Coucou c’est Jeanne, je viens aujourd’hui vous raconter notre dernier week-end. Comme je vous l’ai dit dans mon premier récit, je sodomise régulièrement mon chéri (Marc). Pour notre plus grand plaisir j’en avais parlé à mon amie Laura qui avait paru très excitée à l’écoute de mon exploit.
Elle avait l’air tentée. Je lui révélais aussi que j’adorerais voir Marc être enculé par une vrai belle bite mais que vu le caractère de Marc cela me semblait impossible. Elle me dit qu’il y avait une possibilité. Elle m’expliqua et nous nous mimes en quête d’un partenaire que Marc n’aurait pas de problème à accepter.
Deux mois passèrent avant que nous rencontrions toutes deux Sophie. Sophie est une belle rousse aux cheveux courts frisés, aux seins généreux, des jambes superbes et un cul, mon dieu quel cul. Laura, brune comme moi fait à peu près ma taille, des petits seins bien fermes, de belles jambes, les fesses rebondies et de beaux yeux verts. Elle est divorcée depuis quelques mois et vit seule. Apres nous être vus trois fois, je leur proposais de venir passer un week-end à la campagne, leur disant qu’elles ne seraient pas déçues si elles étaient partantes pour s’amuser de mon chéri avec moi.
Marc étant en congés se trouvait déjà à la maison. Je lui téléphone pour dire que je ne viendrais pas seule. Il parait étonné et me demande qui vient avec moi. Je lui dis que c’est une surprise et qu’il devrait en être enchanté. Je rajoute que nous serons quatre pour le dîner, que le jeu que nous pratiquons à deux pouvait se faire à plus. Inquiet il demande où je veux en venir.
– Tu vas monter dans notre chambre et passer les vêtements que tu trouveras dans le sac bleu de l’armoire. Ensuite tu nous feras un bon dîner comme tu sais le faire (He ! oui c’est un cuisinier de talent même si ce n’est pas son métier) ; nous serons là vers 20 h 30. A tout à l’heure ma petite salope.
– T’es folle ou quoi ? Ca va pas de dire des trucs pareils devant des gens qui peuvent t’entendre.
– T’inquiètes, nos invitées sont déjà au courant que tu es une bonne à baiser et elles viennent un peu pour ça. Nous allons passer une belle fin de semaine ensemble, tu seras notre petite salope et tu feras tout ce qu’on te demandera. Maintenant je te laisse car nous avons quelques courses à faire
Nous faisons l’achat d’un carton de champagne, il faut ça pour un week-end, puis nous prenons la route. Chemin faisant j’expliquais à Laura et Sophie ce que j’attendais d’elles et que la soirée commencerait dès notre arrivée et que Marc ne devait pas ce rendre compte du fait que Sophie était une transsexuelle. Et oui mon chéri allait ce soir goûter à une vrai queue et j’en étais ravie.
20 h 45 nous arrivons. Marc nous ouvre, il est vêtu de son imper, je lui dis que ce n’est pas la tenue qu’il devait passer. Il sort sans mot dire et s’occupe de sortir nos bagages de la voiture et les monte à l’étage. Je le suis et lui dis que je ne suis pas contente de son comportement et que cela se paiera. Il se retourne et ouvre l’imper sous lequel il est habillé du porte-jarretelles, des bas et du string que j’avais acheté il y a quelques temps. Enchantée je redescends rejoindre les autres au salon. Nous prenons l’apéritif que Marc nous sert. Laura et Sophie sont épatées par l’emprise que j’ai sur lui et m’en félicite. Je leur dis :
– La soirée est bien partie et je crois qu’il est prêt à assouvir tous nos caprices.
Laura me demande où se trouvent les toilettes. Je lui propose de se faire essuyer par Marc.
– T’es folle, je peux le faire seule.
-Mais tu n’as pas compris ce que je voulais dire, quand je dis te faire essuyer c’est avec sa langue qu’il le fera.
– Ha ! Mais c’est une riche idée !
Elle se lève et demande à Marc de la suivre. Il se lève et me regarde d’un air interrogateur.
– Laura est une maîtresse à qui tu dois obéissance; alors tu obéis.
Ils partent et Sophie et moi les suivons discrètement afin de voir ce qu’ils vont faire. Laura se déculotte, s’assoie sur la lunette et urine bruyamment Marc est à genoux devant elle.
– Je sais que tu aimerais me boire mais pour le moment tu devras te contenter de m’essuyer. »
Elle se lève et pose un pied sur la cuvette pour avoir la chatte écartée.
– Allez lèche, tu vas voir elle a une bonne odeur je ne me suis pas lavée depuis ce matin elle a bien macérée ; Jeanne m’a dit que tu adorais les chattes odorantes, alors ne te prives surtout pas et fait ça bien sinon…. Enfin ça ne change rien puisque nous avons décidé de te fouetter quoi qu’il en soit.
Sophie et moi retournons au salon avant qu’ils ne nous surprennent à les espionner. Ils arrivent, Laura arbore un large sourire.
– Alors ? Demandais-je à Laura.
– Eh bien je dois dire que ça vaut largement le PQ et que l’idée est excellente. Est-ce qu’il essuie tout comme ça ?
– Non, juste les pipis.
– Alors il va être gâté car avec le champagne que nous avons acheté il va en avoir à essuyer des petites chattes.
– A essuyer et à boire aussi j’espère ! Dis-je en regardant Marc droit dans les yeux.
Nous passons à table et dégustons le dîner en buvant du champagne, quand il passe près de nous il y a toujours une main baladeuse pour le peloter ou bien pour une petite claque sur le cul. Il a l’air de prendre beaucoup de plaisir à son état d’esclave. Le pauvre n’est pas au bout de ses surprises. Nous terminons de dîner et passons au salon. Sophie est vêtue d’un joli body noir et strass, de bas auto fixant et de chaussures à talon aiguille. Laura, elle, porte un ensemble string et soutient gorge pigeonnant, un porte-jarretelles et des bas noir couverts par de magnifiques cuissardes. Moi j’ai mis ma tenue de domina à savoir, une guêpière de cuir noir avec son string de même matière, des bas à coutures et mes cuissardes de cuir noir dans lesquelles j’ai mis le martinet dont les lanières dépassent.
Laura s’assoie dans le fauteuil tandis que je sors nos jouets du sac. Marc est dans l’embrasure de la porte et Laura l’interpelle.
– Marc, Jeanne m’a dit que tu étais bon lécheur, j’aimerais que tu me fasses voir. Allez viens là, non ! Pas comme ça, à quatre pattes comme la petite chienne que tu es parait-il.
Il me regarde d’un air interrogateur et je lui dis qu’il doit nous obéir à toutes. Il s’avance ainsi jusqu’au fauteuil où Laura est assise et qui écarte largement ses cuisses dévoilant sa jolie chatte. Cette vue a pour effet de m’exciter moi aussi. Je suis surprise de ce sentiment car jusqu’alors je n’avais jamais éprouvé d’excitation en voyant le corps d’une femme, peut être faudra-t-il que j’y pense ? Il est là entre les jambes de Laura, sort sa langue et commence à lécher, doucement d’abord, il lèche les grandes lèvres et à l’air de s’enivrer des effluves odorantes. Son cul tourne vers nous je le vois lécher consciencieusement et l’excitation commence à monter.
Tandis qu’il s’affaire à donner du plaisir à Laura je lui dis que Sophie et moi allons nous occuper de son petit cul de salope. Je sors le martinet de ma cuissarde et je demande à Sophie :
– Ecarte ses fesses, je veux voir son petit trou.
Puis je commence à lui rougir gentiment. Un coup, un autre, puis une série plus forte. Il est surpris par la rudesse des derniers coups. Il sursaute et abandonne la chatte dégoulinante de Laura qui l’attrape par les cheveux et lui plaque le visage sur son sexe en disant
– Personne t’a dit d’arrêter, tu m’as coupé dans mon plaisir et cela va se payer. Jeanne vas-y; met lui en dix de plus de ma part; et toi petite salope tu vas me finir comme il faut et ce sans t’arrêter.
Laura commençait à haleter, son souffle se faisait plus court, elle ondulait du bassin se tendant en avant à la rencontre de la langue de Marc. Son plaisir arrivait et elle partit dans un bruyant orgasme qui la terrassa. Elle était là, pantelante il lui fallut quelques temps pour reprendre pied. Pendant ce temps Sophie s’était couchée sous Marc et le suçait, moi j’en était à lui mettre deux doigts. Lui aussi ondulait du bassin et venait à la rencontre de ceux-ci. Laura dit à Marc.
« Je vais te récompenser pour le bien que tu m’as fait, allez ouvre grand ta bouche que je puisse te faire boire ce que tu as goûté tantôt, tu veux ? »
– Oui maîtresse.
– Demande le salope !
– Pissez moi dans la bouche maîtresse s’il vous plait
– C’est bien, tu vas y avoir droit mais tu ne dois pas en perdre une goutte. Regarde comme j’écarte ma chatte, recule un peu, je veux me voir couler dans ta bouche, ha ! Ça vient, vas y bois moi toute, oui !! C’est bon hein !
– Oui maîtresse !
Elle avait beaucoup bu car cela n’en finissait pas. Il a tout bu. Sophie toujours couchée sous lui continuait de le sucer, moi je lui avais introduit le vibro dans le cul pour bien le dilater. Je me levais et m’approchais de Laura et lui dis à l’oreille.
– Tu veux l’enculer ?
– Bien sûr que je veux, je vais le défoncer comme une salope, hein Marc tu veux que je te baise ?
– Oui, maîtresse baisez moi, faite moi jouir par mon cul.
J’allais chercher le strap-on avec le plus gros des deux sexes et aidais Laura à l’enfiler. Ce faisant mes mains effleuraient son corps je la regardais, m’approchais de son visage et l’embrassais amoureusement. Elle répondit à mon baiser et me glissa à l’oreille.
– Il faudra qu’on se fasse un truc toutes les deux un de ces jours »
J’acquiesçais. Une fois le strap-on en place je demandais à Marc de sucer cette jolie queue avant le la prendre dans les fesses Laura était toujours dans le fauteuil, elle s’avança et dit
– Suce ma belle queue petite salope, fait moi voir comme tu aimes sucer de la bite, allez au boulot !
Il prit l’engin dans une main, s’approcha et commença du bout de la langue, lécha le gland ;
– Dis donc, si on te suçait comme ça, tu crois que ça te plairait. Allez suce comme il faut. Je suis sûre que tu préférerais qu’elle soit vraie n’est-ce pas ?
– Oui maîtresse !
Il suça ainsi quelque minute puis Laura se leva, vint se placer derrière lui. J’avais déjà bien lubrifié l’œillet .Elle appuya sur l’orifice qui céda sans coups férir, Marc poussa un gémissement de satisfaction. Elle poussait toujours et finit par y mettre toute la longueur. Je me mis sur un côté, Sophie de l’autre et nous lui caressions le dos et les fesses.
– Ca te plairait alors de sucer une vraie bite ? Ho oui je suis sûre que tu aimerais. Ca me fait mouiller d’y penser. Dis moi que tu as envie de sucer une vraie.
– Oh oui Chérie, j’aimerais.
Laura, en le baisant lui mis une grande claque sur le cul en disant.
– Sois un peu plus respectueux pour tes maîtresses et adresse toi à elles correctement. »
Je mis Sophie face à lui et dégrafais l’entrejambes de son body laissant échapper une bite encore un peu flasque mais de bonne dimension. Il eut un mouvement de recul et me regarda.
– Fais pas ta mijaurée car je suis sûre que tu en meurs d’envie alors maintenant tu suces ou on arrête tout.
Il s’exécuta timidement. Il lécha le gland, puis la hampe. Le sexe de Sophie commençait à gonfler. L’effet qu’il faisait à cette bite parut l’exciter et lui faire oublier ses craintes. Enfin il suçait franchement, embouchant cette bite au plus loin qu’il lui fut possible. Sophie semblait apprécier le traitement.
– C’est bon ? Il s’y prend bien ?
Toutes question auxquelles Sophie répondait par l’affirmative.
– T’entends ? Sophie dit que tu es une bonne suceuse, Mais ça ne m’étonne pas. J’étais sûre que tu étais une bonne salope qui suce bien les bites. Mais tu vas voir quand elle va t’enculer profond. Tu verras c’est meilleur que du latex.
Laura était en train de bien le défoncer le tenant par les hanches en lui disant.
« Allez ma petite, fait nous voir comme tu aimes dans le cul, vas y bouge ton petit cul de pute c’est bon hein, t’aimes ça salope ?
Il bougeait ses fesses comme moi quand il me prend ainsi et je mouillais comme une folle. Sophie s’assit dans le fauteuil et Marc continua de sucer en lui caressant les couilles. Il les léchait, les gobait, il aimait vraiment ça et je dois dire qu’une pointe de jalousie me titillait. Pourtant j’avais la soirée dont j’avais rêvé. Mon homme était en train de se faire enculer par mon amie et suçait une belle trans. Sa bouche sur la bite de Sophie m’excitait et j’avais envie de l’avoir en moi. Je passais par-dessus Sophie tirait les cheveux de Marc et dis.
– Arrête de sucer et met la dans ma chatte, je veux la sentir me baiser.
Il me regarda avec un air de chien battu. Il ne s’imaginait tout de même pas qu’il serait le seul à se faire baiser ? Il lâcha, visiblement à regrets la bite et la frotta contre l’entrée de ma chatte.
– Vas y met la moi. Je veux que tu me lèches pendant qu’elle me baise.
Il mit la bite dans ma chatte et Sophie s’enfonça d’un trait. Je soupirait d’aise quand sa langue vint appuyer sur mon clito gonfle par le désir. Sophie me baisa ainsi quelques minutes, je ne voulais pas qu’elle jouisse en moi car l’envie de le voir se faire prendre était toujours présente à mon esprit.
– Je vais lubrifier ce beau bâton d’amour avec mon jus de chatte, tu verras ça va glisser tout seul.
Enfin arriva le moment tant attendu.
– Sophie, on va se mettre derrière lui et je vais moi-même introduire ta queue dans son petit cul !
Laura se retira laissant la place à Sophie qui se positionna, je pris son sexe et le frottais contre l’œillet dilaté. Sophie poussa et entra d’un coup jusqu’à la garde. Marc tendait son cul en arrière comme pour en avoir encore plus. Laura qui regardait avec intérêt, déclara
– C’est vrai que c’est une salope ton mec, allez Marc donne-toi à fond on veut te voir jouir du cul, tu n’as pas le droit de te branler. Vas y Sophie défonce nous cette petite pute, claque lui le cul, oui comme ça, encore vas y plus fort
Sophie le baisait sauvagement. Je demandais à Laura de s’asseoir dans le fauteuil toujours équipée du gode ceinture je vins au dessus et m’empalais le cul moi aussi.
– Lèche ma chatte pendant que je me fais enculer aussi. Je vais te pisser dans la bouche au moment où tu jouira alors préviens moi.
Laura me sodomisait joyeusement, s’enfonçant en moi avec une facilite déconcertante. Jamais je n’avais été aussi ouverte du cul et je prenais un pied terrible. Marc lui commençait à râler de plaisir il ondulait. Je sentais sur ma chatte la chaleur de son souffle s’accélérer je sentais qu’il n’allait pas tarder à jouir enfin il dit
-Oui vas y Sophie, encule moi à fond, défonce moi, vas y baise encore plus fort je vais jouir.
A ces mots je poussais et un flot de pisse lui inonda la bouche tandis qu’il éjaculait sans se toucher sa crème partie au sol en quantité incroyable. La tension retomba doucement et tout le monde se retrouva sur le tapis lové les uns contre les autres. Dix minutes passèrent quand je m’aperçu que Sophie n’avait pas joui. Je lui demandais comment avait-elle envie de le faire et elle répondit que pour finir en apothéose il serait bien que se soit notre petite salope qui la suce jusqu’au bout. Laura déclara que l’idée était bonne et qu’elle aimerait voir Marc se faire gicler sur le visage. Sophie se leva et ordonna à Marc de la sucer. Il se mit à genoux et suça avec tendresse cette bite qui lui avait tant fait de bien. Sophie, sur le point de venir se tendit et sortit sa queue, la branla et gicla sur le visage de Marc qui ouvrit la bouche.
– Mais regarde moi cette salope elle aime le sperme, vas-y lèche cette crème et avale tout.
Il s’exécuta. Tous nous étions repu de stupre et de sexe. L’odeur qui flottait dans la pièce l’enivrait. Laura dit qu’elle allait se coucher et qu’elle souhaiterait le faire avec Sophie. Elles montèrent toutes deux et Marc et moi nous montèrent faire de même. Au lit marc me dit
– Je t’aime ma chérie et je te remercie pour cette formidable soirée.
Je me suis endormie dans ses bras avec au cœur un agréable sentiment de plénitude. C’est ainsi que se termine la première nuit de notre week-end sexe.
Je vous écrirais pour vous en raconter les jours suivant.
Bisous à toutes et à tous
On voit le scénario arriver comme une vache dans un tunnel, mais finalement c’est assez excitant cette affaire