Etes-vous Bitophile ? par Eddy

Etes-vous Bitophile ?
par Eddy

Bitophile : de l’ancien scandinave : biti (borne d’amarrage situé sur un quai; vulgairement pénis) et du grec philos (ami). Amateur de bites (petit Albert édition 2002)

Soyons sérieux !

Deux constatations de base avant de commencer :

1 – En matière de sexualité, les sexologues nous classent en fonction de notre attirance vers des partenaires de l’autre sexe (hétérosexualité) ou du même sexe (homosexualité). Jusque là c’est assez clair : Mais lorsqu’on a des relations tantôt avec l’un tantôt avec l’autre ? Et bien on appelle ça la bisexualité. Simple ? Oui, sans doute trop ! .

2 – On classe tout ! Ce doit être une manie de la nature humaine. L’inconvénient c’est que lorsque l’objet classé paraît lointain, on n’en distingue pas les détails !
Ainsi quelqu’un qui n’aime pas le roman policier n’en verra pas la richesse et les infinies variations et justifiera son manque d’intérêt par un « quand on en a lu un, on les a tous lu ». Idem pour la SF, mais idem aussi pour beaucoup de choses (y compris les films X)

La bisexualité est aussi victime de ce genre de regard lointain. Vu de l’extérieur ce sont « des gens qui mangent à tous les râteliers », « qui sont à voile ou à vapeur », etc… Alors qu’en réalité derrière ce mot se cachent des réalités et des comportements extrêmement différents.

A ce point qu’on peut se demander si le terme de bisexualité est réellement approprié à toutes les situations.

Je vais un peu parler de moi, ce n’est pas du nombrilisme, mais il se trouve que je suis la personne que je connais le mieux sexuellement parlant !

J’ai déjà eu l’occasion de le dire dans mes histoires (et ça au moins c’est vrai). Je suis un amoureux fou du corps féminin. J’adore mater les femmes, j’aime leurs corps, j’aime leurs seins, leurs fesses, leurs cuisses… mais j’aime aussi passionnément leur visage. Il m’est arrivé d’avoir une érection rien qu’en regardant une jolie frimousse. Ca c’est le premier point.

Deuxième point : il m’est arrivé, parfois, d’avoir l’occasion de tripoter, voire de sucer un sexe masculin. Il se trouve que la vue d’une belle queue m’excite terriblement, et que la mettre dans ma bouche me procure un plaisir extrême. J’ai aussi un bon souvenir des très rares sodomies que j’ai subies !

Troisième point : Je ne suis absolument pas attiré par les hommes d’une façon générale. Je ne me retourne pas sur eux dans la rue, leur visage m’indiffère, leur corps encore moins. Lors des contacts cités au paragraphe précédent, j’ai pu constater qu’à part leur queue, les autres parties de leur anatomie m’indifférait totalement (malgré tout, quelques jolis tétons, et certains petits culs… mais c’est tout). Par ailleurs le rôle actif dans ces relations ne m’intéresse pas et je ne le pratique que par courtoisie de réciprocité (masturbation ou fellation de mon propre sexe, ou sodomie du partenaire). Je ne pratique pas non plus l’anulingus avec les hommes (quel que soit le sens, alors que je suis friand de cette pratique avec les femmes). Et enfin je n’embrasse sur la bouche que si le partenaire y tient (avant je refusais carrément, comme quoi les choses ne sont jamais figées)

Le quatrième point concernera les travestis, ou plutôt les transsexuelles. Comment voulez-vous que je ne craque pas devant ces créatures qui cumulent la beauté du corps féminin et le port arrogant de la bite ?

Voici un comportement sexuel bien bizarre m’étais-je dit (surtout si, mais c’est hors sujet ici, on y rajoute ma passion pour l’uro et pour certains jeux SM). Avant de me rendre compte que j’étais loin d’être tout seul dans ce cas.

Il existe à Paris une sorte de club, en fait ce sont deux salles dans lesquelles sont projetées des vidéos. La première salle est consacrée aux films gays et la deuxième aux films hétéros. Que constate-t-on ?
Dans la salle gay, les attouchements entre spectateurs sont fréquents, et n’ont sans doute rien de surprenant.
Certains font des va-et-vient incessants entre les deux salles. Rien de troublant là-dedans, on peut toujours ce dire qu’il s’agit de bisexuels « classiques »
Mais, et c’est là que ça donne à réfléchir, certains vont rester dans la salle hétéro, se régaler à ce qu’ils observent à l’écran et chercher des contacts avec d’autres spectateurs. La plupart du temps ce type de participant va faire un bref petit tour dans l’autre salle, uniquement par curiosité, mais va revenir en vitesse, n’étant intéressé ni par le film gay ni par ceux qui s’en délectent !

C’est quoi ces gens que les films gays n’intéressent pas, qui bandent à la vue d’un film hétéro et qui cherche à faire des trucs avec la bite du voisin ?

Oui, je sais, j’entends les voix des sexologues « concentrés » qui vont nous ressortir leur grande théorie sur la misère sexuelle. Tout n’est d’ailleurs pas faux dans ce genre de discours… mais il n’explique pas tout… Je peux en effet vous affirmer que certains personnages rencontrés en ces circonstances donnaient véritablement l’impression d’être parfaitement bien dans leur peau !

Non, je crois simplement que la notion de bisexualité est trop vague, recouvre des réalités et des attitudes qui n’ont rien à voir les unes avec les autres.

Or je vois bien, par le courrier que nous recevons, ou les histoires que nous pouvons lire ici et ailleurs que ce type de comportement est extrêmement fréquent et en tous les cas beaucoup plus fréquent que l’attirance égale en tout point pour les deux sexes.

Nous sommes donc peut-être bisexuels, mais nous sommes surtout bitophiles. Je suis donc fier d’être bitophile ! Je m’en honore et le revendique !

La bitophilie recouvrira donc tout ce qu’on peut faire avec une bite, on peut donc, la voir, la toucher, la sucer, se la pénétrer.

Les trois dernières actions n’apportent pas de commentaires particuliers, mais si nous parlions un peu de la vue. Parce qu’en ce domaine on se fait parfois des idées toutes faites !

Pourquoi croyez-vous que parmi les images pornos les pipes soient de loin ce qu’il y a des plus populaire ?

Tout simplement parce que ces images conjuguent deux parties des corps parmi les plus chargés de fantasmes : Le visage de la femme et la bite de l’homme.

Il n’est pas absurde de penser que prendre plaisir à ces images est un premier pas vers la bitophilie. Après tout, l’image de la bite ne dégoûte pas… (à ce sujet, il faut savoir que certains adversaires de la pornographie sont sans doute sincères quand ils expriment leur dégoût, il y a des gens qui sont en effet dégoûté par la vue d’un sexe qui n’est pas le leur, question d’éducation sans doute, et ces gens là sont peut-être plus à plaindre qu’à blâmer même s’ils nous emmerdent !)

A quoi cela sert-il me direz-vous d’inventer un néologisme ?

Tout simplement à se reconnaître en tant que tel ! Il n’y a rien de pire pour l’être humain que de se croire complètement unique dans ses choix, ses actes et ses attitudes sexuelles.

La bitophilie est donc un comportement qui n’a rien de rare, qui n’a rien non plus de déviant (c’est quoi un comportement déviant, d’abord ?), qui ne doit en aucun cas être facteur de stress ou d’angoisse et qui de plus est dans doute normal physiologiquement parlant (aucun homme n’est homme à 100%, idem pour ces dames).

Vivons donc notre bitophilie dans la joie ! Vive les femmes et vive les bites !

© Edvard Stokien
Août 2001

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27 réponses à Etes-vous Bitophile ? par Eddy

  1. Pozo dit :

    ..Voilà, c’est le mot, je suis bitophile ! J’aime les bites, je les touche, je les suce et je leur offre on cul ! Vive les bites !

  2. Amaury dit :

    On pourrait s’attendre à un peu d’empathie de la part d’une communauté qui a si longtemps été persécuté… Ben, que nenni, que nenni ; pour un gay un bitophile est un faux-cul qui n’ose pas affirmer son homosexualité. Carrément !

  3. Breton dit :

    Moi aussi je suis bitophile à mes heures, une bonne bite toute chaude dans la bouche, quelle sensation !

  4. Serge_sodo dit :

    Oui, je suis bitophile, j’adore sucer une bonne bite et me faire enculer !

  5. Axl dit :

    J’avais jamais vu ce blog d’Eddy, mais j’ai connu le terme bitophile en parcourant le site il y a quelques années, depuis quand on me demande mon orientation sexuelle (enfin sur les sites de cul) je réponds toujours hétéro ascendant bitophile j’aime les femmes pas les hommes , les hommes la seule chose qui m’intéresse c’est leur bites et rien d’autres Quand je cherche une bite je suis cash je dis je suce et me fait enculé hors de question d’embrasser ou de faire des câlins ou anulingus ça je réserve aux femmes, je passe sur le nombre de fois ou je me suis fais incendié car je disais ne pas me considéré comme homo et bi ,surtout par les hommes, j’ai connu des femmes qui connaissais « mon statut » et on pu voir que les mecs ce n’est pas ma tasse de thé par contre leur bites..

    Ceci dit il faut quand même que la bite me plaise, si elle est poilue rien à faire je bloque mais si par la suite le gars la rend toute lisse je dirais pas non. Étrangement les bites poilues me révulsent mais les chattes poilues (mais entretenues j’adore même si j’ai plus eu à faire à des chattes lisses que velues.

    Dommage que la société nous impose des étiquettes et en ce moment c’est prise de tête les étiquettes pour moi bitophile ne signifie pas être gay ou bi l’homosexualité et la bisexualité inclus des sentiments or j’aime la bite pas les mecs c’est pas difficile à comprendre

  6. Horace dit :

    Pendant un an ma maitresse m’a tenu le même langage en me godant le cul, « si tu veux une vraie bite téléphone moi, j’arrangerais ça ! » Un jour j’ai voulu franchir le pas et j’ai pris RV. Quand je suis arrivé, elle m’a demandé de me foutre à poil et de m’assoir, me disant que pour l’instant elle s’occupait de 2 autres soumis. Elle leur branlait la bite, j’étais fasciné par ces deux belles queues bien bandées, et je me demandait ce qu’elle attendait pour me les faire sucer, après tout j’étais venu pour ça, pour essayer… Elle a ensuite demandé à l’un des 2 soumis d’enculer l’autre. J’ai encore l’image de de la scène de façon précise dans ma tête, quel beau spectacle cette bite qui entre et qui sort de ce trou du cul, l’autre content comme tout de se faire enculer ! Je bandais comme un cochon. Celui qui enculait l’autre a joui et est allé se rhabiller. Alors maitresse ma demandé de sucer l’autre. Ma première bite, et je me suis régalé, je ne pensais pas que ça pouvait être aussi bon ! Et puis spontanément sans y avoir réfléchi j’ai demandé s’il pouvait m’enculer. Je me souviens de la réponse de maîtresse : »Déjà, tu ne perd pas de temps, mets toi en position pédale ! » Ce fut divin. Et ce fut le début d’une longue série.

  7. calinsenior dit :

    oui, je suis aussi bitophile, j’aime caresser, sucer et offrir mes fesses à une belle queue et aussi en recevoir la bonne crème

  8. hofman dit :

    Oui, je suis bitophile, je suce des trans mais aussi des seniors qui bandent bien

  9. darrigade dit :

    La réponse est OUI ! Et j’en suis fier !

  10. Alban dit :

    Sujet excellemment traité dans lequel je retrouve une majorité de points communs avec moi .

  11. Voisin dit :

    Ben, oui c’est bon la bite, moi j’en suce quand j’ai l’occasion et j’ai même pas honte.

  12. Lifar dit :

    Un jour pendant une partie un type m’a mis au défi de sucer une bite. Je ne me suis pas dégonflé et l’instant d’après j’avais une belle bite dans la bouche. Cela m’a laissé un plaisir trouble qui m’a donné l’envie de recommencer. L’occasion ne s’est pas représenté de suite et je suis resté au moins dix ans avec comme expérience bitophile ce seul souvenir. Jusqu’au jour où après avoir déniché une adresse sur Internet j’ai déniché l’adresse d’un sauna gay, j’ai un peu hésité et ne voulant pas mourir idiot j’y suis allé avec un peu d’appréhension quand même n’étant ni gay, ni même bi. J’ai vite été dans l’ambiance et ce jour-là j’ai beaucoup sucé (je n’ai pas compté). Ce que je ne soupçonnais absolument pas c’est le trouble que m’a provoqué la vue de deux mecs en train de s’enculer. Je me suis demandé si j’oserai un jour franchir ce pas. Cela m’a travaillé pendant toute une semaine et le lundi suivant j’y suis retourné pour ça. Cela a été une catastrophe, le mec m’a fait horriblement mal et je me suis sauvé vingt minutes après être entré. S’en est suivi une période de plusieurs mois ou j’ai refoulé mes envies bitophiles, puis un jour je suis allé voir une prostituée qui m’a proposé de m’introduire une gode, j’ai essayé pour voir, j’ai trouvé la chose plutôt agréable et j’ai renouvelé mes visite, elle m’a assez vite proposé un rendez-vous avec un autre client, je lui a fait confiance, cette fois, le mec a été très doux et après une introduction pas trop agréable, il faut bien l’avouer, le plaisir est monté et il m’a enculé magnifiquement. Je me souviens des paroles de la fille qui m’a dit avec malice : « T’es un enculé maintenant ! » Eh, oui, j’étais devenu un enculé, du coup je suis retourné au sauna et cette fois les choses se sont bien passées. Maintenant j’ai une carte d’abonnement.

  13. Ducatel dit :

    Ne faites pas comme moi
    Un jour avec des couples d’amis on jouait à un jeu érotique à gages
    Je tombe sur une carte gage : « Tu dois sucer la bite de ton voisin de droite ».
    J’ai pas voulu paraître comme un dégonflé, et j’ai accompli le gage.
    J’ai donc sucé la bite de mon voisin.
    C’est malin, maintenant je ne peux plus m’en passer ! LOL

  14. Constantin dit :

    Si être bitophile c’est prendre plaisir a sucer des queues, je le suis ! J’avais déjà sucé des queues au lycée et j’aimais bien ça. Puis il y a eu les filles, le mariage… 30 ans plus tard dans le sous-sol d’un sex shop, un type pas gène du tout se faisait sucer, tous mes souvenirs me sont remontés à la surface, je me suis mis à bander. je me suis aperçu que ça se pelotait un peu dans tous les coins, et un mec m’a mis la main sur la braguette, je l’ai laissé me sortir ma queue, il m’a branlé et sucé, comme je ne voulais pas jouir de suite, je me suis dégagé et j’ai empoigné une belle bite qui était sorti et qui me narguait, je l’ai sucé. Quel souvenir ! Depuis quand ça me prend je fréquente les aunas gays, il y a toujours des bonnes queues à sucer. Je me suis mis aussi à la sodomie et j’avoue que c’est très agréable de se faire enculer si le partenaire n’est pas bourrin.

  15. stevie2 dit :

    Je suis devenue bitophile le jour où je suis entré dans un cinéma porno. Quand mes yeux se sont habitués à ‘obscurité, je me suis rendu compte que dans la salle des mecs se branlaient, se tripotaient et se suçaient, je n’arrivais pas à détacher mes yeux de ces types, dans un coin il y avait un groupe dense, je ne voyais pas ce qui se passait au milieu, je me suis approché, là un type se faisait enculer et pendant ce temps-là, il en suçait un autre. Un gars à côté de moi avait sorti sa bite et se branlait, je ne savais plus où me foutre, mais quand un mec m’a mis la main sur la braguette, je me suis enfui en courant. Je m’en voulais d’avoir mis les pieds dans un endroit pareil, mais d’un autre côté ces scènes entaient mes nuits.
    J’y suis retourné une semaine après en me disant que cette fois, si on me tripotait, je me laisserai faire. L’ambiance était moins chaude, mais il y avait quelques branleurs, au bout d’une demi-heure, je me suis fait violence, et j’ai sorti ma queue pour la branler, un gars est venu à côté de moi, a sorti aussi sa bite, sa main s’est avancée vers la mienne, j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai touché la sienne, on s’est branlé un peu mutuellement, puis il m’a demandé si je suçais, j’ai dit oui, et me suis retrouvé avec ma première bite dans la bouche. Un autre est arrivé, et m’a présenté sa bite à sucer, je suçais deux bites alternativement, un attroupement se formait autour de nous, j’étais entouré de bites. On m’a entraîné dans les toilettes, je branlais, je suçais, j’étais ivre de sexe, un type m’a doigté le trou du cul, je l’ai éconduit maladroitement, et quand un deuxième a fait la même chose, j’ai prétexté être en retard et je me suis rhabillé.
    Quand je suis revenu une troisième fois, après avoir sucé deux bites pour me mettre en condition, je suis allé au toilettes, et je me suis posé devant l’urinoir en baissant mon pantalon. Un mec est arrivé et m’a peloté les fesses, mais ça n’a pas été plus loin, le second m’a enculé, il m’a fit un peu mal.
    J’y suis ensuite retourné presque toutes les semaines, je me suis un peu lié avec quelques habitués, l’un m’a emmené chez lui et présenté sa femme dont le fantasme est de voir son compagnon avec un autre homme. J’ai aussi rencontré quelques travestis bien sympathiques.
    Je suis maintenant un bitophile accompli, je suis un suceur de bite et un enculé, mais ça ne m’empêche pas de bander envoyant une belle poitrine féminine !

  16. Sangster dit :

    Tout à fait d’accord, les belles bites je les regarde, je les branle, je les suce et je me suis même fais enculer deux fois. Et ce n’est pas pour ça que j’arrête de regarder les femmes.

  17. Gambessa69 dit :

    Un grand merci Eddy pour cet article, dans lequel je me retrouve complètement.
    J’ai pendant tant d’année refoulé cette envie …. cet article m’incite à franchir le pas…

    • thim dit :

      J’ai toujours apprécié ce blog d’Eddy, depuis des années je me suis reconnu comme tel mais sans jamais prendre le temps de réagir.
      Nous devrions pouvoir entrer en contact, en raison de notre spécificité, devrais-je dire…

  18. dan dit :

    Si être excité en voyant de belles queues , c’est être bitophile, je crois que je suis en train de le devenir. Où cela me mènera ?

  19. Sigmund dit :

    La réponse est oui ! J’aime les femmes mais je suis attiré par les sexes des hommes quand ils bandent et quand ils pissent !.

  20. Carmel dit :

    Bien sur que je suis bittophile
    Je vous envoie la mienne de bite, si dès fois ça interese quelqu’un ?

  21. Eric dit :

    Je me fais assez régulièrement goder le cul par mon épouse (c’est une idée à elle, le jour où je lui ai est acheté un gode par jeu, elle m’a dit  » et pourquoi pas toi ? « ) J’avoue m’y être mis et adorer ça ! Le problème c’est que parfois en pleine action je fantasme sur une vraie bite qui m’enculerait. Je trouve d’autant ça incompréhensible que je ne suis pas du tout attiré par les hommes.

    • Eddy dit :

      C’est le fameux syndrome de la bitophilie ! Encore une fois on peut être attiré par certains actes physiques bisexuelles (voyeurisme, masturbation, fellation, sodomie) sans être attiré par les hommes d’une façon générale. C’est ce que ne comprennent d’ailleurs ni les homosexuels purs et durs ni la majorité des psy et des sexologues pour qui tout désir d’un attribut de quelqu’un du même sexe est une manifestation d’une homosexualité refoulé ! Ce serait si simple si on pouvait classer si vite ! N’ayez pas peur de votre fantasme ! Et puis faites ce test, regardez les femmes dans la rue, regardez aussi les hommes et concluez vous-même !

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