Vol humide par Laurie

Vol humide par Laurie

Je venais juste de passer le service de contrôle des bagages de l’aéroport Charles de Gaulle à Paris et je décidais de rejoindre le lounge. J’entrais dans la petite salle et montrais mon droit d’accès au standardiste. Je choisis alors un transat dans lequel je m’allongeais. Un serveur vient aussitôt près de moi pour me proposer le menu.

– Amenez-moi un verre de vin blanc plutôt sec, lui dis-je.
– Chablis ? proposa t’il.
– C’est très bien, validais-je.

Il partit, me laissant seule quelques instants. Je sortis mon billet d’avion. Il était tout à fait classique, un voyage en première classe pour me rendre à Montréal pour une soirée très spéciale au sein même du quartier appelé le village. Seul détail inhabituel, une petite ligne “special offer” notée en bas du billet juste après un drapeau multicolore, représentant la communauté LGBT. J’étais en effet lesbienne, aimant beaucoup les femmes et cherchant à assouvir le plus de fantasmes avec elles que possible. J’avais découvert le sexe entre femmes durant mon adolescence et n’avait jamais regretté, ni voulu tenter autre chose.

Le serveur revient avec mon verre et me l’offrit. Je le bus par petites gorgées en checkant quelques mails sur mon téléphone. Une fois fini, je déposais le verre sur la tablette près du transat et regardais l’heure.

– Oh, encore une heure avant l’embarquement, me dis-je.

Je me levais alors et me dirigeais aux toilettes. En entrant, je vis trois boxes différents, l’un d’entre eux s’ouvrit pour laisser sortir une jeune trentenaire aux longs cheveux noirs. Elle était mignonne et décidais de prendre sa place. Je fermais la porte derrière moi et me penchais vers les toilettes en humant l’air. Une toute petite pointe d’urine fraîche stagnait encore un peu dans les lieux mais ça restait très léger. Je baissais alors mon legging et m’assis à la place de l’inconnue. Le siège était encore chaud de ses cuisses que j’imaginais sexy. C’était agréable. Je finis par me laisser aller, relâchant ma vessie. Je pissais, faisant tinter mon urine claire dans la vasque. Je finis en moins d’une minute et glissais ma main entre mes jambes à la peau dorée. Je m’essuyais du bout des doigts, recueillant quelques gouttes sur mes phalanges. Je portais ma main à mon nez et inspirais. L’odeur était très légère, presque décevante pour une adepte de l’urophilie comme moi. Je finis par me relever et me rhabiller. Je sortis de la box et me rendis aux lavabos pour me laver les mains. J’en profitais pour me regarder dans le miroir. J’avais un joli visage au teint hâlé, qui venait de mes parents chinois. Mes cheveux étaient brun sombre et tombaient raides de chaque côté de mon visage. J’avais des petits yeux couleurs noisette légèrement bridés ce qui rappelait mes origines asiatiques. Je mesurais à peine 1,63 m et pesait 66 kg. J’avais quelques rondeurs mais bien placées au niveau des fesses et ça plaisait à mes multiples compagnes de sexe. Je ressortis dans le lounge et regagnais ma place. Un nouveau verre de vin m’y attendait. Je le sirotais doucement en fermant les yeux petit à petit. Je finis par m’assoupir.

– Mme Alina Chung, entendis-je, une voix me réveiller.

J’ouvris les yeux pour voir le serveur m’appeler.

– L’embarquement a commencé, vous devez vous rendre à la porte pour prendre l’avion.
– Très bien, merci fis-je.

Je me redressais et fouillais dans mon sac à main. Je pris quelques pièces que je laissais au serveur puis partis. Je me rendis à la porte où l’on m’attendait déjà. Deux autres passagers de première classe attendaient encore. Ils passèrent le contrôle et je pus présenter ma carte d’embarquement. Je matais la standardiste, une jeune femme d’origine maghrébine. Elle n’était pas spécialement jolie mais avait une jolie paire de seins que son haut mettait en valeur. Je la laissais vérifier mes informations alors que j’étais absorbée par sa poitrine. Elle finit par m’indiquer le chemin et je pris le corridor menant à l’avion. Je fus accueillie à l’entrée par un steward grisonnant. Il se présenta comme le chef de cabine et examina mon billet et me désigna une direction à gauche de l’appareil. Je trouvais ma place. Je m’installais dans les sièges ultra confort de première classe. Ils étaient larges, bien plus que sur les autres vols et semblaient avoir une conception spéciale. Un rideau tombait du plafond et permettait une complète intimité une fois tiré. Quelques secondes après mon installation, une hôtesse de l’air s’approcha de moi. Elle était tout simplement sublime. Le cliché parfait de l’hôtesse sur laquelle on a tendance à fantasmer. Elle devait être un peu plus âgée que moi, avec des cheveux blonds parfaits qui descendaient juste en dessous de ses épaules. Son nez mutin était spécial mais lui donnait un petit charme en plus. Elle avait de jolis yeux noisette qui appelaient au sexe. Son corps était parfaitement proportionné avec des formes là où c’était nécessaire. Elle portait un tailleur qui serrait ses seins et une petite jupe plus ample qui laissait voir une grande partie de ses jambes. Je faillis me baver dessus en la voyant.

– Bonjour Madame, me dit-elle. Je suis Laurie et je serais là pour vous servir durant tout le vol. D’autres hôtesses sont disponibles si je ne vous convient pas…
– Non, non vous êtes parfaites, la coupais-je.

Elle rougit un peu avant de reprendre son discours.

– Appelez-moi pour quoi que ce soit. Je suis à votre service. Puis-je commencer par vous proposer un petit cocktail fait par mes soins ?

J’acquiesçais et elle me servit aussitôt le verre qu’elle avait à la main. C’était frais et plein de jus de fruits.

– Je vous prépare du champagne pour le reste du trajet ? Viande ou poisson ?
– Je suis partante pour le champagne mais après le décollage. Je prendrais plutôt du poisson.
– Très bien, je vous laisse le soin de vous attacher et attendre la fin du décollage pour bouger.

Je jouais l’idiote et lui demandais :

– Je ne suis pas bien douée pour le réglage des ceintures, vous pouvez le faire.
– Vous pouvez me tutoyer, répondit Laurie. Bien sûr, laissez-moi faire.

Je me laissais aller sur le siège, me frottant un peu sur le siège pour remonter mon haut et laisser mon bas ventre apparaître. Elle se pencha sur moi et j’humais fort son parfum, pas du tout gênée qu’elle m’entende. Je sentis ses doigts chauds frotter contre mon ventre nu alors qu’elle ajustait la ceinture.

– Voilà Madame, dit-elle en se redressant.

Elle finit par partir et je fermais le rideau pour être seule. Je finis le cocktail alors que le commandant de bord annonçait la fermeture des portes. Je déposais le verre sur une petite tablette avant de regarder par le hublot pour voir la progression de l’avion sur le tarmac. Il finit par prendre son envol et décolla. Je regardais le paysage défiler jusqu’à ce que nous traversions une couche de nuage. Je m’allongeais alors et fermais les yeux, me sentant étrangement fatiguée. J’eus instantanément des visions de ma jolie hôtesse. Je glissais une main dans ma culotte et commençais à me caresser en imaginant Laurie nue. Je finis par m’endormir, ma main n’ayant pas bougé mais sans atteindre la jouissance.

Je fus réveillée quelques heures plus tard en sentant une présence près de moi. Mes lèvres furent écrasées par une masse chaude et humide. J’ouvris les yeux en sursaut et vis deux jambes encadrer mon visage et ressentis le contact d’une chatte sur ma bouche.

– Voici votre petit supplément pour le voyage, fit la voix de Laurie.

Je la vis soulever sa jupe pour pouvoir me regarder alors qu’elle chevauchait mon visage. J’eus un petit gémissement de surprise mais fut ravie de ce cadeau. Je posais un baiser délicat sur le vagin offert.

– Ma chatte est pour vous, fit la belle blonde. Bouffez-la à votre guise.

Je ne me le fis pas dire deux fois et commençais à lécher sa chatte. Rapidement, je sentis le jus de mon hôtesse couler sur ma langue et venir dans ma bouche.

– Humm tu es délicieuse, lui dis-je.

Je continuais de la lécher, la faisant petit à petit gémir. Je voulais la faire jouir, sentir ses jambes se raidir autour de mon visage alors qu’elle giclait des petits jets de mouille dans ma bouche. Je poussais pour cela ma langue en elle. Je la sentis perdre l’équilibre, elle se maintenait sur moi, sa chatte complètement écrasée sur ma bouche.

– Baise-moi, chuchota-t-elle. Je vais venir.

Ma langue continua à jouer avec elle quelques minutes quand je la sentis se contracter. Comme je m’y attendais, un petit jet de cyprine coula dans ma bouche. Je l’avalais sans hésiter, savourant le goût acidulé. Laurie resta assise sur mon visage quelques secondes, cherchant sa respiration. Elle réussit à reprendre son souffle et me regarda dans les yeux en se redressant un peu. Sa chatte flottait toujours à quelques centimètres de mon visage et j’aurais pu replonger dedans en levant simplement la tête.

– Au fait, le champagne de Madame est prêt, je peux vous le servir maintenant.

Je n’en crus pas mes oreilles. Cette sublime blonde me proposait dans un avion, entourées de passager, de me laisser goûter son champagne. Elle voulait m’arroser de sa pisse. Je hochais la tête rapidement.

– Bien sûr que je le veux.

L’hôtesse blonde releva à nouveau sa jupe et je vis sa chatte laisser tomber quelques gouttes sur mon haut puis un petit jet de pisse jaillit d’elle. Je sentis le liquide couler sur mes seins puis le jet remonta vers mon visage. Je fermais les yeux par réflexe et ouvrit la bouche. Une seconde après, je sentis le jet chaud s’engouffrer entre mes lèvres. Le goût était un peu amer mais me fit presque jouir tellement la situation était sexy. J’avalais autant que je pus, la pisse chaude s’engouffrant dans ma bouche avec puissance. Le surplus coula sur mes joues et ruissela sur mon visage. Le jet s’arrêta petit à petit. Je plongeais à nouveau ma langue sur la jolie chatte de la blonde et la lapais pour la nettoyer. Je la léchais un instant avant de la remercier.

– Ta pisse a un goût incroyablement sexy, la complimentais-je.
– Merci Madame, fit Laurie, descendant de mon visage.

J’étais toujours quasi allongée dans le siège. La moitié de mon haut était trempée de pisse tout comme la totalité de mon visage. Laurie sortit la main derrière le rideau et attrapa un tee-shirt posé sur un petit chariot.

– Voulez-vous me donner votre haut que je le nettoie avant l’atterrissage ? Voici de quoi vous changer.

Je me déshabillais sous ses yeux pleins d’envie et lui remit mon haut. Elle le rangea sur son chariot pendant que je mettais le tee-shirt sous son regard attentif qui louchait sur mes seins dont les tétons pointaient d’excitation.

– Voici votre plateau repas, fit-elle, en me tendant mon dîner.

Je plaçais le plateau sur mes genoux et ouvrit le couvercle qu’elle récupéra.

– Je vous laisse aussi la carte des desserts. Appelez-moi si besoin. Bon appétit.

Je n’eus même pas le temps de la remercier qu’elle partit, me laissant seule dans sa pisse. Je commençais alors mon repas, aussi affamée qu’excitée. Ce voyage commençait vraiment bien et je regrettais de ne pas pouvoir toujours voyager comme ça. Je goûtais la salade composée et eus du mal à passer outre le goût de la pisse qui tapissait encore ma bouche. Il fallut que je finisse mon entrée pour faire disparaître définitivement le goût. Je déballais ensuite mon assiette. Je fus surprise de voir une longe d’espadon poêlée avec des petits légumes. C’était vraiment de la grande cuisine pour un avion. Le plat était vraiment délicieux et je me régalais. Je finis rapidement mon plat et me sentis rassasiée. J’hésitais à prendre un dessert, partagée entre l’idée de me masturber avant de dormir ou de profiter d’un petit en-cas sucré. Je finis par ouvrir la carte juste pour jeter un œil. Il y avait essentiellement des pâtisseries qui paraissaient très bonnes mais ne me faisaient pas plus envie que ça. Une petite étiquette blanche était ajoutée en bas avec écrit au stylo : surprise de l’hôtesse. J’eus un petit rictus, en imaginant que c’était sûrement un shot de pisse ou quelque chose du genre. J’en avais assez bu avant le repas pour en prendre encore. J’appuyais sur le bouton pour que la magnifique blonde vienne me débarrasser. J’inclinais de nouveau mon siège prête à un peu de repos. Elle arriva rapidement.

– Madame a besoin de quelque chose ?
– Non, juste retirer le plateau.
– Pas de dessert ?
– Non, ça ira, merci c’était suffisamment copieux.

Laurie resta silencieuse, l’air déçue.

– Juste par curiosité, repris-je, quelle était votre dessert surprise ?

La jolie blonde se pencha vers moi et souffla près de mon oreille.

– Thé ou café gourmand avec la boisson de votre choix à boire et mon anus à manger.

Je poussais un hoquet de surprise. Je m’attendais à quelque chose de ce style mais je n’avais pas pensé à ça. Je jetais un œil à ses jambes nus et me rappelait du petit aperçu que j’avais eu de ses fesses. Mon excitation grimpa encore d’un niveau

– Finalement, je vais prendre un thé gourmand, dis-je en me léchant les lèvres.
– Entendu, fit la jolie blonde.

Elle partit avec mon plateau et revint quelques minutes plus tard en portant ma tasse de thé. Elle passa sous le rideau et vient de nouveau chevaucher mon visage mais dans l’autre sens. Elle prit ses fesses à deux mains et les écarta me laissant un point de vue parfait sur son anus. Ce dernier était plutôt petit plus long que large, faisant plus une fente qu’un cercle. Il était plus sombre que les fesses blanches qui l’entouraient, sa couleur était d’abord beige clair puis tirait petit à petit vers le brun jusqu’au centre. Je m’approchais de lui. L’odeur de son cul enveloppa mon nez. Elle sentait assez fort, comme si elle n’était pas hyper propre. Cela me plaisait assez et je me léchais les lèvres à l’idée de goûter cette jolie rondelle.

– L’arôme est à votre goût ? demanda Laurie, en m’entendant renifler.
– Votre cul a une odeur parfaite, qui fait exploser ma libido.

J’approchais ma langue de sa rondelle. Je sentis le goût salé de sa sueur glisser sur mes papilles, en léchant sa raie. Elle ne devait pas avoir pris le temps de se laver avant le vol et le travail avait rendu son inter fessier un peu moite. Elle abaissa ses fesses sur mon visage, poussant ma langue directement contre son anus. Je la laissais traîner sur lui, virevolter sur son petit trou. Je sentis le goût musqué de son anus remplacé la saveur salée que j’avais trouvé dans sa raie. Je toussais un peu mais j’avais connu bien pire. Je poussais alors ma langue en elle et commençait à la lécher et la pénétrer du bout de ma langue.

– Oh putain, c’est si bon, gémit Laurie. Tu fais ça trop bien.

Je continuais à la lécher, heureuse de la satisfaire. Ma langue, avide de son cul, allait et venait pour la déguster et surtout la faire jouir. Je sentais le goût musqué du début devenir de plus en plus terreux à mesure que la mangue s’enfonçait mais c’était acceptable. Je sentis la blonde poussait ma tête encore plus entre ses fesses mais ce n’était pas possible, elle se tortillait sur mon visage, à quelques coups de langue de l’orgasme.

– Continues, gémit l’hôtesse. Ne t’arrête pas, bouffe mon gros cul.

Je me rendis compte du plaisir que je lui donnais à ce moment, m’apercevant enfin quelle s’était mise à me tutoyer. J’aurais beaucoup aimé lui répondre à ce moment mais ma tête était piégée entre ses fesses. Je continuais de la lécher, faisant courir ma langue dans sa raie avant de la plonger dans son anus. J’étais en train de bouffer le cul d’une inconnue qui m’avait pissé dessus auparavant. C’était complément fou et terriblement sexy. Nous continuâmes quelques minutes, elle claquant ses fesses de plus en plus violent sur mon visage, moi poussant ma langue le plus possible en elle. Elle finit par grogner de plaisir et je la sentis avoir des spasmes, prouvant l’arrivée de son orgasme.

– Hummm, c’était vraiment incroyable, dit-elle. Vous êtes vraiment une excellente lécheuse de cul.

Je me sentis flattée par le compliment et la remerciais.

– Ce thé gourmand était tout à fait à mon goût, lui dis-je.
– J’en suis ravie, fit la jolie blonde.

Elle repoussa le rideau et s’éloigna de mon siège. Je vis la passagère d’à côté nous regarder avec le regard plein de dédain. Elle avait du tout entendre, mais je n’en avais que faire.

– Besoin d’autres choses ? me demanda mon hôtesse.
– Non, c’est bon, fis-je, en sentant la fatigue me reprendre.

Elle me salua et partit. Je refermais le rideau pour ne plus voir le regard méprisant de ma voisine et fermais les yeux. Je sentais encore le goût du cul de ma belle pisseuse blonde dans ma bouche. Je glissais une main dans ma culotte pour me masturber en repensant à la scène. Je jouis rapidement et laissais le sommeil m’emporter alors que l’avion poursuivait son vol vers Montréal.

Fin

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2 réponses à Vol humide par Laurie

  1. Palmipède dit :

    Délicieusement raconté (bien que l’on perçoive comme une certaine retenue)

  2. Honorine dit :

    D’où l’expression « s’envoyer en l’air »

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