Femme objet par Mathilda Stenberg

Femme objet par Mathilda Stenberg

Bonjour je suis Florence, 45 ans, brune et frisée, large de fesses et de poitrine Je travaille dans un magasin de fringues où je suis la seule employée. Ma patronne, Herma en a 28, c’est une grande blonde, grande et bien faite, légèrement autoritaire. A force de faire des essayages en commun et de se retrouver à poil on a fini par se tripoter. Les tripotages sont devenus au fil des semaines de plus en plus pervers, et c’est maintenant de façon régulière que nous nous livrons à des séances de broute minou.

Nous faisions ça pendant les heures creuses du magasin. Cela était fort agréable mais nous manquions d’aise. On a décidé de prendre une soirée de liberté par semaine. Racontant à mon époux qu’on allait taire de la gymnastique dans un club privé, on allait taire l’amour dans un petit studio appartenant à ma patronne.

Malgré sa relative jeunesse Herma était bien plus expérimentée que moi. Elle m’a presque tout appris sur les pratiques lesbiennes, du broutage de minette à la pénétration par godemichet. Grâce à elle, j’ai découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin dans ces découvertes.

Ma patronne avait de l’imagination et un sens prononcé de la domination. Quand cela la toquait, elle n’hésitait pas à me donner des coups de badines ou de martinets sur mes fesses ou de m’accrocher des pinces sur mes tétons et sur les lèvres de ma chatte en me traitant de salope et de traînée. Parfois elle me pissait dans la bouche ou me faisait nettoyer son cul alors qu’elle venait juste d’accomplir ses besoins. Moi, j’aimais bien tout cela. J’étais sa chose, son jouet.

Un jour, elle a décidé de mêler son mari à nos expériences. J’étais légèrement déçue mais je n’ai pas voulu le lui avouer par peur de la perdre. Son mari est venu avec un ami. Très vite, elle m’a présenté et très vite aussi j’ai eu la sensation de devenir une marchandise.

Devant les deux hommes, elle m’a fait me déshabiller en faisant valoir mon corps généreux, ma grosse poitrine et mon postérieur rebondi. J’étais gênée et honteuse. Après m’avoir bien observée sous toutes les coutures, le mari s’est approché de moi et m’a palpée en « connaisseur ».

Ma patronne est allée sur le lit. Elle a relevé sa jupe et s’est enfilé son gode dans le vagin. Elle avait un regard tellement lumineux qu’il me faisait presque peur.

Le mari m’a forcée à me mettre à quatre pattes. Il a demandé à son ami de me vérifier la chatte et le trou du cul. Après avoir eu l’impression d’être un animal, j’ai eu l’impression d’être une voiture. Je me suis sentie humiliée. Mais l’ami, contrairement à ce que je m’attendais, était doux, délicat. En fait de vérification, il a commencé à me branler, enlisant ses doigts dans ma fente et l’approfondissant.

Mon aventure avec ma patronne m’avait rendue hypersensible de ce côté-là. Je n’ai pas résisté à un assaut de frissons qui se sont engouffrés dans mon ventre en vagues chaudes. Malgré moi, je me suis mise à tortiller du croupion pour que les doigts atteignent mon clitoris. L’ami a déclaré d’une voix de docteur.

– Mon cher Paul, ta femme a raison… c’est une sacrée salope ! Elle part au quart de tour et elle mouille déjà.

C’est vrai que je mouillais et j’en avais même un peu honte. J’ai regardé ma patronne qui m’a renvoyé un regard dur et qui m’a dit de continuer à remuer du cul et à balancer mes grosses mamelles dans le vide. Puis, en grande maîtresse de cérémonie, restant dos appuyé au montant du lit, jambes écartées sur son gode fiché dans son vagin, elle a demandé aux hommes de se dévêtir. Je les sentais très liés tous les trois, un peu comme un couple qui aurait des habitudes. Moi, j’étais toujours à quatre pattes, bougeant bêtement mes fesses et mes seins, n’osant m’arrêter pour ne pas la fâcher.

Elle a exigé que son mari s’allonge entre mes bras et me suce le bout des seins. Elle a obligé leur ami à m’astiquer la minette. Et elle m’a ordonné de ne jouir sous aucun prétexte, de crier grâce dès que je sentirais monter l’orgasme. Je peux paraître forte mais au fond je suis une faible nature.

Je n’ai pas besoin de beaucoup de caresses pour m’envoyer au ciel. Alors là, avec ce traitement de choc, j’ai pas pu résister longtemps. J’ai senti ma jouissance au bord de mon vagin, j’ai failli lâcher la sauce, mais au dernier moment, je me suis retenue. J’en ai eu si mal que je me suis mise à pleurer. Ma patronne s’est déchaînée en se branlant de plus en plus vite avec son godemichet et en demandant à leur ami de m’enculer. Un jour, je lui avais dit que j’adorais ça et que je regrettais que mon mari ne le tasse pas plus souvent.

J’ai compris que la petite garce allait mettre toutes mes confidences à profit. Elle savait aussi que j’aimais sucer des queues. Elle s’est levée pour m’introduire celle de son mari dans ma bouche. Pendant ce temps, l’autre me pénétrait doucement, dilatant mon conduit qui s’en régalait déjà. Je m’étais trop retenue. J’ai commencé à jouir. Par la bouche et par le cul, j’ai avalé les deux queues. Le plaisir, un plaisir fabuleux a explosé dans tout mon corps. Ma patronne s’est mise entre mes bras, prenant la place de son mari, pour me sucer la pointe des seins. J’ai senti qu’elle voulait me faire dérailler à force de jouir.

J’aurais bien voulu résister à cette manigance, mais ce n’était pas juste, ils étaient trois contre moi, et moi je n’avais qu’une envie m’éclater dans un orgasme sans fin. Les deux hommes m’ont présenté leur trou du cul, ma patronne m’a demandé de les lécher, puis d’y introduire mes doigts.

Curieuse sensation de voir ces deux mâles virils se pâmer du cul sous l’effet de mes petits doigts agiles. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand je vis Paul se redresser, se diriger vers son ami le contourner et lui sucer la queue. Quelle bande de pervers… mais je serais mal placée pour critiquer…

Quand l’ami du mari voulu satisfaire un petit besoin naturel, ma patronne lui indiqua que je pourrais très bien remplir le rôle d’un urinoir. J’ai dû ouvrir la bouche et avaler son urine tiède. Paul excitée par cette scène ne voulant pas être en reste et m’offrit à son tour son champagne intime.

La séance a duré une bonne partie de la nuit, car j’étais tombée sur des baiseurs infatigables qu’une bonne pipe remettait vite d’aplomb.

Pendant presque tout ce temps, ma patronne jouissant dans son rôle de voyeuse, n’intervenant que pour augmenter les doses de mes orgasmes. J’ai alors compris que j’étais devenue le jouet de ce couple à trois. Ma patronne était moins lesbienne que moi, ce qu’elle aimait c’était me voir enfiler par ses deux amants.

Je l’ai compris et je me suis dit tant mieux. A mon âge, il faut savoir en profiter. Je suis devenue une femme objet, mais j’assume complétement et n’autorise personne à me juger !

Fin

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5 réponses à Femme objet par Mathilda Stenberg

  1. Nina dit :

    Eh oui, les filles, se sentir « objet » peut être très excitant. Moi j’aime bien de temps en temps.

  2. Charleville dit :

    Le terme « femme objet » n’est pas que péjoratif . Il existe des objets très utiles et bien conçus.
    (Philippe Geluck)

  3. Roques dit :

    Le potentiel était énorme, le résultat déçoit un peu

  4. husag dit :

    Un récit qui aurait mérité un plus ample développement, mais j’ai bien aimé la conclusion en forme de prise de position courageuse

  5. Ursulin dit :

    Un peu trop rapide, mais néanmoins plaisant

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