Tant va le Temps…Tant va le Cul… 6. Aux petits soins d’une Marquise… par Verdon
Pour ceux ou celles qui à force de se branler ont complétement perdu le fil de l’histoire, je rappelle que dans l’épisode précédent nous sommes dans une petite soirée particulière organisée par Finette une sacrée soubrette, pour le profit de Bertrand Belmotte, son patron et Marquis de son état.
Ce dernier vient d’apprendre de la bouche de sa soubrette, que son épouse non contente d’avoir usé jusqu’à présent et par charité sans doute, quelques vieilles bites dénichées dessous les soutanes d’un monastère voisin, voilà que maintenant elle le cocufie avec un jeune curé.
Il est temps se dit-il de remettre de l’ordre sous les jupes de ma compagne et il décide grâce à l’aide de Finette, d’inviter Georges son copain de beuveries, afin de faire profiter Agnès et sous ses yeux, de la meilleure réprimande qu’elle puisse mériter, sachant qu’elle a une certaine prédilection sur tout ce qui peut flatter son opulent postérieur.
On en est donc à la fin du repas. Les esprits s’échauffent, les mains s’agitent et les yeux brillent. Un petit pousse-café augmente les tensions et déjà le Georges caresse la cuisse de la Marquise, tandis que Bernard sort sa bite pour se branler ouvertement devant les autres.
Si on suit du regard les mains de ces messieurs on s’aperçoit qu’elles s’égarent souvent dans des directions qui ne font pas forcément plaisir à notre Agnès. Aussi allant rejoindre la soubrette dans la cuisine elle fustige la chipie qui ne cache pas ses rotondités appétissantes.
– Mais Madame, ce n’est pas de ma faute s’ils ne sont pas sages ces Messieurs !
– Oui c’est de ta faute, petite grue ! Que fais-tu ainsi à fourguer ton cul sous leur nez ! Lui rétorque la patronne un petit peu éméchée…
De retour à table en catimini elle dit à son mari :
– Tu ne peux pas lui dire d’aller se rhabiller à ta poufiasse !
Elle a tout entendu la ‘poufiasse’. Elle prend sa petite mine fâchée et s’en retourne à la cuisine en quittant ostensiblement son tablier…
– Mais voyons veux-tu revenir petite impolie! Madame plaisantait, avec raison d’ailleurs ! Viens donc sur mes genoux…une petite fessée bien méritée va te calmer…si tu montres ton cul c’est qu’il est fait pour cela alors viens ici je vais te pardonner…
Vous pensez bien que la Finette qui avait déjà retiré sa culotte dans la cuisine, est vite revenue sur les genoux de son gentil patron.
(Voilà un homme compréhensif, ajoute Ernestine…et une fille bien sage qui sait se servir de ses fesses!)
– Et vlan, petite garce qui a fait de la peine à Madame…
– Oh oui tape plus fort, c’est bien mérité pour cette greluche, qu’elle dit la patronne !
– Non mais dis-donc, on ne t’a rien demandé à toi et d’ailleurs ne mériterais-tu pas une bonne correction toi aussi …tu ne perds rien pour attendre, dit-il en jetant un petit œil complice à Georges très intéressé et ravi.
– Oh oui ! s’écrie Finette en manquant s’étouffer de rire…pouff !…
Et vlan une nouvelle fournée sur le cul de la bavarde qui bat des jambes comme pour en recevoir davantage…
– Mais de quoi te mêles-tu !….
– Bon les femelles ça suffit !…Bande de petites bavardes insolentes…Dis-donc Georges, ne crois-tu pas qu’il va falloir qu’on sévisse !…
– Il me semble en effet, la cause est entendue ! qu’il répond en se frottant les mains.
– Oh non Georges, je n’ai rien fait !…n’est-ce pas Georges ?…
– Comment rien ! Reprend Bertrand…et avec le curé qu’est-ce que j’ai entendu dire …Salope !
– Oh ! Rien Monsieur, on a dit des prières.
– Ah et qu’est-ce qu’il foutait derrière toi le curé….
– Je ne sais pas Monsieur mon mari…Je n’ai rien vu !…J’étais à genoux…j’avais la robe sur la tête…pour prier Monsieur !
– Eh bien voilà !…et elles sont parfois longues vos prières…non ?
– Si courtes, Monsieur, si courtes !…Hélas ! … il m’a bousculée bien fort… et il s’est sauvé. Il était en transe le pauvre… Dieu lui pardonne ! Et vous aussi Monsieur, pardonnez-moi… Ce n’était pas un gros péché… juste une petite prière…
– Hi, hi, il l’avait courte sa prière… Hi, hi… il faut la fesser qu’elle dit la soubrette…
– Salope ! crie la Marquise en gigotant ses jambes.
Elle est vexée la vieille ! Coincée sur les genoux de son homme, le cul à l’air, elle se débat, pas très fort à vrai dire… elle a honte… et la honte on sait bien que c’est bon, n’est-ce pas !… alors elle tend son cul.
Finette se fait un plaisir de lui retirer sa culotte. (putain une Marquise qui se fait déculottée par sa servante !… ça c’est beau ! me dit Ernestine…).
Mais c’est qu’elle n’a pas le cul très net, souillé de hiéroglyphes bizarres, témoignages récents d’une indigne fréquentation sacerdotale. …
– Oh la cochonne ! Voilà qui mérite une bonne correction….n’est-ce pas Monsieur !
– Conasse !
– Elle a raison tu es une conasse, et toi Georges, qu’en penses-tu ?
– Eh bien mon cher Ami, elle a usé ta Dame de son beau postérieur, certes pas très proprement mais c’est normal puisqu’elle aime ça. Et vois-tu comme elle mouille depuis qu’on la tripote… s’il faut la contenter je peux m’y employer.
– Salaud ! toi aussi tu t’y mets !
– Ben… tu l’as quand même un peu cherchée, avoue-le !… alors une petite correction c’est un peu ce que tu cherches… ne crois-tu ?
– Oui mais juste un peu Georges s’il te plaît ! (elle dit cela en tortillant son cul).
Non mais c’est coupable et ça rechigne à se faire légèrement dégrossir son délictueux popotin… où va-t-on mes amis si on la laisse ouvrir son portillon à tout le monde !
Alors Georges la couche sur ses genoux tandis que Bertrand félicite en même temps la ‘conasse’ de soubrette… Ah ! Ils sont heureux les deux mecs, ils jouissent de tapoter ces deux beaux culs qui finalement ont l’air d’apprécier leurs bonnes attentions !
A vrai dire si elle rechigne, en fait, les genoux de Georges elle en rêve… et puis sa main… sa main sur son cul, bon Dieu elle en frissonne !
Mais pour la forme :
– Ben mes salauds ! Ce n’est tout de même pas des manières…de flatter des Dames !
– Eh bien voyons !…c’est comme ça qu’on corrige les vilaines dames qui font des bêtises…
– Mais je n’ai pas fait de bêtises moi !
– Oh ! Toutes les femmes disent ça…
Et vlan une bonne claque sur le gras de la fesse….
– Il ne t’a pas appris ton petit curé, que si Dieu a fait un si bon cul aux femmes, c’est pour mieux réprimander leurs bas instincts sans se faire mal aux mains…
– (Hi, hi…moi j’aime bien les bas instincts …me dit encore Ernestine).
Elle se soumet la grognasse, comme une docile dame. Elle le relève bien son cul et fait semblant de se plaindre tandis que Finette se régale. Allongée sur les genoux de Bertrand elle a le nez entre les jambes de sa patronne et la vue sublime de la main de Georges qui corrige l’infidèle, même qu’il lui tapote l’entre fesses en lui foutant le doigt au cul…
– Va s’y tape fort, corrige-la, elle le mérite !
Et vlan encore une autre. Elle fait un bon la grognasse… puis une deuxième, et Georges y va de ses bontés ainsi que Bernard. Ils se régalent les salauds. Ils croisent même leurs gestes. Tantôt une jeune fesse pour l’un, tantôt c’est l’autre qui corrige la vieille… un délice je vous dis ! Du bon gras, du souple, des culs qui en veulent, qui se trémoussent et qui rougissent comme des pommes mûres !
– Putain de joli cul qu’elle a ta femme !
– Tu as vu comme il est tendre !
– Elles aiment ça les salopes… allez dites-nous que c’est bon les cochonnes !…
– Oh oui c’est bon… Humm qu’elles s’écrient toutes deux.
Alors ils y vont les deux salauds…
Elles le tortillent leur popotin, elles le tendent à ces deux mains fouetteuses… après tout ça n’est pas si terrible que ça… ils ont la main bien douce !
– Ça suffit comme ça ! Finette passe un peu de pommade sur les fesses de ta patronne, je crois qu’elle en a besoin…
Elle s’empresse de lui masser le cul, la soubrette. Elle fait ça si bien qu’elle en redemande Agnès…
– Oh oui c’est bon tes caresses, continue ma chérie…Va, tu es une bonne soubrette !
– Eh bien la voilà toute gentille notre grande Dame! Tu vois comme c’est bon ! Mets-lui plein de crème partout Finette et n’oublie pas l’entrée des livreurs… ça pourrait servir !
– Non mais qu’est-ce que tu manigances encore mon salaud ?
– Mais rien ma chère, que du bon, ouvre tes fesses… Je sens une grosse impatience chez notre bon copain Georges… vas-y Finette fout lui de la crème au trou du cul à ta Maîtresse… avec un doigt, avec deux, elle aime ça la coquine !
– Hi, hi,
Elle se défoule la mignonne en plantant son index dans le superbe endroit… et elle y va avec son doigt crochu…
Quelle servante n’en ferait pas autant à sa maîtresse !
Et puis elle aime la Dame, c’est bon …
– Oh Finette tu es une bonne petite salope !… Tu as des doigts de fée… Que c’est bon !… tournicote le bien dans mon trou du cul…
Agnès se relève. Elle souffle. Finalement ça n’a pas été si pénible. Elle a l’impression que sous les claques son gros cul s’est revitalisé. Elle a chaud au cul et ressent même un petit bien être… Et l’autre salope qui en rajoute avec sa crème… Elle va s’en prendre une celle-là… Quoiqu’elle fasse cela si bien !
– Ils sont salauds ces hommes… mais putain ils ont de la poigne, qu’elle se dit la Marquise ! Et ce Georges… quelle belle queue !… qu’est-ce que je vais me prendre !
Finalement elle se sent bien la Marquise, entre ces deux généreux mâles. Elle est entre de bonnes mains, à leur merci à leur bon vouloir et après tout elle en est fière… ils vont bien s’occuper d’elle !
Debout dans sa jarretière et ses jolis bas noirs, avec ses souliers à talons hauts qui lui relèvent la croupe, elle est sublime la noble Dame. Sublime de honte, de fierté et d’insolence aussi ! Oh putain qu’elle est belle et elle le sait la chipie. Elle attend avec un peu d’impatience et de bonne crainte comme doit le faire une bonne femelle.
– Et ce Georges avec sa queue…putain quand il veut…oh oui dès qu’il veut…
Faisant semblant d’être réticente elle se raidit la Belmotte, puis elle se soumet, oui c’est bon la soumission. Elle est dans les bras de Bertrand qui la courbe fermement… elle se retient mais pas longtemps, juste pour faire augmenter le plaisir, elle sait que pour Georges c’est un moment important, celui où elle va céder, s’offrir, se soumettre… celui où il va la pénétrer.
– Allez penche-toi belle hérétique ! lui dit Bernard
– Salaud …tu me mène à la monte !…Humm
– Oui te vais t’offrir un bel étalon !
Et elle s’est courbé la païenne, docile entre les deux comparses… comme une vraie salope, une traînée, elle n’a plus de crainte la poufiasse, elle va se l’avaler la honte… et deux bites en même temps !
Elle est superbe, nue devant Georges et humiliée devant sa servante qui la déguste de ses yeux ébahis et gourmands. Elle se plie devant son homme narquois qui lui présente sa bite à sucer.
– Allez courbez-vous ‘Madame la Marquise’ qui lui redit son époux. Tendez-le, vôtre cul à notre cher ami comme vous l’avez tendu à ce petit curé l’autre jour, salope ! montrez-moi comment vous savez si bien me faire cocu !
– Oh oui Monsieur, je vous en prie, mais pas devant la boniche !… J’ai honte, Monsieur, j’ai honte…
– Ben voyons la boniche elle en a déjà vu des trous du cul, ça ne va pas lui faire mal aux yeux ! Votre petit trou ma chère est aussi beau que celui des filles de madame Claude !
– Hi, hi…elle s’esclaffe la soubrette…
Et vlan encore une virée sur le cul de Finette qui trépigne de joie…
Georges qui jusque-là se complet de la situation, est prêt à entrer en action. Le coup a bien été préparé par nos deux compères et Madame Belmotte va enfin être honorée de la plus belle façon qu’il soit.
(En fait, elle le tend son popotin, elle est fébrile, elle attend avec une petite impatience concupiscente dirait-on !).
Eh bien elle le courbe son joli dos de Marquise devant Georges, ce beau gentleman qui menace d’un sceptre énorme son honorable petit trou. Son mari la maintient par les épaules. Campée sur ses superbes jambes ouvertes, le cul bien relevé et pointu elle présente ses fesses sans retenue aucune, à la convoitise de l’homme qui bande derrière elle.
Devant son visage, Bertrand lui présente son sexe et elle ne peut faire autrement que de l’emboucher goulûment. Il est bon ce sexe. Elle l’a toujours apprécié même si maintenant les occasions sont rares. Elle le mâchouille avec délectation. Il est gras, il est mou, il est doux. Elle passe sa langue dans les contours de son gros gland en soulevant le prépuce. Elle adore le faire glisser dans sa bouche pour sentir ses grosses veines bleues rouler entre ses lèvres. Il pousse fort le salaud. Il va jusqu’au fond de son palais, il fait cela avec un peu de rage, de violence comme pour la punir encore… ça l’étouffe, elle a les yeux tout blanc mais apprécie quand même ce geste fort. C’est un vrai mâle qui la baise en bouche et c’est bon !
Il fait le fier Bertrand. Il est heureux il la soumet sa coriace ! Elle ne fait plus la gueule, au contraire elle retrouve les bons gestes du début de leur mariage. Elle les ouvre ses mandibules il peut y glisser sa bite tout entière… Oh oui c’est une bonne suceuse !
– Allez suce ma salope, humm c’est bon, tripote-moi les couilles, met-moi le doigt au cul, conasse … oui ! comme ça… humm suce-le, le bon doigt, cochonne ! Et remet le d’où tu l’as sorti. Oui remue le comme tu le faisais si bien avant, tu n’as rien perdu du métier…
Ça y est, elle s’échauffe la femelle, elle a besoin du mâle, ça se sent.… La façon dont elle bouge le cul est un bon signe… Elle mouille comme une éponge et ça coule le long de ses cuisses. Georges qui est un gentleman, nous le savons, en profite pour se laquer la pine en la baisant profondément, ça glissera mieux dans la rosette. Il lui écarte ensuite les fesses et elle sent la moiteur de son gland contre son anus bouillant… ça l’émoustille elle s’agite…
– Putain il va m’enfiler, c’est sûr !… Mais il tarde bien !… c’est qu’il a un gros machin, ce con ! Oh là ça fait mal !… Oui comme ça, c’est mieux… humm c’est bon ! Mais il va m’exploser le cul ! doucement ! oh lala c’est du gros…Oui !…Oui, non…oui !
Elle ne peut pas parler, elle a la bouche pleine et Georges en profite… putain ça rentre ! Elle écarte son fessier… Humm ! Elle sent la pine contre son anus. Il force sa rondelle…
– Aie ! j’ai envie de chier à l’envers… doucement !… la brute !
– Et la garce ! tu t’endors ? suce-moi donc la pine !… (c’est Bertrand qui la rappelle à l’ordre ! où a-t-on vu quand on a une bite dans le cul qu’on oublie celle qui vous chatouille les amygdales ! Il est vrai que ce n’est pas aisé d’ouvrir et le cul et la bouche en même temps…Hi, Hi qu’est-ce que vous en pensez…vous ?). dixit Ernestine.
– Une bonne claque de Georges sur les fesses et ça repart, (la bonne entraide masculine.) et elle pompe de nouveau et de bon cœur la divine enculée.
C’est vrai qu’avec le cureton ça passait tout seul… mais là c’est autre chose… elle le sens lui au moins !
– Mais va s’y doucement quand même mon coco ! C’est que putain tu l’as bien grosse !
– Ta gueule qu’il lui crie le Bertrand en lui refoutant sa bite dans le gosier ! (Non ! Mais elle ne va pas passer son temps à bavarder en oubliant de faire son boulot !) ça c’est encore Ernestine…
Et vlan, encore une claque de Georges… c’est pour la route qu’il dit ! Ben oui une bonne soumise ça se mène au cul, alors il y va à la défonce justement le coco ! Boosté par l’impatience, devant le sublime paysage, et entraîné par le mari, il se déchaîne, il pousse il s’enfonce.
– Aie ! qu’elle crie la bonne dame ! Doucement !
Mais il n’en tient pas compte. Un bon artisan ne s’arrête pas au milieu de son travail. Elle est à sa merci et d’ailleurs elle ne cherche pas à s’échapper, elle se colle contre lui. Alors il la saisit par ses poignées d’amour, il la façonne, il la pétrit et à grands coups de reins il lui entaille la raie du cul comme un bûcheron qui fend une bûche !
Oh putain que c’est beau de voir le petit pavillon s’ouvrir sous la pression de sa tête de nœud qui s’introduit fièrement dans l’ouverture rose. Coincée entre les deux gars, bourrée à la fois par devant et par derrière, elle ne peut rien dire, elle encaisse. Elle a la fesse qui s’écrase, les nichons qui ballottent, le menton dans les burnes et des burnes dans le trou du cul !…
– Aller suce-moi la bite, salope, dévergondée, grognasse, cul troué !… tu aimes te faire enculer et tu vas aller à la messe les cuisses humides, poufiasse !
Ça lui plait à la vieille, ça l’excite. C’est vrai qu’elle aime qu’on l’encule et qu’on lui dise des gros mots.
– Oh oui enculez-moi ! qu’elle dit à Georges chaque fois qu’elle lâche la pine du mari.
– J’ai honte mais vous êtes si bon Messieurs! Oh oui qu’il est bon ! Comme il encule bien le salaud. Il est doux.
– Allez va s’y Georges, décapsule-là ma Marquise ! Putain troue lui son cul de Grande Dame, fais-lui cracher sa honte… Humm c’est bon quand ça monte dans le trou de balle… elle aime ça la salope…crève-la !
Non ! Ce n’est pas possible…elle ne va pas mourir la Belle ! Oh putain les mecs !
He bien non, elle ne meurt la Belmotte, elle est vivante. Baignée de sperme de sueur, de mouille aussi, car elle mouille la cochonne, elle dégouline de ces humeurs blanches et même disons brunes qui sortent de tous ses orifices
C’est sûr tant elle jouit qu’elle en oublie de mourir… ils ont voulu la punir elle n’en jouit que davantage !
– Allez les gars vous pouvez pousser de nouveau… j’en veux encore, encore ! Mais quoi ! Vous débandez ?… mais où ils sont mes hommes ?…
Ils capitulent les deux cons. Ils s’affaissent sur le tapis. Du coup elle les insulte à son tour…
– Minables !… bandent-mou… trous du cul…
Elle se redresse la grande Dame et elle leur pisse dessus, de partout, sur la tête, au cul, sur la poitrine ! Putain, la conne elle saisit le visage de Bertrand et elle lui pisse dans la bouche, dans le nez, sur les yeux… il ne voit plus clair le cochon… elle s’essuie la chatte et la raie du cul bien douteuse sur son visage… oh elle se défoule, elle est heureuse de rage et de fierté !
Mais alors que fait la Finette pendant tout ce temps-là, allez-vous me demander ?……………..
Eh bien elle jouit la mignonne. Elle se branle le clito la soubrette. Elle jouit de ce joli spectacle si cru, si jouissant, si concret.
En fait elle est aux premières places. C’est vivant et gratuit et ça vaut bien quelques claques sur le cul, histoire de ne pas s’endormir.
Aussi elle a tôt fait de se mettre entièrement à poil la Finette car elle étouffe sous son petit jupon et ses balconnets elle balance ses gros seins à tous vents pour les rafraîchir et exciter la libido des trois autres acteurs qui ne savent plus où poser leurs mains tant les éléments se déchaînent.
Elle participe au déshabillage de la Marquise, suce un peu la pine grasse de Bertrand pour lui donner du tonus et autant celle de Georges qui aimerait bien l’enculer si ce n’est qu’il a déjà à portée de bite le trou appétissant de la patronne qui s’écarte les fesses avec impatience. Et quel trou bordel ! Rose, noir et profond…
Justement elle en profite la soubrette pour lui graisser le trou du cul à sa patronne. Humm ! Elle aime ça et c’est vrai qu’elle l’a très large le trou du ramoneur… un doigt, deux doigts, trois doigts qu’il prend le petit orifice.
– Oh oui c’est bon ma chérie !… (ne voilà-t-il pas qu’elle commence à lui plaire sa servante à la Marquise !).
Georges est tout heureux, elle lui prépare bien le travail, l’ouvrière… Il faudra qu’il n’oublie pas de bien la remercier celle-là aussi quand il aura fini avec la patronne.
Finette saisit à pleine main la grosse bite de Georges pour la présenter devant le petit trou pétulant de la marquise. Putain le bel engin !… Elle le garderait bien pour elle la gourmande ! Mais Georges la repousse, il est assez grand pour faire le travail tout seul et il se l’enfile Agnès sous le nez de la Finette qui mouille comme une éponge. Quand j’écris qu’il se l’enfile Agnès, ce n’est pas tout à fait cela. Il est un gentleman, on l’a dit, donc il y va progressivement. Il n’est pas à l’abattage là, non il est doux avec les dames et puis lui-même, il savoure, il prend son temps, il aime la fraîcheur d’une rosette, la quémander tout doucement, la solliciter.
Alors bien sûr le meilleur moment c’est quand elle s’ouvre la corolle, qu’elle se détend bien sagement pour laisser le passage à son gland et se refermer tout aussitôt sur lui comme un clapet.
C’est alors là que c’est magnifique ! Finette s’est éloignée un peu et elle regarde !
Campée sur ses deux jambes droites et écartées, Agnès courbée à l’horizontale, suce son mari
Tout en présentant son cul pointu aux bons soins de son enculeur. Ce dernier la pénètre maintenant à fond, il lui colle au cul. Mais si lui se régale, cependant il ne voit rien. Le bas de son dos certes, mais sa bite qui entre et qui ressort du petit trou c’est Finette qui la voit et qui jubile. Le spectacle lui est réservé ! L’orifice, qui l’eût cru, s’est évasé et la pine est entrée jusqu’aux couilles comme le gros piston d’une locomotive.
Que c’est beau se dit la soubrette ! Elle tient le coup Agnès, elle résiste bien plantée sur ses jambes et contrée par devant par la bite de Bertrand qui la cheville sous son nez. Et il entre, et il sort le Georges en la saisissant par les flans. Ça dure au grand plaisir du mari ravi de voir comment elle est bien traitée sa cavale. C’est chouette d’être cocufié de si belle façon !
Les deux hommes se regardent face à face, aussi fier l’un que l’autre.
– Putain qu’elle est bonne qu’il dit Georges !
– Vas-y mon salaud ! Elle aime ça, elle est de bon cul ma Salope !
Et de contentement il lui tape sur le cul comme sur la croupe d’une pouliche, tout en disant à son copain :
– Te rends-tu compte salopard… tu es entrain d’enculer mon épouse ?…
– Je l’encule pour toi mon ami… vois donc comme elle aime ça… ah qu’elle a un bon cul et serré avec ça !
Finette est ravie. Elle la tient sa revanche ! Elle en prend de partout sa Maîtresse, et elle ose même la petite garce, aller lui pincer les seins, ce qui fait frissonner la vieille qui entre cul et palais emballe encore plus les bites des deux hommes.
Et puis il faut dire qu’en servante disciplinée elle s’affaire la boniche à tâter par ici ou par-là les bonnes chairs qui s’ébattent devant elle.
Elle caresse Monsieur, tapote le cul de Georges. Elle les bécote l’un après l’autre qui sont charmés d’être gâtés par les deux bouts …Elle leur titille aussi les roustons à ces deux salopards et l’effet est immédiat dans les orifices qu’ils cambriolent…Ces sublimes attentions provoquent des avalanches de sperme dans le croupion de la marquise… il jute le scélérat… il lui envoie toute la purée… elle crie, elle pousse des ah, ah, ah… mais il lui bute le troufignon et secouée comme un prunier elle se prend entre les dents un complément bien concocté de ces saveurs maritales qui mitonnaient dans les couillons de son Marquis boosté aussi par un des doigts de la boniche.
Mais ce n’est pas une amourette. Pas même une grande passion. C’est du genre plutôt cataclysme, du bruit, des chocs, du grand écart et des étouffements. C’est l’explosion des appendices, l’exultation des orifices et des giclées de ces bons jus qui tant lui remplissent le cul et le palais bien entendu, que ça déborde aux encoignures et même par les trous du nez comme une vilaine morveuse.
C’est de l’amour démoniaque. C’est le bonheur de châtier, la vanité d’être cocu. C’est l’anxiété du châtiment et le plaisir de cocufier. La jouissance d’être enculée, d’être soumise à ces deux mâles, d’être livrée à leurs délires, de partager des joies femelles et de jouir sans compter.
Les deux hommes qui maintenant s’essoufflent, continuent doucement leurs allées et venue dans les orifices de leur divine proie qui toujours aussi soumise reste à leur bon vouloir, sage, décontractée, suant, mouillant, peut-être même pissant car ses cuisses dégoulinent et de son nez s’écoulent des gouttelettes d’amour. Elle aide elle-même au mouvement. C’est bon elle va, elle vient, elle s’enfile avec plaisir sur les deux sexes. Les bites sont plus tendres, ses muqueuses moelleuses, elle jouit du bien-être et du calme revenu !
Finette ne s’ennuie pas… elle regarde, elle s’extasie tout en suçant ses doigts comme une bécassine !
Oh que c’est bon ce calme après la tempête d’amour !
Ça y est, les corps se séparent et libèrent des flots de bonheur.
Les pines moins turgescentes et pas très nettes, n’ont plus l’allure conquérante mais notre fidèle servante toujours dévouée se charge de les rafraîchir goulûment avec plaisir en ouvrant des grands yeux tout blanc.
Elle commence d’abord par la pine de Georges empreinte des bonnes saveurs de sa Maîtresse qui apparemment n’avait pas récemment fait le ménage de son vestibule. Il a dû y aller profond l’animal ! Qu’importe, elle se régale la coquine et ce n’est qu’un petit aperçu si vous voyez son emballement quand elle s’occupe de l’entre-fesses de sa chère Maîtresse qui jouit de sa prestation.
– Oh oui c’est bon ! Tu es une bonne fille… que tu me fais du bien !… bouffe-moi le trou de balle ma cochonne… humm, oui comme ça avec le bout de ta langue… il a bon goût mon troufignon !
(Quand la gourmandise dépasse la jalousie ! me dit Ernestine)
Aussi elles se mettent en 69 les deux femmes et elles se bouffent la foufoune, elles se gamahuchent les garces sous les yeux des deux hommes qui se branlent lentement leur zizi en pamoison.
Georges tripote même la pine de Bertrand. Ça lui plaît au coquin, il se laisse faire, il est ravi. En même temps ils observent les deux femmes qui se boulottent le ripelu avec des manières de chattes en train de laper un bol de lait.
– Regarde ces deux salopes encore affamées qu’il s’écrie Bertrand !
– Putain de gouine ton Agnès ! Le cul ça ne lui a pas suffi à ta femelle !
– Et la petite ! Regarde comme elle lève le cul…
– Il me nargue son cul, il me nargue… tiens j’ai envie de pisser, je vais lui pisser au cul à cette catin !
Alors il se lève Georges et s’il a les couilles vides, il a la vessie pleine. C’est souvent ce qui arrive après une bonne baise. Il faut qu’il se soulage.
Elle est en position adéquate la crapule. Comme Agnès est en train de lui débarbouiller la pachole elle lui écarte en même temps les fesses laissant à découvert un magnifique petit trou boudiné que Georges s’empresse d’arroser d’un vif jet de pisse jaune.
En plein dans le mille ! Il vise bien l’artilleur et Finette en relevant son buste montre tout son contentement et pousse de petits cris de satisfaction. C’est qu’elle est belle la salope. Abandonnant la chatte d’Agnès elle redresse son corps et tend son cul au gros jet en ouvrant bien ses jambes son minou collé sur le visage soumis de sa maîtresse.
Beaucoup de dames apprécient ce geste fripon surtout quand le jet est puissant… aujourd’hui on pourrait dire qu’elle se fait passer la carrosserie au ‘karcher’ !… Que voilà une belle façon d’entretenir la rondelle étoilée d’une petite polissonne !
Mais elle n’est pas toute seule à profiter de la bonne douche, vous vous en doutez !…
C’est que le bon jus dégringole en cascade sur le nez d’Agnès afférée à canaliser la crue dorée qui lui inonde le visage. C’est du bourgogne, du Champagne, un déluge, une efflorescence de parfums et saveurs aigres douces et salées.
La dernière goutte épuisée, il secoue sa bite l’arroseur et admire son œuvre.
La séance est finie. Tous nos personnages se relèvent et les femmes se congratulent bras dans les bras comme deux frangines qui ne se sont jamais disputées. Elles se bécotent et en oublient leurs chamailles.
Elles viennent de vivre un bon moment de leur féminité !
Oui elles sont femmes jusqu’au bout de leurs ongles, de leur cul, de leurs jalousies, de leurs disputes, de leurs amours. Elles se sont insultées, griffées, sucées, léchées…elles ont partagé leur corps, leurs hommes aussi, avec leurs empressements, leurs encombrements, leurs violences, leurs beaux désirs vigoureux et généreux…elles leurs ont tout donné, insolentes et soumises mais parfois maîtresses de leurs jeux.
Cette soirée, pour une réussite ce fut une réussite. Les femmes sont heureuses et les hommes tout autant.
Finette est fière d’elle. Sa combine a bien fonctionné, ainsi que sa vengeance qui s’est transformée en une véritable partie de plaisir aussi bien pour elle que pour sa Maîtresse qui a été gâtée par tout le monde.
Seul regret pour Finette c’est qu’elle ne s’est pas fait sauter par Georges. Mais celui-là elle le connaît il aura tôt fait de revenir la voir pour la baiser. C’est qu’elle est bonne baiseuse la soubrette, Georges l’adore et ils font cela si bien ! Le cul pour elle ce n’est pas trop son truc. C’est qu’il l’a tellement grosse !… aussi a-t-elle encore le temps de se le faire user son petit alésage bien avant ses vieux jours, comme Madame.
Mais n’empêche, allez le retenir ce grand couillon de Georges quand il se la prend en levrette et qu’il se trompe de trou… ouille !… ouille !… vous croyez à son innocence à celui-là ?
Bernard est aussi satisfait et heureux comme un cocu qui se fait encorner en V.O. Rien n’a manqué : les gestes, les cris, les jouissances… et ce putain de braquemart qu’elle se prend dans le cul sa charmante… même que si elle gueule un peu c’est normal, à grosse bêtise, grosse punition, d’ailleurs elle le tend son cul, ça ne lui déplaît pas apparemment. Elle aura sûrement compris la leçon. Avec ce diable de Georges le p’tit curé il peut aller se rhabiller maintenant… aux petites prières elle préfère de bons gros blasphèmes. Et parions qu’elle va très vite en refaire des grosses bêtises la païenne !
Alors ce soir tout le monde est fatigué mais ravi…
Les femmes se sont endormies en mélangeant leurs cuisses et leurs seins flapis.
Tiens, c’est bizarre, les hommes se sont serrés l’un contre l’autre comme des gouines !
Allez savoir pourquoi !
On verra bien demain.
Bonne nuit les petits…
(19/07/2022)
Marquise vous êtes exquise
Permettez que je vous bise
Ma bite n’est pas la tout de Pise
Mais je vous l’aurais bien mise
Du candaulisme de bon aloi
C’est toujours un vrai bonheur de lire tes histoires, Verdon ! Encore ! encore !