Tant va le Temps…Tant va le Cul… 013 – Petites misères… mais Gros bonheurs par Verdon.

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 013 – Petites misères… mais Gros bonheurs par Verdon.

Eh bien voilà : on retrouve Adrien ! On sait ce qui lui est arrivé la veille et sa découverte de l’amour dans les bras de Louise surexcitée qui n’a pas ménagé le jeune homme de 20 ans. Il est rentré chez lui groggy. Avant de s’endormir il est tant excité qu’il laisse sa signature sur les draps de son lit, à la bonne discrétion d’Anita la petite boniche qui va refaire son lit le lendemain matin.

Au réveil, sa pine a doublé de volume ! Pas très fier et inquiet il file voir son père. Après tout c’est un médecin et devant ce dernier qui l’a toujours soigné, il n’a aucune honte à se montrer à poil.

– Oh putain la chandelle ! qu’il s’exclame le papa en pouffant de rire… le désastre !
– Papa ! c’est quoi ça…Tu rigoles, mais j’ai mal !
– Mais qu’as-tu fait, petit con ? Où as-tu mis ta pine ?
– Mais j’en sais rien, Papa… je n’savais pas moi… je…
– Tu n’savais pas quoi… tu as été voir une pute ? ou tu as baisé une tapette
– Mais non, pas une pute, une fille c’est tout…
– Comment ça une fille ? tu l’as prise au berceau ? couillon !
– Une grande fille…
– Grande ! grande… mais quel âge…
– Je ne sais pas… une femme… une adulte quoi ! comme une mère de famille.
– Une adulte !… Une mère de famille ?
– Mais dit-donc ce ne serait pas la Louise que j’ai vue te reluquer d’une drôle de manière l’autre jour quand elle t’a croisé dans mon cabinet…
– Oh… peut être, je ne sais plus… oui c’est elle… j’ai mal moi, c’est grave ?

Merde, « la Louise… », Ce petit con il va piocher dans mes plates-bandes maintenant… le couillon ! Je vais lui corriger l’arrière-train à cette délurée… me faire ça à moi… avec mon fils !

– Eh bien montre-moi cela d’un peu plus près s’il te plaît ! Bon sang elle t’a cramé le prépuce la salope ! Tu as dû lui casser le trou de balle avec ton engin mon salaud…
– Mais non papa, pas le cul, le con, seulement le con… c’est drôlement serré ce truc-là !…
– Eh bien sûrement qu’elle avait un problème de mouille avec son tiroir-caisse, … elle aurait dû te graisser la chandelle, ta conasse, sinon ça coince, nom de dieu !
– Je n’savais pas moi… et puis c’était si bon ! surtout qu’à la fin elle était trempée comme une serpillière… et elle criait la pauvre et qu’est-ce qu’elle gigotait !
– Ben voyons ! ça finit toujours comme ça avec elle !
– Ah bon, pourquoi me dis-tu ça ? Tu la connais, on dirait ?
– Oui… non.. .et puis mêle toi de tes affaires… je suis docteur… non ?… c’est souvent comme ça, les femmes… ça serre au départ et après ça se lâche…

Alors il se tait le garçon… ce n’est pas la peine de lui faire un dessin. Il a compris.

Son père va chercher une pommade et il lui lustre le zizi en lui retroussant bien le prépuce.

– Oh, ça fait mal, que ça fait mal.
– Tu ne vas pas faire la poule mouillée, mon garçon… et puis c’est ta faute… pourquoi tu bandes comme ça petit vicieux ! Détends-toi !
– Je ne fais pas exprès… et d’abord je ne suis pas vicieux…en me massant avec ta main tu me fais bander… hé arrête ça vient !…

C’est fatal, il jute le garçon et il en fout plein sur les mains et la blouse du paternel.

– Putain de couillon, tu ne pouvais pas te retenir, cochon !…regarde le travail ! Je ne suis pas Louise, moi ! Si tu lui as mis tout cela, je comprends qu’elle a dû crier la Louise. De bonheur mon gars, oui de plaisir !

Et il s’essuie le père en faisant mine d’être dégoûté.

– Mais elle t’a massacré ! Je vais lui dire deux mots quand elle va revenir se faire soigner ses hémorroïdes, ta sauterelle…
– Hi ! hi !! Tu lui soignes le trou de balle… je comprends pourquoi elle vient si souvent te voir !… puff, veinard.

Il se reçoit une gifle l’insolent…

(Non mais ce n’est pas chasse gardée le cul de Louise ! Il déconne le vieux…).

Ce soir, quand il va retrouver sa dulcinée dans le lit le papa :

– Tu sais, lui dit-il en se marrant, ça y est, il a débourré sa quéquette le fiston. Il s’est fait boudiner le bâton, déglacer le prépuce, trousser la flamberge…
– Mais qu’est-ce que tu me racontes ?
– Il s’est payé une bourgeoise le traîne-couilles…oui il a ‘b. a. i. s. é. ’ une ménagère…
– Oh quel bonheur ! Il sait fait dépuceler ton fiston !… il est donc bien un homme !… mais comment sais-tu cela ?
– Il vient de me le dire, il est fier, mais bonjour les dégâts… la garce ! elle lui a défoncé son pucelage, il a le braquemart comme une andouillette trop cuite ! Eclatée, roussie,
– Oh le pauvre. Tu l’as soigné au moins…. ce n’est pas grave ?
– Mais non, ne t’inquiète pas ! c’est l’apprentissage du métier. D’ailleurs il bande encore, putain comme il bande ! Même qu’il m’a juté dans les mains, ce con-là !
– Il a éjaculé dans tes mains ! Tu l’as branlé !
– Mais non, c’est ma main… avec la pommade, ça lui a fait du bien… mais en toute innocence, tu sais. Ça part comme la poudre, à cet âge… laisse-moi te dire qu’il en avait de la réserve… elles vont être servie ses prochaines conquêtes !…
– Qu’est-ce qu’elle a dû se prendre la Louise… Oups !
– Comment ça, ‘ la Louise’, c’est la Louise qu’il s’est payée ? la Louise nom de dieu ! Cette salope non contente de se faire enculer par le père, voilà qu’elle se décape le fils, ta poufiasse !
– Oh tout de suite des mots gentils ! Ne vois-tu pas au contraire qu’elle nous l’a dégourdi le minot ! à 20 ans ! il était temps ! Fallait le faire… c’est qu’il a une sacré bite le bonhomme… un beau morceau nom de dieu ! Tu te rappelles… le gars dans l’écurie, (sûr qu’elle se rappelle la coquine, et pour cause !), eh bien encore plus gros, oui plus gros, je l’ai bien senti dans ma main !
– Pardi, tu m’étonnes ! La bite de ton fils dans la main… En quelque sorte elle t’a cocufié avec ton fils…bien fait pour toi !…Hi ! hi ! Avec un beau gars comme lui, elle n’a pas dû mégoter ta gauloise ! Humm, ça ne me déplairait pas, moi aussi… un petit jeune… ça doit faire du bien ! et toi voilà que tu le branles !
– Un beau gars ? Je vais t’en donner du jeune homme, moi !
– Bon ça me fait mouiller ton histoire. Tu m’excites… alors viens, en attendant, un petit vieux pour ce soir, ça fera bien l’affaire !
– Oups !

Ça y est, le cul en l’air elle est déjà prête à se faire revigorer l’arrière-train, madame Bytthedur ! (Vous savez bien qu’elle est toujours disposée de ce côté-là, la Berthe…).

Ça commence toujours par une bonne petite fessée comme il a l’art et l’habitude de lui donner son mari pour l’échauffer… Puis une fois bien chaude et après lui avoir lutiné le trou de balle il lui enfile la bite comme un doigt dans un gant… par ce côté-là, elle ne dit jamais non…

– Ah Oui.i..i c’est bon ! Mais quand même… un petit jeune !… (elle cherche les claques, oui des claques… ce n’est pas possible !).

Ils se cajolent encore pendant un bon moment, puis soudain :

– Sais-tu qu’est-ce qu’on va faire, lui dit-elle, pour la remercier notre sauterelle, d’avoir déniaisé ton fils ?….
– Hi, hi….je vais te le dire. Écoute-moi bien…

On ne sait pas ce qu’ils se sont dit nos deux égrillards, en tout cas ils se sont endormis l’un dans l’autre, ravis comme des conspirateurs.

Quelques jours après ces événements, il va revoir sa patiente. (Une visite de routine bien entendu), histoire sûrement de lui soigner ses hémorroïdes, à la bourgeoise… ben oui c’est un domaine qu’il connaît bien le bon docteur, ça va de soi il sait où il met ses doigts. Mais, impatient alors qu’il est déjà en train de lui bichonner son trou de balle, elle lui dit :

-Attend, il y a du monde dans le vestibule… laisse-moi aller aux toilettes…

Il en a cure le saligaud. Pressé, il se l’encule à contre-courant de ses dispositions intestinales et la chieuse finalement se pâme, la tête dans la cuvette des WC… le cul bien encombré.

– Putain tu as le cul bien chaud… il y a du monde là-dedans !

Oh le cochon ! Il s’y plaît beaucoup dans la rivière boueuse (comme disent les chinois), elle aussi trouve que c’est velouté, que c’est gras, Que c’est bien fourré en quelque sorte. Elle aime bien parce que ça amortit les chocs et puis ça a ce petit côté provoquant qui bouscule ça libido :

– Hi ! Hi… il est dans ma merde, le macho ! Bien fait pour lui…

Elle en mouille que plus, ils jouissent tous deux comme des damnés…

Pas très fier son os à moelle à la sortie ! Il s’en fout de toute façon il a une bonne ménagère. Que ne ferait-elle pour ses hémorroïdes… tant pis pour les moustaches.

Après cette bonne séance de réconfort il lui pisse au cul, histoire de clarifier le paysage et lui prescrit une nouvelle visite en son cabinet pour la semaine prochaine. Après 18 h lui dit-il, c’est important il aime prendre son temps le praticien, pour faire du bon travail…

– Et lave-toi bien le cul avant, salope !

C’est dans la salle d’accouchements qu’il la reçoit ce jour-là. Dans ce lieu où il a l’habitude le toubib d’ouvrir les cuisses de dames rondelettes pour les aider à mettre au monde leur progéniture. Il en a vu de sacrées béances en cet endroit… et là, surtout n’allez rien imaginer, il fait bien son travail de praticien (oui ce sont plutôt elles qui travaillent…).Il est sérieux et connaît bien son métier… et on peut lui faire aucun reproche.

– Allez, poussez ! Poussez qu’il leur dit aux bonnes Dames… même qu’elles poussent si fort que leur trou du cul s’évase comme la fleur d’une bignone… (trompette de Jéricho…)

Mais là elle ne va pas accoucher la Louise. Non elle va jouir la garce et lui aussi. C’est lui qui va pousser.

– Allons, c’est le moment d’écarter tes cuisses et de lever les jambes. On se paie mon fiston ! Comme ça on me fait cocu ! Tu vas voir ce qu’il va te faire au cul, mon gamin… ouvre-toi bien que je lui prépare le passage, salope !

Elle les ouvre ses jambes… sans retenue, elle mouille déjà et se tripote les nichons.

Elle n’hésite pas la Belle. Elle a l’habitude, elle sait ce qu’il va faire. Il lui met les jambes sur les étriers et c’est dans cette merveilleuse position autant aérée qu’outrageante, qu’elle dévoile sans la moindre retenue et même avec un peu d’insolence, les troublantes profondeurs rosées de sa fente béante. Evidemment ça lui ouvre aussi les fesses et ça laisse apparaître au fond de sa raie du cul son anus, délicatement ciselé, qui rayonne, tout frais et pas le moins du monde, effrayé…

(Le rideau est ouvert, le spectacle va commencer…


Alors les Amis, on reste sages !… On ne bouge pas… On regarde… Ah elle n’a pas mis de culotte votre voisine !… Voyons, on ne touche pas son trou du cul… Ah bon !… Ben voilà… c’est sûr qu’elle va mouiller maintenant… elle va faire du bruit et ça va gêner les voisins !… Ah ils s’en foutent, ils baisent déjà leur copine, leur belle-mère, leur femme ou leur copain… tous des salauds !).

Bon, c’était une parenthèse, vous avez remarqué… C’est mon cerveau qui déborde. Comment voulez-vous que j’écrive, moi dans ce tohu-bohu ! Je n’en peux plus, je ne vais pas tenir longtemps, croyez-vous…

Bon. Je referme les rideaux et je continue à décrire ce qu’il se passe dans les soubassements du ventre de Louise.

Eh bien il y va le fouineur. Il titille du bout de son index le clito luisant qui s’érige sous le bienfait de la caresse. Il s’amuse le praticien, il se régale. Quelques petits tours autour du petit fripon et la dame se tord de plaisir et crie en tendant son pubis et en se pinçant les tétons… Il promène doucement un doigt le long des rivages inondés de la fente femelle. Descendant dans les profondeurs de la raie des fesses il introduit d’un coup et fermement son index dans l’insolent petit trou, juste en dessous. Elle donne un putain de coup de cul en redressant son pubis et ça fait bondir son ventre en avant. Elle crie la chochotte ! (et oui vous savez bien vous ce que ça fait un bon gros doigt qui vous troue le cul soudainement sans que vous demandiez rien à personne ! Ouah ! Ce n’est pas si désagréable, n’est-ce pas Mesdames… ça vous arrive bien de faire ça entre vous… Salopes, va !).

– Oh salaud ! Tu me fais toujours pareil… tu pourrais prévenir !
– Ben voyons tu aimes ça !

Il a un rire gouailleur et satisfait et il pousse encore.

– Oh ! Oui, mais quand même, grosse brute !… Mais non, ne le retire pas, idiot ! Humm, enfonce-le un peu plus, c’est bon ! Remue le bien… comme ça… oui ! Oh que c’est bon…
– Tu aimes salope ! (il le sait bien qu’elle aime cela, aussi il continue)…
– Oui j’aime ! Tu es un bon ouvrier… mon salaud ! Gassouille-moi le clito s’il te plaît.

Il ne manque jamais de faire cela à ses bonnes patientes qui bien sûr reviennent le voir à la moindre occasion, les filoutes.

Donc il enfonce bien son index et il le tournicote au fond du trou du cul de Louise… (C’est si bon de sentir son corps s’enrouler autour de son doigt !).

Et tant ça la chatouille, qu’elle en pisse la souillon. Oui elle pisse par petits jets chaque fois que le bon doigt s’enfonce profondément et lui crochète le minou à travers la fine cloison. Ce sont de petits jets violents qui giclent de son trou à pisse, comme ceux des fontaines du jardin des Tuileries. Le brave docteur qui les reçoit sur le nez, s’empresse de les absorber en ouvrant bien sa bouche. Il lape le bon nectar…

Ainsi il la travaille un moment, il lui élargit bien la rosette, en se suçant les doigts à chaque fois qu’ils ressortent du petit orifice. Il est vachement complaisant son petit trou qui s’ouvre pour laisser passer l’intrus et puis, se resserre sur lui pour ne pas le laisser ressortir… C’est formidable. En fait elle marche au doigt et au cul. Il l’amène au bord de la jouissance, il ajoute un autre doigt… elle se pâme.

– Oh baise-moi qu’elle s’écrie ! Encule-moi, mon coquin !…

Eh bien non il ne la baise pas. Pourtant il en meure d’envie. Il la laisse haletante, trempée, implorante.

– Allez relève-toi et va te mettre sur le lit, le cul en l’air… On va à la monte.

Elle y court sur le lit. Soumise elle présente son cul pour se faire enfiler comme une pouliche par Adrien qu’elle appelle de ses vœux.

Mais ce n’est pas Adrien qui se présente. C’est d’abord Armand qui s’assoit sur le lit devant elle et lui donne sa bite à sucer. Bon elle fait petite mine. Ce n’est pas cette bite qu’elle attendait… elle rechigne la gourmande, mais pas longtemps en vérité car le vieux lui a fourgué son écouvillon sous les naseaux et faute de grive elle suce un merle. Elle n’a rien à dire, elle ne peut rien dire, car ras ses roustons il lui démontre le vieux que le merle en question il n’est pas petit.

Elle en fait de ses yeux blancs de gourmande ! Démontrant par là qu’elle ne méprise pas le gros morceau. Elle le mâchouille avec un plaisir évident.

– Tu es une brave femme qu’il lui dit, (tout en lui câlinant la peau des fesses pour manifester son contentement). Tu vas recevoir une bonne récompense. Tu le veux Adrien ? Il va te faire du bien….

Mais surprise…Ce n’est pas Adrien qui est derrière elle… Non, c’est sa rivale, Berthe, nue et fière, une cravache à la main. Elle est toute en beauté et furieuse !

– Alors Salope, non contente de te faire enfiler par mon homme, tu te paies son fiston ! Si tu veux du frais, du nouveau, du bien dur… et bien tu vas en avoir, il est là, mais tiens en attendant…

Et vlan sur son gros cul qui tressaute comme un ballon de baudruche… et vlan sur la chair épaisse et moelleuse… et vlan dans le gras du cul… ah elle se défoule Berthe… oui c’est bon la vengeance… C’est un plat froid qui se mange sur un cul chaud…

Armand retient les deux mains de la punie pour l’empêcher de se protéger :

– Non mais a-t-on jamais vu une vilaine garce qui refuse de se faire corriger !
– Oh juste un peu alors ! Mais pas trop fort…
– Comment pas trop fort ! Il aime ça ton gros cul… dit-le moi salope que tu aimes…
– Oui c’est bon, Tu as raison, je le mérite… oui je t’ai cocufié… il est bon ton fils tu sais… comme son père !… oui comme son père !… encore, encore !

Alors elle continue de plus belle Berthe mais avec ses mains qui font rougir les grosses fesses et qui s’aventurent dans le creux de la raie pour lui taquiner le p’tit trou…

Du coup… elle mouille la fautive et ça coule le long de ses cuisses.

– Arrête, arrête… commande enfin Armand, ce sont des coups de bite dont elle a besoin maintenant… regarde comme elle est prête… vient fiston montre nous que tu es un homme !

Il arrive son gars avec une bite comme celle d’un âne, putain qu’il est beau ! Qu’elle est grosse ! Qu’il est fier ! Elle se redresse Louise :

– Oh quel beau gars ! Qu’il l’a grosse !

Berthe graisse le vaillant braquemart avec de la vaseline tandis que son mari écarte les fesses de la gourmande pour que son fils pose son gland violacé sur le petit œillet rose.

– Va s’y, pousse, fiston, mais pousse donc

Il pousse le jeune mais ça ne rentre pas. Elle crie, ça ripe…
– Il est trop petit le trou, papa, ça n’peut pas entrer…

Elle serre les fesses…elle crie Louise !

– Ne t’occupe pas de ses balivernes, pousse que je te dis, bon sang ! Pousse, elle va l’ouvrir son cul, fais-lui donc plaisir !

Il remet ça mais le trou reste récalcitrant.

Alors le père fout son index dans l’anus indiscipliné et après l’avoir élargi reprend la quéquette à pleine main et essaie de l’introduire de nouveau… (Tenir ce sexe à pleine main pour le faire pénétrer dans l’anus… Aie ! mes amis !).

Mais que dalle, ça glisse et ça fout le camp dans la raie du cul.

– Oh bande d’incapables ! Qu’elle leur dit Berthe ! Laissez-moi faire.

Elle écarte nos deux empotés, s’agenouille derrière Louise et se met à lui lécher le trou de balle comme un minou sa pâtée…

– Oh ma Putain mais qu’il est bon ton cul ! Mais tu vas l’ouvrir oui ou non, conasse, cul bouché, salope !

Oh ça elle aime la Louise, bon sang que c’est bon ! Elle aime qu’on l’insulte, qu’on la traite de pute, de dévergondée, surtout devant du beau monde…et puis cette léchouille ! Que c’est bon. Oui tellement bon qu’elle l’ouvre son cul et en grand je vous le jure :

– C’est bon ! continue, c’est bon, met-moi ta langue bien profond… oui comme ça. Humm. Ah merci Berthe tu es une bonne lécheuse. Ah oui j’aime, je t’aime, lèche-moi encore.

Elle se régale Berthe ! Bouffer le cul de sa rivale… n’est-ce pas un des plus sublimes plaisirs d’une régulière… en plus elle est bien bonne cette demeurée il faut qu’elles se retrouvent ensemble, c’est trop bon. On y reviendra !

Bon mais pour l’instant il faut en revenir à leurs bonnes occupations. Alors belle-maman se saisit du sexe de son beau-fils, une petite lichette et zou elle enfile le joli membre laqué de vaseline, dans le trou qui baille aux corneilles.

Et d’un coup, d’un seul, Adrien lui enfourne son bienfaiteur ras les couilles. Elle pousse un grand cri de bonheur sans doute, de douleur il en faut un peu, ou d’extase, on ne sait pas trop bien, mais en tous cas elle ne se débat plus, au contraire elle bouge lentement son cul pour bien apprécier le gros encombrement… elle se glisse, elle s’encule elle-même.

Impressionné, Adrien a tendance à ralentir. Heureusement le bon paternel veille au grain et passant derrière lui il le pousse aux fesses son fiston pour l’aider à la manœuvre :

– Vas-y, fiston il ne faut pas s’endormir ! Continue bourre-lui le cul, va et viens, bouge-toi… bon dieu… fais monter la mayonnaise !
– Oh oui c’est bon, c’est bon… mais qu’est-ce que tu fous derrière moi, papa ?

Qu’est-ce qu’il fait le paternel dans le dos de son fils ?… J’en sais rien moi ce qu’il fait… il l’aide, il pousse sans doute… il lui apprend le métier à son jeune, il l’éduque… il gère ! Il lui donne la becquée peut-être… je vous ai dit c’est un bon père de famille…

Moi je ne sais pas… Je ne vois rien… j’écris, c’est tout !

C’est vrai, on ne voit rien sauf le cul du vieux et deux paires de roubignolles qui dansent la carmagnole… ou autre chose peut-être, mais ça bouge tellement !….

(Putain il a quand même un beau cul le vieux ! C’est du beau, du trapu, du costaud. A voir comme il est fendu, il n’a pas dû rester inoffensif pendant sa jeunesse le monsieur…il me plaît ce cul…et vous ?).

En tout cas, la Louise qu’on a oubliée jusque-là, elle crie, elle pleure, elle jouit, elle bouffe son oreiller, mais bon sang c’est la première fois qu’elle se prend un si gros morceau et ce n’est pas du toc ! Elle ne regrette rien.

– Ah oui continue, c’est bon !

Et Adrien… il est bien lui. Il ne sait pas trop où il est ! Il n’a plus les pieds sur terre ! Coincé entre Louise qu’il encule et son père qui… (Eh bien qui l’aide…) il est sur un nuage. Il n’a jamais autant joui. Il a du mal à refaire surface.

Louise s’est relevée, les jambes nappées de sperme, (tiens, lui aussi d’ailleurs !).

Elle se baisse pour lui sucer le sexe (la gloutonne elle ne veut rien perdre…elle connaît le métier).

Lui se gratte le cul… (Allez savoir pourquoi !..).

Derrière eux, Armand et Berthe se baisent debout en se bécotant et en regardant avec envie les deux amoureux…

– C’est un homme maintenant Adrien, un bel homme ton fils
– Oui tu as vu comme il l’a bien enculée la vieille !
– Oh ! Oui c’était du beau travail ! Il faut dire qu’elle a un beau cul la salope…Moi j’aurais bien pris sa place…Il est tellement bien monté ton fiston !
– Ça viendra. Il faut encore l’éduquer…
– Bien sûr…dis-moi, on fera ça ensemble ?
– Oui, je vais continuer à le dégourdir, tu verras.
– Cochon ! Oui je te vois venir !… Mais dis-moi, tu l’as bien serré quand il bourrait la Louise !
– De qui !… de quoi… Mais voyons ! Tu sais bien, je l’aidais, je l’encourageais, vois-tu…
– Ah, oui, c’est ça… Tu lui as donné un sacré encouragement à ce que j’ai vu….mon salaud !
Bon, vient mon chéri, on va vite au lit. Je crois que moi aussi j’ai besoin d’un bon gros encouragement, ce soir !

C’est à vous rendre fou cette saga ! Vous rendez-vous compte ?…

Moi je ne tiens plus…j’ai le poignet qui fatigue…je vais faire des fautes de frappe, c’est sûr…

Ben voilà…

je vous avais prévenus… tant pis pour le clavier…

Bon, je reprends mon souffle…et vous ?…

N’empêche que ce petit con, qui n’avait jusque-là pas trop remué ses couilles, il vient de se payer une sacrée partouze, le bonhomme ! J’en soupçonne plus d’un d’entre vous qui auraient bien pris sa place…

N’hésitez pas… (Mais surveillez vos arrières… Oups !…).

Je vais me coucher…….

04/02/2023

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 013 – Petites misères… mais Gros bonheurs par Verdon.

  1. Harivel dit :

    Quel bonheur de lire ça ! Encore ! Encore !

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