Vacances en Provence
Partie 1
par Showlap1
Je n’ai raconté à personne ces deux semaines de vacances en Provence que j’ai passées il y a quelques années. Un enchainement de circonstances m’a amené à vivre une cascade d’aventures en un temps assez bref, impliquant plusieurs personnes encore proches aujourd’hui… Aucune d’entre elles ne connait la totalité de l’histoire… Histoire relativement ancienne, datant d’une douzaine d’années, que je me remémore avec la sensation étrange d’avoir habité un autre corps, dans un autre univers, tant les événements qui se sont déroulés étaient décalés par rapport à mon mode de vie d’alors. Et rien de ce que j’ai vécu depuis lors ne ressemble à ce qui s’est passé durant ce mois d’août 98.
J’étais jeune homme, sans enfant, vivant en couple depuis quatre ans avec Valérie une relation stable et équilibrée. Notre vie amoureuse avait perdu l’intensité de ses débuts, mais on s’envoyait en l’air assez régulièrement, sans fantaisies particulières, avec entrain… et beaucoup de plaisir partagé.
Cet été-là, Patricia, une amie que Valérie connaissait depuis quelques années (c’est-à-dire avant de me connaitre) nous invite à passer quinze jours de vacances dans sa maison de famille, en Provence. Une grande maison sans vis-à-vis, avec piscine, confortable et bien équipée (notamment avec plusieurs chambres sur deux niveaux), située à la sortie d’un petit village.
Les parents de Patricia, Marie-Claude et Germain, sont originaires de la région, et y passent toutes leurs vacances. Ils nous ont accueillis avec bonne humeur. Ils ont une quarantaine bien marquée, mais portent encore très bien, comme on dit… Lui, un peu empesé, un peu « ours », assez réservé, et surtout très velu. Elle, genre belle plante, grande et mince, la poitrine bien marquée, volubile et plutôt désinhibée…
Et voilà des vacances qui se déroulent très tranquillement : grasses matinées, courses sur les marchés provençaux aux alentours, siestes dans les chambres ou sur les transats autour de la piscine, promenades dans la région… Et grosses chaleurs de jour, comme de nuit…
« Et qu’est-ce que tu lui as répondu ?
– Ben, j’ai dit qu’il fallait que je t’en parle, que tu sois d’accord…
– Ça veut dire que tu n’as pas dit non. T’es d’accord pour lui prêter ton mec, quoi…
– Non mais, j’y crois pas !!! Voilà cette espèce d’obsédé qui nous la joue offusqué maintenant ! Ne me dis pas que ça ne t’a jamais titillé, peut-être ? »
Effectivement, j’avais déjà confié à Valérie que, dans l’absolu, ça faisait partie de mes fantasmes. Mais la question de la mise en pratique ne s’était jamais posée.
« Et toi, je lui demande, ça te dit ?
– Pourquoi pas ? C’est une expérience à tenter.
– Ça ne te fait pas peur ?
– Non.
– Et on ferait ça quand ?
– N’importe. Dès qu’on l’aura décidé.
– Dès que j’aurai dit oui, en somme ?
– Oui.
– Eh bien, oui, alors. »
Sans plus d’hésitation, voilà Valérie qui saute du lit, pieds nus et juste son tee-shirt pyjama sur le dos, et qui s’en va en trottinant toquer à la porte de la chambre de Patricia. Elles reviennent main dans la main, quelques instants plus tard, les pommettes rougissantes, faussement décontractées. Patricia porte une longue chemise de nuit en coton, avec manifestement rien en dessous.
Elles s’assoient toutes les deux sur le bord du lit. Moi sous les draps, nu, je les regarde étonné, me demandant comment ça va démarrer. Valérie se tourne naturellement vers moi, et m’embrasse langoureusement… sous l’œil attendri de Patricia.
« Tu n’as pas trop chaud ? »me demande Valérie, s’écartant de moi un instant. Et sans attendre ma réponse, elle arrache le drap d’un geste. Inutile de préciser qu’avec la présence de ces deux belles si près de moi, et la promesse qui allait avec, j’avais déjà depuis un bon moment une solide érection. Mais Valérie continue de m’embrasser fougueusement comme si elle n’avait rien remarqué. Pendant ce temps, Patricia s’approche doucement de moi, pose une main sur mon ventre, une autre sur ma cuisse. Après une très courte hésitation, elle remonte jusqu’à mes couilles qu’elle malaxe délicatement, avant de se jeter sur mon sexe pour l’avaler comme une morte de faim. Elle commence maladroitement, ses gestes sont désordonnés, mais quelle fougue, quelle gourmandise ! Après quelques instants, sa frénésie s’apaise, et elle continue à me lécher plus lentement, avec méthode, s’efforçant d’englober ma tige toute entière, puis remontant jusqu’au gland et terminant en me titillant tout autour. Sans s’arrêter de jouer avec mes testicules, les pressant dans sa paume avec précision et délicatesse.
Pendant ce temps, Valérie, pour ne pas risquer de s’ennuyer, m’a allongé sur le dos et est venue s’installer comme elle aime le faire très souvent, un genou de chaque côté de ma tête. Elle peut alors glisser sa fente partout sur mon visage, appuyant au passage plus ou moins fort sur mon nez ou sur ma bouche. Sauf que cette fois, au lieu de se regarder vers moi, elle m’offre ses fesses à regarder et à lécher, pour pouvoir suivre avec attention la fellation experte de Patricia.
« Tu as l’air de bien aimer ça… lui fait remarquer Valérie, pince-sans-rire à l’occasion.
– Oh là là, oui, j’aime ça… mais ça me suffira pas, répond Patricia, gênée et gourmande à la fois, se pressant la foufoune sans pudeur, dès fois qu’on n’aurait pas compris.
– Au point où tu en es, vas-y… dit Valérie. Si Philippe est d’accord bien sûr…
– Ah, bon, parce que j’ai le droit de donner mon avis, alors ?!… »
Notre éclat de rire finit de détendre totalement l’atmosphère. Patricia enlève sa chemise de nuit, me permettant de découvrir son corps que je n’avais vu qu’en maillot de bain, il y a un an ou deux. Elle a pris quelques rondeurs appétissantes, et ses seins sont plus volumineux que je l’imaginais. Son pubis n’est pas épilé, elle se contente de se couper les poils très court (« pour ne pas que ça dépasse du maillot »), ce qui permet malgré tout de constater à quel point l’excitation a fait gonfler ses grandes lèvres humides de désir.
Et sans attendre mon accord (comme si j’aurais pu dire non !…) elle passe à califourchon au-dessus de moi, attrape mon sexe de la main et vient s’asseoir dessus. En une fraction de seconde, dans un gémissement aigu, elle s’embroche totalement sur ma tige, sa main continuant à me malaxer les couilles.
« Ah, c’est trop bon, c’est trop bon, gémit-elle. Oh oui, c’est trop bon… »
Valérie, qui s’est mise de côté pour laisser la place à Patricia, a décidé de ne pas rester spectatrice. Ses mains se glissent entre Patricia et moi, caressant en même temps mon ventre et ses seins. A ma connaissance, elles n’avaient jamais eu d’expérience lesbienne ni l’une ni l’autre, mais l’excitation a manifestement fait tomber certaines barrières.
Patricia continue ses va-et-vient sur mon sexe, ses mains appuyées sur ma poitrine, tâchant de ne pas crier trop fort : ses parents dorment à l’étage au-dessous. Valérie, qui a décidé d’être gourmande, passe derrière nous, attrapant les fesses de Patricia pour accompagner ses mouvements, les écartant pour bien lécher son anus, et descendre jusqu’à ma queue et jusqu’à mes couilles qu’elle soupèse et aspire, pour ensuite remonter en passant sa langue partout où elle peut atteindre la vulve de son amie dilatée par mon membre, pour revenir jusqu’à son cul. Très vite, Patricia finit par jouir en se mordant les lèvres pour étouffer ses cris, s’écroulant sur moi, après une succession de soubresauts impressionnants.
« Ah, ça faisait longtemps, commente-t-elle…
– Oui, ben moi aussi, ça fait longtemps, répond Valérie, au moins deux jours… À mon tour ! »
En riant, elle fait rouler Patricia sur le côté, et prend la place qui vient de se libérer. La tête posée sur ma cuisse, Patricia observe avec fascination la pénétration qui se déroule à présent à quelques centimètres de son visage. Au bout de quelques instants, s’apercevant qu’elle est l’objet d’une observation attentive, Valérie amusée se dégage de ma queue, remet Patricia sur le dos, et vient s’installer au-dessus d’elle comme en 69, mais en cambrant le dos pour me présenter son cul bien relevé.
« Allez, viens me prendre comme ça, me dit-elle, pour qu’elle profite bien du spectacle. »
Depuis que je connais Valérie, j’ai dû la prendre des centaines de fois en levrette, ce dont je ne me lasse jamais. Mais là, en plus, il y a du nouveau. Sous la chatte et le cul offerts de Valérie, le visage de Patricia, ses mains qui remontent à l’intérieur des cuisses de Valérie, ses doigts qui viennent titiller le clitoris et écarter ses petites lèvres, pour bien m’indiquer le passage. Je ne résiste pas à l’envie de balayer les joues de Patricia avec mon gland, de me frotter sur sa langue, avant de me plonger à fond dans le vagin de Valérie, mes couilles venant battre sur sa foufoune tout en glissant sur le visage de Patricia, dont les doigts viennent caresser la base de mon sexe, mes couilles, l’intérieur de mes cuisses.
Les fesses de Valérie bien en mains, j’imprime quelques vigoureux va-et-vient auxquels ni Valérie ni moi ne pouvons résister bien longtemps. Elle jouit la première dans une longue plainte, la tête écrasée sur le ventre de Patricia. Je me retire de Valérie pour aller décharger dans la bouche de Patricia qui attendait ce cadeau avec impatience, sa main gauche pressant mes couilles et glissant entre mes fesses depuis déjà un moment, tandis que sa main droite attrape ma queue à peine sortie, et la dirige sans hésiter sur sa langue tendue pour bien recevoir mon sperme qu’elle avale consciencieusement.
Les derniers spasmes de la jouissance passés, nous nous écroulons sur le lit et nous endormons aussitôt. Mes souvenirs de la nuit qui a suivi sont un peu flous : caresses données et reçues… Mais à qui appartenaient ces seins effleurés, ces fesses malaxées ? Quelle bouche a englobé mon sexe recroquevillé, et attendu qu’il gonfle à nouveau, avant de s’enfuir en riant ?
« Rendors-toi, et fais de beaux rêves… »susurre-t-elle, sa main glissant par-dessus le drap jusqu’à mon entre-jambe pour une caresse d’au-revoir.
Des bruits de pas dans la chambre, une porte d’armoire qui s’ouvre, me réveillent un peu plus tard. Je pousse un léger cri de surprise en découvrant Marie-Claude, la mère de Patricia.
« Oh, je t’ai réveillé, mon pauvre, s’exclame-t-elle. Je venais juste chercher des serviettes dans l’armoire.
– Non, non, c’est rien. J’allais me lever…
– Oh, mais reste couché, tu dois être crevé, après la fête que vous avez fait cette nuit avec Valérie, dit-elle en pouffant, et en jetant un regard alentour à la chambre en désordre.
– Je… je suis désolé… On a fait du bruit ? »
Elle éclate de rire.
« Mais qu’il est bête ! Enfin c’est normal, c’est les vacances, faut en profiter ! J’ai juste eu un peu de mal à me rendormir… »
Disant cela, elle s’assoit tranquillement au bord du lit, comme pour discuter entre copains. Puis voyant mon érection matinale à travers le drap :
« Ah mais, quelle énergie, dis-donc. »
Et, très à l’aise, posant sa main tranquillement sur mon sexe :
« Ça donne envie… »
Estomaqué, amusé et excité, je la laisse faire. Elle s’agenouille au bord du lit, et écarte le drap. Je suis gêné parce que je n’ai pas pris le temps de passer par la salle de bains après nos galipettes, mais ça ne semble pas déranger Marie-Claude qui saisit mon sexe encore collant et approche son visage.
« Humm, elle sent fort, j’adore ça. »
Et commence à lécher la base, puis le gland, avant de me prendre en bouche. J’ai un léger mouvement de recul…
« Tu n’as pas envie ?
– Si, si, mais, tu comprends, j’ai la vessie pleine…
– Viens, on va arranger ça. »
Elle me prend par la main, m’aide à me lever.
« Pas aux toilettes, hein ? Dans cet état, tu vas en mettre partout », dit-elle, donnant une petite tape sur mon sexe qui point encore plus vers le plafond.
Elle m’entraine dans la salle de bains, m’installe devant la douche et écarte le rideau.
« Allez, vas-y. »
Elle est debout derrière moi, les mains posées sur mes hanches.
« C’est difficile, je ne vais pas y arriver…
– Mais si, allez. Détends-toi, concentre-toi. »
Au bout de quelques instants, mon érection faiblit légèrement, mon périnée se relâche, et je sens le jet d’urine qui monte et qui jaillit. Aussitôt, Marie-Claude passe devant moi dans la douche et s’accroupit, prend mon sexe en main pour diriger le flot sur son visage et sur ses seins.
« Oui, oui, arrose-moi bien. Ton jus est bien chaud, j’adore ça. »
La petite robe en coton à bretelles est maintenant trempée de pisse, et colle à ses seins. Elle se remet debout, soulève sa robe pour arroser sa culotte avec la fin du jet.
« Ah super, ce que j’aime ça… Allez, viens, on va se rincer maintenant. »
Toujours aussi à l’aise, elle quitte sa robe et sa culotte, et nous prenons la douche ensemble, nous savonnant et nous caressant partout. Son corps est superbe, son ventre est plat et ses seins sont encore plus volumineux que ceux de sa fille, son pubis épilé en V. L’eau tiède coulant toujours sur nous, elle termine comme elle avait commencé, à genoux devant moi, par une fellation experte et énergique qui me fait jouir très vite. Elle me garde bien en bouche et avale tout avec délectation.
Après un nouveau rinçage, nous nous séchons mutuellement.
« Hum, moi, j’adore ça… Tu as aimé ? demande-t-elle.
– Beaucoup, beaucoup…
– Tu sais, continue-t-elle, j’en ai eu très envie dès que je t’ai vu tout seul dans le lit. Mais en fait, je voulais aussi savoir si tu pouvais aussi avoir du désir pour moi.
– Bien sûr, tu es très désirable, mais…
– Oui, il y a Valérie. Et moi j’ai Germain. Mais justement, laisse-moi t’expliquer. Depuis des années, Germain fantasme sur l’amour à plusieurs. Mais moi, je n’ai aucune envie de le voir s’envoyer une autre fille devant moi, tu sais. Alors j’ai fini par le convaincre que, si on expérimentait la chose à trois, ce serait lui, moi, et un autre homme… dont j’aurais envie, bien sûr…
– Et ?…
– Et… Je ne t’oblige pas à répondre maintenant… Si tu voulais bien, ça serait vraiment super… Juste une fois, pour voir. Ca resterait un secret entre nous trois, bien sûr… Enfin, voilà, tu m’en reparles quand tu veux… ou jamais… »
En guise d’au-revoir, Marie-Claude me malaxe la fesse droite, puis me gratifie d’une claque sonore sur le derrière. Elle ramasse ses vêtements et redescend vaquer à ses occupations domestiques.
Elle et Valérie avaient ce matin rendez-vous chez l’esthéticienne, en prévision de notre escapade naturiste. Comme à l’habitude, le pubis de Valérie est épilé très court, en ticket de métro. Patricia a manifestement fait un choix plus radical, car son ventre est maintenant parfaitement lisse et rose, rendant ses grandes lèvres pulpeuses encore plus apparentes… et attirantes. Nous séchons en papotant, allongés sur nos serviettes, quand, échangeant un regard, Valérie et Patricia éclatent de rire.
« Mais c’est incroyable, tu ne peux pas t’empêcher de mater la moule toutes les dix secondes ! me dit Patricia, faussement outrée, mais très flattée.
– Ha, bon, tu crois ? Enfin, oui, c’est possible… Mais tu sais, je t’assure, si mes yeux sont attirés… c’est vraiment plus fort que moi…
– On dirait que ça te plait, alors…
– Ah oui, c’est très beau, très doux… Et très troublant…
– Eh bien, il faudra que tu te calmes, mon petit gars, intervient Valérie en me pinçant la fesse. Ce n’est ni le moment, ni l’endroit ! »
S’ensuivent éclats de rire et fausse bagarre avec Valérie sur la serviette, histoire de glisser mes mains un peu partout.
Nous finissons l’après-midi très sagement… même si Valérie et Patricia ont pris tout leur temps pour s’enduire mutuellement de crème solaire… et même si Patricia ne s’est pas dérobée à mes regards pendant qu’elle étalait délicatement de la crème apaisante sur son pubis, ses grandes lèvres, le tour de son anus et la naissance des fesses encore irrités du passage de la cire. J’ai quand même dû prendre la précaution de rester allongé sur le ventre…
Moi je crois que je resterai faire la grasse matinée, dis-je tranquillement. » Cette réponse s’accompagne d’un regard discret mais insistant en direction de Marie-Claude, qui me répond d’un grand sourire innocent, m’indiquant par là qu’elle a bien enregistré ma réponse positive à sa demande de ce matin.
Malgré une nuit bien sage pour tout le monde, Valérie et Patricia ne se sont pas levées très tôt. Dans un demi-sommeil, je les entends déjeuner puis s‘apprêter. Les portières claquent, la voiture démarre… et vingt minutes s’écoulent pendant lesquelles seuls quelques chuchotements et bruits de pas à l’étage inférieur viennent troubler mon attente. Ce délai nous mettant à l’abri d’un retour intempestif des demoiselles, je pressens que les festivités vont pouvoir démarrer.
Le coup d’envoi est donné par Marie-Claude qui vient toquer à la porte de la chambre. Elle porte un plateau avec jus d’orange, café, tartines, qu’elle pose au pied du lit. Elle s’assied près de moi et me passe la main dans les cheveux.
« Salut, beau gosse ! Avec Germain, on a pris notre petit déjeuner, me dit-elle. Tu veux quelque chose ?
– Ah, volontiers, merci beaucoup. Je vais prendre une ou deux tartines. Et après : une petite douche, et…
– Et après ? Marie-Claude me fixe de ses grands yeux innocents, pas certaine de ce que je vais lui répondre.
– Je descends vous voir…
– Mais tu seras le bienvenu, me dit-elle, avec son sourire le plus craquant. »
Après un café, une douche, me voici frais et dispos. En caleçon, je descends au rez-de-chaussée. Marie-Claude m’attends au bas de l’escalier. Elle porte un top à bretelles (et manifestement rien en dessous), une jupe en jean très courte, et des chaussures à talons.
Elle me prend par la main et m’entraine dans leur chambre, où Germain attend allongé sur le lit, juste vêtu d’un pantalon en toile, laissant ainsi apparaître son torse d’ancien rugbyman, velu et volumineux. Comme il paraît gêné et nerveux, Marie-Claude décide de mettre tout de suite tout le monde à l’aise.
« Ah, Germain, crois-moi, la petite turlute que j’ai faite à ce garçon l’autre matin me laisse penser qu’on ne devrait pas s’ennuyer : il a la santé ! Mais, ajoute-t-elle, cette fois c’est lui qui va s’occuper de moi…Enfin, c’est tous les deux… »
Disant cela, elle étend les bras des deux côtés pour caresser en même temps les cuisses de son mari et de son futur amant. Marie-Claude s’allonge sur le lit et s’offre maintenant à nos baisers et à nos caresses de moins en moins pudiques, et de plus en plus désordonnées. Malgré les volets fermés, il fait déjà chaud. Elle ôte son débardeur déjà marqué de quelques gouttes de transpiration. Je me précipite pour lécher les gouttes de sueur qui perlent entre ses seins, que je presse à pleines mains. Elle en profite pour faire descendre mon caleçon, et m’attraper les couilles aussitôt, avant de masser ma verge déjà à la verticale. Germain lui enlève sa jupe et son string, et plonge sa tête entre ses cuisses pour un cunnilingus qui lui provoque de longs et puissants soupirs.
« A toi, maintenant, me dit-elle au bout de quelques minutes. »
Elle me fait allonger sur le dos, et s’installe au-dessus de moi pour un 69 endiablé, que Marie-Claude commente à Germain dès que ma queue n’est plus dans sa bouche.
« Ah oui, cette belle queue qu’il a ce garçon ! Cette bonne bite bien raide dans ma bouche… Et il me suce bien, aussi. Il me lèche bien partout. Il rentre bien sa langue dans ma chatte… ah là là, c’que c’est bon… Qu’est-ce qu’il me fait mouiller… »
La bosse qui déforme le pantalon de Germain, montre à quel point la vision de sa femme en pleine turpitude avec un autre individu lui fait de l’effet. Il fait tomber au sol son pantalon et laisse apparaître un sexe sombre et trapu, mais dont le gland est brillant et humide d’excitation. Il se branle quelques instants tout en tapotant son gland sur la cuisse de Marie-Claude, puis remonte sur le lit, pose un genou de chaque côté de ma tête, et fait maintenant glisser sa queue sur la fente humide de sa femme. Je me retrouve donc avec son entre-fesse juste au-dessus de ma tête, ses couilles qui frottent sur mon front et mon nez, sa bite qui vient disputer à ma langue le clitoris de Marie-Claude. Sur l’instant, j’aurais bien voulu me dégager, mais j’y renonce car Marie-Claude redouble d’ardeur et de gémissements, attrape le sexe de Germain pour le faire glisser de haut en bas, le faisant à chaque fois (volontairement ou pas ?) rebondir sur mon visage. Puis elle le place à l’entrée de son vagin et recule son bassin pour subir la pénétration qu’elle attend avec impatience. Quelle sensation incomparable que d’avoir le visage enfoui sous les fesses d’un couple qui s’enfile furieusement, leurs sexes détrempés de mouille s’emboitant dans des bruits de succion, chatte et couilles glissant en permanence sur ma bouche, mon nez, mes yeux !
Au bord de l’orgasme, Germain se retire, et Marie-Claude défait la position.
« Mais il doit étouffer, ce garçon ! dit-elle. »
Elle me caresse le visage et les cheveux, et ajoute :
« Je vais lui faire un bouche-à-bouche, ça va aller beaucoup mieux ! »
Tout en me roulant des pelles, elle s’allonge sur moi et c’est tout naturellement que ma verge vient s’enfouir dans sa chatte dégoulinante. Germain est revenu s’installer derrière Marie-Claude pour observer attentivement quelque chose qu’il n’avait jamais osé imaginer : le sexe de sa femme recevant goulument la verge dilatée d’un autre homme.
« T’as vu ce qu’il me met, le salaud, gronde-t-elle. Elle bien dure et bien large… Oh, il me dilate bien la fente… »
Fasciné, Germain ne répond rien. Et pour bien se convaincre de la réalité de la situation, saisit ma verge entre le pouce et l’index, puis à pleine main, descend pour attraper mes couilles, remonte pour serrer la base de ma tige qui, à chaque mouvement, ressort brillante de mouille de la chatte de Marie-Claude. Je ne m’attendais pas à un tel traitement de la part de Germain, et je n’imaginais pas à quel point la sensation d’être « entre les mains » d’un autre homme pouvait être délicieuse.
« Hé, dis-donc, et si tu t’occupais un petit peu de moi ? » lui demande Marie-Claude, pas vraiment jalouse, juste envahie de la furieuse envie d’être possédée par ses deux hommes. Germain lui caresse les fesses avec insistance, les claque et les malaxe, puis revient à des caresses circulaires passant de plus en plus près de son anus. Il s’interrompt un instant, et je comprends vite qu’il s’est enduit les doigts de gel, quand glissant son majeur dans le rectum de Marie-Claude, il vient par la même occasion caresser ma verge par l’intérieur. L’effet est saisissant. Il semble vertigineux pour Marie-Claude qui réclame encore plus, et obtient un deuxième, puis un troisième doigt. J’ai la sensation délirante d’être à la fois dans le vagin de Marie-Claude et dans la main de Germain.
Il fait ressortir ses doigts pour plonger sa verge d’un seul coup dans l’anus bien dilaté. Les couilles de Germain viennent maintenant battre contre les miennes, sa queue se frotte sur la mienne à l’intérieur du corps de Marie-Claude, qui pousse des cris de plus en plus aigus. Nous jouissons ensemble dans un concert de cris et de rugissements assourdissants.
(à suivre)
Du bon bisex qui fait bien bander la bite