Le gland
Ayant baisé une bergère
Au petit con impertinent
J’en ressortais la bite fière
Encore raide et bien fumante,
Prête à offrir des compliments
Au trou du cul de mon amante
J’avais le sexe très impatient
toujours couvert de ces rosées
Qui facilitent les tourments
D’un petit trou bien disposé
A accueillir aimablement
Les exigences d’un gros gland.
Mais la chochotte n’a pas voulu
Que je lui perce la rondelle
Car elle avait le cul rebelle
Aux ambitions de mon crochu.
Elle craignait fort d’être fendue
Tant je bandais comme un pendu.
Du coup je plonge, tant pis pour elle
Dessus le cul d’une haridelle
Qui sous la tente dormait comme elle
Dans la pénombre, le cul en l’air.
Et je me paye sa rondelle
Qui sans soucis se laisse faire.
Je dégorge mon imposture
Sans me soucier de ma monture
Qui écrasée sous ma courbure
Se prend dans le trou de son cul
Ce gland de fort belle nature
Que sa voisine n’a pas voulu.
Mais le matin, ouvrant les yeux
Lorsque je fais l’état des lieux,
C’est pas possible, je n’y crois pas,
Je m’aperçois que cette nana
A dessous son p’tit trou mignon
Une jolie paire de roustons.
Je ne sais plus par quelle embrouille
Entre l’alcool et la passion
J’ai cette nuit perdu raison
En enfilant cette fripouille
Qui n’a point tiqué pour autant
Sur la pointure de mon gland.
Voilà donc un sacré réveil
Qui à tout autre n’est pareil !
Mais après tout, point de malheur
Trop de raison tue le bonheur.
Car finalement le cul du gars
Vaut bien celui de ma nana.
C’est chaud!!