Madison Ashton par Sonia Kubler

Comme les autres, peut-être, mais pas aux yeux d’adolescents en quête d’une identité sexuelle et pour qui elle est très vite devenue un véritable fantasme. « Les garçons ont commencé à me tourner autour et j’ai entendu qu’ils citaient mon nom d’actrice », explique-t-elle. « Ils avaient clairement trouvé quelque chose à mon sujet sur internet ».

« J’ai demandé à mon fils ce qu’il y avait et il semble que certains lui aient crié: « Hey, ta mère est une prostituée ». Mais il n’y a pas prêté attention et a continué à jouer au handball. Pour lui, ce n’était que des cons, de toute façon », prolonge-t-elle, plaisantant au passage sur ses difficultés à bouger son visage avec toutes les injections au botox auxquelles elle a eu recours.

Estimant que son fils avait eu une réaction très mature, la pulpeuse brunette a décidé de lui parler sérieusement, par crainte de harcèlement à l’école. « J’étais sidérée par son courage et sa maturité ». Tout à coup il m’a dit : « En fait, c’est une conversation inappropriée et il est parti. Il est si mignon. Il ignore tout du sexe. La seule chose que je lui dis, c’est qu’il s’agit de mon travail et que je ne veux pas entrer dans les détails parce que ce sont des services rendus à des adultes ».

En Australie, Madison Ashton est très loin d’être une inconnue. Mère de deux enfants, elle est connue comme actrice porno, mais également étant l’ex-maîtresse de Richard Pratt, un célèbre milliardaire australien, aujourd’hui décédé. La jeune femme lui réclamait une partie de sa fortune, une demande pour laquelle elle avait été déboutée par la justice australienne.

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