Je suis une femelle salope
21 – Nouvelle enculade à Meaux
par francoislave
Nouvelle rencontre avec mon mec ce matin.
Depuis notre dernière partie il y a près de quinze jours, j’étais terriblement en manque, autant dire que je n’ai pas traîné sur la route en allant chez lui.
J’arrive, je me déshabille et il m’entraîne sur le lit où il s’étend, nu, sur le dos.
Je me précipite sur lui et commence à l’embrasser partout, dans le cou, sur la bouche, sur la poitrine, sous les bras… je me frotte à lui en ronronnant, j’aime son odeur de mâle, je me sens très salope.
Je lui suce les tétons, il aime visiblement, je me frotte à son corps, pendant ce temps il commence à me doigter la rosette. Selon son habitude, il le fait à sec mais j’apprécie de plus en plus cette rudesse dans la pénétration.
Après tout, c’est mon mâle et je suis sa femelle salope, à sa disposition.
Ma langue descend peu à peu vers son bas-ventre mais j’évite soigneusement sa queue, j’embrasse ses cuisses, ses couilles, le haut de sa raie, entre couilles et trou du cul, puis je remonte et lui lèche les couilles à petits coups de langue, comme on fait avec une glace.
Je remonte ensuite sur sa queue que je lape à son tour, puis je lui taquine le gland du bout de la langue.
Enfin, d’une poussée, j’enfourne sa queue déjà bien dressée dans ma bouche, jusqu’aux couilles, m’étouffant presque avec. Il me doigte régulièrement, toujours à sec mais comme je mouille du cul, fruit d’une grande habitude à me faire prendre, ses doigts glissent de mieux en mieux en moi. Je gémis de plus en plus fort tellement c’est bon, tout en lui administrant une sucette que je trouve succulente, lui aussi d’ailleurs.
D’un coup, il saisit un flacon de poppers et s’en administre un jet dans chaque narine. Il m’en propose mais je refuse.
Il mouille ses doigts et reprend son enculade, et moi ma pipe. Comme je n’en peux plus d’attendre, je le supplie :
– « baise-moi, baise-moi, je t’en prie, baise-moi ».
Il se redresse, me soulève les fesses d’une main et de l’autre me badigeonne la raie de lubrifiant.
Ses doigts me pénètrent à nouveau puis il me fait mettre à quatre pattes, enfile une capote et se place derrière moi, entre mes jambes.
Il place sa queue contre ma rosette puis d’un mouvement brusque, me pénètre jusqu’à claquer son ventre contre mes fesses. Je hurle de plaisir et l’encourage.
Il commence à me besogner, alternant poussées rapides et mouvements plus lents, je suis aux anges, je crie mon plaisir et lui lance des mots d’amour.
Tout d’un coup, il se retire et quitte la pièce, je m’étonne pensant qu’il a joui bien que je n’ai rien senti de particulier.
Bien vite il revient en tenant un gode de belle taille dans sa main.
Il me rebadigeonne le petit trou de lubrifiant et introduit le gode sur toute sa longueur dans mes fesses.
Après quelques va-et-vient entre mes fesses, il se replace entre mes jambes et commence à me sodomiser tout en laissant le gode en moi. Chic, une doublette, j’en avais vu sur Internet mais jamais on ne m’avait fait goûter à ce plaisir que je recommande.
Sa queue rentre facilement le long du gode, je suis bien ouvert et, après une courte pause, il recommence à me sodomiser tout en tenant le gode fermement dans mon cul.
La sensation est divine, le fait de sentir sa queue aller et venir en moi ajoutée à la dilatation totale causée par les deux « queues » en moi.
Il me fait mettre sur le ventre, à plat sur le lit, et continue à me baiser, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Je hurle à présent de plaisir et l’encourage à me bourrer encore plus fort.
D’un mouvement, il me fait me redresser à quatre pattes et il jouit en se plaquant brutalement contre mes fesses.
Après quelques secondes où il reste immobile en moi, il se retire et va se laver.
Je retire le gode de mes fesses et vais me laver à mon tour.
Puis nous nous séparons, repus et satisfaits tous les deux, dans l’attente de la prochaine rencontre.
Ou l’art de nous raconter une sodo de la même façon qu’un match de football
Je n’ai rien contre les récits flash, après tout c’est un genre comme un autre ! Mais où est la tendresse, bordel ? Ça vous passionne vous les aventures de bites à pattes ? Résultat de l’érectographe : zéro