Sophie, ma mère par James01
Sophie, ma mère est une jolie femme de 48 ans, brune, les yeux marrons, elle mesure 1,65 et pèse environs 65 kg, elle possède quelques tenues sexy mais ne les porte que très rarement, je trouvais dommage qu’elle ne mette pas un peu plus en avant sa poitrine généreuse. (95 C). En ce qui concerne mon père, son métier l’oblige à être souvent en déplacement. Moi j’ai 25 ans je suis brun mesure 1,75 m et pèse 80 kg, étudiant et célibataire.
Je ne pensais que ma mère était une folle de sexe, mais il y a quelques jours alors que j’étais seul à la maison, en fouillant au hasard dans plusieurs dossiers de l’ordinateur, je suis tombé, après plusieurs sous dossiers sur le dossier « Cuisine ». Que j’ai ouvert machinalement. Quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant ce dossier de découvrir une série de photos qui n’avaient rien à voir avec la cuisine. La première montrait ma mère fortement maquillée, chose dont elle n’a pas l’habitude, en sous-vêtements une main dans la culotte. De photos en photos je découvrais ma mère dans diverses positions, elle se doigtait, jouait avec des godes, je vis également qu’elle avait la chatte rasée, puis une autre photo la montrait en train de sucer un mec qui n’était pas mon père, puis elle se faisait baiser par encore un autre mec. La vue de ces photos me faisait bander, ma mère dans toutes les positions du kamasoutra, d’autres photos la montrait en pleins ébats avec une femme, sur une autre elle se faisait rougir les fesses à coup de cravache, et la plus surprenante était celle ou harnaché d’un gode-ceinture, elle enculait un jeune homme d’environ mon âge. La dernière photo l’exposait avec du sperme sur tout le corps et dans la bouche. Je ne pus me retenir et suis allé chercher dans la corbeille de linge sa petite culotte de la veille, je suis retourné devant l’écran, sorti mon sexe et l’enroulai du petit bout de tissu intime de ma mère, il me restait un sous-dossier à ouvrir, c’était un dossier vidéo, il montrait ma mère nue, les jambes écartées, elle récitait le texte suivant :
« Je suis bien avec vous mes amis, vous me baisez et vous me traitez comme une chienne, j’aime tellement avoir un sexe bien raide dans la chatte et dans le cul, j’aime aussi me faire lécher par une femme, je suis vraiment prête à tout pour vous, maintenant je vais boire ce verre de sperme pour vous remercier de tout le plaisir que vous me donnez. Pissez-moi dessus pendant que je bois »
Pendant que je voyais ma mère boire le verre de sperme, je jouis dans sa culotte avec une force rare.
Grâce à ces photos je découvris une facette bien cachée de ma mère, et sachant que mon père était en déplacement, j’avais la ferme intention de la baiser comme elle aime.
J’élaborais un plan tout simple, j’imprimais une dizaine de ces photos et les étalais sur la table de la salle à manger. Quand elle rentra elle poussa un cri de surprise.
– Qu’est-ce que ça signifie ? M’apostropha-t-elle.
– Rien, j’ai trouvé, ça, ça ne m’a pas choqué, ça m’a même excité.
– Eh bien tant mieux pour toi !
– Tu ne serais pas ma mère… Ajoutais-je en omettant de finir ma phrase.
– Si vraiment ça te dis, ça peut se faire ! Répondit-elle à ma grande surprise.
– Dans ce cas…je vais peut-être me laisser tenter
– Pourquoi pas, ça ne fera du mal à personne. Attends-moi, je reviens.
Elle se dirigea vers sa chambre et après quelques minutes revint dans le salon. Elle portait de longs bas noirs, un string blanc assorti à son soutif qui lui compressait les seins. Elle est superbe je résistais pour ne pas lui sauter dessus, je m’approcha doucement d’elle, et commença à la caresser, mes mains parcouraient son corps, je m’attardais un instant sur ses fesses bien fermes, je la fis asseoir sur le canapé et lui ôtai délicatement ce string qui cachait son intimité, je lui écartai les jambes au maximum et plongeai ma tête entre ses cuisses, je la léchais avec plaisir et à en croire ses soupirs elle aussi commençait à prendre du plaisir, sa chatte était tout ouverte et ma langue visitait ce trou tout humide, en effet elle mouillait vraiment beaucoup, je me relevais pour m’occuper de ses seins un moment, je dégrafa son soutien-gorge, je soupesais ses deux énormes nichons et tétais ses pointes toutes dures, je redescendis ensuite vers son sexe et lui enfila deux doigts et commença à la masturber tout en lui léchant son clito prêt à exploser, sa position me permettait d’apercevoir son petit trou du cul, je sortis mes doigts de sa chatte et lui enfila un doigt trempé de mouille dans son anus, elle se mordillait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, j’approcha ma bouche de son visage et nous nous sommes embrassés comme un couple d’amant. Nos langues se mélangeaient ainsi que notre salive, puis je me mis debout devant elle en lui indiquant du doigt mon sexe, elle s’agenouilla, dégrafa mon pantalon et libéra ma bite de mon caleçon puis l’engloutis au fond de sa bouche. Elle me pompait tout en me caressant les couilles, elle léchait mon gland comme une reine, elle savait vraiment y faire, je dus l’arrêter pour ne pas jouir trop vite tellement elle me tétait avec entrain. Elle se lâcha complètement en m’adressant un :
– Viens me baiser ! »
Je l’allongeai sur le dos, fouillai encore sa chatte avec ma langue et enfin positionnai ma bite à l’entrée de son vagin, j’introduisis mon sexe raide comme un bâton dans sa chatte tellement humide et commençais mes va-et-vient, ses deux énormes miches se balançaient, elle atteint un orgasme violent à en croire ses cris, je la pilonnais de plus en plus vite, j’avais l’impression que mon sexe grossissait encore. Je l’invitais à venir se positionner sur moi de manière que l’on puisse s’embrasser, c’était merveilleux je la baisais par la chatte et ma langue se mêlait une nouvelle fois à la sienne, et en plus je commençais à écarter ses fesses pour la préparer à la sodomie. Son cul me faisait tellement envie, je la soulevai et la fis mettre à quatre pattes, le cul bien en avant, je plongea ma langue dans son anus, puis un doigt, puis deux doigts et la masturbai par le cul, une fois son orifice bien dilaté je crachai un coup dedans et rentrai ma bite à l’intérieur, quelle sensation superbe d’être dans un cul et qui plus est celui de ma mère ? Pendant ce temps elle se masturbait, en effet elle avait trois doigts dans la chatte deux dans la bouche et ma bite qui lui défonçait le cul, nos cris de plaisir résonnaient dans la pièce, elle aimait vraiment çà.
J’alternais maintenant entre sa chatte et son cul, je lui demandais ensuite de se mettre sur le dos afin de voir son visage de salope qui aime se faire enculer, je rentrai donc une nouvelle fois ma bite dans ce conduit étroit, son visage était vraiment celui d’une chienne que l’on voit dans les films X, dans cette position ma bite était vraiment serré et je sentais ma jouissance monter, je sortis mon sexe et alla lui présenter au visage, elle le saisit et commença à me masturber avec la bouche grande ouverte moi aussi je la branlais pour récupérer sa mouille encore abondante, mais ne pouvant plus me retenir et dans un dernière effort je lui éjacula dans la bouche avec une force inouïe. Jamais je n’avais autant joui, ma mère me lécha pour récupérer les dernières goûtes de sperme qui perlaient sur mon sexe. Elle m’a ensuite demandé de lui pisser dessus, d’abord sur sa belle poitrine puis sans sa bouche gourmande. Nous nous sommes enlacés épuisés par notre séance de baise.
Elle me remercia de l’avoir fait jouir avec autant de force, je la remerciai également. Elle me fit comprendre qu’elle avait de gros besoins sexuels que mon père ne pouvait la satisfaire n’étant jamais là et c’est pour cela qu’elle allait voir ailleurs. Elle me dit également que quand mon père sera en déplacement nous pourrions recommencer, nous sommes allés nous doucher en nous lavant mutuellement, et nous nous sommes dirigés vers la chambre nous avons dormis ensemble complètement nus et le lendemain matin j’eus la chance d’être réveillé par ma mère qui me pompait le dard. Elle cessa sa fellation pour ouvrir son tiroir de chevet d’où elle sortit un joli godemichet
– Tourne-toi, je vais te l’enfoncer dans le cul !
– Mais non ! Protestais-je
– Tu as voulu baiser ta mère, j’ai accepté, alors tu ne vas pas me refuser ce petit caprice, tous les hommes aiment ça quand c’est bien fait, fait moi confiance.
Et c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je me suis retrouvé avec un gode dans le cul, j’ai beaucoup aimé la sensation qu’il m’a procuré
– Evidemment, ça ne vaut pas une vrai bite, mais on pourra arranger ça quand je te présenterais mes amis
– Mes enfin, maman…
– Enfin quoi ?
FIN
Ce beau fantasme mérite mieux que ça !
Un peu court mais pas si mal, le fantasme est bien amené
Un peu direct à la soupe, non !
Certes, mais puisque ce n’est qu’un fantasme )