Une nouvelle paire de bottes par Patrick2

Je suis depuis très longtemps particulièrement attiré par les femmes portant des bottes de cuir, j’aime la ligne du mollet gainée de cuir se prolongeant par un haut talon fin, j’aime le bruit des talons qui claquent sur le sol, en un mot je suis un peu fétichiste.

Fétichiste mais fétichiste heureux puisque je suis marié avec une très jolie femme, appelons la Claire, qui partage mes fantasmes et qui porte souvent des bottes, pour mon plus grand plaisir et pour le sien. Claire est grande, mince mais avec des formes, et adore s’habiller de façon sexy et élégante, ses tenues d’hiver incluant souvent une paire de bottes. Je ne dois d’ailleurs pas être le seul à apprécier les bottes vu le succès qu’elle rencontre dans la rue, et le nombre d’hommes et de femmes qui se retournent sur son passage. Claire possède une quinzaine de paires de bottes, de tous styles, des cuissardes à talon haut, aux bottes cavalières plus classiques, qui sont rangées dans un placard.

Au printemps dernier, ma femme était partie en vacance avec nos enfants et je restais donc seul à la maison. Un soir, alors que j’allais me coucher, je jetais un coup d’œil dans le placard en question, regardant les paires de bottes alignées, imaginant ma femme dans ses tenues préférées, quand mon attention fut attirée par une boite jusqu’alors inconnue. Suivant ma curiosité, j’ouvrais cette boite et en dégageais une splendide paire de bottes de couleur brune avec un talon assez haut. J’étais particulièrement étonné car Claire me montrait toujours ses nouveaux achats, et me suis interrogé quelques minutes tout en admirant ces bottes. Je finis par les ranger et décidais de ne rien dire.

Quelques mois passèrent, c’était alors l’été et Claire ne portait bien sur pas de bottes, mais ma curiosité restait intacte. La solution vint quelques semaines plus tard lorsque mes beaux parents vinrent à la maison, la paire de bottes était destinée à sa sœur, mais cette dernière ne pouvait les mettre car la pointure était trop petite.

Une après midi, nous sommes montés dans la chambre pour une sieste qui promettait d’être crapuleuse, le temps était magnifique, la chambre plongée dans une pénombre accueillante, le reste de la famille était en bas… Les bottes étaient près du lit et je demandais à Claire de les essayer pour moi. Elle portait alors une robe d’été courte et moulante. Elle me jeta un regard interrogatif et enfila sa nouvelle paire de bottes. Elle les portait de façon magnifique, le cuir moulait parfaitement ses mollets, sa démarche avec les hauts talons était très excitante et je commençais d’ailleurs à bander.

 » Cette robe ne va pas avec, qu’en penses tu ?  » me dit-elle,
 » De fait, retires la donc  » lui ai je répondu.

Elle se lança alors dans un strip-tease, faisant passer sa robe au dessus de ses épaules, apparaissant alors en soutien gorge et en string. Elle retira le haut, puis le bas tout en se déhanchant. J’étais alors totalement excité, le sexe dur comme du bois. Elle resta quelques instants debout, ne portant que ses bottes, la chatte bien épilée, ses seins hauts et durcis. Elle s’approcha alors doucement et commença à me caresser, puis prit ma bite dans sa bouche et commença une fellation dont elle a le secret. Sa bouche montait et descendait doucement, ses lèvres refermées sur ma queue, sa langue s’activant sur mon gland. J’en profitais pour lui caresser les seins, agaçant ses mamelons qui durcissaient encore. Au bout de quelques minutes, j’étais sur le point d’exploser, et la repoussait doucement.

…Elle s’allongea sur le lit, ses jambes gainées de cuir écartées, sa chatte épilée exposée, la respiration déjà rapide. Je lui suçais les seins, elle commença à pousser quelques râles de plaisir. Ma bouche descendit vers son sexe, et je commençais à lui lécher les lèvres avant d’attaquer son clitoris. Ma femme, était au comble, elle posa ses mains sur ma tête pour accélérer le mouvement et d’un seul coup je sentis son vagin se contracter dans un premier orgasme.

Après quelques instants de récupération, elle posa ses mollets sur mes épaules, et je la pénétrai, son vagin était d’une douceur extrême, et je m’enfonçais jusqu’à la garde. J’adorais ce moment, sentais ses bottes sur mes épaules, sa chatte si accueillante autour de ma queue, ses râles de plaisir, un moment divin. Elle se redressa alors, je m’allongeais, et elle s’assit, s’empalant sur ma bite, et commença des mouvements amples et de plus en plus rapides. Ses gémissements devinrent de plus en plus forts, et nous avons atteints ensemble un orgasme particulièrement intense.

Nous nous sommes assoupis quelques instants, les membres enchevêtrés, mais les enfants se sont rapidement manifestés et nous avons du nous arrêter là. Depuis, Claire a régulièrement porté ces magnifiques bottes, et je repense à chaque fois à cette magnifique après midi d’été.

J’espère que cette histoire vraie, vous a plu. Si vous avez le même intérêt que moi, écrivez donc une histoire à votre tour, pour notre plaisir à tous et à toutes.

Patrick