Tant va le Temps…Tant va le Cul… – 4 – Pauline par Verdon
Oh putain mais où je suis ?…je me réveille sur le canapé ! Mais qu’est-ce que je fous là ? Onze heures du matin… ce n’est pas possible !…
– Ohé Ernestine où es-tu ? (elle était bien là hier soir !).
Elle est chez elle, bien entendu. Mais qu’est-ce que j’ai branlé cette nuit ?…Tiens mon ordi est encore ouvert…Bou ! Je n’arrive pas à refaire surface….je me rendors.
– HI, Hi…Oh quelle histoire !… Oh que c’est intéressant… c’est toi qui a écrit tout ça ?….
Tiens ! C’est Ernestine qui est de retour. Mais qu’est-ce qu’elle a à se marrer comme ça ? Elle est en train de lire sur mon ordi…
– Non ce n’est pas possible….Mais qu’est-ce que tu nous as écrit sur l’ordi, mon couillon ?…Tu as fait le pédé toute la nuit ?
– Je ne suis pas pédé, qu’est-ce que tu racontes ! ça ne va pas !
– Mais si, mais si…Elle se pouffe. Et ce Bernardo, qui c’est celui-là, je ne le connais pas moi qu’elle ajoute la cocasse. Hi, hi ! En tout cas il te l’a bien mis le bon gars… mais oui c’est toi-même qui l’écris ! J’aurais bien aimé voir cela…Humm j’aurais bien aimé en profiter moi aussi comme toi petit pédé, d’une si jolie bite…
– Oh, d’abord je ne suis pas pédé…en plus j’ai le cul propre…laisse-moi dormir je suis crevé…
– Mais qu’est-ce que tu foutais sur le cul de cette Juliette…d’où elle sort celle-là…tu es un débauché, un brave débauché mais un salaud, un égoïste car tu aurais pu me faire signe au moins que je profite moi aussi de la grosse bite de ce fameux Bernardo ! Mais dis-moi où ils sont passés ces deux potes si attentionnés à ton égard ?
– Bof…elle divague !…voyons voir….
Eh bien oui, après avoir jeté un coup d’œil vaseux sur mon ordi, il m’a bien fallu reconnaître que c’était moi qui avais écrit cette nuit ce fameux roman qui fait tant se marrer ma copine ce matin… Ça l’excite et j’avoue que les exploits que je lis ne sont pas sans m’exciter aussi. Je devais être complétement dans les vaps pour écrire tout cela sans même m’en souvenir maintenant.
Oh ! Les amis n’allez pas croire que je suis pédé… Eh bien, voyons… si peu… juste une petite embuscade de ci, de là. Ça arrive à tout le monde ces choses-là, on n’en est pas pour autant pédé ! Il ne faut pas mourir idiot ! Remarquez que pour ne pas mentir, je peux vous dire que je m’y suis déjà fait prendre à ce petit exercice… ce n’est pas la mer à boire une bite comme ça par hasard qu’on ne voit même pas venir tant il y a foule… même que des fois ça fait du bien… non ?.. .le problème c’est le cerveau… il n’est pas toujours d’accord avec le cul… en fait c’est une question d’ouverture… vous me comprenez bien sûr !… j’en vois qui sourient… Ah ! Les salauds !
Bon et puis les pédés, je n’ai rien contre, ce sont des garçons comme les autres sauf qu’ils ont la fesse tendre… après-tout ils prennent le plaisir là où ça vient… mais moi je préfère être derrière que devant. Je trouve que c’est plus visuel… non, pas vous ?
C’est sympa un pédé, ça vous offre son cul plus facilement que votre régulière et ça n’a pas mal à la tête. (Du moins on ne lui demande pas…). Pour moi une bite qui rentre dans un trou du cul, c’est tout un spectacle… ! Ça vous meuble une soirée… Ça vous défrise avec élégance la rosette d’une bonne tantouse pour peu qu’elle vous prête facilement son cul la gourmande. D’ailleurs malgré quelques tourmentes elle y revient, elle ravale la honte qui n’a pas lieu d’être et se complaît dans une bonne soumission. Tenue en levrette, bien sage, son p’tit cul coincé entre vos cuisses et vos deux mains sur ses épaules, que voulez-vous qu’elle fasse si non se faire sauter et dire :
– Oh oui c’est bon…Oh oui continue, j’aime…encule-moi plus fort !
Et si vous tombez sur une timide, ce n’est pas le moment de polémiquer sur la taille de votre pédoncule ou le diamètre de la rondelle étoilée… Soyons sérieux, il y a plus urgent à faire… et elle ne va pas le regretter la grincheuse… elle va vite vous dire :
– Oh ! Putain quelle est bonne ta pine mon choux !
Même qu’après elle va vous le sucer l’os à moelle jusqu’à la dernière goutte et tant pis pour les moustaches.
Bon sang mais ça m’excite beaucoup tout ça ! Et du coup je me branle au lieu d’écrire…
L’histoire qu’elle a lue sur mon ordi, l’a bien excitée cette coquine d’Ernestine. Aussi, toujours à moitié à poil et ses deux bouts de seins qui rougeoient comme des fraises la voilà partie pour me raconter de nouvelles aventures que je continue à traduire sur le clavier de mon ordi.
Aujourd’hui c’est une histoire vraie se rapportant à la vie tumultueuse de Pauline, la grand-tante d’Ernestine. C’est une personne qui a vécu le siècle dernier. Née en 1900, elle avait l’âge du siècle, mais je crois qu’elle est restée jeune toute sa vie. Ernestine donc sa petite nièce, l’a connue pendant sa jeunesse et en fait cette tante fut la préceptrice de son éducation amoureuse (mais c’est qu’elle a des références ma copine !…) c’est elle qui lui a raconté sa vie.
Comme certaines jeunes femmes qui vivent à l’époque dans l’aisance et mènent une vie très agréable, Pauline reçoit une éducation assez sévère qui lui permet d’entrer dans la vie mondaine avec tous les atouts d’une femme moderne. De l’élégance, du savoir vivre et l’apprentissage de la vie mondaine dans les règles de l’art. Elle apprend que pour naviguer dans ce milieu plutôt rupin il lui faut de l’aisance, du tact, du savoir-faire et sans doute une bonne dose de soumission pour satisfaire les goûts un peu particuliers de ces messieurs et de ces dames à la recherche de luxure, accompagnée il va sans dire, d’une bonne part de plaisirs licencieux.
À 20 ans, au courant de la nature humaine, elle a fini de gaspiller sa jeunesse à se perdre dans les bras de jeunes gens pour des amourettes sentimentales et doucereuses. Poussée par sa mère, une maîtresse femme qui cocufie son père dans les bras d’un beau-frère libidineux, elle finit par épouser Charles, un riche Baron plus que quadragénaire qui va lui apporter en plus d’un amour démonstratif, de la richesse et du bonheur, le bel apprentissage des règles mondaines pour évoluer dans le domaine de la lubricité.
– Tu peux y aller qu’elle lui dit sa mère, c’est un bon coup. Je l’ai essayé et il a du métier…va s’y c’est une bonne affaire !
(Salope la mère, non seulement elle case sa fille, mais en garde rapprochée elle peut toujours compter sur le gendre les jours où elle s’ennuiera…).
La nuit de noce est merveilleuse. Vous vous doutez bien que le Charles il ne la laisse pas moisir dans le grand lit blanc du petit hôtel où il l’emmène sceller leurs épousailles.
– Je vais t’aimer comme un fou qu’il lui dit en la déposant sur sa couche.
– Oh oui fait-moi l’amour mon chéri, aime moi très fort.
Il est un grand baiseur le mari et six fois il se remet à la tâche, laissant la jeune mariée complétement exsangue au petit matin.
Elle fait donc un beau mariage suivi d’une très grande fête et d’un joli voyage de noces où Charles l’emmène voir de très beaux spectacles érotiques à Paris et lui fait visiter les plus grands lieux de débauche de la capitale et de villes étrangères.
Tout doucement il la met dans l’ambiance, il lui parle et la renseigne sur tous ces bons plaisirs qu’il souhaite un jour lui faire partager car il veut en faire, comme sa génitrice, une jouisseuse. Déjà jeune fille, elle était attirée par le goût du luxe. Aujourd’hui elle va pouvoir en profiter. Cette nouvelle vie la satisfait.
Ce nouveau couple vit dans une résidence particulière disposant de nombreuses chambres, un grand salon une cave voûtée et un joli parc.
Dès les premiers jours de leur vie commune, Charles la met dans le bain, si je puis dire. Connaissant son goût pour les bonnes choses il fait venir pour la soigner, des personnes dont il connaît le dévouement et la qualité, les ayant lui-même approchées de bien près.
Il est comme ça le Charles. Il aime le travail bien fait et s’oblige à tester ses employés avant de les embaucher pour s’occuper de sa chérie. (Ce qui, soit dit en passant, lui permet pas mal d’agrément, vu le nombre important des postulants ou postulantes à essayer).
À son service, Madame aura donc d’abord une gouvernante, Germaine, qui veille à ce que la Chérie soit entretenue comme une reine. Bonne maîtresse de maison, la cinquantaine, active, bien en chair et fort jolie. Avec ses gros seins et son cul débordant elle plaît beaucoup à Monsieur qui très reconnaissant, la paye souvent en nature. Alors il lui promet :
– Si tu gères convenablement la maisonnée, je t’emmènerai en bonne compagnie.
– Humm ! Mais Monsieur…moi je ne sais pas faire de cochonneries… (Mon œil !)
– Ne t’inquiète pas, il y a des messieurs qui t’apprendront à en faire…et avec le gagne-pain que tu as ils vont vite te mettre au pas…Tu as le cul de l’emploi ma jolie !
– Oh Monsieur ! Quand même ! un peu de respect pour mon cul !
(Ben voilà ça veut du cul et ça vous joue la petite dame au cul pincé ! Eh bien sûr qu’elle en aura du respect, c’est normal…et beaucoup de respect et du beurre aussi… elle en jouit d’avance la gouvernante). Ainsi Germaine va veiller au bien-être de Pauline, à ses soins, à ses distractions et à toute l’intendance qui régit le déroulement de ses activités. Mais on le sait, Charles est exigeant et elle aura droit à de sévères attentions si elle déroge à certaines règles que lui a imposées son patron.
Elle a aussi un petit rôle de matrone chargée de surveiller le bon comportement de cette épouse qui pourrait être, sait-on jamais, tentée de faillir aux bonnes règles de son devoir de loyauté envers son bon maître, ou si elle s’amuse à de petits jeux lubriques avec le personnel de son entourage sans son accord. Connaissant sa coquine, monsieur a donné toute liberté à la gouvernante pour intervenir et corriger l’indocile, si cela devait arriver. Alors bien sûr, réprimandes, fessées, ceinture de chasteté peut-être, ou quelques pratiques un peu plus expressives telles que les orties ou le martinet. Petites initiatives qui se passent dans les sous-sols de la grande maison, destinées à convaincre l’éventuelle récalcitrante de revenir dans le bon chemin et permettre à Monsieur de retrouver son épouse soumise et dévouée à ses bonnes intentions.
Elle connaît bien la règle la Pauline, elle l’a acceptée et se réjouit même de faire quelques petites exactions sachant à quoi elle s’expose. Ces quelques tourmentes l’inquiètent mais en même temps ça l’excite, ça la stimule, elle mouille et elle n’en est que plus émotionnée et prête à passer dans les bras du Marquis qui évidemment lui procure des emportements amoureux encore plus délicieux.
Pour l’aider dans sa tâche la gouvernante dispose d’une soubrette dénommée Violette d’une beauté exceptionnelle qui s’occupe en particulier des soins du corps de Madame, hygiène, massages, bains, coiffure etc… elle doit préparer cette dernière avant l’arrivée de son amoureux quand il rentre de ses affaires pour qu’il puisse bien profiter de sa belle personne. S’il l’a choisie belle, Charles, c’est parce qu’il aime la qualité, on l’a vu plus haut, mais aussi parce que ça lui permet un peu de détente lorsque justement Madame a mal à la tête et ça offre l’occasion à la jolie bergère d’arrondir un peu ses fins de mois tout en entretenant son cul.
– Oh qu’il est gentil Monsieur, qu’elle dit à sa patronne, jamais il ne vous dérange quand vous avez des migraines ! C’est un très bon Mari !
Vient ensuite un jeune homme toujours sous les ordres de la gouvernante. Habile, délicat, doué dans tout ce qu’il faut faire pour entretenir un intérieur cossu, il est toujours là pour dépanner ou remédier à n’importe quel problème qui importune ces Dames. C’est un beau gars, la vingtaine, blondinet. Il se nomme José, mais on ne sait pas trop si ça s’écrie avec e ou avec ée. (C’est selon, sans doute…). Monsieur l’a justement choisi par ce qu’il a le bel avantage de faire partie de ce genre de personnes attrayantes dont on ne sait pas s’ils sont ils ou s’ils sont elles. C’est donc quelqu’un de doux, sensible qui va s’occuper de l’épouse avec dévouement. Et soit-dit en passant, il pourra aussi rendre de charmants services à son Maître qui décidément compte beaucoup sur la bonne soumission de ses employés.
Charles ainsi bien rassuré sur le bien être de son épouse peut alors vaquer tranquillement à ses occupations. Ça lui permet de gérer ses nombreux biens et de faire fructifier ses entreprises. Il doit souvent s’absenter des semaines entières aussi la présence de sa petite femme lui manque beaucoup et il est compréhensible qu’il compense un peu le soir après de dures journées, dans les bras de l’une ou l’autre de ses charmantes clientes, tout en pensant bien sûr en toute honnêteté que ce ne sont que des remplaçantes et que c’est sa chère épouse qu’il honore ainsi à travers elles.
(Oh voilà bien un homme qui a de bonnes pensées, commente encore Ernestine…Je crois qu’elle fait souvent elle, la remplaçante).
À Pauline, sans entrer dans les détails, il lui explique combien les affaires le retiennent et l’obligent à des soirées de travail épuisantes. Mais elle, ravie de la belle vie qu’elle mène, lui fait confiance, même si comme toute femme intelligente, elle ne croit pas à son innocence, elle ne lui en veut pas. D’ailleurs quelques fois il lui raconte un peu ses petites aventures. Ça lui permet de garder sa confiance. Quand elle le suce lors de ses retours et qu’elle sent sur sa queue des parfums inconnus et envoûtants, ça aiguise sa curiosité et ça l’excite. Elle lui demande des détails, si bien qu’elle arrive des fois à savoir avec qu’elle femme il a été cette fois.
– Ah tu as baisée la Maryse, hier soir ! ou bien un autre jour…Oh celle-là elle avait le cul malpropre…coquin !
Une autre fois en léchant le petit trou de son Chéri, elle la trouve bien rouge sa rondelle étoilée et avec ça un petit goût salé qui lui a laissé deviner qu’à ses heures, son filou de mari devait s’enfiler en l’endroit, autre chose que des perles…
– Bof, c’est un homme charmant se dit-elle et il est bien normal qu’il se détende s’il veut continuer à bien gérer sa vie pour me procurer beaucoup de richesses.
D’autre part lui, il la connaît bien sa Pauline, aussi tient-il à en faire une bonne amante et à l’entretenir aux jeux de l’amour. Il est normal se dit-il que son épouse profite autant que lui de ces bonnes choses qui font tant de bien à leur corps. Aussi avec l’aide de toutes ces personnes qui l’entourent il a décidé de parfaire son éducation.
– Violette, prépare ce soir ta patronne et amène-la moi dans notre lit, c’est son anniversaire et on va lui souhaiter ça ensemble et si tu fais cela bien tu seras aussi récompensée.
Vous pensez bien qu’elle s’est vite mise à l’œuvre la soubrette. Elle est un peu gouine la femelle et même beaucoup. Ainsi elle dénude la belle épouse et nue elle aussi, toutes deux étendues sur le lit elles commencent à se gamahucher en attendant l’arrivée de leur maître. Pauline, friande de ces joyeusetés, démarre sur les chapeaux de roue, elles s’emballent toutes deux, elles se débattent, se croquent les tétés, le minou ou la fesse. Elles miaulent comme des chattes la nuit. Quand Charles arrive il a sous les yeux un spectacle des plus ravissants. Il se déshabille et sans les déranger, les observe en se branlant.
– Petites cochonnes vous allez me rendre fou !…Allez bouffez-vous le mignon…Violette, lèche-lui le cul, elle aime ça, va s’y met lui la langue dans le trou, vois comme elle mouille la garce !
En 69 elles se tripotent les deux femmes, se tourneboulent, se tapotent les fesses et mouillent comme des fontaines en poussant des petits cris de poulettes effrayées.
Charles ne peut plus se retenir. Il s’approche, les touche, leur passe la main dans les fesses, les pétrit, elles ont la raie du cul trempée et avec ses doigts il s’égare dans leur petit trou. Ça rentre tout seul, elles frissonnent.
Sentant qu’elles sont bien prêtes, il saisit Pauline à bras le corps et la couche sur le ventre en travers du lit. Il fait de même pour Violette qu’il dépose sur sa femme mettant ainsi à sa disposition les deux culs insolents de ces deux jolies garces.
Et il se les gâte ses deux bonnes femelles ! Il se les épouse les coquines et dans le con de l’une et dans celui de l’autre. Ensuite il perfore le trou de chacune.* Sortant de chez Pauline il enfile Violette et il leur remet ça, mais au cul seulement. La Pauline est serrée tandis que plus docile Violette ouvre grand sa rosette à la belle imposture. C’est une vraie soubrette cette Violette. Elle a le cul de l’emploi et on comprend de suite pourquoi elle est tant appréciée dans cette famille aisée, pour soulager Madame sans oublier Monsieur.
*(N.B. rappelons- nous que cela se passe dans la première moitié du siècle précédent. Ce sont des bonnes pratiques moyenâgeuses qui ont tendance à disparaître. La méthode est barbare, disons ‘à la cosaque’, et pardon pour l’hygiène ! Aujourd’hui hélas il y a le sida. Mais il faut avouer que devant deux p’tits culs aussi bien présentés, il a du mal à la retenir….la Bête !).
– Oh putain que vous avez bon cul les salopes, oh putain que c’est bon…
– Oh oui crient les filles qui jouissent serrées l’une contre l’autre…encule-nous c’est bon !
Il jouit lui aussi. Il jute comme une gouttière un soir de gros orage et barbouille leurs fesses de sperme et puis de mouille et même d’autre chose… laquant leurs jolis culs d’une crème d’amour.
Il est vidé le Charles, il est crevé. Il leur a tant donné qu’affalé sur le lit il ne peut plus bouger. Une femme de chaque côté, le cajole, le calme. Elles sucent chacune à son tour le membre ramolli sorti de leurs entrailles, embaumé des saveurs et des odeurs piquantes qu’ont les femmes en l’endroit et que cochonnes elles savourent de bon cœur.
Pauline est ravie. Elle le lui fait savoir :
– Comme c’est bon mon Chéri de sentir Violette sur moi pendant que tu l’encules ! Bourre-la, oui encore, elle m’écrase le cul, elle gémit la salope et me mouille la raie…je sens que ça coule entre mes fesses…mais putain que c’est bon !
Oh oui il est heureux le Charles ! Il jouit d’être entre ces femelles ! Il s’endort le salaud sous leurs douces caresses, non sans leur tapoter fraîchement le derrière…
Ensuite les deux femmes se retrouvent sous la douche. Elles se câlinent encore. Se savonnent, se pétrissent les fesses et les seins et se nettoient le trou du cul, il est tout rouge celui de l’épouse, il est encore ouvert celui de la soubrette ! Enfin elles s’embrassent longuement sous l’eau chaude, fières d’avoir été si bien servies.
Soudain Pauline sent un liquide chaud qui coule sur son ventre.
– Mais salope tu me pisses dessus !
– Oui ! Tu n’aimes pas…
– Oh oui ça surprend ! Tu es vraiment salope !…Oh que c’est bon ! C’est chaud ton pipi qui coule sur ma chatte et mes cuisses, oh oui, continue…
– Mais moi aussi j’ai envie de pisser !
– Attends, attends, lui dit Violette qui à genoux fourre son visage entre les cuisses de sa maîtresse…pisse, pisse maintenant…c’est chaud, c’est bon …elle a bon goût ta pisse !
Et elle lui fait un de ces gros pipis que font en abondance les jeunes nanas, bruyant, bien jaune et bien goûteux, dont la belle Violette se gargarise…..
On frappe à la vitre. C’est le patron qui est là. Il n’a pas l’air commode.
– Eh bien petites salopes ! Qui vous a permis de folâtrer ainsi sans ma présence ?
Il attrape Violette par les tétons et l’oblige à sortir de la douche. Une grosse claque sur les fesses…
– Va t’habiller et que je t’y reprenne plus petite garce ! Tu seras punie… On verra ça plus tard.
Fier de lui le salaud il se saisit de Pauline et l’embrasse à pleine bouche… la soubrette se sauve.
– Oh je t’aime mon chéri, tu es beau…lui dit sa femme pendue à son cou, mais que vas-tu lui faire à Violette ?
– Oh rien… je vais la confier à Germaine qui va bien la mater cette petite dévergondée qui a toujours le cul chaud…
– Oui mais quand même …elle est gentille Violette !…et puis ce n’est pas mal d’avoir chaud au cul !
– Trop gentille la sauterelle…elle ne va quand même pas me remplacer (il est jaloux le mec), peut-être une fessée, ou les orties sans doute ou le poney sûrement.
– Le poney, c’est quoi le poney !…
– Oh rien, juste une petite faveur…une faveur de poney…il est vicieux le poney il aime bien sauter les petites dames pas sages…
– Ola, je voudrais bien voir ça ! Hi, hi, mais la pauvre !
– Elle aime ça, je te dis elle est cochonne … elle a le cul fait pour ça… tu verras plus tard…
– Oh quand même !…
Pour une première expérience, cette soirée fut vraiment une réussite.
Aussi Charles voyant les bonnes dispositions de son épouse, projette une prochaine rencontre avec un couple d’amis de son âge qui peut les recevoir dans leur propriété.
Il prévient Pauline, l’avertit de ce qui devrait se passer. Elle est ravie bien qu’inquiète tout de même car elle n’a jamais fait ce genre de rencontre mais émoustillée et curieuse elle est tout à fait consentante.
– Waouh ! Alors on va se faire des infidélités qu’elle lui dit !
– …consenties ma chérie, consenties ! Ce n’est que des gentils péchés…
– Bien sûr mon amour et je sais que tu aimes, on va se régaler…On va en faire de bons péchés !
La soirée se présente bien. Les présentations sont vites faites, les tenues légères et sexy, la maîtresse de maison et son mari très sympas et accueillants. Pauline remarque que Hubert, le mari est bel homme, svelte il est chauve, ce qui ne la déçoit pas (elle sait que moins de cheveux sur le crâne, plus la bite se dresse)… D’après sa façon de la dévisager elle comprend vite que c’est un monsieur qui sait ce qu’il veut, il la baise déjà rien qu’avec ses yeux ! Elle a chaud au ventre.
Hubert est divorcé, Mireille sa compagne est légèrement empâtée, elle n’est pas très grande, donc boulotte, elle a de petits yeux vicieux et la façon dont elle bouge son cul et ses gros seins, laisse augurer une soirée assez mouvementée.
Un bon dîner, du champagne et des conversations de suite assez osées animent le repas et déjà la Mireille presque déshabillée revient de la cuisine en pointant ses nibars.
– Allez tout le monde à poil, on veut de la quéquette dit-elle à ces messieurs en invitant Pauline qui se jette dans ses bras en acquiesçant.
Les deux femmes se serrent debout l’une contre l’autre, les jupes tombent et les hommes s’approchent. Chacun s’occupe de l’épouse de l’autre. Le soutif de Pauline tombe à son tour tandis que les grosses mains d’Hubert s’emparent de ses nichons.
– Humm ! Gémit la coquine tandis qu’elle sent des bisous dans son cou.
C’est toujours un moment pathétique ces premiers attouchements. Pauline s’abandonne et mouille déjà prête à toutes les folies et les mecs bandent.
Mireille entreprend de faire valser la culotte de la gourmande qui sent déjà contre ses fesses le braquemart du copain lui marteler les fesses.
Charles n’est pas de reste qui a une main dans la chatte de Mireille tandis que de l’autre il essaie désespérément de lui ôter cette maudite culotte pour la baiser. Il est tellement pressé le bonhomme, comme un coq qui veut se faire sa poule. Elle se prend les pieds dans sa culotte la Mireille et la voilà par terre.
Finalement tout ce petit monde se retrouve à poil sur le tapis qui a été prévu moelleux et c’est autour de Pauline que chacun s’agglutine. Qui lui bouffe les nénés, qui lui sape la chatte, qui lui enfonce son vié dans la bouche, tandis qu’elle fout son doigt dedans un trou du cul sans savoir vraiment à qui il appartient.
Enfin il se la baise la ménagère…oh putain qu’il baise bien ! Il aime les femmes rondes et joue dessus son ventre et sur ses gros nichons et elle y va la puce oh bon dieu qu’elle y va, elle bouge, elle crie, elle hurle comme cochon qu’on tue… il n’y a pas à dire elle a l’amour bruyant et la chatte goulue !
A côté d’eux c’est Hubert qui cocufie gentiment son hôte et elle jouit sagement la Belle.
– Oh putain qu’elle est bonne qu’il dit le tondu. Oh oui elle est bien bonne ta femme mon ami !
C’est avec beaucoup de joie qu’ils se font cocufier nos deux compères.
Alors arrive la pause devant un remontant tandis que nos deux garces se bécotent de nouveau. Les hommes se font des compliments.
– Oh ta gonzesse c’est un sacré bourrin, qu’il dit le Charles encore tout essoufflé.
– Oh et la tienne, putain ce qu’elle est bonne ! et serrée mon ami, serrée comme une nonnette !.
Mais qui est-ce qui arrive et qui n’était pas prévu ?
– Coucou moi c’est Vincent, j’ai vu de la lumière et connaissant mon père je viens lui proposer de l’aide.
Pauline toute gênée nue devant ce beau jeune homme, cherche à se cacher derrière son homme. Mais Mireille fait les présentations :
– C’est Vincent, le fils d’Hubert, un vrai sacripant celui-là qu’elle dit en se serrant contre lui.
– Ben oui ma Ninette elle me fait la gueule alors je suis sorti et voyant que c’est éclairé chez vous je m’invite…si vous le voulez bien.
– Mais bien sûr mon fils, viens donc on va te consoler. Tiens regarde entre Mireille, Charles et sa jeune femme il y a du beau monde ici !
– Allez mets-toi en tenue de travail et montre-nous ce que tu sais faire mon coquin !
Il ne se fait pas prier le garçon, il a les couilles pleines et depuis que sa Ninette fait la grève elles vont finir par éclater ses gonades. À peine à poil il fait des avances à la plus jeune, il a du goût le mec et s’adressant à Charles :
– Permettez-vous Monsieur que j’encule votre femme…
– Ola mon cher Monsieur il n’en est pas question ! pour avoir ma femelle il te faudra me passer sur le corps !
Eh bien voilà une facette de Charles dont on ne se doutait pas ! Lui passer sur le corps ! Voilà une proposition qui n’a pas l’air d’indisposer le bon gars qui s’apprête à sabrer le patron sous les yeux de sa femme ! À la fois effrayée, curieuse et excitée elle s’approche de son homme pour assister de bien près à la belle manœuvre.
– Chéri il va te faire mal, tu as vu comme il l’a grosse !
Il en a que faire de la grosseur le vicieux, il fait le beau et en levrette présente son cul comme un jeune routard. Et ça entre bordel ! Sous les yeux exorbités de Pauline qui le cajole son chéri.
– Oh mon chéri il t’a tout mis le salaud…oh que c’est beau…Hi, hi…je ne te savais pas pédé mon amour !
Il était tant impatient le fouteur qu’il s’est vidé d’un seul coup en criant de bonheur et des insanités, accompagné aussi avec les cris de jouissance de Charles.
En sortant du fourreau il présente son membre à Pauline qui d’emblée s’en empare et le suce avec délectation. Les mains sur la tête de la suceuse, il pousse bien fort son sexe au fond de sa gorge, ras ses roustons, elle s’étouffe la gourmande.
– Oh oui suce, salope, suce bien…elle a bon goût ma pine, va s’y suce c’est le goût de ton homme, dommage il a le cul trop propre !
Le contrat est rempli et joliment signé. Maintenant il a droit à l’épouse et comme il bande encore le Vincent il se la prend direct et se l’enfile sans honte, couchée dessus son homme et dans le cul Madame ! N’est-ce point là une belle manière de cocufier un brave !
Mireille se précipite derrière les deux enculés pour se gaver du bon jus qui sort des deux boutons marbrés (la bouche dans l’un, le nez dans l’autre, elle n’en perd pas une goutte la cochonne).
Satisfait le jeune homme va retrouver Hubert, son père lui-même très fier de la jolie prestation qu’a fait son fils devant lui. Il lui tâte les couilles et caresse son nœud.
– Tout ton père mon fils ! Bravo tu as du métier, j’étais comme toi à ton âge,…
– Oh mais tu l’est encore, Padre tu tiens la route… allez encule ma belle-mère, fais-nous la démonstration de tes capacités.
Il ne bande pas trop le vieux, alors son fils le branle un peu et même il le suce pour faire monter la sauce…et la voilà la jolie bite qui bientôt se redresse et devient insolente.
– Waouh ! s’écrie Mireille qui écarte ses cuisses et ses jambes au plafond viens m’enfiler mon chéri !
Il ne perd pas de temps le mari. Les deux bras derrière les genoux de la meuf il vous l’encule comme une roturière et vous la fait crier d’inconfort ou d’amour mais crier comme tout à l’heure à réveiller tout le quartier. Il y met du sien lui aussi aidé il faut le dire par un bon doigt au cul que lui fourre son fils et qui est le déclencheur d’une incroyable jouissance.
La nuit se poursuit ainsi dans un impossible désordre de bites, de fesses et de chattes en vadrouille, jusqu’à l’aube qui retrouve nos personnages affalés les uns sur les autres, endormis, maculés de foutre et de mouille si ce n’est d’autre chose, mais à l’aise, détendus, heureux du bonheur tout simple d’avoir joui entre eux.
Ce jour-là Pauline a fini son bel apprentissage. Superbement conditionné par son excellent mari, elle peut organiser avec lui de charmantes rencontres entre gens distingués et capables de se livrer aux plus extravagantes lubricités. Elle va se soumettre, parce que ça lui plaît, ou asservir son homme qui lui a démontré son plaisir à se coucher devant un mâle. Il va en prendre du plaisir le vicieux et du plaisir si fort qu’il en crèvera de bonheur, le malheureux, sous les coups de boutoirs d’un diable bien monté.
Elle en pleura longtemps la Pauline mais pas suffisamment pour assécher sa chatte qui mouillant d’impatience s’est remise à la tâche avec assiduité.
C’est elle qui va tout doucement prendre le pouvoir dans la maisonnée et vivre des moments passionnés au milieu de ses invités et choyée par son personnel.
C’est ainsi que des années plus tard, après la guerre, elle a retrouvé Ernestine, sa petite nièce, bonne à marier. Elle l’a prise sous sa coupe, lui a raconté son histoire et l’a bien éduquée comme vous avez pu déjà le remarquer dans les épisodes précédents.
Aussi telle Tante, telle Nièce et je parie qu’elle doit avoir encore beaucoup d’autres histoires à nous raconter la nièce …
Alors à bientôt les p’tits branleurs….
06.06.2022
Tout ces personnages délurés, excitée de la bite ou la chatte en feu m’ont fortement émoustillée… et même que je bande !
Que cela fait du bien de lire ces joyeuse gauloiserie en ces temps de néo puritanisme