Muriel et Sylvain, couple coquin
11 – Le chauffeur de Madame
par Sylvain_Zerberg
Attention, changement de narrateur, c’est aujourd’hui Muriel qui va s’exprimer.
Bonjour, je suis Muriel, je travaille à mi-temps dans un bureau d’import-export. Je travaille donc le mardi, le jeudi et un mercredi sur deux. Et comme aujourd’hui, c’est lundi, je ne travaille, pas. Il est 11 heures et je m’apprête à descendre chercher du pain, lorsque la sonnette retentit.
J’ouvre ! Qui c’est celle-là ? Son visage me dit quelque chose. Une très belle femme en tous cas.
– C’est pour le recensement !
– Ah, c’est long ? J’allais partir !
– Dix minutes maximum !
– Entrez !
L’apparition pose son manteau sur le dossier d’une chaise. Elle ne l’a pas acheté aux puces son manteau. Elle a une espèce de haut outrageusement décolleté et le cou bariolé de collier. Qui c’est, cette nana ? Elle me regarde avec une insistance qui devient gênante.
– On essaie d’aller vite ! Insistais-je
– Je suis venu m’excuser pour ma conduite !
– Pardon !
– Je m’appelle Isabelle, ce nom doit vous rappeler quelque chose, J’ai voulu jouer avec votre mari, disons que j’ai mal analysé les choses.
Surréaliste, la situation !
– Bon, ben d’accord, je vous remercie de votre démarche, je trouve ça correct, mais maintenant on va peut-être en rester là ! Répondis-je en me levant.
Putain le regard qu’elle a ! Qu’elle arrête, qu’elle arrête tout de suite où je vais faire des bêtises !
Sa langue passe sur ses lèvres.
– Je peux t’embrasser ? Demande-t-elle.
– Non ! Ou alors juste un bisou et après on se sépare.
Je suis folle de répondre ça. Juste un bisou, tu parles, la fille est une véritable sangsue, sa langue pénètre ma bouche, je me laisse faire, je suis toute moite. Une diablesse vient d’entrer dans notre appartement et de m’envouter.
– Déshabille-toi !
C’est plus une suggestion qu’un ordre, mais je m’exécute comme un zombie. Deux minutes plus tard, j’étais complétement nue devant elle.
– Beau spectacle ! A mon tour de me déshabiller.
Mais elle ne le fait pas, s’empare de mes tétons et les tortille
– Tu aimes ?
– Oui !
– Je le savais, je te les avais déjà tortillés un peu au club, tu te souviens ?
– Oui !
Elle serre plus fort.
– Et comme ça, tu aimes ?
– Oui, mais pas plus fort !
Elle en a cure et augmente sa pression.
– Dis-moi que c’est bon !
– Ça fait mal mais c’est bon !
Elle me les relâche et me met la main à la chatte.
– Tu mouilles comme une salope !
– C’est de votre faute.
Elle s’est reculée. Pourquoi ? J’ai trop envie de la caresser. Peut-être va-t-elle enfin se déshabiller ? Elle farfouille dans son sac à main. En sort une carte et me la tend.
– Tiens, si tu veux qu’on fasse des choses toutes les deux, tu m’appelles.
– Vous ne… Tu ne vas pas partir ?
– Si pourquoi ?
– T’es un peu salope de me laisser dans cet état là !
– Tu vas jouir toute seule en pensant à moi… et la prochaine fois on se fera plein de choses toutes les deux.
– Je n’ai pas envie de jouir toute seule !
– J’ai bien une solution, mais faut que tu m’obéisses !
– C’est quoi ? Demandais-je
– Tu verras bien, promets-moi de m’obéir !
– J’ai l’impression que tu me tends un piège.
– Il n’est pas méchant mon piège !
– Alors d’accord !
Elle prend son portable :
– Victor, rejoignez-moi, j’ai besoin de vous, c’est au troisième à droite, le premier escalier.
– C’est qui Victor ?
– Mon chauffeur.
– Oui ben, on va peut-être arrêter les conneries.
– T’avais promis !
– Et bien, je ne tiendrais pas ma promesse.
– Tant pis !
Elle se rapproche de moi, je ne bouge pas, elle me tétanise, elle me reprend mes bouts de seins entre ses doigts, elle les serre. C’est trop bon, je deviens folle. On sonne.
– Va ouvrir !
J’y vais, je fais entrer Victor, c’est un grand black. Pas mal !
– Sors-lui la bite de sa braguette et suce-le !
J’hésite, me faire dominer par Isabelle ne me déplait pas, mais là ça va pas peut-être trop loin. Je ne bouge pas. Isabelle s’approche de moi, elle me toise, puis me gifle deux fois. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas été giflé. Je ressens un plaisir trouble.
– Fais ce que je t’ai dis !
La situation m’échappe, je ne sais plus où j’en suis, mais je ne bouge toujours pas.
– Ouvre ta bouche, salope !
Je le fais sans réfléchir ! Isabelle me crache dedans. Je me surprends à jouer la soumise de cette façon.
– Tu vas faire ce que je t’ai dit ?
– Oui !
Je m’approche du black, lui farfouille la braguette, en extrait une longue bite semi bandée, et sans plus de formalités j’y promène ma langue. Sa queue est douce, la texture est agréable, le seul problème c’est que j’ai du mal à mettre tout ça dans la bouche. Je fais ce que je peux : je léchouille, j’aspire le gland…
– Mets-toi en levrette, il va te prendre.
– Je ne sais pas…
– C’est quoi le problème ?
– Je ne sais pas, ça va trop loin !
– O.K. t’aimerais me caresser ?
– Te caresser, toi, bien sûr !
– Et bien se sera possible quand, il t’aura baisé.
– Laisse tomber !
Victor se branle mollement en attendant que sa patronne lui dise quoi faire. Après un moment de silence, Isabelle tend son bras et pointe son index vers le sol.
– Muriel ! Dit-elle d’un ton autoritaire.
– Oui !
– En levrette, vite, obéis-moi !
Cette nana a du magnétisme en elle. Je ne saurais jamais pourquoi j’ai obtempéré, mais je l’ai fait.
Victor vient derrière moi, il me pelote, puis m’écarte les fesses. Il ne va tout de même pas me sodomiser avec cette trop grosse bite ?
– Pas dans le cul !
– Laisse-toi faire, c’est un spécialiste ! Intervient Isabelle.
Un peu de gel, quelques doigts, et trois minutes après j’avais tout son paquet dans le cul. Il commence doucement, mais ensuite s’excite et se contrôle plus, il me laboure le fion, ça fait du mal et ça fait du bien. Il va de plus en plus vite. Je jouis du cul. Et tout d’un coup le voici qui décule. Ça fait un drôle de bruit, comme une bouteille qu’on débouche. J’ai le cul horriblement dilaté, ce n’est pas très agréable comme sensation.
– Mets-toi à genoux ! Me demande Isabelle.
Le Victor n’a pas joui, je constate qu’il m’a baisé sans se déshabiller ni même baisser son pantalon, il m’a enculé avec la bite juste sortie de la braguette. Il retire promptement sa capote et se masturbe comme un malade. Son sperme finit par jaillir, par réflexe, j’ai fait en sorte que ça ne vienne pas m’atterrir sur mon visage, mais j’en ai quand même…
Isabelle vient en recueillir quelques gouttes avec son index et me le met dans la bouche.
– Je peux faire pipi ? Demande Victor.
– Il va te rafraichir ! S’amuse Isabelle.
Je n’ai même pas eu le temps de dire si j’étais d’accord ou pas, je reçois un jet de pisse sur tout mon corps. Je n’ouvre pas la bouche, je ne suis pas assez intime avec ce monsieur pour boire son urine.
Et voilà, je me retrouve avec une flaque de pisse sur mon parquet flottant. Mais Victor après m’avoir demandé une serpillère a la grande bonté de nettoyer tout ça. Il a oublié de ranger sa bite. Il a l’air malin maintenant avec ce gros machin noir qui pendouille !
Il finit par mettre de l’ordre dans ses petites (si j’ose dire) affaires.
– Je vous attends dans la voiture ? demande-t-il à sa patronne.
– Tu n’as rien oublié ?
– Euh !
– Tu n’as rien oublié ? Répète Isabelle.
– Euh !
– Tu te figurais que c’était gratuit ? C’est pas Noël aujourd’hui, il s’agirait de payer la petite dame.
– Ah? Ah, oui, pardon !
Il sort deux billets qu’il pose sur la table.
– C’est assez ?
Je ne réponds pas, qu’est-ce que vous voulez que je réponde ? Il s’en va. Isabelle me regarde avec un air amusé. J’en ai marre d’être à poil devant elle, j’attrape mon soutien-gorge et je le remets, puis j’attrape la culotte.
– Donne ! Dit Isabelle
– Donne quoi ?
– Donne ta culotte !
– Tu veux ma culotte ?
– Oui, je te la rendrai demain !
– Demain, je travaille
– Alors après-demain ! 10 heures au Métro Victor Hugo ! Bisous ?
Bisou ? Bien sûr bisou ! Mais un bisou sage ou…
On voulait la même chose, on s’est roulé une pelle bien baveuse, puis madame est partie…
Bon récapitulons, je me suis fait envouter par une femme que je n’aurais jamais dû rencontrer, j’ai sucé la bite d’un black qui m’a enculé, qui m’a pissé dessus, et à qui on fait croire que j’étais une pute.
Bon faut que je me rhabille… et l’autre qui a embarqué ma culotte… Puisque c’est ça je ne vais pas en mettre… et qu’est-ce que j’ai mal au cul… Où j’en étais ? Ah, oui, il faut que j’aille acheter du pain. Mais avant…
Je sors un plan du métro de Paris, et je regarde comment être Mercredi à 10 heures au métro Victor Hugo sans être en retard.
Je vous l’ai dit, Isabelle m’a envouté.
(à suivre)
Mias quelle imagination !
Il est permis de sucer le chauffeur
Mais évitez de le faire lorsqu’il conduit ! 😉
Joli fantasme, vraiment, j’en sis toute boulversifiée
Tout ce que j’aime, de la domination par une belle bourgeoise, une bonne bite de black à sucer ! Le paradis, quoi !
Voici un chapitre un peu gonzo (et assez peu réaliste, il faut bien l’avouer) mais l’excitation fonctionne correctement. Que demande le peuple ?