Mon épouse n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, pas
agressive du tout, mais » si on me cherche » comme elle dit, » on risque de
me trouver « .
Cette soirée d’été commençait très bien, caniculaire dans la journée, la
température n’avait pas beaucoup chutée. Vêtue d’une robe d’été courte et
légère, mon épouse venait me retrouver au terrain de boule ou j’essayais de
relever le défi des joueurs locaux, en compagnie de mon beau-frère. Pas
ridicules, nous étions menés 12 a 11, pour la « belle ».
Plus un seul quolibet, nous commençons à inspirer le respect.
Je ne savais pas que la pétanque pouvait générer de tels engouements, en
dehors de l’intéressement de la partie – 200 € – les spectateurs avaient
parié sur les chances de nos adversaires de nous mettre « Fanny ».
Mon beau-frère – Luc – est au moins aussi teigneux que sa soeur, sinon plus.
– On ne va pas se laisser faire dit-il, ils croient qu’ils vont nous avoir,
montrons leur, à ces pignoufs, que les gens qui parlent « pointu », comme ils
disent, vont leurs mettre la raclée du siècle.
– Il faudrait qu’on gagne cette main là, on joue en quinze c’est faisable.
Avec six boules on peut marquer 4 points !
– Léo ne rêve pas, ils ont un tireur qui est bien plus fort que moi, mais
nous pouvons gagner quand même !
– Moi j’y crois mais ils sont trop sûrs d’eux, il faudrait les déstabiliser
un peu.
– Je ne vois pas comment ! La pétanque c’est leur métier, nous avons eu de
la chance, ou alors ils nous ont laissés gagner et ils vont nous mettre le
coup de grâce.
– Pas du tout, ils ont cru que nous ne savions pas jouer, tu as bien fait de
leur dire que tes boules étaient neuves, ils ont cru que tu ne jouais
jamais.
– C’est de ta faute si j’ai perdu mes vieilles boules, au fait, tu me dois
50€ !!
– Regarde qui arrive !
– Change pas de sujet quand je te parle d’argent s’il te plait.
– Léo, c’est notre chance qui arrive, ma soeur.
– Tu crois que ma femme va nous porter chance ? Comment ?
– De la façon dont elle est habillée je doute qu’ils continuent à regarder
le cochonnet !!
– Il ne faudrait pas qu’ils sachent qu’elle nous connaît.
– Fais-lui un signe, elle risque de comprendre qu’il ne faut pas qu’elle
s’approche trop prés.
Effectivement, Murielle arrive face à moi, de loin je lui fais un signe
qu’elle peut comprendre, le signe « temps mort » et je porte mon doigt
vertical à ma bouche. D’un hochement de tête elle me fait signe qu’elle a
compris. Elle contourne le boulodrome et vient se placer face au cercle de
jet. Elle regarde la partie comme tout le monde.
Elle a le soleil dans le dos, la transparence de sa robe laisse bien voir
qu’elle ne porte rien dessous, cela ne passe pas inaperçu. Bizarrement les
joueurs se déplacent de façon à ne rien rater du spectacle.
– Bon Titin, faut la finir cette partie, on ne va pas se laisser mener par
ces « nordistes ».
– Vé Camille, je suis un peu gêné par le soleil…..
– Tu parles d’un soleil, la lune que tu regardes plutôt, applique toi…. Oh
bonne mère, qué bon a rien…..
Murielle a tout compris, elle va payer de sa personne pour que tout se passe
comme nous le voulons.
Il y a derrière nous des gosses qui jouent eux aussi à la pétanque, ils
s’appliquent mais les tirs ne sont pas précis. Une boule roule en fin de
course très prés des pieds de mon épouse qui, sans se démonter, juste au
moment ou le pointeur lance sa boule se baisse sans plier les genoux et
ramasse la boule qu’elle tend au gamin venu la chercher. Le geste n’est pas
passé inaperçu, pour être déstabilisé il l’a été le Camille, sa boule part
complètement en dehors du jeu, il nous reste trois boules eux une, nous
marquerons au moins trois points, peut-être quatre.
– Oh cul d’oursin !! C’est quoi ce cinéma que tu nous fais ?
– Attend je ne sais pas ce que j’ai mais j’ai pris un sacré coup dans
l’oeil.
– Tu parles d’un coup dans l’oeil, c’est mon pied dans le cul que tu vas
prendre couillon, qué malheur, avé tes conneries on a perdu.
Murielle ne s’est pas pressée pour se relever quand elle a ramassé la boule,
ils ont eus une vue compléter sur sa paire de fesses… sans culotte ! Les
joueurs de boules sont aussi des hommes ! Avec l’accent du midi, les
conversations sont allées bon train sur la défaite de « l’équipe » qui a été
finaliste des championnats de france. Nous avions parié, nous avons gagné.
Pour se faire payer ça a été un peu plus difficile, mais le patron du
bistrot où nous avons fêté ça, a avancé les 200 € aux perdants.
– Oh les parisiens, vous êtes surs que vous n’avez jamais joué aux boules ?
– Jamais on ne peut pas le dire, mais vous avez vu nos boules ? Elles sont
neuves, peut être deux fois cette année !
– Peuchére, et toi qui me dit « on va les plumer ces touristes ».
– Camille, si tu avais joué comme d’habitude au lieu de regarder les fesses
des jolies dames.
– Titin je regarde ce qu’il y a à voir, pas plus, tu n’as pas regardé toi ?
– Si j’ai regardé mais je ne jouais pas moi, Môssieur !!
On se serait cru dans un film de Pagnol, en tout point, l’accent, les
mimiques, les commentaires, et le pastis omniprésent qui fait s’échauffer
les esprits. Murielle n’est pas rentrée en même temps que nous dans le bar,
elle arrive, décontractée, salue tout le monde.
– Je voudrais faire la bise aux vainqueurs je peux ?
– Bien sur « Moiselle » mais les perdants alors ?
– Je vous autorise à m’offrir une coupe de champagne !!
– Bou diou une coupe de champagne ? Je ne sais même pas s’il en a ?
– Bon alors je prendrais un pastis comme tout le monde.
Ils sont complètement subjugués. Murielle virevolte autour d’eux, je sais
qu’elle commence à s’amuser, son frère qui lui aussi connaît bien sa soeur,
peut-être mieux que moi, est hilare.
Il prend l’accent et raconte des histoires, les tournées de pastis
s’ajoutent les unes aux autres, ça devient très chaud. D’autres clients se
sont joints à nous, la cerise sur le gâteau se présente au comptoir : Kris
la femme de mon beau-frère. Elle était à la plage, le soleil c’est son truc.
Elle est bronzée comme un grain de café, elle porte une robe blanche, soeur
jumelle de celle de Murielle, tout aussi transparente, et tout aussi
décolletée.
– Bonjour tout le monde, je vois qu’on ne s’ennuie pas… Patron je peux
avoir un pastis s’il vous plait.
Elle fait la bise à Murielle, à son mari et à moi.
– Alors les garçons, qui a gagné ?
– Nous bien sur, mais pas sans mal, nous fêtons ça.
– Vous connaissez ces messieurs ? Demande Titin.
– Bien sur, voici Luc, mon mari, qui est le frère de Murielle, qui est la
femme de Léo.
– Oh bonne mère, ils nous ont piégé ces parisiens, alors quand elle s’est
baissée la dame c’était combiné, pour nous faire perdre la main ?
– Pas du tout, juste pour ramasser une boule dit Murielle.
– Eh bé vous devez pas vous ennuyer avec des colis pareils ?!!
– Un colis comme ça je me l’enverrais bien té !
– Titin tu peux être poli avé les dames s’il te plait, on est pas au Panier
ici.
– Au panier non mais j’y mettrais bien la main….au panier, vé ce cul
Camille, c’est comment votre petit nom ?
– Kris, diminutif de Christiane.
Les discussions vont encore durer une bonne heure et quelques tournées de
pastis en plus. Nous demandons ou nous pouvons aller manger, il commence à
être temps. Les filles sont pompettes, et nous un peu mieux mais à peine. Le
patron du bar nous indique un resto dans une rue adjacente.
– Vous verrez on y mange très bien et dites que vous venez de ma part, je
ferme et je vous rejoins.
Nous réglons une partie des consos, le reste va sur « l’ardoise ». Quand nous
sommes rentrés dans le bar il y avait une femme derrière le comptoir ! La
quarantaine, brune cheveux mi-longs frisés. Je n’ai pas eu le temps de la
détailler mais quand elle est montée au premier par un superbe escalier en
colimaçon tout en fer forgé, elle a appelé son fils qui jouait au flipper,
avec un accent italien très reconnaissable. Dans la rue, nous rions et
parlons fort, le pastis… Camille nous à fait un bout de conduite, bien
touché lui aussi, mais très respectueux.
– Je suis très heureux d’avoir fait votre connaissance, nous avons perdu
mais avec les honneurs, vous avez été seigneurs, excusez Titin, il est un
peu lourd mais pas méchant !
– Rien de grave Camille, mais il m’a quand même mis la main aux fesses, je
lui ai mis une petite gifle il n’a pas demandé son reste.
– Oh bonne mère, je n’ai rien vu, en son nom je vous fais des excuses.
– Mais non, je ne dirais pas que c’était un plaisir de le gifler, j’aime
bien qu’on me regarde mais pas touche c’est tout !
Nous arrivons devant le restaurant, Camille nous souhaite bon appétit et
nous quitte d’une démarche mal assurée.
– Il en tient une bonne, combien de tournées avons nous bu ?
– Je n’ai pas compté mais plus de dix c’est sûr.
– Il faut qu’on mange vite, et en plus j’ai envie de faire pipi, le pastis
c’est diurétique..
– Diurétique peut-être mais nous avons bu au moins un litre d’eau chacun,
pas anormal.
Le resto est une véritable bonbonnière.
Il n’y a que 8 tables dressées autour de la pièce, banquette d’un côté,
chaises de l’autre, un petit bar dans un coin, les toilettes et la porte de
la cuisine. Soixante mètres carrés tout au plus, déco années soixante,
tapisseries sur les murs, tableaux représentant uniquement des femmes nues
façon Renoir. L’éclairage est dispensé par des appliques entre les tableaux,
sur chaque table un superbe photophore et une grosse bougie. Il n’y a qu’une
table occupée, un couple, la trentaine, ils sont au champagne, la bouteille
sur la table dans un seau.
La personne qui sort de la cuisine et vient nous accueillir n’est autre que
la femme que j’ai aperçu derrière le bar a l’apéro. Elle s’est changée, elle
était habillée de façon quelconque maintenant elle porte une robe noire a
fines bretelles, courte mi cuisses et un décolleté qui ne cache pas la
moitié des seins. Elle est finement maquillée et ses cheveux sont retenus
par une grosse pince en forme de peigne. Les chaussures à talons très hauts
lui donnent la démarche chaloupée des mannequins lors des défilés de mode.
– Bonsoir, mon mari vient de me prévenir que vous arriviez. Je vous ai
préparé cette table.
– Parfait, les filles sur la banquette ?
– Si vous voulez, mais nous allons aux toilettes ça presse !
Les chaises sont confortables. Deux tables ont été jointes, on dirait que ce
restaurant n’est prévu que pour des couples. Les jeunes ne sont séparés de
nous que par une petite allée, elle est sur la banquette. Je suis le plus
près, en face d’elle, nous nous regardons et nous nous saluons. Le garçon
répond à notre salut.
Les filles reviennent, et prennent place en face de nous. Murielle se trouve
à côté de la fille. Les menus sont sur la table, le choix est vite fait,
nous avons faim mais surtout il nous faut vite manger le pastis commence à
faire son effet, notre langage devient de plus en plus incompréhensible.
Luc, à son habitude, débite des tonnes d’histoires, éculées pour la plupart,
mais toutes aussi hilarantes les unes que les autres.
Il n’y a pas de serveuse, la patronne apporte les entrées pour nos voisins,
puis vient à notre table ouvrir le vin que nous avons commandé. Elle se
penche pour servir dans mon verre ce que je dois déguster. Le haut de sa
robe baille un peu et laisse voir une très belle paire de seins que rien ne
retient. Luc qui n’en perd pas une laisse partir un « Hummm! » en roulant des
yeux plantés dans le décolleté.
– Madame, si votre cuisine est en rapport à votre tour de poitrine je crois
que nous allons bien manger.
– Luc ! Tu pourrais te tenir un peu s’il te plait, excusez-le madame mais
l’apéro est en train de faire son effet, il dit n’importe quoi.
– Mais pas du tout – dis-je – je confirme que la poitrine de madame est
absolument superbe.
– Léo ! Toi aussi tu t’y mets, ces hommes on ne peut pas les sortir !
– Laissez les dire, cela ne me gêne pas du tout, je suis très fière de ma
poitrine, cela me plait beaucoup que les hommes – et les femmes pourquoi
pas – me fassent des compliments.
– Vous voyez les filles, c’est de la jalousie, pourtant vous n’avez rien à
vous reprocher quant à votre poitrine, mais comme c’est nous qui avons fait
les compliments……
Elle repart vers la cuisine, nos voisins qui ont tout entendu sont tout à
fait d’accord avec nous, ils se présentent, Gaëlle et Marc, en vacances.
– Nous avons vu la partie de boule, belle prestation ma foi, vous avez joué
comme des pros. Je vous assure que battre ces messieurs n’est pas à la
portée de tout le monde.
– Comment vous savez ça ? Demande Luc.
– Oh c’est simple nous sommes ici depuis trois jours et tous les soirs nous
venons sur la place voir jouer aux boules, mais surtout entendre ces
messieurs, c’est un plaisir, on se croirait dans un film de Pagnol.
– En plus nous avons sympathisés avec le patron du bar – qui est aussi le
patron de ce restaurant d’ailleurs – il nous à tout raconté.
– Il vous a raconté quoi ?
– C’est simple, les joueurs, quasiment des pros, laissent gagner une partie
ou deux, ils perdent un peu d’argent, et rejouent au moins le double de ce
qu’ils ont perdus et là. Ils gagnent bien sur, et le patron du bar sur les
deux tableaux, car quand ils ont gagné, il est payé !!
– Nous avions compris ça, mais ils nous ont laissé gagner trop de points
dans la « belle ». C’était bien mené mais c’était sans compter sur Murielle
qui, avec son numéro, a déstabilisé le pointeur ; après ça gagner a été très
facile pour nous.
– Effectivement nous avons vu comment on déstabilise un grand joueur de
pétanque, mon mari a été très impressionné aussi, il n’a rien manqué du
ramassage de la boule du gamin.
– Excusez-moi, mais je n’ai pu m’empêcher de regarder, si je peux me
permettre vous avez une superbe paire de fesses. Vous ne portez jamais rien
sous votre robe ?
– Quand je peux je ne met rien, et aujourd’hui je ne regrette rien
– Marc, je ne porte jamais rien sous mes robes, on dirait que tu ne l’as
jamais remarqué !
– Mais si mon coeur, bien sur que je le sais, mais je te fais remarquer que
tu ne te penches jamais de cette façon.
– Ah bon tu voudrais que je montre mon cul à tout le monde dans la rue, je
crois que ça va nous attirer des ennuis.
– N’exagère pas, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire, mais de temps en temps
j’aimerais bien…….
– Marc est un abominable voyeur doublé d’un exhibitionniste invétéré. Je ne
suis jamais habillée assez court. Il fut un temps, au début de notre
mariage, il mesurait la longueur des jupes que j’achetais, 40 cm pas plus,
vous voyez d’ici les crises de rires que nous avons pris dans les magasins.
– Dis-nous que tu n’y prends pas de plaisir……..
– Bien sur que j’y prends du plaisir sinon je ne le ferais pas même pour te
plaire.
La patronne vient nous apporter les entrées. Une assiette remplie de tout un
tas de bonnes choses appétissantes, nos voisins commandent une autre
bouteille de champagne.
– Nous fêtons nos dix ans de mariage, nous nous sommes connus ici dans ce
village, un pèlerinage en quelque sorte !
– Comme c’est romantique, mais ici pour l’exhibition… Pas bien l’endroit
non ?
– Notre rencontre a été une belle exhibition, Gaélle était en vacance. Venue
rejoindre ses parents, sa voiture est tombée en panne tout prés d’ici,
j’étais aussi de passage, j’ai voulu la dépanner, je suis nul en mécanique,
mais chose bizarre j’y suis arrivé. Au moment de repartir, un pneu crevé, la
totale quoi, en voulant m’aider à desserrer la roue qui ne voulait rien
savoir Gaélle a explosé son pantalon. La couture a lâché, quelle ouverture,
et comme elle ne porte jamais rien dessous, elle m’a gratifiée d’une vue
imprenable sur son entrecuisse.
– Marc je ne pouvais rien faire, je n’osais plus me relever, quelle galère,
en fin de compte il m’a proposé de venir à son hôtel pour me changer, nous
ne sous sommes plus jamais quittés !
– Je dois dire que cela m’avait particulièrement excité, il n’arrêtait pas
de regarder mon sexe pendant que j’étais accroupie, je n’avais pas envie de
lui cacher, je crois que si j’avais pu me toucher je l’aurais fait !!
– Belle histoire, ma foi, et depuis vous continuez les exhib’s ?
– Disons que je lui ai fait prendre conscience de l’excitation qu’elle
pouvait retirer de se montrer, maintenant il faudrait presque que je la
freine… !
– N’exagérons rien j’aime ça mais je n’irais pas le faire n’importe ou ni
n’importe quand.
– Ici vous pourriez ?
– Sans problème, en plus je sais que la patronne est assez friande de ça, je
ne me générais pas.
– Bon les filles vous savez ce qui vous reste à faire, dit Luc, Murielle tu
es la plus prés de Gaélle, tu devrais lui montrer que toi aussi tu peux
t’exhiber.
La complicité entre Murielle et son frère est assez incroyable, au point que
je les croyais amis plutôt que frère et soeur lors de notre première
rencontre. Murielle remonte sa robe à hauteur de ceinture, Kris en fait
autant, nous continuons à manger comme s’il ne se passait rien. Marc qui se
trouve face à Murielle, en diagonale a une vue complète sur son intimité.
J’ai sensiblement la même vue sur celle de Gaélle. Je vois briller quelque
chose entre ses jambes, l’insistance de mon regard lui fait ouvrir plus
grand le compas de ses cuisses. J’ai compris, elle porte deux anneaux en or
sur les lèvres, des anneaux très fins fixés assez haut, presque de chaque
coté du clitoris, son sexe est totalement épilé. Les lèvres sont luisantes,
elle doit être très excitée de nous avoir parlé d’exhib’. Je commence à
l’être aussi, j’ai une érection que je vais avoir du mal à cacher si ça
continue, mai en fin de compte j’aurais plutôt envie de la montrer !! Un
coup d’oeil du coté de Marc m’apprend que lui aussi est en pleine érection,
sa braguette est comme un chapiteau de cirque, il voit mon regard sur son
« mât », un grand sourire illumine son visage.
– Nous sommes à table, nous parlons de sexe et je suis dans un état……..
– Marc que se passe t-il ?
– Gaélle, je bande ! Voilà ce qui se passe, je suis en train de manger et je
bande, ça me gêne un peu pour apprécier la bonne cuisine !!
– J’avoue être dans le même état, et toi Luc tu bandes ?
– Ce n’est pas l’envie qui me manque mais je n’ai pas votre motivation
messieurs !
– Le « pôvre » il ne voit rien c’est pour ça, dit Gaélle.
– Pas grave, il se rattrapera plus tard, mangeons……..
La patronne revient nous voir, comme nous sommes les seuls clients elle a du
temps à nous consacrer. En faisant le tour des tables elle voit que les
filles ont leurs robes relevées et ne se gênent pas pour montrer leur
intimité.
Son regard reste posé sur Gaélle, elle voit bien ce qu’elle lui montre et
Gaélle en rajoute. Elle écarte les cuisses le plus possible, son sexe grand
ouvert laisse filer un peu de cyprine qui le rend tout luisant. Elle se
tient entre Luc et moi, derrière nous.
Debout elle à une vue plongeante sur l’intimité de Gaélle. Celle ci la
regarde bien dans les yeux, puis tout doucement elle descend la main droite
entre ses jambes et commence à se toucher le clitoris en écartant les
anneaux, elle rentre le majeur bien profond, l’agite très vite, son mari la
regarde faire, il lui prend la main gauche posée sur la table.
– Vas-y ma chérie, fait toi jouir, montre-nous que tu es une bonne
branleuse.
Gaélle a continué à se masturber jusqu’a l’arrivée d’un orgasme foudroyant.
Elle a poussé un cri rauque, sa tête s’est appuyée sur le dossier de la
banquette, les yeux fermés elle est restée comme ça pendant au moins une
minute. Je ne voyais pas ce qui se passait dans mon dos, trop occupé, trop
excité. J’avais envie de sortir ma queue et de me branler devant tout le
monde. Je sentais ma mouille qui commençait à engluer mon caleçon, une
sensation que j’adore, prémices d’une grande excitation.
Un petit cri dans mon dos, je me retourne. Luc a passé sa main sous la robe
de la patronne dont je ne sais toujours pas le prénom, elle a les jambes
suffisamment écartées pour qu’il puisse atteindre son entrecuisse. Sa main
monte et descend, très vite très fort, cela fait du bruit, comme si on
frappait dans l’eau avec le plat de la main. Elle se caresse les seins en
passant sa main dans sa robe, elle ne porte rien dessous, puis d’un coup
elle remonte le bas de sa robe sur ses hanches. Son sexe et ses fesses sont
entièrement découverts, pas un poil devant mais un tatouage, un serpent dont
la queue part du sexe et la tête arrive au niveau du nombril, je ne peux pas
lire l’inscription sur le pubis.
Luc continue de plus belle, mais je sens qu’il doit fatiguer vu la position
de sa main. Il la retire et passant par derrière, il recommence sa
masturbation la main sur la tranche. Il rentre dans le sexe, j’ai pu voir
que sa main était complètement mouillée, pleine d’écume entre les doigts. Le
pouce s’insinue dans la raie, il cherche l’autre trou, et visiblement le
trouve sans difficulté. Il a maintenant la main dans la chatte et le pouce
dans le cul, elle remue de plus en plus. Kris se lève et vient derrière
elle, elle lui caresse les seins en les sortant de la robe, elle lui pince
les bouts et les tord dans tous les sens.
Kris est prés de moi, je ne peux résister à lui mettre la main aux fesses,
sa robe est toujours roulée autour de sa taille. Avec ma main gauche,
j’opère de la même façon que Luc, les doigts dans la chatte et le pouce dans
le cul, Kris est une adepte de la sodomie, ce n’est pas mon pouce qui lui
pose des problèmes. Dans notre délire nous n’avons rien entendu, mais
quelqu’un est entré, heureusement c’est le patron, il referme au verrou.
– Je vois qu’il était temps que j’arrive, Mona ma chérie, tu allais jouir
sans moi.
Aussitôt dit aussitôt fait, Mona nous a gratifié d’un orgasme monumental,
elle tourne la tête en direction de son mari…
– Ma, César tou arrivé bien, yé né sait pas cé qué tou leur a fait mais ils
sont bien excités, porca miséria !!
– Ma chérie je crois que tu n’es pas en reste quant à l’excitation.
Messieurs dames, je vous prie d’excuser mon épouse, c’est une italienne pure
souche, avec le sang chaud et… Le cul aussi comme vous pouvez le
constater.
Il se nomme César, incroyable, le sexe en plus, nous sommes vraiment dans
l’univers de Pagnol. César est un grand gaillard, taillé XXXL comme on dit,
les cheveux gris, le front barré par une énorme ride et le teint basané des
marins. Il porte un pantalon léger qui ne cache pas son érection.
Murielle qui est face à lui m’adresse un signe, elle a les yeux rivés sur la
proéminence C’est surprenant, il est vrai qu’il porte un pantalon large qui
n’entrave pas le développement de son sexe, mais quand même, ce qui dépasse
est « monumental ». Kris a suivi elle aussi le regard de Murielle. Je vois ses
yeux s’agrandir quand elle découvre le phénomène, elle est à côté de lui,
elle n’a qu’a tendre le bras pour le toucher, elle ne se gène pas, Murielle
se lève et vient les rejoindre. Gaélle qui a repris ses esprits regarde les
deux femmes qui, en toute complicité, vont s’en prendre à ce fabuleux
appendice. Elles commencent par caresser l’engin, une défait la ceinture
pendant que l’autre baisse la fermeture. Sans précipitation Kris descend le
pantalon qui libéré instantanément une queue superbe, César ne porte pas de
sous-vêtement. Tout le monde a les yeux rivés sur ce fabuleux chibre,
j’avoue que c’est la première fois que je vois une bite de cette taille.
César est circoncis, cela fait paraître le gland encore plus gros,
accueillir pose la main dessus et fait un cercle avec son pouce et son
index, incroyable elle ne joint pas ses doigts, en plus de la longueur – au
moins la largeur de deux mains – il est d’un diamètre « insuçable » comme dit
mon épouse.
– Mona je crois que tu ne dois pas t’ennuyer avec un engin pareil, si
j’osais……..
– Ma yé sais cé qué tou vas mé démander, a yaque fois qu’il montre sa queue
toutes les femmes veulent se faire baiser par César, é péricoloso. Dans les
débuts de notre mariage yé né pouvait pas faire l’amour avec lui, mainténant
yé suis téllement agrandie qué yé pourrait mé faire baiser par oun chéval !!
– Mona tu ne devrais pas divulguer nos secrets d’alcôve…….
Kris a pris le relais de Murielle, elle le branle doucement,
penchée en avant elle donne des petits coups de langue sur le gland. Je suis
bien placé pour voir que si elle veut le prendre en bouche elle aura des
difficultés. Par contre je sais que Murielle ne devrait pas avoir de
problèmes, elle a une grande bouche, bien plus grande que celle de Kris. Je
laisse ma place assise à Murielle, elle se trouve maintenant à la bonne
hauteur. Kris dirige le gland vers sa bouche grande ouverte, elle le prend
d’abord entre ses lèvres, donne quelques coups de langue et commence à
enfourner ce fabuleux pal. Quelle vision !
Murielle à la bouche complètement ouverte, et malgré cela elle à des
difficultés. César pose ses mains sur sa tête, et doucement rentre à peine
la moitié de sa queue; il entame un mouvement de va et vient lent d’abord
puis de plus en plus vite, Murielle manque de s’étouffer, elle se retire.
– Impossible de le sucer celui-là, j’ai failli m’étouffer !!
– Je suis désolé, c’est pour cela que je suis allé doucement, c’est mon
problème, a part Mona je crois que personne ne peut me sucer, et alors quant
à faire l’amour. !! J’y ai renoncé depuis longtemps; elles veulent toutes,
mais aucune ne peut me supporter, je suis condamné à faire l’amour à mon
épouse !!
– Moi je veux bien essayer dit Gaélle, mon mari met fout des godes qui sont
au moins aussi gros sinon plus, j’arrive même à les prendre dans le cul
maintenant, dix ans de mariage !!
Elle se lève, sa robe est toujours relevée autour de sa taille. En passant à
côté de moi je vois qu’elle a tellement mouillé que ça lui coule encore sur
les cuisses. Elle vient au contact de César, le caresse un peu, et doucement
se retourne et s’appuie sur une table. Penchée en avant les cuisses bien
écartées elle offre sa raie. César regarde Mona, celle ci a un grand
sourire, elle pense que comme d’habitude son mari sera obligé de se retirer,
en fin de compte c’est elle qui le termine. A mon grand étonnement, quand
César présente son gland, c’est Gaélle qui recule. César n’a qu’à pousser un
peu et son merveilleux pieu s’enfonce sans peine, deux ou trois allers et
retour et il est rentré jusqu’aux couilles.
Gaélle ne bronche pas, cela ne parait pas la gêner, César continue. Le
pistonnage s’intensifie, incroyable cette jeune femme est calibrée grande
taille. César va de plus en plus vite, il lui écarte les fesses, et tout en
pistonnant il pose un pouce sur la rosette qui n’oppose aucune résistance,
il rentre son doigt.
– Oh oui César met moi un doigt dans le cul, fait moi jouir et après tu
pourras m’enculer, j’adore ça, avec ta grosse queue je vais prendre un pied
pas possible. Marc mon chéri donne moi ta queue à sucer……
Quelle santé cette Gaélle, qui dirait ça en la voyant. Mais l’expérience m’a
appris qu’il ne faut pas juger les gens sur la mine ! La tête tournée vers
son mari, elle le suce à pleine bouche. Elle ne peut y mettre les mains
césar la baise de plus en plus vite elle doit se tenir à la table, puis
comme tout à l’heure son orgasme arrive d’un seul coup, sa jouissance est
fulgurante. Elle s’agite dans tous les sens, Marc ne peut plus se faire
sucer, il se branle au-dessus du visage de sa femme.
César qui lui aussi est au bord de la jouissance sort d’un trou pour rentrer
dans l’autre sans ménagement, il s’enfonce d’un seul coup dans ce trou qu’il
a préparé avec son pouce, Gaélle n’a pas bronchée, elle termine son orgasme.
Je ne pouvais pas penser un seul instant qu’elle aurait pu se prendre ce
fabuleux pal aussi facilement que par-devant, mais pourtant César est bien
rentré. Encore quelques mouvements et il jouit lui aussi, bruyamment en
s’enfonçant à faire toucher son ventre sur les fesses de Gaélle. Il reste un
petit moment sans bouger puis ressort. Je vois bien le trou qui ne se
referme pas, le sperme de César déborde légèrement, puis Gaélle se relève et
se retourne vers nous. Mona est subjuguée, elle qui croyait être la seule à
pouvoir se faire enculer par son mari !!
– Bravo, bienvénou au cloub !!
Marc est toujours la bite à la main, il n’a pas joui et continue à se
branler, mais Kris veille au grain.
Elle le regarde et au moment ou elle sent qu’il va jouir elle met sa bouche
sur le gland et avale tout le sperme qu’il lui envoie au fond de la gorge,
rien ne sera perdu, elle se lèche les lèvres et va chercher la dernière
goutte qui perle au méat.
Ouf, si je m’attendais à ça, et en plus nous n’avons même pas fini nos
entrées…… Il me semble que nous allons terminer la soirée de façon bien
agréable !! La fin du repas a été plus calme. Luc a continué à nous abreuver
des ses histoires de plus en plus salaces. Gaélle a récupéré après son
fantastique orgasme, elle a dû aller se laver, la décharge de César étant à
la mesure de la taille de son sexe. Mona et César sont venus nous
accompagner pour les desserts, il a sabré une bouteille de champagne qu’il a
dédiée à Gaélle.
– Gaélle je vais te faire un aveu, tu es la première femme en dehors de Mona
bien sur, que je peux sodomiser aussi facilement, félicitation Marc, bonne
éducation !
– Je n’y suis pour rien, Gaélle est faite comme ça, cette particularité est
quelques fois bien utile…….
– Marc, tu sais bien que notre voisine, qui n’était en rien faite comme moi,
arrive elle aussi à se prendre des monstruosités devant comme derrière, ce
n’est qu’une question d’entraînement.
– Il faut vous dire que notre voisine, Elke, est danoise. Ex mannequin elle
était quasi anorexique, c’est Gaélle qui l’a sauvée d’une dépression qui la
menait droit au suicide. A vingt ans elle était vierge et avait touché à peu
prés à toutes les drogues, lesbienne refoulée elle ne se supportait plus.
Je me suis liée d’amitié avec cette fille qui me faisait pitié. Elle a un
appart’ fabuleux, il lui reste encore beaucoup d’argent. Elle est belle à
damner un saint, mais elle ne voulait plus vivre. Quand elle a commencé à me
toucher, je n’avais pas compris, mais je me suis vite rendu compte qu’elle
arrivait au sexe assez rapidement.
Je n’avais jamais été touchée sexuellement par une fille, cela m’a plu tout
de suite. Marc était très excité quand je lui racontais comment nous nous
faisions jouir et bien sur il a voulu participer, au début elle ne voulait
pas puis elle a pris conscience que c’était mon mari, mais elle n’avait
jamais été pénétrée par un garçon. Il a fallu y aller tout doucement, elle
ne supportait pas l’idée d’être touchée par un homme, la thérapie de Gaélle
a porté ses fruits, en 6 mois, elle avait repris du poil de la bête. Elle
mangeait normalement, pour vous dire dans quel état elle était, nous lui
avons fait prendre presque 25 kilos !! Elle mesure 1.80, on aurait dit une
momie.
– Elle devrait être avec nous aujourd’hui, mais elle est partie au Danemark
pour la semaine, elle vient de décrocher un contrat avec une marque
d’électronique danoise très connue, elle va être « public relation » pour la
France.
– Depuis plus d’un an, elle nous accompagne partout, nous l’avons initiée à
nos jeux sexuels, elle accepte les hommes sans problème tout en préférant
les femmes bien sur. Gaélle l’a dilatée à la mesure de ses godes, et croyez
moi elle en a quelques-uns uns……..
– Nous allons la voir un peu moins maintenant, nous formions ce que l’on
appelle un ménage a trois !!
– Bravo Marc, quelle santé !!
– Ne croyez pas que c’est de tout repos, elles font l’amour ensemble mais
ensuite elles se retournent vers moi et souvent il faut que je satisfasse
les deux.
– Nous allons vous donner notre N° de téléphone si tu as des problèmes tu
nous appelles et nous arrivons !
– Il se fait tard, vous connaissez un endroit sympa ou nous pourrions aller
boire un verre ?
– Dans ce bled il n’y a rien, mais nous connaissons un joli coin ou vous
pourrez vous amuser un peu si vous voulez. Une sorte de guinguette mais un
peu libertine, ça vous branche ?
– Ok pour nous, c’est loin ?
– Dix minutes environ, sur un bras du Rhône, un peu a l’écart, quand vous
verrez le patron ça tête vous dira sûrement quelque chose si vous avez vu
des vieux pornos des années 70/80.
– Léo nous prenons ta voiture je n’ai que deux places.
– Pas la peine d’avoir une voiture si chère et de n’avoir que deux places,
la mienne vaut la moitié et nous pourrions rentrer à 5 !!!
Nous quittons le restaurant, César nous invite à l’apéro le lendemain, il
veut nous présenter un couple de ses amis « qui devrait nous plaire ». Il est
onze heures, il fait encore très chaud, pas un souffle d’air, nous avons
bien mangé, bien bu, nous avons rencontré un couple charmant et nous allons
continuer la soirée dans un lieu libertin, que demande le peuple ?..
…à suivre
Euh ? On est chez Marc Dorcel ou sur Vassilia ?