Braves Candaus
par Verdon
Braves Candaus
On sait que Femme très longtemps
Jouit des fastes du printemps
Mais que son homme en vieillissant
N’a plus la fougue des 20 ans
Et les choses étant ainsi
Gare à l’épouse qui s’aigrit
N’ayant au lit ces attentions
Qui entretiennent la passion.
Mais heureusement, certains maris
S’occupent bien de leur Chérie
En permettant que dans leur lit
Un compagnon vienne au secours
Des embarras de leurs amours.
Et l’une ainsi peut en jouir
Tandis que l’autre prend du plaisir
En en prenant plein les mirettes,
De voir sa femme satisfaite,
Il y a dans la société
Plein de garçons qui mal baisent
Ou de maris pas à leur aise
Devant l’épouse pas très portée
A ces douceurs que d’autres cherchent.
Aussi l’homme qui tend la perche
En proposant une partouze
A ces braves gens pour remédier
A la famine de l’épouse
Mérite d’être remerciés.
Et quelle joie quand sous son maître
La Femme se le fait bien mettre
Sous l’œil excité d’un mari
Qui veut que tout lui soit permis
Pour qu’elle jouisse comme avant
Quand il lui en faisait autant !
Et ce beau sexe qui entre en elle
Limant sa chatte ou sa rondelle
Est le plus beau cadeau qu’il puisse
S’offrir pour assouvir son vice.
Oui ! Jouissez, heureux Cocus
De voir votre épouse foutue
Par ces beaux Mecs bénévoles
Dont vos Femmes beaucoup raffolent,
Car il leur faut, c’est bien connu,
Bien plus d’amants que de maris
Vu que leur chatte ou bien leur cul
Ont toujours de belles envies.
Laissez Madame bien s’offrir
Si vous voulez la voir jouir
Aidez le sexe du coquin
A pénétrer dans le conin ;
En le prenant à pleine main
Vous tâterez comme il est ferme
Et sentirez même le sperme
Jaillir à travers le conduit
Pour arroser le doux réduit.
Mais le meilleur de ces instants
C’est au moment où l’artisan
Enfile dans le troufignon
Son bel outil raz les couillons …
C’est alors que le bon Cocu
Qui n’en peut plus, crache son jus
Et que la Dame se lâche aussi,
Tandis que l’Amant, lui, jouit.
Et s’il vous faut, Gentils Cocus,
Etre bien sûr, entretenus
Lapez, sucez, bouffez le cul
De ces deux êtres sympathiques
Qui devant vous si bien se niquent…
C’est qu’il ne faut surtout rien perdre,
Ça pourrait faire un peu désordre
Car vous devez, bien entendu
Vu le service à vous rendu,
Bien astiquer le bienfaiteur
Et la rosette de l’épouse
Qui crache encore quelques perlouses
De la liqueur de ses amours.
Rien non plus ne vous interdit
Que le Monsieur sortant son vit
Du postérieur de la coquine
Ne puisse alors au même endroit
Vous gratifier des mêmes joies
Qu’a eu la Dame adultérine.
Verdon (15/04/2012)
Un joli poème en forme de pied de nez au sexuellement correct et aux beauf de tous poils