Histoires de bons plaisirs – 9 – Bon weekend chez Huguette… par Verdon

Histoires de bons plaisirs – 9 – Bon weekend chez Huguette… par Verdon

Eh bien quand je vous disais qu’elle voulait en rajouter ma copine pour corser mon histoire !
Savez-vous ce qu’elle m’a dit après avoir lu ma dernière histoire ?

– Ton cocu c’est un jeanfoutre, qu’est-ce qu’il se branle là au milieu avec ses couilles molles !
– Moi vois-tu je l’aurais assis sur une chaise avec un pénis en bois d’olivier dans le cul, les poignets attachés sur les bras de la chaise et Zou ! Sa Nana qui se fait enfiler par les autres devant lui sans qu’il puisse se branler…Il ne va pas survivre le Momo avec son pif sous le nez du cul de sa Belle, défoncé par la grosse bite de Mario !Oh putain de spectacle !
– Oui, ça c’est bien une idée à toi ! je reconnais là ton esprit si délicieusement pervers…tu es une salope tout de même ! Tu en as eu beaucoup des cocus à qui tu as joué ce jour-là ?
– Ah oui qu’elle m’a répondu l’insolente et… il va falloir que je m’occupe de toi !
– …………. ! Non mais ça ne va pas bien…complètement givrée la conasse !

Eh bien voilà…plus elles sont vieilles et plus elles sont vicieuses ces mémés cochonnes !………..s’occuper de moi !…n’importe quoi !


Bon elle débloque…moi je retourne à mon honnête boulot…
….un bâton dans le cul ! A-t-on jamais vu ça !…..Son cul oui, mais…Quoique…….

…………………………………
Il va falloir que je remette un peu d’ordre dans mon texte, car avec ce petit monde qui se caresse et qui s’emboîte, je vais finir par perdre le fil de mon histoire.

Je récapitule pour tous ceux qui à force de se branler, n’ont pas suivi.

On a Huguette, l’ex-belle-mère de Lucien, qui est en même temps la tante de Rosie la nouvelle épouse de ce dernier. Elle a (Huguette) un amant qui s’appelle Momo. À tous les quatre ils font un sacré petit groupe de mauvais chrétiens qui se baisent et s’enculent à gogo au lieu d’aller à la messe le dimanche. Mais comme ils ne font du mal à personne, je me suis autorisé de les encourager à continuer de plus belle à faire leurs petites courtoisies entre eux et j’ai rajouté trois autres énergumènes fort bien pourvus en agréments naturels pour contenter Huguette qui ne demande que ça.

Mais ça c’est de l’histoire ancienne, je veux dire c’est du temps ou Huguette était jeunette, quand elle faisait son apprentissage.

Mais depuis les derniers exploits que je vous ai contés dans le précédent chapitre, le temps a passé. Elle a survécu à toutes les bonnes manières de ces bons gentlemen. Et nos amis, Huguette et Momo ont continué à faire de belles rencontres. J’aurai sûrement l’occasion de vous en décrire quelques-unes et vous verrez qu’ils ne se sont point ennuyés pendant ce temps-là. Et que même s’ils ont vieillis ils n’en sont pas moins jouisseurs et vicieux, si non plus.

Si l’Huguette recherchait à l’époque des hommes plutôt âgés afin de ménager un peu son jeune cul. Maintenant que celui-ci est bien rôdé, ce sont des jeunes vigoureux qui l’intéressent. D’autant que son popotin ayant pris un peu de gras, elle a besoin de se le faire un peu bousculer afin de le garder en forme. Remarquez qu’il est toujours très attrayant son postérieur, il vaut toujours le détour et son épaisseur est un bon refuge pour toute pine qui sait se tenir.

Momo en convient d’autant qu’il peut profiter de la vigueur de ses bons visiteurs pour se faire appairer le trou du cul. Il y trouve du réconfort, sachant que malheureusement son outil à faire la joie a de plus en plus de difficultés à visiter le paradis charnel des Dames ou des Messieurs.

Huguette, on ne dira pas son âge, par politesse, est maintenant une belle et appétissante mature qui a de la fesse et des seins à revendre sans aucun complexe pour peu qu’on sache la prendre par le bon côté (si j’ose dire) vu qu’elle n’a aucun tabou concernant la gestion de ses avantages.

Le vice chez elle, est une qualité et le plaisir d’où qu’il vienne, est sa raison d’exister.

Momo est un beau vieux. S’il est un peu tapette, nous l’avons vu plus haut, c’est loin de lui déplaire, au contraire ça lui convient, ça lui donne entre autres des ailes au cul, c’est le genre de libertinage qu’ils affectionnent tous les deux.

Il a appris à être un vénérable cocu et parfois Huguette le mène par le bout du nez et en fait son serviteur. Il ne dédaigne pas se faire houspiller de temps à autre car elle est une maîtresse sévère. Le plaisir qu’elle a à le faire sauter par un de ses gigolos lui provoque une très grande excitation et bientôt le pauvre Momo se retrouve avec le cul tout zébré des bons coups de martinet de sa folle amoureuse.

Ce qu’il y a de singulier chez cet homme de soixante-cinq ans, bien bâti, costaud, et de taille respectable, c’est qu’il en impose mais qu’il sait aussi se soumettre et faire le jeu de sa maîtresse. Ses problèmes de virilité, l’empêche de bander souvent, mais grâce à Huguette qui l’a connu en bien meilleure forme, il a gardé de la sensibilité et beaucoup de sensualité. A force de caresses, de masturbations et de fellations elle a réussi (en se régalant) à lui provoquer quelques bandaisons. Avec un gode elle l’a initié au plaisir anal dont il peut profiter justement grâce aux bons soins des amants de son éducatrice. Assise sur son dos elle jubile en lui tapotant les fesses, pendant qu’il se fait sodomiser. Elle se réjouit de voir son cul pénétré par un beau sexe qu’elle ne se prive pas de sucer avant et après la bonne action. (Voilà quelques lignes qui devraient exciter la libido de ma chère et vicieuse Ernestine !).
…………………………….
Ainsi Huguette a-t-elle invité en ce beau weekend d’été, Éric un gars de 21 ans, une bouille d’ange et doté d’une bite bien forgée pour laquelle elle voue sans hésiter son âme et son chéri au diable. Sans compter qu’il a ce mignon, un petit cul et deux belles miches séparées par un épais sillon profond et vertigineux. Bref, ce genre de popotin qui plaît beaucoup à ces Dames friandes de charnus fermes et grassouillets. Il a plumé complètement son zizi et ses couilles, ça ne se fait pas trop à l’époque sauf pour ce genre de personne, mais il a gardé une charmante petite touffe juste au-dessus de son membre, ce qui renforçait sa bonne petite bouille de dandy.

Un jeune homme fringant dans son lit c’est pour elle un sacré bonus, ça la valorise, elle est toujours aussi désirable et bonne à l’œuvre. À son âge il lui faut du dur, du solide, elle aime pousser de grands cris quand elle se fait bourrer. En bon valet Momo prend bien soin des deux. Les soigne, les prépare. Guide ici une quéquette, et graisse un trou du cul par là…. expert en toilette il ne laisse jamais les deux bons compagnons partir le cul malpropre. Bref en vérité il fait un tas de ces bonnes choses qu’apprécient des amoureux vicieux et il a lui-même beaucoup de plaisir à se faire cocufier. Il se prête donc très gentiment aux attentions de ces jeunes gens pour son plaisir et pour le ravissement de sa bonne maîtresse.

– Tu les aimes bien ces jeunes bites dans ton cul…ma grosse tapette!
– Oh oui ! C’est bon qu’il répond le cocu qui aime qu’on lui fasse ces choses-là, non sans se rappeler les bons moments où c’était sa propre pine qu’il enfilait dans le cul d’un jeune homme.

Autre détail, c’est que Momo a un très beau sexe même si ça pendouille un peu, joliment veiné, agrémenté d’un gland très honorable et d’une encombrante paire de couilles, (un gros paquet de viande…. comme elle dit Huguette).
En somme c’est un bon mec, un gros nounours qui plaît donc aux femmes par sa force, sa douceur, son humour et ses réparties amoureuses. Elles aiment sa pine moelleuse et tendre mais qui ne les menace jamais. Et à l’occasion il adore rencontrer plusieurs Nanas coquines qui le taquinent, l’excitent, le provoquent, se font aguichantes en jouant à qui fera juter la première le vieux cochon. Allongé comme un pacha, il se laisse faire. Elles piaillent comme des poules, le tripotent, lui font plein de toutes ces petites agaceries que les femmes savent faire. Un peu de méchancetés, beaucoup de gentillesses, des railleries :  » alors tu vas la bander ta breloque …! « . Assises sur son visage elles lui font un p’tit pipi sur le nez et même quelquefois ces insolentes lui font miroiter entre leurs fesses, le museau d’un petit rat musqué tout noir qui sort de son trou non pas sans innocence…

Alors là elles ont droit à un bon châtiment sur le dessus des fesses. Surtout si la vilaine bestiole vient s’aplatir sur le nez du mateur en sortant de son trou ! il fait la grimace le Momo, surtout quand ces salopes vont se torcher le cul sur son visage…ensuite les dames malpropres, vont passer sous la douche en se bidonnant comme des folles.

Momo aime bien se faire sucer la pine par un homme, surtout quand le suceur fait ça devant sa femme. D’abord un peu gauche et timide, il ne fait plus le fanfaron le suceur sous les yeux de son épouse qui le traite de tapette, ça lui fait une grosse humiliation au novice mais quand il a pris goût il fait cela aussi bien que sa Nana et pour peu qu’il soit moustachu ça lui donne à Momo des frissons comme s’il baisait une foufoune bien poilue.

Les jeunes sont surpris de découvrir la fermeté du gland de Momo et apprécient la souplesse de son nœud. Ils sucent à fond le gros machin, font aller et venir leurs lèvres le long de la tige, la mordillent, lèchent le bel engin avec le bout de leur langue depuis le frein et jusqu’en dessous des couilles, osent un doigt à l’anus. Momo jouit parfois entre leurs dents. Finalement il n’y a pas mieux qu’un mec pour bien sucer un autre mec.

Ainsi donc, dans les joutes amoureuses, sa bite n’a pas toujours besoin d’être bien raide pour faire la joie de ces Dames ou de ces Messieurs. Huguette est toujours là pour aider ces jeunes gens encore timorés à franchir le pas de la timidité devant un homme plus âgé, ils obtiennent très vite leur diplôme de bon suceur et on le droit divin d’enculer le brave homme. Que du bonus pour Momo ! La séance se termine toujours par un bon léchage de trou de balle et si quelques galopins grimacent à honorer le petit médaillon, Huguette est là pour les encourager en leur foutant au cul de solides réconforts. (C’est un sport dans lequel elle excelle ! Et n’a-t-on jamais vu un tel manquement à la politesse, de la part d’un freluquet mal élevé et dédaigneux de flatter le trou du bas du dos d’un ancêtre qui pourrait être son père !).

Parmi ces jeunes gens il faut noter entre autres la présence inopinée de la petite Lucette, une agréable personne majeure depuis peu mais qui n’est pas tombée d’hier dans le chaudron du libertinage. Un vrai bijou de bonheur tout en rondeur : les joues, les nibars et le cul. Pas sauvage ni pimbêche et très accommodante, elle soulève facilement la cuisse laissant voir des fraîcheurs à vous faire péter tous les boutons de la braguette.

Lorsque Huguette, la noble Dame l’invite en guise de bonus, à de belles réunions, elle lui fait jouer le rôle de soubrette. Et si cette dernière ne peut pas participer toute la nuit à ces festivités, c’est parce qu’il lui faut d’abord endormir son propre mari avant d’intervenir ici comme une petite surprise. Elle s’en retourne au petit matin, le rejoindre dans le lit (sacrée salope), toute chaude et encore humide avant qu’il ne s’éveille. Et s’il n’a rien remarqué le bon goujat en la baisant, c’est qu’il croit être l’auteur des intempérances de sa femme, qui ne sont rien d’autres que la juteuse abondance de toutes ces chaudes humeurs récoltées dans la nuit.

Il parait toutefois, que certains matins son vilain la soupçonnant de quelques infidélités, l’agrémenterait d’une sérieuse déculottée. Voilà après tout qui est bien mérité, il faut se l’avouer. La chose est équitable car même si lui l’ignore, elle, elle sait bien de quoi elle retourne! Elle n’en est à vrai dire pas très chagrinée car la perfidie lui procure cent fois plus de joies que les chatouillis que lui font ces fessées.

Ainsi tous ceux qui doutent de l’utilité de ces quelques amabilités, peuvent bien se rassurer car on sait très bien que toute femme honnête ne peut l’être entièrement si elle a la santé et de bons arguments pour ne pas résister en dehors du foyer à des gars généreux envers sa beauté. Et l’on dit, paraît-il qu’à femme raisonnable un bien doux châtiment lui vaut bonne indulgence pour ses doux égarements.

C’est que notre soubrette s’en donne justement du bon temps avec ces braves gens qui la chouchoutent particulièrement. Côté cul elle n’y va pas pour l’instant car sa petite rondelle est encore toute fraîche, mignonne et rose comme un sou neuf, mais côté foufoune, nous l’avons dit, elle a des complaisances. Sûrement que tôt ou tard elle va se le faire dépuceler son joli petit cul. Il est fait pour ça. Elle ne va pas pouvoir pendant encore longtemps frayer avec des bites entre ses cuisses sans qu’un jour ou l’autre il y en ait une qui ne se trompe de trou. Ce genre de petite aventure n’est-il pas recommandé à toute honorable soubrette décidée à faire consciencieusement son boulot tout en se réservant du bon temps ! C’est du moins l’avis de Huguette, notre chère Baronne qui s’y ait essayé, elle, de bonne heure, d’où la façon dont elle maîtrise la chose.

– Lucette, qu’elle lui dit la Baronne, si tu veux réussir dans la vie il te faut apprêter ton petit gagne-pain, ma chérie !
– Oh je sais bien, mais j’ai peur de me faire défoncer la rosette parce que les garçons sont des brutes !

Ça la fait sourire la grande Dame qui depuis longtemps a perdu le souvenir de cette sorte de petit ennui depuis que son trou du cul si souvent sollicité s’est accommodé à la chose pour son plus grand profit. (Humm elle resserre son anus en pensant à la chose !).

Bon, en attendant, revenons à Lucette, notre fameuse agnelle. Le vieux Momo profite de ce qu’elle se fait baiser par Lucien qui fait partie des invités, pour lui poser ses volumineuses couilles sur le visage et se faire lécher le trou du cul. Domaine dans lequel elle excelle. C’est on ne peut plus jouissif, on l’a vu précédemment. Elle a sa méthode et la langue pointue bien utile dans ce cas-là pour aller fouiner en ce petit endroit. Elle a appris la chose avec son mari qui lui a expliqué combien les hommes apprécient cette divine caresse que toute bonne ménagère doit savoir lui procurer. Et, qui n’a jamais connu le bonheur de balader son cul sur le bout du nez d’une Belle, est certainement passé à côté d’un des plus égrillards et plus délicieux plaisirs. Les Dames n’en sont peut-être pas toujours aussi ravies, mais c’est une façon singulière et intime de se soumettre aux indécentes tracasseries de l’amour. Petites formalités qu’elles savent bien d’ailleurs retourner à ces messieurs qui eux n’en sont pas outrés tant elles ont le cul appétissant.

Lucette le masturbe en même temps en s’accrochant à sa bite et tant pis si certaines fois ça sent un peu l’étable, elle est fille de la campagne et il n’y a pas longtemps qu’elle a quitté ses gros sabots.

– Pouah ! Qu’elle dit quand même, ça sent le vieux bouc, tu es dégueulasse Momo ! Tu es un gros cochon !

C’est qu’elle fait la délicate la jeunette… qui malgré quelques fausses grimaces enfonce tout de même son joli minou entre les fesses du vieux cochon.

– Tu ne vas pas nous faire la chochotte, lui réplique Huguette, ça fait partie du  » service compris  » ces petites cochonneries ma Belle ! N’est-il pas bon le trou du cul de mon vieux, et ne t’inquiète pas, ce n’est pas le dernier que tu auras le bonheur d’honorer et de récurer. D’ailleurs je vois que tu y prends goût très rapidement…n’est-ce pas ?
– Oh oui c’est bon le cochon, qu’elle répond la Lucette en retirant son nez de la salace rosette pour se pourlécher les babines, tandis que le Lucien lui liquéfie la chagatte.

On ne sait pas trop si c’est par en haut ou par en bas qu’elle a le plus de plaisir. En tout cas elle se plait beaucoup à branler la pine du vieux et à lui chauffer les burnes tout en ouvrant grand ses guibolles pour bien se faire baiser par Lucien. Quant à Momo, la langue dans l’anus…. et il est aux anges !

Avant qu’elle ne parte, tout le monde veut se l’accaparer. Aussi elle saute comme un cabri pour échapper aux mains qui veulent la retenir et ce n’est pas rare qu’elle s’en retourne le cul nu, sa culotte trempée s’étant bizarrement retrouvée dans la poche de quelque participant (son amoureux doit trouver que décidément elle use bien des culottes !)
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Cette nuit je me suis endormi sur mon travail !

Pourtant ce n’était pas un truc à s’endormir debout, allez-vous dire, bien au contraire, mais c’est que je m’y suis cru au milieu de ces braves gens qui copulaient à gogo…et la petite soubrette…je me la serais bien faite….alors je me suis mis à rêver à des cuisses ouvertes et à un joli petit cul….mais ce n’était pas celui de Lucette, c’était celui de Morphée…Hélas.

Ce matin il se fait tard, le soleil est déjà bien haut et c’est donc toujours à poil, après un bon petit déj’ que je me mets au boulot….allons retrouver nos fêtards….

Oh mais que vois-je sur ma terrasse ?

C’est bien ma voisine ! Mais c’est qu’elle n’a pas l’air en forme la cavale ! Elle traîne la patte, les cheveux ébouriffés, la nuisette en vadrouille et le cul plus bas que les genoux !

– Hé ma Belle rentre vite et fous-toi sur ce fauteuil, qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– Il m’a défoncé le cul !
– Il… c’est le Noir je suppose !
Ah ! le salaud, je t’avais prévenu…et où est-il que je lui dises deux mots (je peux me permettre d’être fanfaron de temps à autre).
– Mais non, c’était très bien, un brave mec, il est reparti, il a pris ce matin un avion pour Dakar. Seulement il l’avait grosse bon sang ! ….Juste un peu grosse !
– Ben voilà juste le diamètre au-dessus, quoi !…et ça a grippé bien sûr…juste un petit peu…et toi tu marches comme un canard….comme une canne, pardon !
– Oui mais c’était si bon….bordel…tu ne peux pas comprendre !

Mais si, mais si, moi j’ai compris….aller le cul en l’air sur le canapé et je te lui fous une noix de beurre bien frais sur la rosette, puis un bon un petit massage juste là où il faut.

Oh ! Elle aime ça et elle en redemande…

– Hum c’est bon, tu fais ça si bien qu’elle me dit…remets en moi encore et encore !…Oui bien là sur le bord du trou !…Hum ! il était bon ce noir !…Continue, continue…
– Bon si je passe ma journée sur le bord du trou comme tu dis, je vais tomber dedans et mon roman ne va pas avancer….allez ouste ! va te prendre une douche et ton aléseur de trou de balle, fais-lui une croix dessus !

Elle est repartie la garce, après une bonne douche et une collation, satisfaite de mes bons massages et la fesse toute aussi fringante que la veille.

– Toi tu sais flatter le cul des femmes me dit-elle en m’embrassant.

Je ne l’ai quand même pas laissée partir sans lui lécher son fameux trou, elle a aimé, mais c’est drôle…..j’y ai trouvé un goût de savane !
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Ah, quelle belle époque. On découvre que  » tout est permis, mais rien n’est obligatoire  » (ça vient de sortir)…. Chacun fait ce qu’il veut, il n’y a plus de tabous ….Tu veux, ou tu ne veux pas !….On n’a justement pas le préservatif obligatoire car le sida n’est pas encore là. C’est l’ambiance libérée et décontractée des années 68.

Bon on va les laisser s’envoyer en l’air tous nos petits amis et je suis sûr que demain ça va repartir de plus belle.

À la prochaine !
05/09/21

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3 réponses à Histoires de bons plaisirs – 9 – Bon weekend chez Huguette… par Verdon

  1. Biquet dit :

    Le trou du cul qui fleure un gout de savane !
    J’ai adoré l’expression

  2. Harivel dit :

    J’ai toujours grand plaisir a lire la prose déjantée de cet auteur.

    • Verdon dit :

      Ben voyons ! C’est fait pour ça.
      Merci, le plaisir est réciproque et pour les gens bien sages il y en a encore plein d’autres.

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