Heureuse surprise entre ses jambes par Daniel952

 

Heureuse surprise entre ses jambes
par Daniel952

Karl m’avait dit « 10 heures chez moi, on ira se faire une bouffe, la séance n’est qu’à 15 heures»

Depuis le temps qu’on voulait se faire un ciné tous les deux, entre mec, un peu libre quoi…

– D’accord pour 10 heures mais soit prêt, ok ?…

Je le connaissais suffisamment pour me méfier de son exactitude mais bon, on verra bien me disais-je.
2ème étage, je frappe.

– Tu es là ?
– Oui entre.

La porte ouverte me laissa découvrir son logement, c’était la première fois que je venais chez lui. Un logement très petit, en fait une grande pièce avec un grand lit au milieu, un coin cuisine et un lavabo. Il avait trouvé cela dans un quartier très fréquenté et assez bruyant, surtout la nuit. « C’est pour dépanner » m’avait-t-il dit.

Ce qui me surprit c’est que Karl était encore couché.

– Hé Karl, tu es souffrant ?
– Non Damien ne t’inquiète pas, je suis rentré à 2 heures ce matin, je suis crevé, met-toi à l’aise, assis-toi.

D’un geste il m’invita à prendre place sur le bord du lit, il faut dire qu’il n’y avait pas beaucoup d’autres choix.

– Dit Karl, il faut émerger si tu veux qu’on se fasse un resto.
– Damien t’as faim toi, moi je t’avoue que je suis bien là. Me dit-t-il avec un petit sourire.
– Comme tu veux, pour l’instant je n’ai pas faim non plus, après tout il est encore tôt. Tu étais où cette nuit ?
– En boite mon vieux, et je me suis bien amusé. Il faut que je te dise, j’ai fait la connaissance d’une superbe jeune femme, d’ailleurs je l’ai invité à se joindre à nous, tu es d’accord j’espère, elle ne va sans doute pas tarder.

Comme à son habitude il me mettait devant le fait accompli, mais je ne lui en voulais pas, cela se finissait toujours très bien.

– Qu’est-ce qu’on est bien dans un bon pieux, tu vois là j’y resterai bien un long moment encore.

Ceci dit il s’étira, puis s’approcha de moi, mis un bras sous sa tête, l’autre restant sous les draps.

– Alors et toi, tu as fait quoi hier soir, tu es resté avec Julie, hein coquin ?
– Oui, elle est sublime tu sais, je crois que je tombe amoureux de cette fille, je l’adore et elle me le rend bien.
– C’est vrai, je crois que tu as tiré le gros lot cette fois, je suis heureux pour toi.

Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais tout à coup un peu mal à l’aise là, assis sur le bord du lit, sentant Karl assez près de moi, surtout que je ne pouvais m’empêcher d’imaginer la main cachée de Karl frôlant son propre sexe. C’est incroyable ce que l’on peut s’imaginer en quelques secondes.

Et pourtant, parlant de choses et d’autres, je pressentais de légers mouvements près de moi, à hauteur des hanches de Karl, sous les draps.

Oui, j’en étais presque sur maintenant, Karl se masturbait gentiment tout en me parlant. Je le sentais s’approcher encore un peu plus de moi, se coller presque, j’avais l’impression qu’il voulait que je sente qu’il se masturbait ! Et en effet je sentais de plus en plus les mouvements lents de sa main sur son sexe qui d’ailleurs avait pris une taille suffisamment grosse pour qu’il y ait de moins en moins de doute sur les agissements de Karl.

Il s’aperçu de la gêne qu’il provoquait chez moi.

– Cela te dérange un peu Damien, non ? Dit-t-il d’une voix douce.

J’aurai sans doute dû lui répondre que oui, que cela me dérangeait. Mais je m’entendis lui répondre :

– Pas du tout Karl, c’est ton corps, et si tu aimes ça…

Maintenant il savait que je savais ! C’était ce qu’il cherchait sans doute : Se masturber doucement avec la complicité d’un ami, et ça je le comprenais fort bien.

Profitant que la situation était mieux établie, il se colla un peu plus à moi, sa main continuant ses mouvements de va-et-vient, et son autre main venant se poser sur ma cuisse.

Bien sûr j’aurai dû réagir, me lever, partir précipitamment, je ne sais plus moi !!!

Mais non au contraire, le contact de sa main qui caressait maintenant ma cuisse ne me laissait pas du tout indifférent, et je sentais mon sexe gonfler d’un plaisir nouveau, des frissons très agréables m’envahissait peu à peu, à tel point que je posai ma main sur la sienne, tout en me mettant légèrement en arrière pour mieux sentir les mouvements de Karl qui maintenant agitait légèrement ses hanches vers mon corps.

Imperceptiblement j’attirais la main de Karl vers ma braguette déformée d’une bosse qui trahissait mon émoi et mon trouble.

Tout maintenant n’était que silence, avec nos caresses interdites nos sens n’étaient plus que désirs.

Je malaxai la main de Karl sur mon pantalon gonflé, et il donna à sa main des mouvements plus que subjectifs. Avec adresse il descendit ma fermeture éclair, libérant par la même occasion ma bite qui d’un seul coup se dressa. J’en fus bêtement surpris, mais il ne me laissa pas le temps de réagir.

Il prit mon membre empli de désirs dans sa main experte et glissa de bas en haut et de en haut en bas pour décalotter doucement mon gland exacerbé.

Sa propre masturbation avait cessée, tout en reculant son corps pour laisser le mien se pencher sur son sexe brûlant qu’il avait dégagé de ses draps.

Jambes écartées, il accueilli ma bouche et je pris sa bite brulante entre mes lèvres.

Je me mis à le sucer doucement, avec une envie que je n’aurai jamais soupçonné. Je découvris que j’aimai ça, le sucer, sentir ses hanches se soulever à chaque mouvement, pour m’indiquer qu’il voulait que j’avale sa bite au plus profond de ma gorge, que je la ressorte, que je l’aspire de nouveau. Oh que c’était bon de sucer ce beau membre, de sentir que je lui donnai du plaisir tout en m’en donnant aussi.

Il m’attira pour que je m’allonge de manière à ce qu’il puisse prendre mon sexe dans sa bouche qui devenait gourmande.

Nous nous suçâmes un long moment ainsi, et ce moment était délicieux. Nos têtes bougeaient sans cesses, nos mains masturbant nos bites dressées et gonflées de désirs, nous nous agitâmes de plus en plus vite sur nos sexes, avec envie et délectation, en souhaitant secrètement que cela dure encore et encore, le plus longtemps possible.

Ce qui nous arrêta fut un bruit dans la pièce. Nous n’avions pas entendu entrer la beauté qui s’avança.

– Eh bien, on ne s’embête pas ici. Dit-t-elle gentiment.
– Entre, dit bêtement Karl car la porte s’était déjà refermée derrière elle…
– Heuuu Anaïs, tu es là depuis longtemps ? Ajouta-t-il.
– Suffisamment. Dit-t-elle dans un petit rire coquin.

Je m’étais redressé et Karl aussi. Nous nous sentions un peu idiots, tous les deux nus ou presque en ce qui me concernait, et dans une position plus que suggestive…

– Je peux m’assoir ?
– Bien sûr, tu vas bien ?

C’est dingue ce que l’on peut dire comme banalité dans certains cas…

Je me poussai légèrement pour lui laisser suffisamment de place pour s’assoir, ce qui eut pour effet de me coller vraiment à Karl qui ne bougea pas d’un pouce, appréciant sans aucun doute la chaleur de mon corps contre sa bite qui en profitait pour bouger un peu contre mes reins.

– Vous êtes mignons tous les deux, la vue ne m’est pas désagréable du tout. Dit-t-elle en regardant mon sexe encore bandant, les draps étant restés en bas du lit. J’en fus un peu gêné et j’eu le réflexe de vouloir les remonter.
– Laisse chérie, j’admire…

Je regardai Karl pour voir sa réaction devant l’état d’esprit de son amie. Manifestement cela n’avait pas l’air de le déranger, et il semblait même apprécier la tournure que prenaient les événements. D’autant plus qu’Anaïs avait joint le geste à la parole en avançant une main coquine sur mon sexe qui, évidemment appréciait ce nouveau contact.

Je pensais, autant que je puisse penser à ce moment-là, qu’Anaïs était belle, vraiment belle, avec un « je ne sais quoi » de plus, qui ajoutait de la sensualité à sa beauté.

Brune aux cheveux long et raides, ses yeux marron en amande laissaient deviner un peu de ses origines, sans doute un peu asiatique mais je pensais eurasienne, la tête ovale, avec un petit nez très fin, une bouche qui apparaissait assez gourmande, sa poitrine se laissait entrevoir par un chemisier légèrement déboutonné et un peu transparent. Elle n’avait pas de soutien-gorge, elle n’en avait pas besoin, ses seins pointaient fièrement, écartant un peu plus son chemisier.

Il était pour moi très difficile de la regarder dans les yeux à ce moment-là, je ne voyais que ses seins d’une douceur irrésistible et très attirante.

J’avais remarqué tout à l’heure ses hanches et son fessier rebondi, ses longues jambes fuselées, ses cuisses à peine cachées d’une petite jupe rose.

Elle était adorable, Karl avait bien de la chance d’être tombé sur elle, vraiment.

Anaïs s’activait un peu plus sur mon sexe. De la simple caresse « amicale », sa main exerçait maintenant des va-et-vient accompagnés d’une pression douce qui augmentait mon plaisir. J’oubliais complètement Karl qui matait les agissements de sa nouvelle conquête avec envie. Il se frottait pourtant de plus en plus contre moi en exerçant des mouvements avec ses hanches, comme pour vouloir me pénétrer.

Anaïs s’en aperçu et me dit :

– Laisse-toi faire chérie, j’adore voir deux mecs se faire l’amour, et Karl est plutôt très bien monté.

Il suffit d’une parole accompagnée d’un acte, il suffit d’une permission donnée pour laisser libre court à nos instincts les plus naturels.

Oui, j’appréciais maintenant les mouvements de Karl, parce qu’Anaïs me l’a permis ?

Peut-être, en tout cas je me cambrai davantage pour sentir encore mieux la bite que Karl voulait me donner. J’exerçais à mon tour des mouvements vers l’arrière qui réclamait sa pénétration, pendant qu’Anaïs me branlait de plus en plus.

Je devenais fou, fou de demande de sexe et d’amour, prêt à un abandon total, pris entre le corps et le sexe bandant et chaud de Karl, et les mains expertes d’Anaïs sur ma bite gonflée, n’en pouvant plus, et libérant toutes mes envies.

J’attrapais la poitrine d’Anaïs, la pelotant avec douceur, m’imprégnant de la rondeur de ses seins.

Elle était à moitié assise et une de mes mains descendit sur ses cuisses qui s’entre ouvrirent à mon contact, tandis que de l’autre je lui caressais les seins.

Elle acceptait mes caresses de plus en plus précises, gonflant sa poitrine en avant pour mieux sentir ma main, écartant franchement ses jambes pour laisser la place à mon autre main qui passait maintenant entre ses cuisses pour aller imperceptiblement vers son entre jambes.

J’abandonnais momentanément ses seins pour continuer mes caresses à l’intérieur de ses cuisses tout en précisant mon contact vers son intimité.

Là, tout s’arrêta.

Ce qui se passa durant seulement quelques secondes me fit passer par tous les sentiments, je me posais tout un tas de questions, toutes probablement inutiles.

Je senti ce que j’appellerai plus tard « une surprise », et quelle surprise ! Car vraiment je ne m’attendais pas à trouver là, entre ces merveilleuses cuisses à la peau si douce, à la chaleur si intense, entre mes doigts, et maintenant dans mes mains, un sexe d’homme, un sexe bien droit qui bandait si fort !

Je regardai Anaïs comme pour lui demander « c’est quoi ça ?», oh pas avec violence ni avec reproche, simplement pour comprendre, et pourtant en même temps, je comprenais si bien.
J’avais dans mes mains la bite d’une femme !!!

Le pire, ou le meilleur dans tout ça, c’est que j’aimais ça ! Une telle ambigüité, cette femme si parfaite était, pour moi, encore plus parfaite que je ne pouvais l’imaginer.

Oh quel délice, une femme avec un sexe d’homme, tout le bonheur pour moi, c’était magnifique…

– Karl, dit-t-elle avec un petit reproche dans la voix, tu ne lui a rien dit ?
– Non ma chérie, je voulais lui faire la surprise, et je crois que j’ai réussi mon coup, il aime ça, pas vrai Damien ?

J’étais incapable d’une quelconque réaction, partagé par le fait d’être surpris, ça c’est sûr, et par une envie soudaine de pencher ma tête en avant pour happer ce sexe dressé tout en pelotant les seins d’Anaïs.

Ce que je fis d’ailleurs sans plus tarder, comme pour couper court à toute discussion tout à fait inutile, comme pour marquer aussi mon approbation devant cette nouvelle situation.

Plus de questions, plus d’interrogations, mon corps, ma tête ne réclamait qu’une chose maintenant, se noyer dans l’amour du sexe. Mes désirs n’étaient que pour me mélanger à ces deux corps si emplis de sexe, d’amour et de sexe. Je ne demandais qu’une chose, m’abandonner à mes instincts, me laisser me faire sodomiser par Karl, à quatre pattes maintenant, le sentir se vider dans mon cul, sentir son sperme couler sur mon anus, me projeter en arrière brusquement très cambré pour qu’il me pénètre au fond de mes entrailles, pour qu’il fouille mon cul avec sa bite dressée pleine d’envies. Je jouissais du cul, mon anus dégoulinait de mouille comme une femme, c’était merveilleux.

Mais tout cela sans lâcher la bite d’Anaïs, tout en la branlant. Je voulais l’entendre gémir de plaisir, mélangeant ses soupirs à mes propres gémissements. Oh, quel délice, quel bonheur de se sentir enculer avec une telle force, sentir la bite de Karl malmener les parois de mon cul, me défoncer avec force. Karl prenait mes hanches pour me retenir et rentrer et sortir sa bite de mon cul, encore et encore, tandis que mes mains branlaient la bite d’Anaïs qui se jeta en arrière pour mieux apprécier ma masturbation, ce qui provoqua l’éjaculation de Karl dans un râle de jouissance. Je sentis son sperme chaud couler au fond de mon cul, puis entre mes cuisses.

Karl resta quelques secondes ainsi me maintenant contre lui, collé à mes fesses, je sentais ses couilles sur ma peau. Instants délicieux, il avait joui dans mon cul, et j’ai adoré.

Puis il se retira doucement, laissant échapper son sperme sur mon anus. Anaïs n’en pouvant plus voulu prendre le relai. Et je lui facilitai la tâche en me retournant, sans oublier d’embrasser Karl longuement, nos langues se mélangeant avec désir.

Je m’entendis dire à Anaïs :

– Prends-moi, je te veux dans mon cul.

J’étais devenu femelle, prête à recevoir maintenant Anaïs qui avait une si belle bite toute mouillée et qui voulait, elle aussi me baiser.

Elle s’était allongée sur le dos, sa bite bien dressée, prête à me recevoir. Je voulais voir son visage, pénétrer dans ses yeux, je voulais pouvoir caresser ses seins. Depuis longtemps nos vêtements avaient volés dans toute la pièce, nus comme des vers, nous nous aimions.

Karl momentanément hors-jeu, je m’assis doucement sur le sexe d’Anaïs, tout en la regardant dans les yeux, intensément. Je voulais regarder au plus profond d’elle tout en pelotant ses seins. C’était un régal de m’empaler ainsi sur sa bite bandée, faire moi-même des mouvements pour me dégager puis pour m’assoir de nouveau entièrement sur son sexe. Une fois assis ainsi, je pouvais dandiner de la croupe pour apprécier le plus possible sa bite dans mes entrailles, je ressortais très lentement et revenais aussi lentement. Chaque mouvement me provoquait un plaisir sans limite.

Par moment j’accélérais le mouvement, puis je le ralentissais de manière à apprécier ces plaisirs si nouveaux.

Anaïs avait pris ma bite toute trempée dans ses mains et la branlait doucement sur son ventre. Je m’entendis lui dire :

– Oh encule-moi ma chérie, défonce-moi, met ta bite entière dans mon cul, oh oui, encore, encore, branle moi, j’adore !!!

Mes paroles se mélangeaient à nos mouvements, ce qui rendait encore plus jouissif nos actes amoureux.

Karl approcha sa bite de ma bouche, elle avait repris de la vigueur en nous regardant faire. Je l’attrapais et la suçais, sentant son sperme refroidi. Je lui appliquais des vas et viens avec ma bouche et ma main, et il m’accompagnait en bougeant ses hanches tout en maintenant doucement ma tête.

Karl, sentant ma langue lécher son gland tout en le masturbant, serra les dents puis éjacula de nouveau. Je reçu son sperme brulant dans ma bouche. Il se vida dans un râle profond, puis s’écroula sur le lit.

Anaïs me branlait toujours, encore, plus fort, plus vite.

– Joui mon chéri, joui…

Elle accéléra les mouvements de ses mains pour me branler plus fort, encore et encore, en même temps elle soulevait ses hanches pour me pénétrer davantage. J’accélérais les mouvements de mon cul sur sa bite qui allait exploser en bougeant mes hanches et mes fesses.

Nous jouîmes presque ensemble, dans des cris de plaisir, dans des mouvements qui devenaient incontrôlables, quelle merveille. Je senti son sperme au plus profond de mes entrailles, tandis que j’éjaculais sur le ventre et dans les mains d’Anaïs.

Ce jour-là nous n’avons pas mangés, rassasiés par tant de plaisirs de sexes mélangés.

Ce jour-là j’ai perdu ma virginité anale, et je me promis de recommencer…

Post scriptum : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous…

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5 réponses à Heureuse surprise entre ses jambes par Daniel952

  1. Felix Meyer dit :

    Un scenario intéressant gâché par un style plutôt maladroit

  2. Muller dit :

    Un récit décontracté qui m’a fait bien bander

  3. Transmonique dit :

    Ires bon. J’ai bandé

  4. Everaert dit :

    Une bite comme celle de l’illustration je la suce longtemps et je l’offre à mon cul

  5. belisaire dit :

    Joliment tourné ce récit avec une bonne mise en scène, des mecs qui se tripotent entre eux et une trans qui vient compléter le trio, c’est du bonheur complet !

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