Une Inspection approfondie
2 – un samedi mouvementé (partie 1)
par Domi Dupont
UNE INSPECTION APPROFONDIE
CHAPITRE 2 UN SAMEDI MOUVEMENTE
Tandis que ma « deuche » cahotait sur le chemin qui m’emmenait chez mon Inspectrice, je me remémorais le teneur du petit mot qu’elle m’avait donné alors que je partais de l’Inspection.
Petite tapette, tu n’es pas obligé de venir samedi, sache que ça n’entrera nullement en ligne de compte pour ton C.A.P.
Par contre dès que tu auras franchi ma porte, tu ne pourras faire demi-tour et tu devras te soumettre sans aucune échappatoire possible à tous mes désidératas. Ta venue ne te favorisera en rien dans l’obtention de ton C.A.P.
Nécessité d’une toilette complète et profonde avant de venir.
Tu porteras une de tes petites culottes, la plus osée que tu possèdes.
Prévois du linge de rechange.
Tu trouveras un chemin de terre cent mètres après ma maison, tu le prendras et t’y gareras. Tu passeras à travers champ pour gagner ma maison où tu frapperas à la porte-fenêtre à 12 h 30 précise.
Je venais de dépasser sa maison, maison située à la sortie d’un petit village à quelques kilomètres d’A….. , et je cherchais le chemin qu’elle m’avait indiqué. Salope, mon Inspectrice sans doute mais elle tenait à sa réputation. Je le trouvai, m’y engageai et, au bout d’une centaine de mètres, je me garai dans un pré. J’apercevais la maison. Maison campagnarde, ancienne ferme rénovée sans doute. Ayant traversé le pré, je me faufilais à travers une haie pas très profonde et pénétrais dans le jardin (et oui, elle en avait un !!) de ma bourrelle. Et à 12 h 30 précise, je frappai au carreau.
Elle devait veiller car la porte s’ouvrit presqu’immédiatement, s’entrouvrit plutôt. Elle jeta un rapide coup d’œil circonspect aux alentours. Elle ferma prestement les volets dès que j’eus franchi la porte. Sans un mot, elle me fit signe de la suivre. Le moins qu’on puisse dire est qu’elle n’avait pas fait d’efforts vestimentaires superflus: elle portait pour seul vêtement une espèce de blouse, sortie de bain, qui ne parvenait pas à cacher son confortable fessier. Ni culotte, ni soutien-gorge, à quoi bon se fatiguer, même pas ses lunettes. Son cul qui tanguait devant moi, les poils bruns de sa chatte qui se laissait plus que deviner provoquèrent instantanément un effet érectile, je me sentais à l’étroit dans mon jean et je m’inquiétais de ce qu’elle inventerait encore pour me punir de cette bandaison intempestive. Ses cheveux libérés tombaient en cascade sur ses épaules dénudées.
Je pénétrai à sa suite dans une pièce que je supposais être le salon. Les tentures étaient fermées et une grosse bûche brûlait dans la cheminée éclairant théâtralement une table mise pour deux personnes. Deux fauteuils confortables siégeaient face à la cheminée. Entre eux se trouvait une table basse fort encombrée.
-Tu es venu, c’est bien. Déshabille-toi. Ne garde que ta petite culotte !
Le moment d’abandon qu’elle avait eu jeudi n’avait été qu’un intermède: sa voix avait retrouvé sa froideur habituelle.
– Plie correctement tes vêtements et pose-les sur le fauteuil qui est à droite.
Servilement, je m’exécutai en tentant de lui cacher l’état de ma queue. Mais la petite culotte de soie, cadeau de Ludo, que j’avais passée n’arrivait pas à la contenir.
– Tourne-toi face à moi. Mignonne ta petite culotte !! Ma petite tapette a bon goût. Baisse la tête.
Aïe, ça allait commencer mais elle me surprit.
– Ne te cache pas ! J’ai bien vu que mon cul te faisait bander. T’es vraiment un drôle de P.D. qui se met à bander juste en voyant le cul d’une femme qui pourrait être sa mère. Qu’est-ce qui t’excite donc tant chez moi ! Ma chatte poilue ! Tu crois que je ne me suis pas aperçu que tu essaies de voir à travers ma blouse, espèce de petite tapette.
Elle avait raison, profitant du fait que j’avais la tête basse, je tentais de voir sa chatte très imparfaitement dissimulée par son espèce de chemise. Le spectacle de ses longs poils qui au gré de ses mouvements apparaissaient ou disparaissaient donnait à mon vit une tension tout à fait respectable.
– T’aimerais en voir plus, n’est-ce pas ? Comme je suis dans de très bonnes dispositions, je vais te faire un cadeau dont tu sauras apprécier la valeur, j’espère ! Lève la tête et regarde-moi ! Bave devant ce qui ne t’appartiendra jamais !
Elle dégrafa le bouton du haut, puis tout en se caressant les seins, elle libéra le second. Elle écarta les pans de son vêtement découvrant ainsi deux mamelons. Ses mains masquaient ses énormes tétons mais j’étais sûr qu’ils tendaient l’étoffe. Elle joua un instant, me montrant des bouts de peau puis les dissimulant.
– Caresse-toi ! Caresse ta zézette de premier communiant !
J’hésitais un peu… pas très longtemps car j’avais envie que quelqu’un s’occupe de ma queue. Comme ce n’était pas elle qui allait s’en charger… Je promenai mon index et mon annulaire lissant la soie, du haut du gland jusqu’à la naissance des couilles, délicatement sans appuyer, juste pour contenir le plaisir.
Pendant ce temps, l’avant dernier bouton sautait et lascivement la blouse glissait, découvrant progressivement chacun de ses seins. Sa poitrine me donnait l’impression d’être énorme. Ce qui n’était qu’une impression erronée due à ma totale ignorance du corps féminin : je dirais aujourd’hui qu’elle avait une magnifique poitrine qui, malgré son âge, se tenait encore très bien.
Le remarquable dans cette poitrine n’étaient pas seulement les tétons énormes déjà décrits mais aussi les aréoles, bien plus larges qu’une pièce de 100 F en argent, quasiment ocres qui contrastaient avec la blancheur de sa peau. Ces tétons qui semblaient se tendre vers moi en disant « cours toujours, ce n’est pas pour toi ». Leur tension montrait bien l’excitation de ma supérieure pas seulement hiérarchique. Elle dégagea un bras puis l’autre. La blouse ne masquait plus que son ventre et son sexe.
Libéré de toute inhibition, j’avais glissé la main sous la soie. Je massais maintenant vigoureusement mes couilles, ne ratant rien du spectacle de strip qui m’était offert. Elle laissa descendre doucement l’étoffe m’offrant la vision enivrante de son ventre, ventre qui, s’il n’était plus tout à fait plat, ni abdominabilisé comme il est courant aujourd’hui, restait très appétissant, sans trace de bourrelets, ni de vergetures.
Seule faute de goût, la cicatrice pas très esthétique d’une appendicectomie qui lui barrait le côté. Enfin elle laissa échapper le morceau d’étoffe qui tomba à ses pieds. Hum ! Sa chatte ! Ce brun buisson parsemé de gris d’où émergeait ce pénis miniature dégagé et érigé. Lignes de fuite de son ventre, lignes d’attache de ses cuisses, lignes convergentes vers ce point centre de sa féminité où une goutte de rosée perlait déjà. Pendant un temps, j’en oubliais de me masturber, béat devant ce spectacle. Elle me rappela vite à l’ordre :
– Baisse ta culotte jusqu’aux genoux. Ecarte tes jambes. Branle-toi et mets-y un peu d’ardeur. Nous n’allons pas y passer l’après-midi.
Elle alla à la table prit un verre à apéritif où brillait un liquide ambré, du whisky, puis elle se campa, à nouveau, face à moi, laissant errer le verre sur son corps, glissant entre ses seins, accrochant un téton, roulant sur sa toison, le regard ironique fixé sur ma main en anneau qui coulissait de plus en plus vite le long de ma verge, tirant de plus en plus violemment la peau jusqu’à mes testicules puis la remontant recouvrir mon gland.
Mon excitation était à son comble, de mon méat s’échappaient les premières manifestations d’une jouissance que je sentais vivre, monter et qui n’allait pas tarder d’exploser. Quand elle remarqua cela, elle me tendit le verre et m’ordonna :
– Jute dedans !
Il était temps, je le pris et le positionnai au moment même où une dernière tension de ma gaine provoquait l’éjaculation. Ma semence alla éclabousser les parois et coula doucement, tache blanche dans le whisky doré. Quand j’eus terminé, elle récupéra son bien.
– Première porte à ta gauche ! C’est la salle de bain ! Va te nettoyer et attends-moi ! Débarrasse-toi de ta petite culotte, je t’en fournirai une autre.
J’eus le temps de faire la toilette de ma queue qui avait perdu sa vigueur et retrouvé sa mollesse coutumière avant qu’elle n’arrive.
– Bon ! Voyons si tu es bien propre !
Elle m’inspecta d’abord la bite. Apparemment satisfaite de sa première inspection, elle prit sur la tablette au-dessus du lavabo un bracelet en cuir.
– Maintenant que tu t’es branlé, ta queue a retrouvé l’attitude qui me sied. Je ne voudrais pas qu’elle redevienne irrespectueuse alors nous allons l’en empêcher.
Elle me passa le bracelet, le cala à l’arrière du gland et serra. Le cuir s’incrusta dans la chair. Elle serra, serra jusqu’à ce que cette partie de ma queue soit complètement écrasée, comprimée. J’avais décidé de lui cacher ma douleur chaque fois que je le pourrais et là c’était facile car c’était désagréable mais ça n’atteignait en rien ce que j’avais subi le jeudi précédent.
Ensuite, comme un maquignon, elle m’inspecta. D’abord, elle me fit ouvrir la bouche. D’une main, elle tira brutalement ma langue, incrustant ses ongles tandis qu’elle enfournait les doigts de l’autre main pour fouiller mon palais. Elle la retira précipitamment quand elle vit que j’allais vomir.
– SALE PETITE VERMINE ! SI TU OSES ME SOUILLER, TU NETTOIERAS TOUT AVEC TA PETITE BOUCHE DE PD !
Mais elle s’en tint là. Enfin pour la bouche car elle s’en prit ensuite à mes aisselles, les huma, arrachant quelques poils au passage. Je me crispai mais elle n’eut aucune plainte. Elle malaxa ma poitrine pinçant méchamment mes tétons, les étirant un maximum, les tordant sur plus d’un tour en scrutant mon visage pour y lire mes réactions. Tenter de ne pas réagir était sans doute une connerie car elle voulait générer la souffrance et constater sa manifestation. Plus j’étais impassible, plus elle devenait brutale.
– Maintenant croise tes bras, pose-les sur le rebord du lavabo et cambre bien ton petit cul que je puisse voir si tu respectes les règles d’hygiène jusqu’au bout. Sans ménagement, elle écarta mes lunes jumelles et introduisit deux doigts dans mon anus qui ne s’était pas encore totalement remis de ses agissements de jeudi : il était encore irrité mais pas vraiment refermé: elle me fit mal en me pénétrant mais n’eut aucune peine à franchir l’obstacle. Elle ficha ses doigts jusqu’à la garde dans mon conduit, farfouilla un instant puis les ôta. Une seconde passa :
– T’AS VRAIMENT AUCUNE EDUCATION, ON SE RECURE L’ANUS QUAND ON VIENT CHEZ UNE DAME.
Je sentis ses seins s’écraser contre mon dos. Je n’osai bouger me demandant ce qu‘elle allait encore pouvoir inventer comme supplice cependant je ne pus m’empêcher de réagir au contact émoustillant de son buste contre mes omoplates. Ce début d’érection fut vit enrayé par la douleur causé par l’anneau par contre le plaisir/douleur que j’avais déjà ressenti la fois précédente se manifestait de nouveau. Je fus vite fixé quant à ses intentions d’une main, elle me releva la mâchoire supérieure, m’enfila les deux doigts merdeux qui avaient effectué la visite et me susurra dans l’oreille gauche :
– Use de ta langue de P.D. pour nettoyer ce que tu as sali. Ma langue lécha consciencieusement et j’allais même jusqu’à les sucer pour parfaire le nettoiement. Je n’aimais pas spécialement la merde mais c’était la mienne. Elle m’encourageait en frottant sa poitrine contre mon dos, en me mordant l’oreille. Quand elle estima que j’en avais assez fait, elle retira ses doigts.
– Ne bouge pas, nous allons faire ta toilette intime.
Elle prit, sur la tablette, une brosse ronde à friser ou à défriser, en fait, je ne sais pas mais en tout cas une de ses brosses qui ont des poils tout autour.
– D’abord, nous allons tester si tu es capable de l’accueillir.
Sa remarque m’étonna : vu ce qu’elle m’avait déjà mis dans le cul, le diamètre du manche paraissait ridiculement petit. Je compris mon erreur et tout de suite après ma douleur quand je sentis les premiers poils se créer un passage : ce n’était pas le manche.
L’introduction se fit sans trop de mal et je me décontractai quand soudain elle lui donna un mouvement de rotation, la retira vivement, la réintroduisit pour ensuite combiner ses trois mouvements. Elle put être satisfaite car je ne pus retenir ni les plaintes, ni les sursauts. Mais graduellement les bruits que j’émettais se transformèrent, la souffrance devint plaisir, surtout que cette salope pour être mieux à main s’était appuyée contre moi, son sexe humide, très humide frottait contre ma cuisse gauche et son sein droit pesait contre mon épaule.
J’avais le cul et les intestins en feu néanmoins malgré cela je ne pus empêcher mes fesses d’accompagner la brosse dans ses mouvements. Comme jeudi, je m’abandonnais à ses manigances et je perdais tout contrôle. Le devinant, elle arrêta le jeu et me flanquant une claque retentissante sur la fesse, elle dit :
– Bon te voilà propre. Il ne reste plus qu’à t’habiller pour le repas.
M’habiller… Repas… C’était la meilleure. Evidemment c’était un drôle de costume qu’elle avait prévu, costume de plus réduits comme vous allez le pouvoir constater. D’un placard, elle sortit un long lacet de cuir brut– elle devait avoir un cordonnier dans ses relations. Elle s’agenouilla à mes pieds. Vision entre ses seins de son mont de vénus proéminent et fourni. Elle me saisit le testicule droit, l’isola de l’autre par un lien très serré. Elle tira et l’amena à la hauteur de mon aine, elle exécuta un tour et demi autour de mon ventre avec son foutu lacet, s’empara du gauche et lui fit subir le même sort.
Conséquence première : mes deux boules habituellement très proches se trouvaient séparées pour la première fois de leur vie. Conséquence seconde: ma tige molle se retrouvait remontée coincée entre ma peau « testiculienne » et mon abdomen.
Je voguais, je flottais dans un bain permanent de douleur/plaisir, les petites souffrances n’étaient plus que génératrices de plaisir. Je n’avais pas d’initiative à prendre, elle était là immense statue de chair me dominant totalement, m’imposant sa volonté. Je n’étais plus qu’un objet soumis à son bon plaisir.
Elle se redressa, regarda son œuvre et minauda :
– N’est-il pas mieux comme ça ma petite tapette.
Elle retourna à son placard et en ramena un slip. Rappelez-vous les slips kangourou de nos grands-pères. Elle me le tendit et me dit de le passer. Quand je l’eus en main, je me rendis compte que ma chère Inspectrice avait fait des travaux de couture. Elle avait évidé la partie arrière du slip: ce qui camoufla le montage qu’elle venait de commettre mais laissait mon postérieur à l’air.
De nouveau, elle retourna à son placard et en revint avec un peloton de ficelle de boucher. Elle me demanda d’étirer mon téton gauche le plus possible et de le tenir ainsi. Comme à son goût, je ne l’étirai pas suffisamment, elle me montra. Cela m’étirait plus le sein que le téton lui-même mais j’obéis. Après un premier nœud bien ajusté, perpétré très en arrière emprisonnant l’aréole, elle continua par d’autres tout aussi serrés jusqu’à ce que mon téton ressemble à une momie. Elle termina par un nœud encore plus serré que les précédents ce qui m’arracha un aïe.
– Mauviette ! Ricana-t-elle.
La même procédure se répéta pour l’autre. En fait, c’était plus désagréable que douloureux. Pour finir, avec un bout de fil de quelques cm, sur chaque téton, elle exécuta un dernier nœud en arrière du premier fait et elle en laissa pendre une boucle. Intrigué, je faillis l’interroger sur l’utilité de cette fantaisie mais je m’en abstins. Voulait-elle m’y suspendre des boules de Noël, c’était la bonne période.
Les tétons emmaillotés, les boules remontées et écartelées, je la suivis au salon. Elle m’ordonna de m’asseoir. J’allais à la chaise la plus près.
– NON ! L’autre !
Je n’avais aucune envie de la contrarier surtout pour un tel détail. Si elle voulait que je prenne l’autre siège, je prendrai l’autre siège. J’aurais dû me douter que ce n’était pas pur caprice de sa part. Dès que je la sortis de sous la table, je compris la raison de son cri : madame l’Inspectrice avait joué, non seulement, les couturières mais aussi les bricoleuses. Sur la chaise, en son milieu, était vissé (du moins je le supposai) un pied de lit conique d’une hauteur de quelque dix centimètres. Le haut du cône devait avoir un diamètre de deux à trois centimètres mais il s’évasait pour arriver à un diamètre de près de 10 cm à la base.
Je réalisai aussitôt ce qui allait m’arriver. J’étais excité à l’idée d’avoir les entrailles fouillées par ce pieu et j’avais la trouille qu’il m’éclate complètement la rondelle. Je restai immobile fixant ce nouvel instrument de torture.
– Assieds-toi !
– Sur le …?
– Evidemment ! Pourquoi crois-tu que je l’ai installé à cet endroit ! Rassure-toi, je l’ai enduit de beurre pour qu’il pénètre plus aisément ton trou de salope !
Cela ne me rassurait pas plus que ça, j’allais me ficher sur ce morceau de bois glissant sans pouvoir retenir quoique ce soit. Je m’assis, tentant de me l’introduire sans heurts. Vu les traitements précédents et graissé comme il était, je l’absorbai facilement et je me laissai glisser sur cette hampe. En prévision du moment où il commencerait de me distendre et de me faire mal, je m’étais furieusement campé sur mes pieds (ma longueur de jambes me le permettant).
Aussi quand cela se produisit, je réagis immédiatement et parvint à stopper la descente aux enfers. Enfer, je me mentais à moi-même. Sentir mon fondement s’élargissant m’excitait au plus au point. Mon Inspectrice abhorrée s’était confortablement installée sur l’autre chaise. Elle me contemplait sardonique. Elle prit le verre de whisky qui contenait mon foutre. J’eus le temps de penser : « il va falloir que je m’enfile ça ». Elle m’étonna encore : elle leva le verre et le but d’un seul trait.
– Humm ! Pas mauvais ce cocktail ! Ton sperme est foutrement sucré !
Elle ramassa du bout de son index ce qui était resté collé à la paroi du verre puis le lécha de sa langue gourmande. Que n’était-ce ma bite !!
C’est le seul souvenir que je conservai de cette partie du repas. J’étais beaucoup trop occupé à discipliner mes sphincters et les muscles de mes jambes pour absorber progressivement cette bite en bois. Pendant un temps j’oubliais tout ce qui m’entourait, la nudité provocante de mon hôtesse, sa conversation, le vin qu’elle me servit. J’étais entièrement concentré sur mes sensations. Je devinais mon anus qui se dilatait. J’appréhendais et attendais le moment où je ne pourrais plus. Attente vaine. Mes fesses trouvèrent appui sur la chaise sans que je ne me sente déchiré. Elasticité.
Mon inspectrice sembla tout ignorer de mes affres et de mes plaisirs. Elle se comporta en hôtesse parfaite, alimenta une conversation à laquelle que je finis par m’intéresser. Quand elle servit le café, j’avais oublié que j’étais empalé et nous devisions comme deux vieux amis.
Le repas terminé, elle retrouva son rôle. Elle exigea que je garde la position pendant qu’elle débarrassait la table. Pour changer un peu, j’étais indécis, une partie de moi espérait que je puisse quitter la table sans autre dommage, l’autre désirait ardemment qu’il se passe quelque chose. Je n’eus pas de décision à prendre. Revenant de la cuisine, elle passa pour la troisième ou quatrième fois derrière ma chaise. Perfidement, elle s’approcha, posa ses mains sur mes épaules. Je me crispais. Elle les laissa glisser, caressante jusqu’à ma poitrine aux tétons toujours entravés. Sa douceur factice me trompa, je me détendis. Erreur. Ses ongles acérés se plantèrent brutalement dans la chair tendre de mes seins qu’elle tira comme si elle voulait les arracher.
Je hurlai tellement la douleur était vive. Je tentais de me soustraire à cette étreinte intolérable mais elle pesait de tout son poids sur mes épaules. Fiché comme je l’étais sur le phallus de bois, je n’avais aucune liberté de mouvement et je ne pus pas lui échapper. Je perdis alors mon sang froid et pour la première fois je me révoltai :
– TU VAS ME LACHER ESPECE DE VIEILLE FOLLE ! TU ES COMPLETEMENT CINTREE ! ESPECE DE GOUINE MAL BAISEE ! LACHE MOI !
Cela ne l’arrêta pas. Elle se colla à la chaise, machinalement, j’enregistrai l’état de tension de ses tétons à travers les barreaux du dossier. Elle affirma encore sa pression, délaissant mes seins martyrisés, elle plaqua ses mains sur mes cuisses les maintenant rivés à la chaise. Elle conserva cette position jusqu’à ce que je me résigne, que je cesse de m’agiter. Lorsqu’elle fut sûre de sa victoire, elle relâcha son étreinte. Et ce fut le début de ma fête.
PAF ! ¨PAF ! Deux baffes m’éclatèrent la tête.
– Celle-là, c’est pour vieille, asséna-t-elle d’une calme voix qui me fit peur tellement elle était coupante.
PAF ! PAF !
– Celle-là, c’est pour folle
PAF ! PAF !
– Celle-là, c’est pour gouine. Je n’ai jamais mangé de ce pain-là.
PAF ! PAF !
– Celle-là, c’est pour mal baisée. Ne parle pas de ce que tu ne connais pas
PAF ! PAF !
– Ca c’est pour avoir manqué de respect à ton supérieur hiérarchique.
Là, j’avais dégusté ! La couleur de mes joues, je ne voulais pas y penser ! On devait pouvoir compter les gifles au nombre de doigts marqués. Je ne savais plus où j’avais mal ! J’avais même mal à la pine car malgré le bracelet, JE BANDAIS et le cuir me meurtrissait le gland… bonjour la normalité ! Je pleurais comme une madeleine mais je bandais.
Ma gifleuse était tout échevelée, elle avait le rouge aux joues, sa respiration était haletante; ce petit épisode l’avait mis dans un sacré état. Quand elle vit mon pénis tendu, elle ne put s’empêcher de s’esclaffer :
– Ben toi alors ! Reprenant son sérieux, elle me tança sévèrement : Ma petite tapette adorée, tu as commis une faute impardonnable et tu vas le payer très cher. Premièrement, tu vas t’excuser ! J’attends ! Et sois convaincant !
Je me demandais ce que j’allais bien pouvoir lui dire :
– Alors ! Ça vient !
-Madame l’Inspectrice, larmoyai-je, je suis désolé de vous avoir manqué de respect. Je vous promets que je ne recommencerai pas. J’accepte d’avance et je souscris à tout blâme, toute punition que vous voudrez bien m’infliger.
J’étais pas vraiment fier de mes trouvailles mais elle parut satisfaite.
– Maintenant tu vas me servir mon dessert ! Ce petit intermède m’a ouvert l’appétit !
Elle vint s’asseoir sur la table, face à moi, elle posa ses deux pieds sur mes épaules offrant à mes regards chavirés son intimité ouverte luisante de sa cyprine.
– Tu n’es pas là pour te rincer l’œil mais pour que je prenne mon pied. Tu vas faire exactement ce que je te dis…
Elle attaqua :
– Du bout de ta langue, fais le tour de mes lèvres, lèche délicatement toutes les sécrétions que tes mauvaises manières ont provoquées.
Je ne me fis pas prier. Je mis mes mains de chaque côté de ses larges hanches et je me mis à l’œuvre.
– Descends jusqu’à ma raie et titille ma rosette. Ouui ! Comme ça ! Continue !
Je suivais fidèlement ses instructions m’autorisant seulement à caresser ses fesses.
– Remonte le long de ma fente ! Passe entre mes lèvres ! huuum ! Pénètre-moi ! Tes lèvres sur mes lèvres ! ouuuuuuuuuuuuuuuui ! Enfonce ta langue ! Encore ! Encore plus loin ! N’arrête pas !
C’était la première fois que je faisais ça et j’avais du mal avec ma langue, du mal aussi à respirer normalement. Mais c’était très excitant de la sentir réagir à mes caresses et là encore malgré l’anneau je bandais. J’en arrivais à oublier le morceau de lit que j’avais cloué dans les intestins voire même à l’apprécier.
– Occupe-toi de mon petit bâton ! Prends-le en bouche ! Aspire-le ! Suuuce-le ! Elle ne maîtrisait plus sa voix qui partait dans les aigus. Mieuum que çaaaa !Ta langueuh ! Touuuurnnnnnnnne autour !
Son bassin était agité de soubresauts. Naturellement et sans que je m’en rendisse réellement compte mes mains avaient abandonné son cul et cramponnés à ses hanches donnaient un rythme à ses balancements.
– Pompe-moi ! Pomp aaaaahh moi comme ouuuuuu sssij’étais uune bite ! Ouuui POMPE ma petite tapeeettttttttee ! moooonnn pppethouu P.D. .
Ses paroles devenaient inintelligibles, son débit haché, l’ondulation de ses hanches se faisait de plus en plus rapide. Elle projetait son mont contre ma bouche.
Soudain tout bascula: elle croisa ses jambes derrière mes épaules, écrasa littéralement ma tête contre son sexe béant et dégoulinant.
Mon nez se retrouvant enfoui dans sa luxuriante toison, son clitoris dressé s’introduisit subrepticement dans ma narine gauche.
Ma bouche scotchée à ses grandes lèvres inondées de mouille, j’étouffai légèrement. J’eus terriblement peur quand, alors que tous ses muscles se contractaient, elle referma brusquement ses cuisses sur mon cou.
Heureusement, ce fut bref, tout son corps se relâcha et je pus me redresser, respirer librement. Elle resta un moment immobile, ses jambes reposant sur mes épaules.
– Merci ! Ma petite tapette ! Tu as quelque disposition pour les jeux de langues. Je vais prendre un bain, tu as donc une petite demi-heure pour satisfaire à tes besoins naturels et faire un brin de toilette. Tu trouveras ce qu’il te faut à la cuisine. Tu peux ôter ton bracelet à condition de le remettre et aussi serré avant que je ne revienne. Mais tu gardes tes testicules liés. Tu m’attendras au salon. Sur le guéridon, tu trouveras des revues pédagogiques. Ensuite, nous verrons comment te faire payer tes manquements de tout à l’heure.
Quand j’entrai dans la cuisine, l’horloge 16 h 15 : cela faisait presque quatre heures que j’étais là !
(À suivre)
assez décevant de la part de ce cet auteur