Je suis une femelle salope
23 – Motard
par francoislave
Nouvelle rencontre ce midi avec un mec rencontré sur un site de motards gays.
Dans ses premiers messages, il me révèle son penchant pour le cuir et son désir de me voir venir habillé totalement en cuir. Rendez-vous ayant été pris dans un petit hôtel proche de son bureau, j’arrive, tout de cuir vêtu.
Arrivé dans la chambre, je me trouve nez-à-nez avec un beau gaillard de près de deux mètres. Pourvu que sa queue soit en proportion….
Je retire immédiatement mon blouson sous lequel je ne porte rien, après tout c’est moi la femelle. D’ailleurs je suis nu aussi sous mon pantalon, il me l’avait demandé et j’adore me balader à poil sous mes vêtements de moto. C’est excitant quand j’arrive chez un mec de se trouver nu d’un simple geste, ça lui montre ainsi que je suis une belle salope et en plus, c’est pratique pour se rhabiller.
Tout de suite il me plaque contre lui et nous nous roulons des patins bien baveux, il embrasse divinement et ça m’excite.
Aussi le fait que pendant que nous nous embrassons, il me tripote la raie avec sa main et finit par me pénétrer avec un doigt.
Devant mes gémissements, il me demande de mettre une sourdine :
– « Fais gaffe, les murs ne sont pas très épais ! »
Je baisse donc d’un ton mais lui continue à me doigter.
Je me serre dans ses bras, tout en l’embrassant à bouche que veux-tu et je tâtonne d’une main vers sa braguette. Bigre il y a un gros matériel là-dedans, je commence à mouiller du cul rien que d’y penser.
Il me fait mettre légèrement accroupi contre le lit et se plaçant derrière moi, il se frotte contre mes fesses, c’est délicieux, je sens sa queue qui commence à grossir contre ma raie.
Je le supplie :
« Baise-moi, s’il te plaît, j’ai trop envie »
Il continue ses frottements puis me dit de me mettre complètement nu.
Je retire mes bottes, mes chaussettes et mon pantalon, je suis à présent nu comme un vers devant mon mâle qui lui, reste habillé. Il me penche en avant les bras appuyés sur le lit et recommence à se frotter contre mon cul. Sa queue est à présent très dure, je la sens bien à travers son cuir. Il prend du lubrifiant et m’en enduit le trou du cul.
Puis je sens quelque chose de dur contre ma rosette.
– « Mets une capote s’il te plaît »
-« Ne t’inquiète pas, c’est juste un gode ».
Et il me le met sous le nez.
Je le suce copieusement, pour lui montrer mes talents de pipeuse.
Il le présente à nouveau à l’entrée de mes fesses puis l’introduit doucement.
J’ai du mal à contrôler mes gémissements tellement j’apprécie de me faire mettre.
Après quelques va-et-vient, il me le présente à nouveau sous le nez et je l’enfourne dans ma bouche pour le nettoyer, car, ainsi qu’il me le précise d’un ton faussement fâché, je suis une « grosse sale des fesses ».
Une fois le gode nettoyé par ma langue, il le pose, baisse sa braguette et je me retrouve avec sa bite devant la bouche.
Dieu qu’elle est grosse, il m’avait prévenu mais la réalité est encore plus belle. Non circoncis, son membre bien dressé tient juste dans ma main. Je l’enfourne entre mes lèvres et entreprend de le sucer avec amour. Et il grossit encore, ça promet pour la suite.
Une fois sa queue bien dure, j’arrête mes suçons et il enfile une capote.
Je le suce à nouveau puis je me mets à quatre pattes sur le lit, il se place derrière moi, et enfin il m’encule doucement mais bien à fond. Commence alors une chevauchée qui dure près de dix minutes, il est apparemment long à venir mais moi je ne vais pas m’en plaindre, une enculade qui dure comme ça, j’en rencontre rarement.
De temps en temps, il décule puis me reprend à nouveau, toujours avec douceur mais sa queue est si grosse que les sensations sont à chaque fois extraordinaires. Et pourtant en matière d’enculades, je commence à en connaître un rayon.
A la fin, je sens qu’il est proche de la jouissance, je l’encourage de la voix encore plus, il se plaque contre mes fesses tout en me tripotant les tétons et enfin il jouit en moi. Il se retire, jette la capote, sa queue est encore bien dressée….Faudra que je l’essaye à nouveau celle-là !
Je me lave le petit trou, me rhabille et après un dernier baiser, nous nous séparons.
J’ai le petit trou tout endolori mais c’est super bon !