Vacances en Provence 3 – Surprise par Showlap1

Vacances en Provence
3 – Surprise
par Showlap1


Surprise ! Après la publication du récit de mes inoubliables « Vacances en Provence », je reçois un mail de Marie-Claude avec qui je n’avais pas gardé de contact. Elle m’indique qu’elle a lu mon texte et souhaite qu’on se rencontre discrètement lors de son prochain passage à Paris, sans rien me préciser de son état d’esprit. Sans lui poser plus de questions, bien qu’anxieux de connaître sa réaction, j’accepte avec plaisir.

Le rendez-vous est pris dans un café de la rue Daguerre. Attablé derrière la vitre, j’ai la chance de la voir arriver de loin. Je retrouve cette grande et belle femme, manifestement toujours aussi enjouée et épanouie. Avec ses bottes pointues, son pantalon très moulant, sa taille fine serrée dans un manteau bien coupé, sa démarche assurée, elle a beaucoup de classe.

Elle franchit la porte de l’établissement, lance un regard circulaire dans la salle, me voit, éclate de rire, et vient s’assoir à côté de moi.

– Ah, Philippe, ce que je suis contente de te revoir ! T’es toujours aussi beau garçon, toi !

Bravo, au bout de dix secondes, elle réussit à me faire rougir…

– Toi aussi, tu es magnifique, je lui réponds.

Elle me fixe du regard quelques instants, prend ma tête entre ses deux mains, et me pose un baiser très tendre sur chaque joue. Chouettes retrouvailles ! Le garçon qui vient prendre nos commandes freine ses effusions. Une fois qu’il s’est éloigné, la conversation démarre tranquillement.

– Comment as-tu découvert mon texte ? Lui demandais-je.
– Je l’ai lu sur le site où tu l’as publié, tout simplement.
– Mais tu vas sur ce genre de sites, toi ?
– Sur celui-là, en tous cas ! Avec les thèmes qu’il défend, uro et bisex, tu es bien placé pour savoir que j’y suis assez sensible, non ?

Il faut vraiment que j’arrête de rougir à chacune de ses phrases… Un vrai collégien… Elle continue :

– Heureusement que tu as changé les prénoms, quand même, mais comme tu as été très fidèle à la réalité, en lisant ce texte, tu imagines, je me suis reconnue tout de suite. Ça c’est vraiment passé comme ça avec Patricia aussi ?

J’acquiesce. Nouvel éclat de rire.

– Là, j’ai vraiment découvert quelque chose. Je n’ai rien soupçonné de ce qui se passait entre vous trois. Et je n’imaginais pas que j’avais une fille aussi délurée… enfin, je veux dire, aussi libérée. Et elle, elle est au courant pour nous ?
– Non, je ne préférerais pas. Jusqu’à ce qu’elle tombe sur mon récit…
– On évitera de lui envoyer, en tous cas. Germain non plus ne l’a pas vu.
– Comment va-t-il ?
– A merveille. Grâce à toi, nos horizons se sont élargis. Et il en est ravi !
– Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Les expériences à trois ! On a continué, depuis.
– Vraiment ? Il faut que tu me racontes ça.

Nous gardons le silence pendant que le garçon dépose les verres devant nous, l’air faussement indifférent.

– Comme je te disais, reprend Marie-Claude, ça a été tellement réussi avec toi, et ça a été une telle révélation pour Germain, que depuis on s’organise régulièrement des soirées très chaudes. A trois ou à quatre.
– Tu as pris goût à la gent féminine, toi ?
– Franchement, non, pas vraiment. Mais je trouve ça plus sympa de rencontrer un autre couple qu’un homme seul.
– Et Germain avec une autre femme…
– Oh, j’ai fini par m’y habituer… et aussi par trouver ça plutôt agréable à regarder. Il est tellement heureux de ramoner un nouveau con qu’il m’en est très reconnaissant, après… Mais je crois que ce qu’on préfère, c’est de s’occuper tous les deux du mari devant les yeux de sa femme. Oh, faut que je te raconte comment ça s’est passé la dernière fois.

Nous sommes installés côte à côte sur la banquette. Nos genoux se touchent. Bien que parlant bas, elle est très volubile, posant sa main sur ma cuisse toutes les trente secondes, pour ponctuer son récit.

– Sur notre site de rencontres préféré, nous entrons en contact avec un couple de notre âge, Suzanne et Victor. On se retrouve chez nous le week-end suivant. Ils sont vraiment très différents l’un de l’autre. Elle est grande brune mince, très élégante. Un peu trop, même. Elle parle toujours avec les lèvres un peu pincées, et semble vouloir toujours garder une certaine distance avec les gens. Mais, je dirais, à l’usage, elle s’est avérée beaucoup moins coincée qu’on aurait pu l’imaginer. Lui, au contraire, est plutôt jovial, et même assez marrant. Pas super beau, rondouillard, les cheveux tout blancs, mais tellement enjoué et désinhibé qu’on a eu envie de satisfaire ses petits fantasmes bien naïfs… Comme il disait sur le site : « Faire voler tous les interdits dans la joie et la bonne humeur ! »
– Tout un programme !
– Et c’est bien ce qu’on a fait ! On commence par causer de choses et d’autres autour d’un apéro. Sans tomber dans la sinistrose, on évoque la difficulté de voir son corps se dégrader, après cinquante ans. « Moi, dit Victor, je fais un peu attention à moi, mais sans me prendre la tête. J’ai décidé, que quoi qu’il m’arrive, je continuerai à être bien dans mon corps, même s’il est moins beau qu’avant. – L’essentiel, c’est que ça fonctionne bien, lui dit Suzanne. » Là, j’attaque direct. Faut voir ça, je lui dis. Ni une, ni deux, il se déshabille complètement et vient se poser juste devant moi. Comme je te disais, il n’était pas très bien fichu, mais… quel engin !… Je passe ma main en dessous comme pour le soupeser et hop, il démarre. Un sacré morceau. Tout de suite, je le prends dans ma bouche, et évidemment, il continue à gonfler.

Pendant ce temps-là, tout en nous regardant, Germain se déshabille aussi et vient se placer juste en face de lui. Moi, je suis aux anges. Assise sur le canapé, j’en ai une de chaque côté, une dans chaque main, que je suce chacune son tour. Très film porno, tu vois… Suzanne, elle, ne bouge pas de son fauteuil. Elle a décidé qu’elle était au spectacle. Alors moi, j’en rajoute. Je mets les deux dans ma bouche. Du coup, il y a les glands des deux gars qui se frottent l’un sur l’autre, et ils ont plutôt l’air d’apprécier, les gaillards. A tel point que voilà mon Germain qui prend la taille de Victor pour se serrer contre lui, et frotter leurs deux queues à la verticale. Et lui qui attrape la fesse de Germain, et vas-y que je te frotte, et vas-y que je te frotte…Moi je m’étais reculée, je les regarde faire aussi. D’un seul coup, ils se raidissent, s’arrêtent, se séparent… et je vois leurs deux queues maculées de sperme.

Comme une andouille, je leur dis « Vous avez joui ? ». « C’est pas moi, c’est lui ! », dit Germain. Et l’autre qui répond : « C’est pas moi, c’est lui ! » Suzanne et moi, on éclate de rire. Mais Germain fait mine de se fâcher : « Mais enfin, qu’est-ce qu’il raconte ? » Et il le bouscule un peu. Victor lui rend sa bourrade, et voilà les deux qui s’empoignent comme des lutteurs. J’ai adoré ça, voir ces deux costauds accrochés l’un à l’autre, les poitrines qui se frottaient, les jambes qui s’entremêlaient, leurs quéquettes toujours raides qui venaient taper contre une cuisse ou un ventre…

Finalement, Germain réussit à le faire rouler dos au sol, et s’assoit sur son ventre. Attendez, je leur dis, on va bien savoir qui c’est. Je viens lécher le sperme dans les poils de la poitrine de Germain. Je prends le temps de le goûter avant de l’avaler, et je donne mon verdict : « Non, je ne reconnais pas… » Suzanne se lève, prend avec son doigt une autre goutte de sperme sur la cuisse de son mari et la porte à ses lèvres. « Bien sûr que c’est lui, qu’elle dit aussitôt en le regardant. Un vrai lapin ! Il ne peut pas s’empêcher de jouir toutes les cinq minutes. Ah le menteur, qu’elle ajoute, en lui enfonçant un talon sur la poitrine. » Il pousse un cri, mais elle continue à lui piquer lui poitrine, le ventre, les épaules, en écartant suffisamment la jambe pour qu’il puisse bien reluquer sous sa jupe. Elle continue à l’invectiver. « Ça t’excite, hein ? Tant que tu peux mater une chatte, ça te fait bander, hein, espèce de salaud. Tu veux la voir de plus près, c’est ça ? » Elle remonte sa jupe jusqu’à la taille, enlève son string, et mets un pied de chaque côté de sa tête. « Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ? » Elle s’accroupit face à lui, le prend par les cheveux pour lui redresser la tête. « Ouvre bien la bouche, qu’elle lui dit. Et tu as intérêt à tout avaler. Pas question d’en mettre sur le parquet de Marie-Claude, sinon tu auras affaire à moi ». Elle se concentre cinq secondes, et lui envoie un jet de pisse bien dru en plein visage. Il en a partout et ça coule par terre. Elle lui balance une gifle. « Fais attention, ouvre mieux la bouche. » Elle essuie le parquet avec son string approche sa chatte encore plus près de sa bouche. Et elle lui balance encore une douzaine de jets qu’il avale scrupuleusement. Elle finit d’essuyer le parquet et lui colle son string trempé dans la bouche. « C’est bien, tu as tout bu. T’as aimé ça, hein ? »

Pendant toute la séance, Germain et moi, on est restés babas. Lui qui matait le cul de Suzanne qu’il avait sous le nez, et moi qui voyait la tige de Victor qui n’en finissait pas de gonfler, qui venait battre contre les fesses de Germain. Comme on ne savait pas trop comment enchaîner, Suzanne a décidé de prendre les choses en main… si je puis dire. Elle attrape le dard de Victor qu’elle passe entre les fesses de Germain. « Il bande toujours autant, celui-là… Dis-donc, elle me dit, ça avait l’air de bien lui plaire à lui aussi, la petite séance de frotti-frotta. » Et s’adressant directement à Germain, tout en lui glissant la main entre les fesses : « Tu as déjà pris dans le cul ? ». Il ne s’attendait pas à une question aussi directe. Du coup, il n’ose pas répondre. Mais il est tellement excité qu’il continue à se frotter machinalement les couilles sur le ventre de Victor, et cambre les reins pour mieux s’ouvrir à la caresse de Suzanne. « Je suis sure que tu vas aimer ça. » Sans attendre de réponse, elle va chercher un tube de gel dans son sac à main, en fait couler une bonne quantité sur ses doigts, vient s’agenouiller entre les jambes écartées de Victor, et étale tranquillement le produit sur la rondelle de mon Germain, glisse un doigt dans le trou, le fait coulisser deux ou trois fois sur toute sa longueur, puis vient branler Victor avec le surplus.

« Tu vas voir, ça va rentrer tout seul ». D’une main, elle dirige le gland de son mari devant l’entrée de l’anus de Germain, et de l’autre lui appuie sur l’épaule pour qu’il vienne s’empaler. Pour lui c’était la première fois, mais tu me croiras si tu veux, en trois coups de reins, l’autre lui a tout enfilé. Jusqu’aux couilles. J’en croyais pas mes yeux. Ni mes oreilles. Parce qu’à entendre les cris de Germain, on comprenait que ça lui chauffait méchamment la rondelle de se faire limer par un engin aussi conséquent. Suzanne s’est mise debout, et la jupe relevée, s’est frottée la moule en regardant nos hommes s’enculer, jusqu’à se faire jouir deux fois. Germain était comme fou : il avait pris appui sur la poitrine de Victor et lui pinçait les tétons ! Moi, j’ai pris la queue de Germain dans ma main, je l’ai branlé comme pour le soulager, tu vois. Il a joui tellement fort qu’il a envoyé du foutre jusque dans les cheveux de Victor. Il en avait aussi sur le visage, et plein la poitrine. Aussitôt, lui aussi, il a craché son jus dans le cul de Germain. Heureusement qu’il avait toujours le string dans la bouche, sinon on l’aurait entendu hurler à l’autre bout de la ville.

Et voilà la Suzanne qui reprend sa dignité, rabaisse sa jupe, récupère son string dans la bouche de son mari, essuie avec, comme elle peut, le sperme répandu un peu partout, et le glisse dans son sac. Lui aussi se relève, se rhabille. Et les voilà qui nous collent deux bises, et au revoir, et merci pour tout, et « on reste en contact, OK ? », et ciao, bye-bye.

Et moi qui reste comme un conne à me demander : « Quand est-ce qu’on s’occupe de moi ? ». Heureusement, que Germain avait encore de la ressource. Par devant, par derrière, il m’a tout fait ! Ça a duré toute la nuit. Le lendemain, on a été comme des zombies toute la journée…

Mais, dis-donc, faut que j’y aille, je vais rater mon train, il faut que je sois à la Gare-de- Lyon dans une demi-heure ! Allez, je remonte à Paris dans un mois, on remet ça ?

Elle récupère ses affaires, colle ses lèvres sur les miennes, et la voilà partie.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Vacances en Provence 3 – Surprise par Showlap1

  1. Muller dit :

    Un excellent récit de partouze bisexuelle, vraiment top, ça m’a filé une de ces triques, vous verriez ma bite…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *