Clubs, Echangisme et Aventures par Sylviane

Clubs, Échangisme et Aventures par Sylviane

Maintenant que vous avez lu plusieurs de mes récits. Vous savez que je ne suis pas prude, que je n’ai pas beaucoup de tabous (aucun même). Ma philosophie ayant toujours été la même. On essaye ou on se tait. Rien ne m’énerve plus que ces gens qui sans avoir le moins du monde expérimenté les choses disent ah non, ce n’est pas bien … Moi j’ai toujours essayé les choses et me suis déterminée ensuite.

Vous le savez je suis mariée et heureuse en ménage, j’aime toujours mon mari, mais vraiment amoureuse comme au premier jour. Les années ont passé, nous avons toujours adoré faire l’amour ensemble. Christian et moi au bout de quelques années de mariage nous avons commencé à penser pimenter un peu nos ébats. C’est venu petit à petit pas vraiment de lassitude mais envie de plus, envie de folie, envie peut être aussi pour lui et moi d’autres corps mais sans tromperie.

Donc Chris et moi avons commencé à songer à nous encanailler. Le plus évident c’était les clubs. Mais nous désirions un anonymat. Notre choix se porta sur les clubs et à l’étranger. C’était la meilleure façon de ne pas risquer d’être pris sous les feux des projecteurs.

Nous avons parlé, cherché puis choisit avec soin le lieu de nos prochaines turpitudes. Bien évidemment cela ne se fait pas dans un claquement de doigt. Même si je ne suis pas réservée ni coincée, se dire qu’on va aller à la rencontre de couples, d’hommes et de femmes inconnus avec pour objectif de se retrouver à faire l’amour, ce n’est pas anodin. On se retrouve débutante, gamine avec toutes les peurs des novices. La nudité totale ou partielle n’est pour moi pas un problème. Sur les plages seins nus, me changer sur la plage même si je suis vu ne me gêne absolument pas. Si dans un café, un métro ou un bus je sens que le regard d’un ou plusieurs hommes cherchent à mater ma culotte, je les aide subrepticement. Et rien ne me fait plus plaisir que de voir un type qui me mate se mettre à bander car il vient de voir que je n’ai pas de culotte.

Nous avons donc jeté notre dévolu sur un club assez prisé dans une capitale européenne proche. Et c’est le cœur battant que j’ai attendu ce week-end coquin.

Jour enfin arrivé, j’ai mis la tenue que j’ai concocté avec amour. Je veux être à la fois chic et sexy. Chaussée de mes escarpins Louboutin, mes jambes gainées dans des bas à couture noirs avec de petits nœuds rouges, porte-jarretelle rouge souligné de dentelles noires. Une guêpière lacée rouge sang, à parements noirs qui soutient juste mes seins dont les pointes marquent ma robe fourreau lamée or. Un string rouge lui aussi qui comporte à peine assez de tissu pour masquer mon clitoris. Mon maquillage est superbe, mais par excès de crainte je porte un loup doré.

Entrée du club très classe, sourires de la part des hôtesses charmantes. Je m’attendais à autre chose. Je ne sais pas un lupanar à ciel ouvert, des corps entremêlés. Première surprise je m’attendais à moins de gens comment dire,  » normaux « . En fait j’avais un peu dans la tête des images de filles bien plus superbes que moi, de corps offerts, de couples jeunes. Alors que je vois plus de couples entre deux âges. Des gens souriants. Je fais un peu office de bête curieuse avec mon loup. Je suis la seule à être masquée.

L’ambiance est plus celle d’une boite de nuit sexy que d’un club échangiste. Mais nous ne sommes qu’à l’entrée. Nous nous installons sur une banquette vide, on vient nous demander si nous voulons boire. Une bouteille de champagne sera la bienvenue. Les gens se sourient, échangent quelques mots. Assez rapidement un couple passe près de nous la femme me regarde avec envie c’est évident. Elle est jolie, la quarantaine épanouie. Sa robe ouverte ne cache rien de ses charmes. Elle me demande si c’est la première fois que nous venons, des banalités puis elle se lance me demande si je suis bisexuelle, ma réponse l’attriste visiblement. Elle prend ma main y pose un petit baiser puis elle repart avec son homme. Je suis le cœur battant, ainsi c’est comme ça… Je m’attendais à quelque chose de plus bestial, plus agressif. Alors que c’est vraiment léger. On se regarde, on se parle on se frôle. Beaucoup de couples s’intéressent à nous. Je commence à me détendre, être moins sur la défensive. Je me rends compte que l’intérêt des gens pour nous est sûrement lié à ma couleur de peau. Je suis la seule fille de couleur à l’horizon. Un petit couple un peu timide nous aborde. Je vois d’emblée que Christian a flashé sur la femme. Petite, blonde et des yeux d’un vert magnifique, de petits seins pointus à peine cachés sous un haut très ample. Une paire de jambes magnifiques gainées de résille. Le type de femme qui fait rêver mon homme. De son côté le monsieur est plutôt à mon goût également. Un grand garçon, musclé à priori. Un beau visage, des cheveux bruns des yeux gris qui me tournent la tête, et des mains aux doigts longs et gracieux. J’imagine déjà ses mains sur moi. L’alchimie se fait.

Nous jouons franc jeu c’est notre première fois. Claude et Nina notre gentil couple est habitué des lieux. Ils nous disent que nous n’avons qu’effleuré la surface. Ici c’est le bar, le vestibule. Le club c’est plus loin après ce bout de couloir. Nous emportons notre bouteille, des verres pour nos nouveaux amis. Nous passons près d’alcôves à la lumière tamisée. On y aperçoit des corps demi-nus ou nus, des corps enlacés, des soupirs, des gémissements, des rires. Dans celle-ci une femme est aux prises avec trois hommes, prise des deux côtés elle pompe la queue d’un autre. Dans cette autre alcôve deux femmes en 69 et deux hommes qui les regardent se branlant la queue.

Puis une salle fortement éclairée, une foule d’hommes et de femmes, les premiers sont un peu plus nombreux. Et là au milieu de cette espace deux femmes sur une banquette ronde sont offertes à tous elles s’offrent cuisses écartées, les hommes se relaient, parfois quelques femmes équipées de gode-ceintures se même à l’orgie. Dans cette foule d’autres femmes sucent les hommes sûrement pour les mettre en forme.

– C’est l’espace gang-bang me dit Nina en souriant, j’aime bien de temps en temps tu verras c’est génial.
– Je ne sais pas… dis-je. Tout le monde vient ?
– Ah oui, tu montes sur l’estrade, tu acceptes de satisfaire les gens qui le désirent.

Puis regardant Christian elle me chuchote à l’oreille

– Ton mari me plaît énormément tu veux bien me le prêter ?
– Oui si tu me prête le tiens qui est canon…

Nina rit et me prenant par la main m’entraîne dans une alcôve. Nos maris suivent, et nous nous installons. Nina s’allonge sur la banquette appuyée sur les genoux de Christian et moi assise sagement prés de Claude.

Nous faisons plus ample connaissance. Lentement je me détends et Christian aussi, enfin se détendre peut-être mais il est de plus en plus tendu en fait. Nina très entreprenante est couchée sur lui, ses mains sur les cuisses de Christian vont et viennent au fil de notre conversation. Claude a passé son bras autour de mes épaules et je suis blottie contre lui. J’imite Nina. Claude à une chemise largement ouverte, ma main glisse dans l’échancrure je caresse doucement son torse. Ma robe fendue jusqu’à la hanche a glissé dévoilant mes jambes. Claude caresse doucement ma cuisse.

– On peut embrasser ! dit Claude… Ah oui, vous n’êtes pas habitués, certains assez nombreux sont d’accord pour faire l’amour avec qui veut, mais pas question de se faire de baisers qu’ils jugent du domaine privé. Nous cela ne nous gêne pas et vous ?

N’ayant pas évoqué la question ni moi, ni Christian n’y trouvons à redire.

– Pas de problème en ce qui nous concerne. Dis-je

J’essaie de jouer les affranchies et je rapproche ma bouche des lèvres de Claude. Mon cœur bat dans une seconde je vais échanger un baiser avec un autre homme devant mon mari. Nos lèvres se touchent, et commence un long baiser qui fait monter le désir en moi. Claude embrasse divinement. Et des frissons me parcourent le dos. Nina n’est pas en reste, agenouillée contre Christian elle lui suce la langue, son haut a glissé sur ses épaules dévoilant ses petits seins tous tendus. La main de Claude dégrafe ma robe, qui glisse sur mes hanches. Mes seins sont offerts soutenus par ma guêpière.

– Humm quels jolis seins ! dit Claude
– Merci répondis-je commençant à rentrer dans le jeu.

Je perdais petit à petit les dernières bribes de réticence. Christian et moi avions envie de nous éclater mais ce n’est pas si facile. Se lâcher, perdre les mauvaises habitudes héritées des convenances habituelles c’est difficile. Les mains de Claude s’étaient emparées de mes seins les caressant, les malaxant, remontant vers les pointes qu’il agaçait doucement du bout de la langue.

Mes mains avaient ouvert sa ceinture, et plongeait vers son sexe. Mes doigts trouvèrent la colonne de chair non pas assoupie mais en parfaite érection.

– Ahhh enfin ! fit Claude tandis que je libérais son sexe, je me sentais à l’étroit.

Je comprenais facilement pourquoi. Le sexe de Claude était proprement énorme. Une queue épaisse, noueuse, longue surmontée d’un gland large et aplatit. Je me laissais glisser sur le sol, agenouillée entre les jambes de Claude qui le pantalon ouvert offrait sa queue à mes attouchements. Passant ma main sous le sexe je trouvais une paire de couilles dont la taille était en adéquation. Christian est un homme déjà bien membré mais là… Claude avait la queue la plus énorme que je n’avais vu à cette époque. Mes mains courraient sur son membre. Claude appréciait et c’était appuyé contre le dossier de la banquette, me laissant carte blanche. Je déposais des bisous sur le sexe tendu, puis doucement ma langue se mit à le lécher. J’adorais l’odeur de sa peau, de son sexe et cette saveur un peu sucrée qu’avait cette peau.

Nina avait entrepris les mêmes activités que moi sur mon Christian. Je regardais cette jolie femme qui à ma place avait commencé une fellation. Je regardais presque hypnotisée. C’était beau, c’était paisible, la bouche de Nina qui montait et descendait sur le sexe de mon homme, laissant la peau luisante de salive. Elle me jeta un petit regard rieur et complice. Je me décidais alors à essayer de prendre la queue de Claude dans ma bouche. Son gland était trempé de salive, j’arrondissais mes lèvres, doucement je commençais à engloutir l’engin. Les commissures de mes lèvres étaient tendues à craquer mais j’arrivais à prendre le gland dans ma bouche. J’adorais la queue de Claude, et je me faisais une joie de la sentir en moi dans pas longtemps. Il avait attrapé les bouts de mes seins et les roulaient dans ses doigts. Mes pointes se tendaient de plus en plus, ils durcissaient. J’adore qu’on me triture les bouts de seins, j’aimerais avoir des bouts énormes comme certaines femmes. Même si les miens ne sont pas petits j’adorerais avoir des tétons hors norme. Ceux de Nina étaient adorables. Elle avait de petits seins très fermes, coniques, pointus surmontés de ces tétons longs et durcis. Nina fait partie des femmes qui sont si excitantes avec un tee-shirt car on ne voit que leurs tétons. D’ailleurs Nina était maintenant sur le dos, Christian la tête entre ses cuisses lui mangeait le sexe.

Claude bandait comme un fou, j’adore cette queue énorme, luisante maintenant que je l’ai engloutie le plus possible. Avec une douceur infinie, et une force peu commune, Claude me soulève me pose sur la banquette. Je fais glisser ma robe et la jette au sol. Me tenant par les chevilles il me fait écarter les cuisses. Mon string est trempé, je mouille comme une collégienne. Un couple passe devant l’alcôve s’arrête jette un œil, la femme demi nue se frotte à l’homme un instant en matant notre petite assemblée, puis ils repartent. Claude s’est agenouillé à son tour, j’écarte mon string, je lui laisse champ libre pour me lécher. Mais je suis si excitée, que j’ai peur de jouir sous ses coups de langue et j’ai envie de le sentir en moi.

– Viens… prends moi ! lui dis-je d’une voix rauque.

Je vois dans ses doigts le sachet d’un préservatif. Je le laisse ouvrir le sachet et je prends l’objet de ses mains. Rampant sur la banquette d’une façon lascive je m’approche, place ce maudit bout de latex et fini de le mettre en place avec mes lèvres. Puis je me remets dos sur la banquette et j’enlève mon string que je lui jette à la figure. Il le rattrape, le sent longuement et le place sur sa langue. J’adore le geste il m’excite. Je suis offerte, il est beau, il bande comme un âne. Il approche, je sens la tête de son engin contre mes lèvres dégoulinantes. Il va et vient de bas en haut dans ma fente, agaçant mon clito. Il me fait pousser de petits cris à chaque attouchement. Avec l’index et le majeur placé en V inversé, je décalotte mon clitoris je le masse, je le branle comme une mini bite. Je dois arrêter car sinon je vais prendre mon pied toute seule. Claude pose son gland à l’orée de ma chatte. Et je serre mes chevilles autour de ses hanches. Lentement je serre ma prise le faisant pénétrer doucement en moi. Mon sexe s’ouvre sous la poussée, je sens toutes les aspérités de ce sexe qui me comble. Je me mords les lèvres tellement la sensation est forte, brûlante. On m’aurait mis une barre d’acier rougie dans la chatte que je n’aurais pas plus de petits spasmes, tremblement.

Décidément baiser un presque inconnu me fait de l’effet. Mon sexe se contracte sur cette queue palpitante, la serrant, la relâchant. Lentement Claude commence à me besogner. Je suis tellement mouillée que malgré la taille de son sexe, il glisse tout seul. Quel dommage que le préservatif atténue la sensation.

Nina elle chevauche Christian, lui tournant le dos, je vois que c’est une sodomie qui a eu la faveur de notre nouvelle amie. Elle s’empale avec ferveur sur le sexe de Christian qui lui fouille la chatte grande ouverte de ses doigts, tandis que la belle se masse ses petits seins. Elle est belle souple, et super excitante. A cette époque je n’avais pas encore craqué pour les femmes mais je les regardais.

Claude pétrit mes seins, agace mes tétons qui sont durs et luisant de sa salive car il me les suce de temps en temps. Ses coups de reins sont lents et amples. Il sort de mon sexe pour mieux y replonger. Mon clitoris gorgé de sang est effleuré par son sexe en mouvement. Parfois il pose sa main sur mon pubis et du pouce il vient titiller mon bouton gorgé de sève me tirant des miaulements de chatte en chaleur… ce que je suis à cet instant. Claude s’y prend tant et si bien que je suis au seuil de l’orgasme. Il accélère le mouvement, sentant que je suis mûre, donnant de grands coups de reins. Il butte au fond de mon sexe, chaque coup m’ébranle faisant monter d’un cran mon excitation. Vous mes sœurs vous devez ressentir ce que mes sens ressentent à cet instant. Le plaisir monte en moi par vague à chaque coup de boutoir, mon ventre se contracte se relâche, mon sexe affolé enserre la chair palpitante de son sexe. Je suis ruisselante, pas besoin de le voir je le sens. Mes mains agrippent ses fesses fermes et musclées, mes ongles pénètrent sa peau. Crispée, tendue je suis au seuil de l’orgasme. Et d’un seul coup, il déferle. Je crie, je me redresse assise, plaquée contre son torse je l’ai enlacé. Mon sexe explose comme un fruit mur, les ondes de plaisirs me parcourent… Je me rejette en arrière, les reins cassés tandis que Claude continue de me pilonner. Je jouis violemment. Le plaisir m’emporte, je ne sais plus dans les bras de qui je suis. Je jouis c’est tout ce qui compte. Quelques instants de folie, je ne suis qu’une femelle en rut qui assouvit son besoin de plaisir. Claude est toujours en moi je le sens dur comme une barre de fer. Il n’a pas joui j’espère.

– Viens sur moi, viens jouir dans ma bouche ! lui dis-je en l’attirant.

Il me regarde, dégage son sexe de ma chatte qui reste béante. Nina regarde mon sexe, bouche bée et elle dit à Christian.

– Oh regarde çà comment elle est mouillée ! elle dégouline ! autant, c’est rare ! Allez baise moi fort !

Je me laisse glisser de la banquette, assise par terre. Claude à la queue en main, elle est vraiment énorme. Il ôte ce maudit préservatif. Je suis un peu déçue j’aurais aimé le sentir se répandre dans mon sexe, mais la sécurité avant tout. Son gland est gonflé, luisant car il est badigeonné de sa liqueur qui a coulé tout le temps qu’il m’a baisée. Je prends sa queue dans mes mains. Il me laisse faire. Je lèche sous le gland, il frissonne. J’obtiens une jolie perle translucide en essorant cette grosse queue. Claude pousse un petit soupir de plaisir. Lentement très lentement je le branle, lèche embrasse son sexe. Ses couilles montent descendent quand il se tend vers moi. Le méat est entrouvert et laisse couler une petite rigole transparente qui se transforme en un long fil avec une goutte au bout. Je récupère ce nectar avec ma langue. Petit à petit Claude donne des coups de reins il adore la caresse mais il a besoin de jouir. Il me regarde ses yeux brillent.

– Tu es géniale ! Oh tu me rends dingue ! Dit-il

A côté Nina et Christian sont en 69 pour se donner du plaisir. Je vois la chatte de la belle ouverte en grand, elle mouille abondamment. Mais je suis surprise de voir son anus palpiter s’ouvrir se fermer avec autant de facilité et surtout elle paraît super dilatée. Elle est en train de jouir. Son sexe et son anus palpitent de concert et vraiment Nina est super ouverte comme si elle avait l’habitude de prendre des gros objets. Plus tard nous comprendrons la chose.

Claude s’agitait dans mes doigts, il avait envie de jouir. Je faisais durer le plaisir. Ralentissant mes caresses, mes mains papillonnaient au-dessus de son sexe qui était agité de soubresauts.

– Finis moi s’il te plaît j’en peux plus ! me dit-il

Mes doigts se refermèrent sur sa tige tendue, je tirais lentement mais fermement sur la peau la faisant coulisser je mettais son sexe en tension. Les veines saillaient, le gland coulait doucement. Je donnais de petits coups de langue sur le bout. Je continuais à exercer cette traction. Tout en léchant le dessous du gland par petites touches. Il mouillait de plus en plus la liqueur coulais maintenant en abondance, je lapais ce qui coulais. J’insistais du bout de la langue sous les deux petites bosses sous le gland. Claude était presque tétanisé. Il était beau, cette musculature bien dessinée dans cette pénombre c’était d’une beauté torride. Ce sexe sur le point d’exploser était magnifique. Sous mes doigts je sentais le tremblement qui naissait dans sa queue. Ses couilles remontaient presque dans son ventre quand une longue coulée blanche finit sur ma langue. Puis il se mit à gicler, son sperme était brûlant, épais et ce goût… oh qu’il était bon… ce petit goût de noisette, vous savez comme les colles blanches de notre enfance… Il explosait sur mon visage dans ma bouche sur mes seins… Il n’arrêtait pas de m’asperger. J’adore recevoir le sperme en abondance j’étais gâtée… Claude était anéanti par son plaisir et il se laissa tomber sur moi. Il ne fit pas mine d’esquiver mon baiser plein de sperme, au contraire… il partageait sa semence avec moi… Et ça j’adore.

La soirée se poursuivit… mais c’est une autre histoire…

Sylviane.

Note du webmaster : les fautes ont été corrigées et nous avons supprimé quelques digressions qui selon nous, n’apportait rien à ce récit, ceux qui le souhaitent pourront retrouver le texte intégral sur le site de Xhamster, sous le même titre

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6 réponses à Clubs, Echangisme et Aventures par Sylviane

  1. Biquet dit :

    Le sperme brulant ? Depuis quand le spermer serait-il brulant ?

  2. Dominique Tamer dit :

    J’aime bien ce genre d’échanges et puis c’est quand même plus jouissif que de d’échanger les doubles de sa collection de timbres !

  3. David dit :

    L’illustration est à tomber ! Quelle jolie femme !

  4. vivud dit :

    L’ex-gerant d’un club echangiste de Listrac-Medoc comparait aujourd’hui mercredi 5 octobre devant le tribunal de Libourne pour exercice illegal de la medecine, abus de faiblesse et agressions sexuelles. Maitre Ilario, avait deja par le passe ete condamne a 18 mois de prison, dont 4 ferme.

  5. Bonpere dit :

    tres bon texte

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