Je n’hésite jamais à rentrer dans une boutique de lingerie sexy.
Il faut dire que j’adore cela ; c’est dans ma nature.
Où que je sois, quoi que je fasse, quel que soit mon genre d’habillement, je
porte toujours d’affriolants petits dessous très féminins, de préférence en
dentelle et assez transparents…
Bref, des choses très excitantes qui mettent mon corps en valeur.
Si je n’ai évidemment pas les mensurations d’un top-model et que mon profil
ne correspond pas exactement aux critères des défilés de mannequins, je n’ai
cependant pas du tout honte de mes formes.
Alors, comment me décrire et que dire de moi ?
Je m’appelle Jenny, j’ai 22 ans et suis hollandaise.
De ma mère , je tiens la blondeur de mes cheveux, mon ouverture d’esprit,
mes tendances très libertines et mon goût pour toutes les pratiques
sexuelles.
J’ai aussi hérité de ses courbes généreuses : je ne mesure que 1m60 pour 60
kilos et, plutôt » courte sur pattes » et trapue, j’ai des cuisses assez
rondes et des anches dans lesquelles mes amants peuvent poigner sans risquer
de me faire mal.
Mon derrière volumineux et épanoui me donne toujours l’impression que tout
le monde reluque mes fesses et a envie de les toucher ; ce qui n’est pas
désagréable.
Je n’ai pas le ventre parfaitement plat mais ma peau est très douce et mes
bras souvent accueillants.
De mes seins, je suis très fière également.
Pour revendiquer mon 105 de tour de poitrine, je prends un malin plaisir à
les mettre en valeur ; mes mensurations séduisent immédiatement chacun de
mes nombreux prétendants et amants.
Voilà pour l’aspect physique…
Je rentre donc dans cette boutique du centre ville où l’on trouve tous les
vêtements et les accessoires pour passer des moments particulièrement
chauds.
Une jeune et superbe métisse moulée dans une très courte robe en imprimé
léopard se trouve derrière le comptoir et me lance un grand sourire plutôt
enjôleur.
Moi, je ne pense déjà plus qu’à ce que je vais acheter : une splendide
culotte fendue et le soutien coordonné…
Pour la couleur ?
En bleu marine ; pour bien trancher avec ma peau blanche et laiteuse de
vraie blonde.
Je décroche donc un ravissant ensemble de la penderie et prends par la même
occasion un minuscule slip dont le devant est entièrement transparent…ce
qui permettra de laisser apparaître ma fente parfaitement lisse et propre
car je suis entièrement épilée.
» Je peux l’essayer ? ! » demandes-je à la vendeuse.
» Mais certainement, la cabine est là-bas au fond » me répond-elle en
lorgnant avidement sur mes seins…
Dis-donc, elle n’est pas vite gênée, celle-là.
A la manière dont elle me déshabille des yeux, je pourrais craindre qu’elle
a envie de me dévorer toute crue ! !
Ce serait une gouine que cela ne m’étonnerait pas !
Eh bien, si même les femmes se mettent à me mater maintenant, je n’ai pas
fini d’être poursuivie…
Perdue dans mes pensées, je me retrouve dans cette cabine dont les trois
parois intérieures sont recouvertes de grands miroirs du sol au plafond :
pour les narcissiques, c’est parfait.
Déjà, j’ai retiré mon jeans, mon tee-shirt et ai abandonné mes
sous-vêtements pour passer le petit slip qui me fait si envie.
Je suis très impatiente de voir comment cela me va et voudrais me contempler
longuement dans les miroirs.
Mais, à peine ai-je mis le slip que j’entend la vendeuse me dire :
» Alors, ça va ? Montrez-moi comment vous le portez … »
De joindre le geste à la parole, elle n’a pas terminé sa phrase qu’elle
ouvre soudainement le rideau de la cabine d’essayage et me voilà presque nue
sous ses yeux allumés :
» Mais c’est sexy tout çà ; tu es superbe ! » me dit-elle en s’approchant
les bras tendus…
Je suis tellement surprise que j’en reste sans réaction !
J’adore me montrer nue, mais seulement à mes petits copains et quand moi je
le décide.
Et me voilà toute exhibée devant cette jeune personne qui bondit
littéralement sur moi en hurlant :
» Tu es splendide, ma chérie. Tu sais que j’ai très envie de toi ? !
Laisse-moi un peu sentir comme tu es bonne ! ! »
J’en reste bouche bée car, déjà, ses mains se posent sur mes seins dénudés
et emprisonnent mes mamelons entre ses doigts agiles…
Elles les fait rouler pour qu’ils sortent au plus vite…je suis subjuguée.
N’étant pas particulièrement bisexuelle, je n’avais jamais eu de véritable
relation avec une autre fille, si ce n’est quelques furtives et innocentes
caresses à la colonie de vacances .
Je suis donc » vierge » au niveau des aventures saphiques…
Et voilà cette chaude femelle qui se met à me peloter sans se gêner…
J’aurais dû protester, hurler, me débattre et m’enfuir…
Mais une force irrésistible – l’envie de découvrir autre chose ou, tout
simplement, le besoin d’éprouver du plaisir – m’incite à rester là, à subir
; à essayer…
Elle a déjà posé ses lèvres sur mes volumineux attributs mammaires et se met
à les lécher puis les sucer avec avidité…
Je ne bronche pas et suis la première surprise à m’entendre lui dire
doucement :
» Viens, fais – moi du bien ! ! »
Alors que je m’adosse à une des parois de la cabine, par la miroir en face
de moi, je la vois s’agenouiller et approcher son visage de mon ventre…
Immédiatement, sa bouche se colle à mon sexe et je sens sa langue qui
s’insinue dans ma fente.
L’effet est fulgurant : je ressens une vive sensation d’envie et de plaisir
qui me remonte au creux du ventre et je commence déjà à humecter de cyprine
le mince tissus du string que je porte encore sur moi…
D’une main experte, elle me le retire et dégage mon petit bouton qu’elle se
met aussitôt à sucer avec passion.
Instinctivement, j’écarte les jambes pour qu’elle puisse s’insérer plus
facilement en moi et prends sa tête entre mes mains pour la souder
d’avantage à mon entrejambes…
Je lui dis gentiment : » Tu vois que je suis une vrai blonde, hein. Regarde,
l’intérieur de ma petite chatte est d’un rose très pâle aussi.
S’il te plaît, lèche-moi bien la vulve, je mouille déjà pour toi … »
Je n’ai pas besoin de lui répéter car elle semble être très douée pour ce
genre de relations : sa langue, vive et agile comme une anguille, frétille
et s’immisce dans mes chairs intimes.
Pendant ce temps, ses mains s’activent à me malaxer les fesses et je sens
rapidement un doigt qui se perd plus bas et vient s’arrêter à la frontière
de mon anus.
» Tourne-toi » me demande-t-elle autoritairement.
» Tourne-toi, je vais te lécher ton joli petit trou de cul et, toi, dans le
miroir, tu te regarderas jouir ! »
Elle dit vrai cette salope…
J’ai le nez collé au miroir et ma respiration haletante crée un écran de
buée qui masque le reflet de mon visage.
Maintenant , je me suis entièrement plaquée à la paroi et mes seins
s’écrasent contre le verre froid.
C’est à la fois un peu douloureux mais si délicieusement bon…
Le désir grandissant, j’écarte toujours plus les jambes pour lui permettre
de rentrer toute sa langue dans ma vulve ; alors que son doigt est
maintenant entièrement introduit entre mes fesses…
Je sens tout son visage entre mes jambes, ses boucles d’oreilles me griffent
l’intérieur des cuisses !
Je ne résiste pas bien longtemps à pareil traitement et lui révèle dans un
état d’excitation proche de l’hystérie :
» Ca y est, je vais jouir, oh oui, je jouis déjà ; tiens… »
Et je sens un véritable flot de mouille qui s’échappe de mon sexe pour me
couler entre les jambes ; cette délicieuse métisse apprécie et savoure
pleinement en léchant, aspirant, suçant et ventousant mon sexe enflammé par
ses caresses.
La bouche et le visage souillés, le menton englué, les yeux remplis de
plaisir, ma nouvelle copine se relève doucement et me dit tout en continuant
à me caresser partout :
» Tu es une vraie garce, tu m’excites à fond ! !
Maintenant, c’est toi qui va me faire plaisir… »
Sans attendre, elle me tire par le bras et me force à m’étendre à même le
sol du magasin, heureusement recouvert d’une épaisse moquette mauve qui en a
déjà sûrement vu d’autres…
Fougueusement, elle m’embrasse en déposant sur ma langue le goût de ma
propre intimité puis, m’abandonne là en me disant seulement :
» Ne bouge pas, je reviens tout de suite… »
Je suis étendue sur le dos et contemple distraitement les diverses tenues
pendues dans les rayons…
A la vue de tous ces trésors, mon imagination s’emballe et, inévitablement,
ma main s’égare au bas de mon ventre où mes doigts – qui connaissent
parfaitement le chemin – entrouvrent tout de suite ma fente pour se glisser
dans mon vagin encore mouillé.
Quelle situation incroyable : il y a une heure encore, je n’avais jamais
vraiment fait l’amour avec une autre femme et me voilà maintenant dans une
boutique de lingerie, entièrement nue et trempée de plaisir après avoir
succombé aux charmes d’une vendeuse et joui éperdument dans ses bras…
Un peu passive dans cette première approche, je suis décidée à me rendre
utile en essayant de lui prodiguer autant de plaisir qu’elle est parvenue à
m’en procurer.
Je suis perdue dans mes pensées et quelques minutes ont dû s’écouler car
elle revient soudain en me disant :
» Maintenant, à nous deux ! »
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle bondit sur moi, me saisit
les mains, me menotte et m’attache, bras relevés, à la tringle du rideau de
la cabine d’essayage : je suis prisonnière !
Incrédule, je la regarde et constate immédiatement qu’elle vient de se
métamorphoser en sévère maîtresse .
Est-ce une séance se S/M qui m’attend ? !
A tout le moins, elle en a revêtu tout l’attirail : grandes cuissardes en
Skaï rouge (contraste saisissant avec la couleur caramel de sa peau ),
étroite robe courte très échancrée dans la même matière ; elle tient un
fouet à la main ! !
Je n’ai pas le temps de prononcer le moindre mot que, déjà, une première
fessée m’est administrée, provocant un » clac » sonore…
Je me contorsionne sous le choc, les bras entravés, je ne peux rien faire
d’autre que de serrer las fesses.
A la première claque, en succèdent rapidement d’autres plus sèches, plus
violentes, plus bruyantes et toujours plus douloureuses.
Elle décide maintenant de se servir de son fouet dont elle me donne quelques
brefs coups sur les fesses et dans le bas des reins…
Je lui demande de ne pas me frapper sur le sexe ou les seins ; pratique que
j’imagine vraiment effrayante…
Mais ma dominatrice n’en n’a cure et vient se poster juste devant moi pour
me cracher méchamment en pleine face :
» Tu as un trop gros cul, ma vieille et je vais bien te le faire sentir ! »
Je préfère ne rien rétorquer et m’abandonne au jeu car, après tout, je me
suis déjà laissé un peu dominer par un de mes derniers copains et j’avais
trouvé cela assez excitant, alors…
Aujourd’hui, je sens mon postérieur endolori et, par les miroirs, peux le
distinguer bien rougi de douleur : cela me brûle mais c’est du plus bel
effet !
Pourtant, inconsciemment, j’apprécie déjà ce genre de traitement un peu plus
tonique que d’habitude…et me sens progressivement glisser vers une
nouvelle vague de plaisir…
» Avant de passer aux autres traitements que tu mérites, tu vas me faire une
bonne minette » m’impose-t-elle.
Se disant, elle approche un tabouret sur lequel elle monte et s’y tient
debout de telle sorte que son sexe arrive presque au niveau de mon visage…
Elle retrousse sa robe jusqu’à la taille ; elle ne porte rien dessous !
Sa toison pubienne est sombre et frisée, comme celle des noires africaines.
Mais, celle-ci est impeccablement taillée et dégage des relents agréablement
parfumés…
Comme ma bouche n’arrive pas exactement au niveau de ses lèvres, je suis
obligée de tendre la tête et de sortir la langue au maximum pour atteindre
sa caverne secrète…ce qui est assez difficile mais pas déplaisant pour
autant.
J’y arrive soudain et c’est un délice : son goût est à la fois velouté,
fort, délicat et épicé, bien différent de ce que je m’attendais à trouver…
Elle me laisse faire pendant quelques minutes, non s’en me rappeler
plusieurs fois à l’ordre en m’invectivant :
» Pas si vite, mieux que ca, va plus profond avec ta langue ou encore, lèche
plus sensuellement »
J’en suis vraiment réduite à obéir au doigt et à l’œil et à satisfaire tous
ses caprices ; je sais déjà que je vais en voir de toutes les couleurs…
Elle me détache maintenant et me fait mettre à quatre patte par terre.
Je me sens dans la peau d’un petit chien qu’on va promener…et c’est le cas
puisqu’elle vient me placer un collier clouté autour du cou et, par la
laisse qui y est attaché, me tire derrière elle pour me faire marcher dans
le magasin…
Elle me ballade en laisse et j’acquiesce ridiculement sans pouvoir faire
quoi que ce soit…
» Petite traînée, je vais te dominer comme tu ne l’as jamais été ! » me
lance-t-elle furieusement.
» Allez, marche…plus vite, arrête-toi, fais le beau, viens lécher les
pieds de ta maîtresse, remonte avec ta langue sur les cuissardes, renifle le
derrière de ta maîtresse, mieux que ça,… » m’ordonne-t-elle sans
ménagement.
Je suis ravalée au rang d’une pauvre esclave mais je m’exécute finalement
avec un certain plaisir car je prends rapidement goût à ce petit jeu qui
commence d’ailleurs à m’exciter follement…
J’avoue sentir un débordant orgasme qui me submerge lors de cette séance
d’humiliation improvisée et je m’abandonne à la jouissance ; je mouille à
nouveau comme une fontaine ! !
Je lui avoue alors :
» Maîtresse, je veux être très soumise et parfaitement obéissante.
S’il vous plaît, donnez-moi encore d’autres fessées ! »
» Je vais faire bien mieux que ça, chienne » me jette-t-elle.
M’ayant immobilisée en m’attachant les poignets à un radiateur, elle
s’absente quelques instants pour revenir et me dire triomphalement :
» Je te ramène un peu de matériel pour que tu puisses prendre ton pied ! »
Elle exhibe alors trois choses assez effrayantes dont elle va se servir sans
plus attendre…
D’abord, elle applique sur ma bouche un bâillon formé d’une grosse boule de
latex reliée par deux sangles de cuir qu’elle me passe autour de la
mâchoire…je ne peux plus prononcer le moindre mot !
Ensuite, elle me fixe de petites pinces métalliques aux seins dont elle
vient brutalement de faire sortir les tétons ; cela fait assez mal mais
j’accepte de le subir sans broncher.
Enfin, elle exhibe un gigantesque god-ceinture dont elle se ceint la
taille…
Vingt-cinq centimètres de long au moins, très épais , noueux et bien rigide,
il est énorme et vraiment très menaçant…
Je me trouve toujours – position infamante – par terre, à quatre pattes et
tournée les fesses vers elle.
Elle s’approche, m’écarte brutalement les jambes puis ouvre un tube de
vaseline dont elle m’enduit généreusement l’anus en disant :
» Maintenant, je vais te le mettre dans le cul ! « .
Aussitôt dit, aussitôt fait, je sens cet énorme mandrin qui s’enfonce
lentement entre mes reins ; remplissant progressivement ton mon conduit anal
! !
Malgré la vaseline et ma lubrification naturelle, le god paraît énorme à
engloutir et pénètre donc avec difficulté ! !
C’est vraiment délicat car l’engin est véritablement impressionnant et je
crains qu’il ne me déchire l’anus…mais je veux absolument une telle
sodomie …
Cela me fait frissonner de douleur et, en même temps, j’en voudrais bien
davantage…
On dirait qu’elle l’a compris car, presque au même moment, elle me dit :
» Ca te fait du bien ce gros god dans le derrière? ! Eh bien, je vais t’en
mettre un deuxième par devant ! « .
Pour ce faire, elle se saisit d’un autre accessoire caoutchouté.
Celui-ci est beaucoup plus fin et fusiforme, d’une joyeuse couleur rose fluo
et elle me l’introduit sans aucune difficulté dans ma chatte trempée de
jouissance où il disparaît presque entièrement ! !
Pendant ce temps, avec de très amples mouvements de son bassin qui a pris le
rythme de la possession, elle me travaille et me ramone avec ferveur et
passion, exactement comme si c’était le sexe vivant d’un homme en train de
me limer…
Je suis écartelée de l’intérieur, littéralement remplie par deux pals qui me
défoncent mais me procurent un sentiment mêlé de peine et de joie ; ce qui,
finalement, me fait un bien fou !
Ce délicieux supplice dure assez longtemps pour que je savoure pleinement
l’action de cette lubrique vendeuse.
Après un long moment de va et viens savamment distillés pendant lesquels
j’ai à nouveau joui à plusieurs reprises et donc mouillé abondamment, elle
se retire doucement, me défait l’encombrant objet qui entrave ma bouche et
remplace aussitôt celui-ci aussi par le god avec lequel elle vient de
m’enculer ! !
Me voilà presque étouffée par le sexe de caoutchouc qui me brûlait les
entrailles il y a quelques secondes seulement !
Tout naturellement, je commence à lécher et sucer le gigantesque cylindre de
plastique exactement comme si je pratiquais une fellation à mon amant…
Elle a l’air très satisfaite de mon application car elle décide de me
détacher en me disant :
» Allonge-toi sur le dos et continue à me sucer le god, pendant que je te
broute le minou en même temps… »
Nous nous étendons l’une sur l’autre et nous renversons pour un délicieux 69
! !
Après avoir testé quelques uns des innombrables » sex toys » que le magasin
renferme, nous finissons de nous faire l’amour lascivement avec un double
god, magnifique ustensile, long de 40 cm au moins, que deux femmes face à
face s’introduisent mutuellement pour se faire plaisir simultanément.
Les bouts en forme de gland solidement introduits dans la chatte de chacune
des deux amantes, le plaisir est total car elles peuvent se rapprocher
suffisamment que pour que leur pubis se touchent…
Chatte contre chatte, les jambes ouvertes comme deux compas ouverts et
imbriqués l’un dans l’autre, nous nous amenons à une jouissance aussi
intense que sincère et simultanée…
Après avoir éperdument joui toutes les deux comme des folles, et alors que
ma compagne remet un peu d’ordre dans le magasin, je me relève comblée et
presque au bord de l’épuisement, rassemble péniblement mes affaires et vais
me rhabiller dans la cabine d’essayage…dont, par réflexe, je referme
pudiquement le rideau !
Elle se moque de moi gentiment et me dit :
» Quelle drôle d’idée, tu n’as plus grand chose à me cacher, tu sais ! »
d’entrée qui retentit : un client est en train d’entrer ! !
Misère !
Et dire que n’importe qui aurait pu nous surprendre pendants nos ébats…
» T’inquiète pas, me dit-elle, j’avais pris la précaution de fermer la porte
et de mettre mon petit panneau » je reviens dans quelques minutes » ; comme
ça on pouvait s’amuser tranquilles… »
Je souris d’apaisement et imagine rétrospectivement ce qu’aurait provoqué
l’arrivée subite et inopportune d’un client…
Un client ?
Celui qui vient de rentrer est une très jeune fille, frêle et visiblement
timide, qui s’avance dans le magasin et demande en rougissant :
» Bonjour, je voudrais faire plaisir à mon copain et cherche un petit
ensemble en dentelle sexy, pourriez-vous me conseiller s’il vous plaît ? ! »
La vendeuse s’empresse de lui répondre :
» Mais certainement, j’ai exactement ce qu’il vous faut.
Je vous l’apporte immédiatement…
Vous pouvez aller dans la cabine d’essayage, j’arrive tout de suite… »
Elle me lance un clin d’œil complice en me remettant discrètement le god
dont elle vient de se servir pour me baiser et me dit :
» Ca, c’est pour toi ; la prochaine fois, on échangera les rôles… »
Elle me laisse sortir de la boutique et je l’entends fermer la porte à clef
derrière moi.
Je me retourne et la vois afficher le panneau » Je reviens dans quelques
minutes « .
Je souris en pensant à ce qui attend sans doute cette nouvelle cliente.
Décidément, j’adore les magasins de lingerie…
PHM – phm@mail.be
Octobre 1997
Première publication sur Vassilia, le 21/10/2001
C’est fort beau !
J’ai relu une fois de plus ce classique de la nouvelle érotique. Il a des récit comme celui-ci-que je regrette de ne pas avoir écrit moi-même.
Ah se faire dominer comme un chienne par une belle inconnue, se faire fouetter et engoder… il ne manque qu’un peu d’uro pour que la fête soit complété
Complétement improbable, mais c’est tellement beau !
Ce récit à 20 ans, iln’a pas pris une ride
Un classique du lesbos/domination qui mérite amplement sa bonne réputation
Une de mes histoires lesbos préférées