L’aventure, c’est l’aventure Une rencontre par Kathy_et_Etienne

L’aventure, c’est l’aventure
Une rencontre
par Kathy_et_Etienne


Je m’appelle Etienne, je suis un jeune homme un peu timide, juste trente ans, pas trop moche mais pas Apollon non plus. Je suis pharmacien en Province et voici ma rencontre avec Kathy…

Un sourire éclatant, des yeux bleus pétillants, une chevelure rousse flamboyante, une fois de plus Kathy fait son entrée dans mon officine. Depuis cinq ans que je travaille dans cette pharmacie, je suis tombé sous son charme. à chaque conseil demandé, je fais mon possible pour durer le plus longtemps, la noyant dans d’inutiles échantillons de produits de beauté, la conseillant et la dévorant des yeux. Rien d’extraordinaire me direz-vous. Et pourtant ! Elle a 60 ans, belle comme un cœur et quand nos regards se croisent, je pense déceler un intérêt au-delà de nos relations pharmaceutiques. Pas trop grande (1 m 60), mince, avec de mignons petits seins que l’on devine sous son corsage, elle m’envoûte. Je n’arrête pas de penser à elle, à son corps, à ses yeux. Il y a quelque chose entre nous mais comment lui en parler en public, éviter son mari ? Je vois bien qu’elle aime être servie par moi, qu’un contact spécial passe.

Ça y est, ce matin au réveil, j’ai la solution ! Puisque je manque d’audace, il me faudra forcer le destin : lors de son prochain passage, je lui subtiliserai sa carte Vitale et profiterai « d’un passage dans le quartier » pour la lui ramener. Quelques jours plus tard, la voici. Elle porte un magnifique petit chemisier blanc transparent et un jeans bien moulant. Je la vois entrer, m’arrange pour la servir. Au passage, comme prévu, je remets à jour ses données client et j’enregistre son n° de portable. Puis vient le tour de la carte Vitale, voilà, une petite blague et elle se retrouve cachée sous le clavier d’ordinateur. Une demi-heure plus tard, je lui téléphone et lui annonce qu’elle a oublié sa carte mais que, par chance, je peux justement venir la lui déposer pendant mon heure de table.

Petit pavillon de banlieue, la sonnerie de la porte d’entrée se fait entendre, elle ouvre la porte, aussi jolie que ce matin. Je suis blême, je bafouille,

– Euh, voici votre carte vitale, vous l’aviez oubliée
– Merci, vous entrez prendre un verre ?

Je n’en reviens pas, ça a marché, Je m’installe à table, à la fois heureux et paniqué. Elle nous sert un verre de rosé et nous papotons quelques minutes. Elle s’est malheureusement assise en face de moi et la table nous sépare. Ne sachant comment passer du mode « poli mondain » au mode « viens ici ma cochonne », je la complimente sur son intérieur, me lève et fait le tour du salon. Elle me montre deux ou trois bibelots puis me montre sa nouvelle cuisine et sa vue imprenable sur le jardin. Moi, je ne vois qu’une chose : elle est de dos, en train de décrire ses travaux de jardinage, j’aperçois à travers son chemisier la fermeture de son soutien et juste en-dessous deux jolis petits globes moulés dans un jeans. Elle me dit :

– « Viens plus près pour voir ».

Comme un garçon sage, j’obéis et me colle contre elle, sans pousser, sans autre contact que mon sexe tendu à l’extrême dans mon pantalon. Je pousse et tout d’un coup elle se raidit ! Bon là, c’est l’instant de vérité, plus besoin de parler.

Elle se retourne, un sourire aux lèvres

– « Et maintenant, on fait quoi ? »
– « Ce dont on a envie tous les deux ».

Nos lèvres se rejoignent, nos langues se trouvent, nos salives se mélangent. Ses mains trouvent instantanément le chemin de ma braguette et libèrent ma bite pendant que son chemisier tombe par terre et que je découvre enfin sa mignonne poitrine. Elle a deux petits seins en pomme, qui tiennent tous seuls. Ma langue passe d’un téton à l’autre puis elle m’interrompt

– « Tu n’as pas encore vu la chambre » dit-elle en éclatant de rire.

Une minute plus tard, elle me pousse à moitié à poil sur le lit et entreprend de me faire une pipe d’enfer. Sa langue court sur mon sexe, jouant tour à tour avec mon gland et les couilles. Je l’attire à moi, l’embrasse goulûment. Nous roulons et enfin j’entre en elle. La tension, l’attente, la joie exubérante d’un fantasme sur le point de s’accomplir ? Je n’en sais rien mais trente seconde plus tard, voilà que je lâche tout dans son antre du plaisir.

Je bredouille :

– « Tu sais, j’en avais tellement envie depuis si longtemps, je suis désolé, normalement je tiens beaucoup plus longtemps ».

Elle sourit

– « J’espère bien. De toute façon, dans 10 minutes tu seras d’attaque, non ? »
– « Bien sûr mais mon heure de table est presque finie, je vais devoir y aller ».

Je me rhabille, un peu penaud, elle me regarde, un demi-sourire aux lèvres.

« On se reverra ? » me demande-t-elle.
« Evidemment, dès que possible. Pourquoi pas ce soir, je suis de garde, tu peux venir vers 21 h, on sera à l’aise »
– « On verra »

L’après-midi fut une torture. Entre bonheur et mortification pour ma piètre prestation. Heureusement, sur le coup de 21 h 10, un client sonne. C’est Kathy. Nous passons à l’arrière et, aussi gêné l’un que l’autre, nous parlons enfin un peu. Visiblement, je m’étais trompé : oui, elle me trouvait sympa mais jamais au grand jamais elle n’avait imaginé faire de moi son amant, je suis plus jeune que ses enfants ! Ce que je voyais dans son regard était un intérêt (un peu poussé, elle l’avoue) somme toute normal. Je lui raconte mes joies de la servir, mes nuits à penser à elle à imaginer cette rencontre. Tout naturellement, nous nous embrassons. Tendrement cette fois. Je libère ses seins et, pour la mettre à la hauteur (ben oui, j’ai trente ans de moins mais je mesure trente centimètres de plus), je la soulève et la pose sur le plan de travail des préparations officinales. Tiens, elle a mis une robe, directement relevée ! Tout en l’embrassant, mes mains suivent ses cuisses et montent peu à peu sa culotte. La coquine ! Elle a mis un string que je m’empresse d’enlever. Je m’agenouille et entreprend de lui lécher consciencieusement sa chatte. Son clitoris roule sous ma langue, je sens ses mains agripper mes cheveux tandis qu’elle gémit. Je me redresse, laissant mon pantalon à terre et je l’attire à moi. Nettement plus à l’aise qu’à midi, je la pénètre, la possède. Elle pousse de petits cris, me pince les tétons. Je prends ses seins, les pétris et j’alterne coups profonds et vigoureux avec des allers-retours rapides. Je sens rapidement quelques contractions et elle jouit. Bon dieu, elle aurait pu s’empêcher de crier, ma copine dans l’appartement de garde a dû l’entendre !

Kathy sourit, descend de la table des préparations et entreprend de me montrer à nouveau ses talents de suceuse. Elle me décalotte à fond, lèche bien mon gland puis parcourt la hampe de mon sexe pour finir en jouant avec mes couilles. Pendant que sa bouche fait le trajet inverse, je pose sa main sur mes couilles et la pousse un peu plus vers mon anus. Elle s’interrompt un instant, je lis un sourire dans ses yeux et repart de plus belle. Je sens son index jouer avec ma rondelle, la tapotant pendant que sa langue fait des merveilles. Puis d’un coup, elle enfonce son doigt en moi, je n’en peux plus, le sens que je vais jouir. Je pose, fermement mais sans brutalité mes mains sur sa tête pour la garder en place. Elle fait non-non de la tête, tout en me suçant de plus belle.

« Si, si, tu vas tout avaler, comme une gentille fille’.

Elle s’interrompt un instant, enfonce son doigt à fond pendant que je remplis sa bouche de sperme. Je la sens me nettoyer le gland de tout résidu puis elle se relève

– « Tu sais, c’est la première fois que j’avale »
– « Et moi, c’est la première fois dans la pharmacie ».

Son portable sonne

– « Dis, chérie, tu es où ? Je croyais que tu avais la migraine et que tu allais à la pharmacie »
– « Oui, j’arrive ».

Un dernier baiser volé et mon oiseau rare me quitte, non sans me promettre de se revoir…..

Fin (de la première partie)

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5 réponses à L’aventure, c’est l’aventure Une rencontre par Kathy_et_Etienne

  1. Ivanel dit :

    Oh ! Cette photo de fellation est magnifique ! Belle femme, belle bite ! Je bande !

  2. Ducru dit :

    Rien de tel qu’un femme mature pour nous emmener au paradis !

  3. Duroc dit :

    Je n’ai pas trouvé la deuxième partie

  4. Forestier dit :

    J’ai adoré cette historie enfouie dans les archives du site, c’est tout simple mais c’est très excitant… et puis cette photo avec cette belle mature qui suce une bonne bite bien bandée. Je me joindrais bien à eux en trio bisex.

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