ne bouge plus, c’est elle qui fait tout et je l’encourage :
– Vas-y Odile, fais-toi du bien ! C’est bon, tu as envie ?
– Oh oui ! Tu peux pas savoir, tu me remplis toute ! J’ai jamais senti ça ! On est fous ! Oh ! J’en peux plus !
Quel contraste de la voir bouger comme une habituée avec son visage rougissant quelques instants plutôt !
En haletant, elle me demande :
– Je te fais du bien, chéri ? Je veux que tu viennes dans moi, j’ai envie, j’ai envie !
– Oui je vais partir ! Je vais remplir ta petite chatte de vicieuse !
J’en profite pour écarter sa culotte et regarder sa » raie « , je vois ses poils soyeux et son petit trou qui se contracte et on explose à la même seconde ! Elle respire comme une femme qui accouche, s’affale sur la table tandis que je me vide en elle. Quel bonheur !
On restera ainsi » emboîtés » en reprenant nos souffles et à peine me suis-je dégagé qu’elle se retourne, m’enlace et me tend ses lèvres en me disant merci !
Oublié » l’accident » heureusement ! On range les photos, je lui en fais quelques-unes, puis, je sors ma caméra et alors qu’elle est rhabillée, je lui propose de faire l’inverse. Elle finit par accepter, je vois réapparaître ses superbes seins, sa culotte et elle finit par l’enlever mais en cachant sa minette ! C’est dingue ça ! Puis j’installe la caméra sur un pied, j’avais tout prévu, et un déclencheur à distance. Je la caresse, puis la mets en route : elle est de profil, moi de face, je lui tripote les seins et je pose sa main droite sur mon sexe qui renaît.
Ma main droite lui caresse les fesses, je suce un téton puis on s’embrasse. Elle me branle maladroitement, je lui montre, elle s’applique en bon élève, contente de voir qu’il se raidit encore.
– Tu as déjà vu ton mari éjaculer ?
– Non, tu sais, il me le fait très vite, Bernard, le soir au lit, je n’ai même pas le temps d’avoir du plaisir comme avec toi !
Elle débite ça très vite, les yeux baissés comme pour s’en débarrasser. Je l’embrasse et lui demande bêtement si elle préfère ce qu’on fait. C’est un grand OUI tout de suite et j’en suis ravi mais combien désolé pour elle, mariée à un imbécile qui ne sait pas qu’il a un bijou, une perle à ses côtés et ne sait pas l’apprécier.
Je lui demande de » me faire un bisou » sur le sexe, elle ne veut pas. J’insiste et elle finit par y poser ses lèvres sans vraiment sucer, mais c’est un début ! Tout à faire ! Et ça me plait !
Puis elle se masturbe et mieux en mieux et ne veut plus que je la touche pour mieux me faire jouir, fasciné par mon gland qui apparaît, disparaît sous ses va-et-vient. Je lui annonce que ça » monte « , que je vais partir, elle m’encourage de la voix et quand soudain je gicle, elle est surprise que ça aille aussi loin et qu’il y en ait encore avec ce que je lui ai donné tout à l’heure… Quel divin plaisir !
Après-midi sublime (malgré le début !) personne ne nous a dérangé pendant nos ébats et nous regagnons la voiture, nus tous le deux sous le soleil et elle-même reconnaît qu’elle est bien ainsi ! Je la persuade de rester nue dans la voiture pour reprendre la piste, elle mettra sa culotte, c’est déjà formidable (j’ai remis mon slip aussi !) car je lui caresse la poitrine sans arrêt et elle aime cette situation.
On pensait déjà à un autre rendez-vous et une semaine plus tard nous repartons dans nos collines, un peu déçu qu’elle soit indisposée, mais cela nous permit de découvrir d’autres plaisirs :
En premier, après avoir bien flirté dans la voiture, je lui demandais si elle voulait bien me montrer comment elle se caressait en pensant à moi. Elle finit par accepter si je faisais pareil.
Accepté !
Mais on préféra se mettre dehors et pour plus de confort je sortis le siège de ma Simca 1100 (certains se souviennent ?) Je me déshabille, elle reste dans sa petite robe dont je descends les bretelles pour sortir ses seins du soutien-gorge. Je lui caresse et ME caresse le premier pour l’inciter à commencer… elle regarde mon sexe, puis sa main disparaît sous sa robe pour toucher son entre cuisse. Pour l’exciter, je lui dis que je me branle souvent entre nos deux rendez-vous :
– Et toi ?
– Moi aussi, le matin surtout, quand mon mari est parti et l’autre jour…
Elle s’arrête !
– Ca me gêne de te dire ça, juste après que mon mari se soit endormi…
Après :
– Je me suis caressée et je suis partie en pensant à la table de l’autre jour !
Je la remercie de me dire tout ça, puis, je lui relève la robe lentement … sa main est sous la culotte et s’agite, c’est superbe ! Je ne dis plus rien, on se regarde le sexe mutuellement… Elle respire fort, elle est déjà tendue, je pense à autre chose pour ne pas jouir, elle sent monter son plaisir et d’un coup je suis surpris qu’elle baisse sa culotte, l’enlève très vite, écarte ses cuisses à demi renversée sur le siège, elle halète en frottant très vite son index sur son bouton… Je vois la ficelle blanche en dessous et je l’encourage à continuer à jouir sans honte. Elle pousse un petit cri, prononce mon prénom plusieurs fois en jouissant et en serrant très fort ses cuisses.
– Et toi Chéri ?
Je ne dis rien, lui enlève la robe, le soutien gorge en place dont je laisse les bonnets, puis, je glisse mon sexe en dessous, c’est une sensation incroyable mais ça frotte. Je l’enlève et je presse mon sexe entre ses seins. Elle regarde, je lui incline la tête, elle me branle elle-même et » naturellement » sa langue touche mon gland ! Je n’en reviens pas de voir ça et je fais durer le plaisir bien qu’ayant une envie folle de jouir
Et je garderais toujours cette vision en moi, elle assise sur ce siège de voiture, moi à califourchon sur elle, mon sexe prisonnier de ses globes qu’elle serre fort de ses mains et ce petit bout de langue qui touche mon gland à chaque fois ! Inoubliable !
C’en est trop, je lui dis que je vais partir, que ça vient, tout en lui caressant les cheveux, je lui tiens un peu la tête quand ma première giclée lui part entre les lèvres ! Mouvement de recul, elle ferme la bouche où mon sperme se répand.
A l’époque, je n’avais pas fait ça souvent, je pense même pas du tout. Je lui fais mes excuses :
– Je n’ai pas pu résister, c’était trop bon !
Je la vois déglutir ma giclée et je lui nettoie la bouche…
– Tu ne m’en veux pas hein ?
– Mon chéri, c’est normal, et puis c’est pas mauvais, c’est salé !
On se met à rire comme des gosses mais j’en profite pour lui dire que si ce n’est pas mauvais, on pourra recommencer et elle ne dit pas non.
Nous venions de faire un grand pas dans le plaisir et comme il nous restait encore du temps on se promène à poil dans cette belle nature en se remerciant mutuellement pour ces moments formidables.
Hélas l’été arrivant, les vacances nous séparèrent. Sans rendez-vous précis, je viendrais taper à sa porte…
A suivre donc…
BERNARD
Première publication sur Vassilia, le 24/01/2001
Ça sent le véçu ou je me trompe ?