Le mois de juin est synonyme de casse-tête pour se loger pour les étudiants qui ne peuvent pas rentrer chez leurs parents et dont les finances sont fragiles… Exactement le cas de ma petite Charlotte…
J’ai laissé passer encore une ou deux semaines pour qu’elle s’habitue aux inspections systématiques avant qu’elle ne mette son uniforme et avant qu’elle ne parte de chez moi… Elle venait toujours 2 fois par semaine et je m’arrangeais pour être toujours présente pendant ses 3 heures de ménage.
Ça me permettait de lui prodiguer quelques conseils sur son comportement, et toujours de me faire servir par ma petite soubrette en uniforme, toujours beaucoup trop ronde (elle avait peut-être pris encore un peu plus de poids) et vulgaire, mais parfaitement à mon goût…
Au début du mois de juin, un jour qu’elle faisait son ménage soigneusement, appliquée qu’elle était à épousseter mes meubles, penchée sur la commode, ce qui me garantissait un point de vue imprenable sur sa jupe qui mettait parfaitement son cul en valeur, je lui ai demandé de s’interrompre quelques minutes…
Elle s’est approchée de moi, debout, alors que j’étais assise dans le canapé, et a gardé ses mains sagement croisées devant elle sur ses grosses cuisses à peine dissimulées par sa jupe….
– Charlotte, je devais partir à peu près tout l’été en vacances, mais tous mes plans tombent à l’eau… Je suis vraiment désolée, mais je te demande ça comme une faveur, je vais avoir besoin que tu viennes travailler pour moi cet été…
– …
– Oh je sais, tu as sûrement prévu des vacances… Peut-être même avec ton petit copain, mais je vais très probablement être ici tout l’été… Et tes 6 heures… C’était déjà pas assez, mais cet été je vais faire des dîners, je vais peut-être avoir des amis qui vont dormir à la maison, il faudra nettoyer tout le linge de cet hiver, ce que je n’avais pas encore eu le temps de faire… Bref, j’ai vraiment besoin de toi…
– … Je ne sais pas si…
– Mais assieds-toi Charlotte, on va en discuter calmement…
Un petit fauteuil assez bas se trouvait juste à côté d’elle, ce qui l’obligerait à avoir les genoux très hauts par rapport à la position de son corps et peut-être me donner la chance d’apercevoir le haut de ses cuisses ou même plus…
En s’asseyant, elle a bien évidemment croisé les cuisses ; toute autre position aurait été d’une impudeur et d’une indécence qu’elle n’était pas encore prête à assumer spontanément…
Je feignis de ne pas m’en rendre compte, et je continuai :
– Qu’en dis-tu ? Ça te serait possible ? Par exemple 3 heures… Mettons 4 jours par semaine… Ou même plus !!
– … Je ne sais pas si…
– Et puis tu sais, je vais être très franche avec toi… Ton éducation n’avance pas beaucoup, et ce n’est pas à ce rythme-là que je te débarrasserai de tes mauvaises manières… Si tu souhaites toujours devenir une jeune femme bien élevée et docile, tu ne le regretteras pas… Tout sera beaucoup plus facile quand je pourrai vraiment faire tout ce que je veux de toi… Enfin je veux dire… Quand tu sauras te contrôler et anticiper mes désirs…
– Madame… Je… Je n’osais pas vous le dire mais je ne vais pas pouvoir continuer à travailler chez vous… Je suis désolée d’être si ingrate, vous avez déjà tellement fait pour moi… Mais je ne peux plus payer mon loyer, je vais être obligée d’interrompre mes études et partir d’ici…
– Tu crois que je vais te laisser interrompre tes études, peut-être te retrouver à la rue ? Il n’en est pas question ! En plus de la chambre d’amis, il y a le petit bureau du fond, qui peut très bien te servir de chambre… Tu peux vivre ici tout l’été en attendant que tes études reprennent… Tu y verras peut-être plus clair à la rentrée…
– Vous … Vous êtes sérieuse ?
– Mais bien sûr ! Qu’en penses-tu ?
– Mais… Vous êtes si généreuse… Je n’aurais jamais imaginé que… Vous êtes sûre que ça ne vous dérangera pas ?
– Pas une seconde ! Alors c’est d’accord ?
– Oh oui Madame… Mais je ne sais pas comment vous remercier… Je vais travailler encore plus dur…
– Ecoute, justement c’est un autre sujet que je voulais aborder avec toi… Moi j’ai décidé de faire ton éducation, toi tu sembles faite pour servir… Pour ME servir…
Je laissais un grand blanc dans la conversation après ces quelques mots pour voir comment elle réagissait et si cette affirmation de son asservissement et de sa docilité allait la choquer… Manifestement trop heureuse de cette proposition d’emménagement, elle a acquiescé, montrant que c’était parfaitement logique dans sa tête… Je n’en attendais pas moins de cette petite truie, folle amoureuse de moi et incapable de me dire non…
– Pour ME servir… Si tu acceptes de vivre ici chez moi, je ne veux plus avoir le sentiment que tu es une femme de ménage lambda, embauchée par hasard, et payée pour quelques heures de repassage… Je vais t’héberger, tu seras nourrie, logée, ce qui représente tout de même un très gros avantage pour toi, mais nos rapports doivent évoluer. Je ne veux plus que tu te considères comme mon employée…
– …
– Pour être très claire, si tu es motivée ça ne devrait pas te poser de problèmes, je ne veux pas que tu restes uniquement motivée par ton salaire…
– Oh madame, mais ce n’est pas du tout ça qui…
– Si tu veux vraiment apprendre à me servir, nourrie, logée, tu n’auras plus aucun problème matériel… Si tu l’acceptes, à partir d’aujourd’hui tu n’es plus mon employée. Tu ne touches plus de salaire… Si tu as envie de rester, je suis heureuse de t’accueillir, et je ne ménagerai pas mes efforts pour te dresser, mais je refuse que notre relation soit basée sur l’argent…
Le verbe dresser, autrement plus fort qu’éduquer était évidemment employé à dessein, pour continuer à la préparer psychologiquement à sa nouvelle vie…
– Me dresser ?
J’ai saisi cette occasion pour faire semblant de m’apercevoir qu’elle avait les cuisses croisées et lui ai donné une grande claque sonore sur le dessus de sa cuisse découverte…
– Aïeeee !!
– Oui, te dresser ! Comme une petite chienne ! Qui t’a autorisée à garder les cuisses croisées quand tu m’adresses la parole ?
– Pardon madame, je ne voulais pas vous offenser, je n’avais pas réalisé que… Enfin tout est si nouveau pour moi…
– C’est bien pour ça que je te parle de dressage. Charlotte, tu as besoin d’être dressée comme une petite chienne qui ne sait pas se tenir !
Entre temps elle avait décroisé ses cuisses précipitamment, sa jupe remontait maintenant très haut sur ses cuisses (aussi à cause de l’assise trop basse du fauteuil)… Encore sous le coup de la surprise elle n’avait même pas pensé à garder ses cuisses serrées, et sans qu’elles soient vraiment écartées, j’apercevais distinctement la culotte blanche de jeune fille bien sage qui allait si bien avec son uniforme…
– Alors ? Es-tu prête à franchir le pas ? A admettre que ce n’est pas moi qui ai besoin d’une bonne et qui te rémunère pour ça, mais toi qui a besoin d’être dressée…
– …
– Ecoute, rien ne presse, tu as encore plusieurs heures de ménage aujourd’hui, tu me diras ce que tu en penses tout à l’heure avant de partir.
Elle s’est levée, pensive et un peu inquiète, sans même remarquer mon regard fixé sur sa culotte. J’imaginais parfaitement les questions et les doutes qui devaient l’assaillir…
Je savais qu’elle avait besoin d’autorité et de fermeté… Au lieu d’être gentille avec elle pour tenter de l’amadouer et emporter sa décision, j’avais en tête de lui donner un avant-goût de ce qui l’attendait pendant son dressage.
Si je ne m’étais pas trompée sur son compte, ce qui aurait fait fuir n’importe quelle fille de son âge devait lui donner d’agréables sensations…
Je la surveillais du coin de l’œil pendant qu’elle passait l’aspirateur autour de la table basse et elle m’a très vite donné une occasion de lui donner ce fameux » avant-goût « .
D’un ton très sec :
– Charlotte, cette table a des roulettes, tu crois que ce serait compliqué de la déplacer pour passer l’aspirateur en dessous ?
– Heu… Je… Oui Madame, bien sûr, je vous demande pardon…
– Je n’ai que faire de tes excuses, ce ne sont pas tes excuses qui vont t’aider à mieux te comporter ! De quoi as-tu besoin ? De quoi t’ai-je parlé tout à l’heure ?
– …
– Charlotte, s’il te plaît, vite !
– D’un… D’un dressage Madame…
– Oui ! Mais il n’y a pas que ça… Pour être précise, j’ai même dit que tu avais besoin d’être dressée comme une petite chienne qui ne sait pas se tenir… Si tu acceptes, aujourd’hui sera ton dernier jour de femme libre… A partir de demain, j’aurai tout pouvoir sur toi pour te dresser, pour faire enfin de toi une femme docile et bien éduquée… Est-ce que tu comprends ?
Après l’avoir longuement toisée de bas en haut dans un silence manifestement oppressant pour elle, j’ai pris le temps d’admirer ses grosses mamelles obscènes à travers sa blouse, puis ses cuisses nues et sa jupe bien trop courte…
Après cet examen interminable (elle commençait à se dandiner d’une jambe sur l’autre, ne sachant plus comment se tenir), j’ai posé ma main sur sa nuque dans un geste tendre et d’un ton maternel :
– C’est pour ton bien ma chérie, et au fond de toi tu le sais… Dis le moi ma puce, ça me ferait plaisir…
– …
– Bon ce n’est pas grave, je vais te laisser reprendre tes esprits… Je te disais donc que tu as besoin d’être dressée… Et qui dit dressage dit punition, en particulier en cas de … bêtise… Si tu refais ce genre de bêtise à l’avenir… Tu iras au coin…
Sans qu’elle s’en rende compte j’avais posé derrière la table basse un paillasson épais et rugueux de 60 cm de long.
– Ici au coin, à genoux sur ce paillasson pendant une demi-heure… Crois-moi ce ne sera pas confortable. Nue bien sûr.
J’avais lâché les trois derniers mots d’un ton froid, comme si ça allait de soi.
Ma petite Charlotte a sursauté comme si elle venait de voir le monstre du Loch Ness, à tel point que j’ai distinctement vu ses seins se balader dans son soutien-gorge, pour mon plus grand plaisir bien sûr !
Elle avait manifestement l’air totalement paniquée, et à ce moment précis, son adorable petite chatte n’était sûrement plus du tout humide…
– Madame… Heu, Madame je crois que…
D’un ton sec :
– Je crois que je ne t’ai pas autorisée à prendre la parole, petite impertinente ! Si tu n’as rien de plus intéressant à dire que bégayer comme une idiote, je crois que tu peux terminer le ménage.
– Oui Madame, bien sûr…
Docile et comme sonnée, déjà soumise, elle est retournée à son aspirateur, la tête basse. Sa démarche n’était pas très assurée et j’ai cru qu’elle allait devoir s’asseoir, mais elle a finalement surmonté son trouble. Sans lui adresser un regard, j’ai quitté l’appartement, j’avais quelques formalités à régler pour préparer la future vie de Charlotte…
Deux heures plus tard, le moment fatidique était arrivé et elle avait tellement peur d’affronter mon regard qu’elle aurait pu continuer à faire le ménage toute la nuit si je ne m’étais pas approchée d’elle.
Incapable de me regarder, elle s’obstinait à nettoyer le miroir de l’entrée, un chiffon à la main, en me tournant le dos.
J’ai doucement posé ma main dans son dos et d’une voix tendre :
– Charlotte, ma chérie, je crois que ce miroir est plus propre qu’il n’a jamais été. Mais laisse donc ce chiffon s’il te plaît, nous avons des choses plus importantes à discuter.
Sans attendre sa réponse, je me suis assise, très droite, l’air sévère, pendant que Charlotte faisait mine de s’asseoir face à moi.
– Reste debout !
– …
– Les mains dans le dos !
– …
30 secondes, puis 1 minute de silence…
– Si tu n’as rien à me dire, un chèque de 5 000 euros t’attend dans ma chambre, va enlever ton uniforme, rhabille toi, je te jure que je ne t’en veux pas, tu es libre ma chérie, mais il n’y aura aucun moyen de revenir sur ta décision…
– …
– Charlotte, ma chérie, on ne va pas y passer la nuit quand même…
– Je veux… Je ne veux pas partir d’ici Madame…
– Tu crois que tes états d’âme de gamine impertinente m’intéressent ? Je m’en fous, ce n’est pas ce dont je t’ai parlé !
– …
– C’est ta dernière chance, sinon je décide à ta place, et ce sera la porte avec ton chèque et une gifle en guise d’adieu !
De gros sanglots ont commencé à rouler sur ses joues et je brûlais d’envie de la prendre dans mes bras pour la consoler…
– Madame, s’il vous plaît, je… je… Je sais que j’ai besoin d’une meilleure éducation, mais…
– DRESSAGE !!! Pas éducation ! Le Petit Larousse. Dresser : Rendre docile, forcer des comportements sous la contrainte… Alors ? J’attends !
– Madame, s’il vous plaît, je… Je… J’accepte que vous me dressiez…
– Franchement… Ça a été si difficile d’arriver là… Je ne suis pas vraiment sûre, ni que tu sois vraiment motivée, ni moi-même d’avoir envie de poursuivre. Tu as l’air tellement coincée !
– Non, non, non !!! Madame, madame, je vous en supplie, s’il vous plaît, je vous en supplie dressez moi, je le mérite, je ne sais pas me tenir, je ne suis qu’une petite chienne qui a besoin de vous…
– Eh ben tu vois que ce n’était pas si difficile !! Viens là mon petit ange, viens sécher tes larmes…
Je ne m’attendais pas à ce que d’un seul coup elle avoue qu’elle avait besoin de moi, son état de chienne, et qu’elle aille jusqu’à me supplier de la dresser, mais j’étais évidemment ravie…
Toute tremblotante, ses sanglots soulevaient ses grosses mamelles comprimées et serrées dans sa tunique trop étroite pour elle, elle est venue s’asseoir à côté de moi sur l’accoudoir.
J’ai commencé à passer ma main dans ses cheveux, sa tête sur mon épaule…
– Ma petite chérie… Tout va bien, calme toi… Je ne suis pas fâchée, je suis même très contente, tu es parvenue à exprimer tes désirs, je suis fière de toin, ma douce… Sèche tes larmes…
– Madame… Merci…
– Ne dis rien mon bébé… Calme-toi, reprends ta respiration…
– ….
– Ça va mieux maintenant ? Allez montre-moi que tu es une femme, tu n’es plus une gamine de 18 ou 20 ans, sèche tes larmes et va te changer, ta journée de travail est terminée !
A son retour, je tenais à la main un contrat de dressage, et je m’étais moi aussi remise de mes émotions, toute émoustillée par ma petite Charlotte docile, fragile et en larmes…
– Charlotte, voici un contrat de dressage, je vais te laisser la soirée pour y réfléchir, j’ai préparé ta chambre au fond, va reprendre tes esprits et lire tout ça… Si tu en es d’accord, ton dressage commence demain matin à 8 heures ! Et naturellement tu dors ici dès cette nuit !
– Mais… Heu… Et je… Enfin, j’ai un appartement, et tous mes vêtements, mes affaires. Quand est-ce que je pourrai aller les chercher ? M’occuper de mon appartement, l’électricité, ma propriétaire, le changement d’adresse ?
Elle avait retrouvé un ton gai, elle était manifestement toute contente…
– Parce qu’en fait c’est un déménagement ! Je vais déménager ! Et chez vous en plus, j’adore trop votre appart’ !!
– Ha oui, c’est vrai, je ne t’avais pas prévenue. J’étais sûre que tu accepterais ma proposition. Je suis allée tout à l’heure avec des déménageurs chez toi. Franchement il n’y avait rien à garder dans tes meubles, ils sont allés directement à la déchetterie. J’en ai profité pour résilier ton bail et tous tes contrats pour que tu n’aies pas à te préoccuper de toute cette paperasse.
Je me suis bien dit que tu serais un peu triste de ne pas récupérer tes vêtements, j’ai jeté un œil dans tes penderies mais honnêtement, toutes ces fringues BCBG et amples pour cacher tes formes, ça ne te va pas du tout.
Regarde-toi dans un miroir et tu verras une grosse pouffiasse vulgaire et incapable de s’assumer ! Ouvre les yeux Charlotte, ça te fera du bien je t’assure !
Rebelote, avalanche de pleurs, la demoiselle s’effondre sur le tapis et menace de tremper entièrement mon canapé sous ses larmes…
– Avant même le premier jour de ton éducation, je commence déjà à en avoir marre de toi… Ça commence bien… Ça suffit maintenant, tu vas dans ta chambre, prends le contrat, lis le et rendez-vous demain matin à 8 heures. Tout ce que tu possèdes se résume à l’uniforme que tu portes, ton uniforme de rechange qui se trouve sur ton lit, et ta trousse de toilette qui est dans la salle de bains. Je ne veux plus te voir, tu es arrivée à me filer un de ces « mal de crâne » avec tes pleurnicheries… Au lit sans manger !
Le lendemain matin à 8 heures, voulant me faire plaisir Charlotte était en uniforme, en train de mettre la table pour le petit déjeuner, les toasts dans le grille-pain et mon thé en train d’infuser.
Pour ma part, j’avais choisi une jupe en soie unie rose pâle, descendant à mi-cuisses, relativement moulante et un haut blanc très fin, presque transparent, ouvert devant et retenu uniquement par des lacets sous la poitrine, noués assez lâches. Je pourrais difficilement sortir ainsi, mais une veste en daim, non boutonnée, donnerait l’impression que mes seins étaient libres en-dessous, sans être pour autant trop explicite.
Dernier petit détail : pas de sous-vêtements…
Le contrat signé était posé sur la commode. Charlotte avait manifestement enfin pris ses responsabilités, elle l’avait complètement accepté, sans se poser de questions, ni rechigner (il était quand même suffisamment flou et soft pour ne pas l’effrayer).
Nous n’en avons jamais reparlé depuis, le contrat dort au fond de mon armoire, signé, comme le sceau de cette relation improbable avec la plus belle esclave que je puisse rêver.
Une petite caresse tendre dans le dos, deux bises sur ses grosses joues roses et un grand sourire :
– Comme tu es mignonne ma chérie ! Tout ça a l’air très appétissant… Va vite me chercher les confitures ! Et range le deuxième couvert, tu mangeras après, en cuisine.
– Bien Madame.
– J’ai réalisé ce matin en me réveillant que tu n’avais pas de chemise de nuit. Tu n’as pas gardé ton uniforme pour la nuit tout de même ?
– Non Madame, j’ai conservé uniquement ma culotte, il faisait trop chaud.
– Mais… Je ne me souviens pas t’avoir donné une culotte de rechange ?
– Non Madame, je n’en ai qu’une, et je l’ai remise ce matin…
– Hooo tu n’as pas honte !!! Tu as dû transpirer là-dedans toute la nuit… Et puis je te connais, il ne doit pas y avoir que de la transpiration. Je n’ai pas oublié tes petites perversions…
– …
– Ne fais pas ta chochotte ma grosse, as-tu glissé ta main dans ta culotte hier soir avant de t’endormir ?
– …
– En pensant par exemple à certaines photos de moi en maillot de bain que tu avais trouvées par hasard il y a 3 ou 4 mois ? Réponds ! Tu vas vite apprendre à ne plus avoir aucun secret pour moi… Et si je me souviens bien, ce n’est pas la honte qui t’avait empêchée de te donner du plaisir au beau milieu de mon salon…
– …
– Bon, tant pis, on va vérifier, enlève ta culotte.
– …
– C’est bien, renifle la, et dis-moi ce que ça sent ?
Charlotte était maintenant nue sous sa mini-jupe, la culotte à la main. C’est peu dire qu’elle était écarlate. Elle n’était pas au bord des larmes comme la veille, mais elle tremblait de honte et d’excitation mêlées.
– Non, je… Non, s’il vous plaît…
– Charlotte !
– …
– …
– Je suis désolée Madame, je n’aurais pas dû avoir des mauvaises pensées hier soir dans mon lit, mais je vous jure que je ne suis pas allée jusqu’au bout…
– Je te crois, mais donne-moi cette culotte et raconte-moi très exactement ce que tu as fait sous tes draps hier soir ?
– S’il vous plaît, pas ça…
– Charlotte !
– …
– Je vais te le dire ce que tu as fait, tu t’es masturbée comme une sale pisseuse, espèce de petite trainée !
Un grand silence, pendant lequel mademoiselle a honteusement fixé ses chaussures, tête baissée…
Sans laisser transparaître ni dégoût ni excitation, j’ai lentement porté sa culotte au niveau de mon visage pour déceler d’éventuelles odeurs trahissant la libido de Charlotte.
– Eh bien dis-moi, vu les odeurs au fond de cette culotte, tu n’es peut-être pas allée jusqu’au bout, mais tu ne devais pas en être très loin…
– …
– Raconte-moi par le menu ce que tu as fait hier soir Charlotte… Je te rappelle que tu es ici chez MOI, pour ME servir et que ton dressage a commencé. J’attends !
– …
– Si tu ne veux pas me raconter tes cochonneries, tu vas me montrer, là maintenant, tout ce que tu as fait hier soir !
D’un geste ferme sans être agressive, je l’ai attrapée par le bras, et je l’ai poussée en arrière. Elle avait oublié le sofa qui se trouvait juste derrière elle et, surprise de perdre l’équilibre, elle est tombée allongée sur cette espèce de méridienne qui n’attendait qu’elle…
Bouche bée, elle est restée sans réaction pendant de longues secondes.
– Charlotte, je ne suis pas assez claire ? Je t’ai demandé de me montrer ce que tu as fait hier soir toute seule dans ton lit !
– …
– Charlotte, je ne te le dirai pas deux fois ! Masturbe-toi ! MAINTENANT !
La petite chérie a commencé à glisser une main timide sous sa jupe, sans dévoiler son intimité. La gorge nouée, paralysée de honte, elle est restée figée pendant que je la fixais des yeux, soutenant son regard apeuré, la forçant à me regarder en face, imperturbable…
– J’attends…
– …
– Peut-être serais tu plus à l’aise en retirant ta jupe ma chérie ? Hein qu’en penses-tu ?
Mécaniquement elle a glissé sa jupe le long de ses cuisses et l’a laissée tomber à terre, comme un robot, ne réalisant même plus ce qu’elle faisait.
Reposant ses mains sur son pubis, elle a instinctivement serré ses cuisses et raidi ses jambes, droites comme la justice, allongée de tout son long.
Mon regard fixe et autoritaire avait définitivement glacé la charmante petite oie blanche, et mes yeux ont glissé le long de son corps pour s’arrêter sur son sexe. Je distinguais à peine quelques poils presque transparents et le bas de ses fesses, le reste était pudiquement caché.
Elle était totalement immobile, la honte et le fait d’être nue lui donnait une chair de poule qu’elle avait bien du mal à contrôler. Je voyais distinctement la peau si fine de ses seins, parcourue par des frissons incontrôlables et l’intérieur de ses cuisses tremblant très légèrement.
Sans dire un mot, toujours debout face à elle, j’ai attendu qu’elle se calme et j’ai pris un ton tendre et protecteur :
– Charlotte, je t’ai donné un ordre, si tu veux me faire plaisir, il faut que tu apprennes à m’obéir. Je te demande de te masturber, ma douce, comme tu l’as fait hier soir, bien au chaud dans ton petit lit douillet. Rappelle-toi comme tu étais bien, comme c’était confortable, je suis sûre que tu vas arriver à me montrer comment tu fais…
Toujours muette, elle a commencé à passer ses doigts entre ses poils. Elle a écarté ses grandes lèvres d’un geste hésitant et a glissé un doigt dans son sexe pendant que l’autre frottait maladroitement son clitoris.
Son sexe avait l’air tendre et si chaud, j’aurais donné n’importe quoi pour y glisser la langue.
Elle poursuivait timidement les va-et-vient, mais ses gestes restaient mécaniques. Elle essayait manifestement de se concentrer pour m’obéir, mais le cœur n’y était pas.
Relevant d’un geste sec ma jupe autour de ma taille, je lui dévoilai brusquement mon sexe intégralement épilé, aussi lisse et doux que le jour de ma naissance.
– Et comme ça ma chérie ? Tu crois que ça peut t’aider ? Si je me souviens bien, ça fait un bon moment que tu rêves de voir ce qui se cache sous mes maillots de bain ? Eh bien vas-y, profites en ma belle, régale toi des yeux, n’en perds pas une miette, pourvu que tu fasses ce que je t’ai demandé…
J’ai cru que Charlotte allait avoir une attaque, elle a bien failli tomber du sofa ! La première surprise passée, elle a ouvert des yeux ronds comme des billes et sans que je ne lui demande rien, ses doigts ont instantanément trouvé le chemin de sa chatte qui s’est mise presque immédiatement à briller d’humidité.
Elle était complètement transformée ! D’une masturbation froide et mécanique, elle est passée en quelques secondes à un bel enthousiasme…
Plongeant avec délice son majeur au fond de sa chatte, elle le ressortait tout doucement en massant l’intérieur de ses petites lèvres sans aucune pudeur. Je voyais parfaitement l’intérieur de son sexe, rose et luisant, à la fois si adulte et si juvénile en même temps…
Son autre main frottait vigoureusement le clitoris, passant de temps en temps à ses jolis tétons qui réclamaient eux aussi qu’on s’occupe d’eux sous la blouse.
Spectatrice, je n’ai plus dit un mot, profitant du spectacle. Au bout de quelques minutes, voyant qu’elle n’était peut-être pas encore suffisamment impudique et docile pour jouir devant moi, j’ai rabaissé ma jupe, je me suis approchée d’elle et je lui ai pris la main :
– C’est bon Charlotte, ça suffit ma chérie, j’en ai assez vu, je voulais voir comment tu fais, maintenant je sais.
– Heu, je… Madame… Je ne…
– Nous avons un planning chargé pour aujourd’hui, tu n’as plus aucun vêtement hormis tes uniformes, nous avons des courses à faire.
– Mais Madame, je n’ai pas… Enfin, s’il vous plaît, je…
– Quoi Charlotte ?
– Madame, je… j’ai envie de jouir…
– Et alors ma pauvre chérie ? Qu’est-ce que ça peut bien me faire ? Je m’en fiche moi ! N’oublie jamais que tu es ici pour m’obéir ! Tu verras, quand tu seras parfaitement dressée, tu éprouveras bien plus de plaisir à satisfaire mes désirs qu’à calmer ta libido de petite chienne en chaleur… Allez debout, on part dans deux minutes, le temps que j’aille faire un petit pipi.
– Mais, comment je… Et ma culotte ? Je vais tâcher ma jupe, Madame s’il vous plaît laissez-moi au moins me nettoyer !
– Pour quoi faire ? Arrête tes jérémiades, je suis prête dans deux minutes…
Après un petit détour par la case pipi, comme si de rien n’était, j’ai pris mon sac à main et en route pour refaire sa garde-robe !!!
Elle a bien tenté de négocier pour remettre au moins sa culotte, mais j’ai prétendu qu’elle avait dû glisser sous le canapé et qu’on n’avait pas le temps de la chercher.
En route pour le métro et au bout de cinq minutes je papotais comme si on était copines du temps qu’il faisait, des mérites comparés de Zara et H&M et de l’avantage d’habiter près du métro.
A peine arrivée sur le quai (nous étions seules en milieu de matinée) j’ai recommencé à jouer avec sa pudeur et ses fantasmes :
– Oh Charlotte, je suis désolée, je viens de m’apercevoir que j’avais mis ta culotte dans la poche de mon manteau ! Regarde : elle est là ! C’est bête, si j’avais su… Ça avait l’air de tellement te chagriner de ne pas la remettre…
Elle est devenue rouge comme une pivoine et hésitait entre l’envie de la remettre et la honte de faire ça sur un quai, même désert…
– Bon allez, t’es une femme, tu n’es plus une gamine qui a peur que les garçons regardent sous sa jupe, tu n’as pas besoin de ce petit morceau de tissu ! Regarde-moi, je n’en ai pas remis non plus !
D’un geste furtif, j’ai baissé ma jupe aux genoux, pour la remonter aussi vite, la laissant constater que je disais vrai…
J’ai négligemment balancé sa culotte dans une poubelle pleine de mégots, de bouteilles de bière à moitié pleines et de bananes écrasées.
J’ai de nouveau cru qu’elle allait avoir une attaque, mais ça commençait à faire trop d’émotions pour une seule journée, et elle a docilement baissé la tête.
Quelques secondes plus tard, nous montions dans le métro…
Je l’ai rapidement » briefée » dans le métro pour lui faire comprendre que, sauf contre-ordre de ma part, quand nous serons ensemble en public, le plus simple est qu’elle se comporte comme si elle était ma fille, sans utiliser de termes explicites ( » maman » ou » ma mère « ) et que je ferai pareil…
C’est quand même plus simple que de parler d’une soubrette en cours d’éducation…
Cette journée de shopping ensemble (mini-shorts ultra-courts mettant bien en valeur ses grosses cuisses blanches, jupes légères et à moitié transparentes se soulevant au moindre souffle, top moulants ultra-décolletés et corsages cintrés sous les seins exagérant l’exubérance de sa poitrine) a été l’occasion de tester son goût pour l’humiliation et la soumission en public. Sans compter que ma petite Charlotte a passé toute la journée en uniforme de bonne…
Avant d’entrer dans chaque magasin, je lui demandais de se concentrer sur un rayon (mini-jupes, corsages etc…) avec quelques consignes précises. Ensuite je me suis régalée à faire des commentaires désobligeants ou trop flatteurs, systématiquement devant des jolies vendeuses pour faire rougir ma petite Charlotte…
Lorsqu’elle a commencé à demander des jupes légères au-dessus du genou en taille 44, je l’ai regardée dans les yeux, et devant une charmante vendeuse toute fine, j’ai lâché à voix haute :
– Mais j’espère que tu plaisantes ma chérie, regarde toi dans une glace ! Tu veux qu’on te prenne pour une femme enceinte ??? Prends au moins un 46 pour dissimuler un peu ces charmants petits bourrelets que tu entretiens soigneusement…
Dans le magasin suivant, lors d’une séance d’essayage de hauts rose bonbon bien moulants et bien décolletés, devant une vendeuse bcbg d’une trentaine d’années :
– Qu’est-ce que vous en pensez Mademoiselle ? C’est franchement vulgaire, mais c’est bien son style… Depuis qu’il fait beau, j’ai l’impression que ton passe-temps préféré consiste à étaler ses seins sous le nez de tout le monde…
– …
– Ne me regarde pas comme ça, prends le si il te plaît ! Et puis le pire c’est qu’il te va bien !
Et pour finir, alors qu’elle sortait d’une cabine d’essayage avec un mini-short en jean ultra ultra-mini en demandant à une vendeuse qui lui ressemblait un peu (une vingtaine d’années, blonde, trop ronde mais sexy) si elle n’avait pas des modèles un tout petit peu plus longs :
– C’est vrai que là ! Plus court c’est pas possible ! Heureusement que tu n’as pas mis de culotte ce matin, parce que je crois qu’il n’y aurait pas la place pour un string, tellement c’est court !! Mais c’est mignon… On va se retourner derrière toi dans la rue !
– Heu mademoiselle, vous n’auriez pas un modèle un peu plus long, parce que là c’est un peu trop…
– Mais je suis sérieuse ! De toute façon, sois honnête, ça ne te dérange pas vraiment de ne pas porter de culotte ? Même avec un string ou un tanga ce serait un peu juste et on verrait les coutures, mais si tu ne mets pas de culotte, ça ne me gêne pas ! Ça fait un peu pute, mais si tu aimes bien, après tout… Qu’en pensez-vous Mademoiselle ?
Et ainsi de suite…
Ma petite Charlotte n’a pas arrêté de rougir de la journée, et quand on est sorties du dernier magasin, elle a commencé à faire demi-tour :
– Oh non ! On a oublié les culottes et les soutien-gorges !
– Ce n’est pas un oubli, Charlotte ! A partir d’aujourd’hui tu n’en porteras plus. Jamais !
– Mais je… Comment ça ?
– Charlotte, la moindre de tes décisions ne t’appartient plus, même la plus intime, comme de porter des culottes ou d’être cul nu comme la petite chienne que tu es. Tu as des objections ?
– Non, je…
– Très bien. Tant que tu vis sous mon toit et pour de longues années j’espère, tu ne sais plus ce que c’est que de mettre une culotte le matin en t’habillant. C’est clair ?
– Oui Madame.
Arrivée chez moi, j’ai renvoyé Charlotte à son rôle de bonniche, rangement de l’appartement, préparation du repas et dîner. Elle avait commencé à prendre de bonnes habitudes, comme de manger seule à la cuisine pendant qu’elle prépare mon repas, ou se tenir debout à côté de moi pendant que je mange pour me servir et accessoirement me faire la conversation…
Une vraie dame de compagnie en somme !
J’ai prétexté une longue journée pour aller me coucher et l’expédier au lit illico.
Au bout d’une dizaine de minutes, je l’ai entendue se coucher et je me suis relevée pour faire irruption sans frapper dans sa chambre.
Sa chambre était pour le moins modeste : un lit d’enfant (lit en fer forgé genre magasin But 190 cm x 90 cm, des barreaux à la tête du lit et au pied, juste quatre montants et un sommier à lattes), des draps roses, une commode et une armoire de la même collection que le lit, une petite chaise et moquette au sol.
Elle venait de se coucher, pudiquement recouverte par le drap, apparemment calme et sage… Les mains posées sur le ventre, elle n’osait pas bouger…
Je me suis assise doucement sur le lit :
– Tu sais Charlotte, j’ai repensé à tout ça… Je comprends que tu aies des désirs, mais… Ça me perturbe vraiment d’imaginer que… Enfin, que tu aies toutes ces pensées cochonnes sous mon toit, le soir toute seule dans ce lit… Tu me comprends ?
– Oui madame, bien sûr ! Je… Je… Je vous promets de faire des efforts ! Je vous le jure !
– Ça ne me suffit pas Charlotte ! Je veux tout contrôler ! Te contrôler…
Une ombre est passée dans son regard, mais elle ne saisissait manifestement pas complètement la portée de mes paroles.
– Mais bien sûr Madame, je comprends parfaitement. J’habite chez vous, je vous dois tant de choses, je vous promets que je vais faire de gros efforts !
– Tu ne m’écoutes pas, petite idiote ! Ça ne me suffit pas ! Tu es pour l’instant incapable de te contrôler, et de toute façon c’est moi qui décide ! Mais j’y pense, tu es toute nue sous le drap ?
– Oui Madame, bien sûr, je vous ai obéi : je n’ai plus de culotte ni pyjama et vous m’avez interdit de porter quoi que ce soit la nuit.
D’un geste sec, j’ai attrapé son drap et je l’ai jeté dans un coin de la chambre, sans qu’elle puisse réagir.
– Dans ce cas, le drap ne te sert à rien non plus ! Hiver comme été il fait toujours trop chaud dans cet appartement, de toute façon… Plus de drap ! Je le range définitivement ! Et puis j’y pense, la semaine prochaine je ferai venir un ouvrier pour faire démonter la porte de ta chambre. Vu la configuration de ta chambre et la position de ton lit, quand tu seras allongée, je pourrai te surveiller depuis le couloir, depuis ma chambre et depuis le salon !
– Vous… Vous… Vous êtes sûre ?
– Bah fais pas cette tête, ma chérie !
Elle s’était à moitié redressée pour s’adosser au mur, toujours si pudique, les jambes croisées et à moitié tournée de manière à ne pas trop exhiber ses seins.
Avec tendresse, je me suis rapprochée d’elle et j’ai posé ma main sur son épaule, juste au-dessus de sa poitrine nue…
– Ecoute moi bien, ma chérie… Qu’est-ce que tu es venu chercher en habitant chez moi ? Une éducation rigoureuse, un dressage n’est-ce pas ? Tu me fais totalement confiance dans cette éducation ?
– Oh oui, bien sûr Madame ! Comment pouvez-vous imaginer que je ne sois pas…
– Alors tu m’obéis, c’est tout ! Et tu acceptes que je sache mieux que toi ce qui est bon pour toi ! Tu n’as rien à me cacher ! Tu n’as plus d’intimité ! Et pouvoir surveiller depuis ma chambre que tu n’es pas en train de te comporter comme une trainée, il me semble que ce n’est pas le bout du monde que je te demande ? Hein, qu’en penses-tu ?
– Je… Je… Oui, je…
– D’ailleurs, puisqu’on en parle, ma petite cochonne, j’espère que tu n’étais pas en train de t’adonner à des plaisirs solitaires quand je suis arrivée ?
– Oh non Madame, je vous le jure !
– Je te crois, mais tu m’autorises à jeter un œil ?
Sans attendre la réponse, je lui ai écarté les cuisses d’un geste tendre et maternel, en caressant la peau si douce qui se trouve à l’intérieur des cuisses, au-dessus du genou.
Calmement et comme si c’était parfaitement banal, j’ai glissé mon majeur en elle en murmurant des petits mots gentils.
– Là, tu vas voir, ça va prendre deux minutes, ce n’est qu’un mauvais moment à passer ma chérie. Et puis je sais que je peux te faire confiance, je suis sûre que tu n’as rien à te reprocher…
– S’il vous plaît Madame, ne…
– Ca y est, voilà, j’en étais sûre ma petite douce, regarde, c’est tout sec à l’intérieur, tu n’as rien à te reprocher, si tu savais comme je suis fière de toi…
Je me suis volontairement mise à parler très lentement, pour justifier de continuer mes va-et-vient entre les lèvres de son sexe tant que l’ » examen » n’était pas terminé.
– Je le savais, tu es une bonne petite, parfaitement docile et disciplinée. Je vais faire de toi une femme parfaitement éduquée qui sait assumer sa volonté de me servir… Et surtout, tu sauras mettre mes désirs au-dessus des tiens… Tu comprends ma chérie ?
Il s’était écoulé au moins une minute, comme au ralenti, dans un monde hors du temps.
Quand j’ai retiré délicatement mon doigt, sa chatte était naturellement trempée et j’ai fait comme si de rien n’était…
– Tu vois que ton éducation progresse, tu t’es couchée comme une soubrette bien sage que tu es, obéissante, et sans idées malsaines…
– Oh Madame, ça me fait tellement plaisir que vous soyez contente !
– Allez c’est l’heure de dormir, ma jolie ! Et j’emporte le drap…
Au moment où j’allais sortir de la chambre, je me suis retournée, comme si j’avais une arrière-pensée. Je voyais distinctement son clitoris bien excité par mes caresses, j’ai ignoré son excitation et je me suis rassise à côté d’elle.
– C’est bien ma chérie, je sais que ton éducation progresse et que tu cherches à me faire plaisir. Tu t’es contrôlée toute la journée, mais est-ce que tu es sûre de t’endormir sans faire de bêtises, toute seule dans le noir ?
Pendant une fraction de seconde, elle a détourné le regard en cherchant une échappatoire, cherchant bien sûr à ne surtout pas laisser transparaître son trouble, mais elle a continué à se trahir avec un imperceptible bégaiement…
– Je… Oh oui, bien sûr Madame, j’ai bien compris tout ce que vous m’avez expliqué !
– Regarde-moi bien dans les yeux Charlotte, c’est important ! Est-ce que je peux te faire confiance ? Est-ce que tu es sûre de toi ? Tu ne vas pas te caresser le sexe dès que je serai partie ?
– …
– Charlotte ?
– Oh Madame, je suis désolée, ce n’est pas si facile, vous savez…
Quelques sanglots perceptibles dans sa voix…
– J’ai tellement peur de vous déplaire… Je… Oui, je… J’ai tellement envie de me caresser !!!
Je me suis rapprochée d’elle et je l’ai prise dans mes bras, lui caressant les cheveux et les épaules.
– Mais ne pleure pas ma Charlotte, c’est parfaitement normal, ton éducation ne sera pas toujours facile tu sais, mais n’aie pas honte… N’aie pas peur Charlotte, je suis là pour t’aider, tu sais ! Tu as envie de continuer ? Tu es heureuse avec moi ? Tu veux poursuivre ton éducation ?
– Oh oui bien sûr Madame !
– J’ai une idée pour que tu ne fasses pas de bêtises cette nuit, je dois avoir quelques accessoires qui restent de mes cours de théâtre quand je faisais partie d’une troupe amateur… Attends-moi, je vais chercher ça dans le placard de la buanderie.
Deux minutes plus tard, je suis revenue avec 4 paires de menottes en cuir moins inconfortables que des menottes en métal, mais tout aussi solides, avec de vraies clefs…
Sans un mot, je l’ai doucement forcée à s’allonger sur le dos, les bras et les jambes en croix, les menottes aux poignets et aux chevilles, rattachées aux barreaux du lit…
Je lui ai souhaité une bonne nuit après un baiser sur le front, et j’ai laissé ma petite puce dans le noir, dans une position pour le moins obscène…
Pour la faire cogiter avant de s’endormir, j’ai lâché d’un ton énigmatique avant de sortir de la pièce :
– On ne va pas remettre le même cirque tous les soirs, on ira faire des courses demain pour trouver une solution plus pratique pour te contrôler. J’ai quelques idées.
A suivre
Qui n’a jamais rêvé d’avoir a sa disposition une accore soubrette prête à satisfaire les fantaisies libidineuses de ses maîtres
De la domination soft comme je l’adore
Passionnant, excitant et bien écrit