Professeur Martinov 19 – Le drone, la nièce et la masseuse 3 – Le crash du drone par Maud-Anne Amaro
Mardi 23 janvier
Ce jour-là Aminata, la femme de ménage sénégalaise au service de Savourey était occupée à faire le lit de son employeur. Elle a une quarantaine d’année et un phtisique… disons épanoui.
Savourey entra dans la chambre et déclara sans ambages :
– Aminata, défaites-vous un peu j’ai envie vous baiser !
– Encore ! Mais vous êtes obsédé, Monsieur Savourey !
– Je ne suis pas obsédé, j’ai des besoins naturels.
– Si Mademoiselle Florelle l’apprenait elle ne serait pas contente.
– Mademoiselle Florelle est juste une amie…
– Monsieur Savourey ! Enfin !
– Mademoiselle Florelle est très gentille mais elle ne veut pas que je l’encule ! Ça vous va comme réponse ?
– Evidemment, vu comme ça ! Mais je suis votre femme de ménage, je ne suis pas une pute !
– Mais vous acceptez mon argent quand même !
– Il faut bien que je nourrisse ma petite famille, à propos la dernière fois vous avez oublié de me payer !
– Je vous donnerai tout ça tout à l’heure ! Alors on y va ?
– Ce n’est pas bien ce que je fais, je trompe mon mari, c’est un péché.
– Aminata, si vous arrêtiez de ronchonner I
– Bon, bon !
La femme s’immobilisa, sembla hésiter à moins qu’elle ne fasse semblant s’hésiter.
– Bon alors vous vous défaites ou pas ?
– Je ne suis pas belle toute nue !
– C’est votre mari qui vous a dit ça ? Il n’y connait rien, à poil, s’il vous plait !
– Vous exagérez !
– Mais non !
Aminata se mit donc à poil et se mit à se trémousser en faisant gigoter son joli derrière.
– Quel cul ! Comment vous faites, vous les blacks, pour avoir des culs aussi beaux ?
– Cul si beau, cul si beau, cul si beau doudou ! Chantonna la dame du Sénégal.
– Je n’ai pas bien compris la réponse !
– Mais, c’est parce qu’on le remue tout le temps, on a la danse dans la peau.
– Aminata vous n’avez pas été sage, je vais vous punir !
Cette phrase marquait le début du jeu.
– D’accord, d’accord, vous allez me punir, mais si vous pouviez me payer, parce que j’ai peur que vous oubliassiez.
– L’imparfait du subjonctif n’est pas de mise dans ce cas.
– Monsieur Savourey, donnez-moi mes sous et après vous pourrez me faire tout ce que vous voulez et même une leçon de grammaire.
– Bon, bon mais je vais te faire payer ton effronterie.
Savourey revint quelques instants plus tard avec l’argent et un martinet.
– Allez agrippe-toi à la commode, je vais te rougir le cul !
– Allez-y Monsieur Savourey, j’ai été très vilaine, je mérite une bonne correction.
– Tiens grosse pute, tiens feignasse, tiens morue !
– Oh là là, mon pauvre cul, vous me faites mal, mais continuez, je le mérite !
– Bien sûr que tu le mérites, salope, trainée, fille de mauvaise vie. Tu verrais ton cul, il devient rouge, qu’est-ce que tu vas dire à ton mari quand il va voir ton cul ?
– Ça ne vous regarde pas, monsieur Savourey.
– Impertinente avec ça !
Et cette fois, il cingla très fort.
– Stop ! S’écria Aminata en se retournant, vous faites trop mal.
– Je me suis laissé aller.
– Oui, ben faut pas ! On passe à autre chose, je suis sûre que vous bandez comme un âne, je peux voir ?
– Ah ! Tu veux voir ma bite, espèce de cochonne, tiens, la voilà ma bite, elle est belle, n’est-ce pas ?
– Elle est mignonne !
– Ben qu’est-ce que tu attends ? Suce !
– On y va, on y va !
La blackette joua alors avec la bite de Savourey, donnant des coups de langue sur le gland ce qui provoqua des frissons quasi électriques chez l’homme.
– Mets tout dans ta bouche, dans ta grande bouche de pute !
Elle le fit et entama une série de va-et-vient.
– Où t’as appris à si bien sucer ?
– Ça ne vous regarde pas, monsieur Savourey, et puis d’abord je ne peux pas en même temps sucer et répondre à vos questions.
– Bon, ça va, tourne-toi que je t’encule !
– N’oubliez pas la capote !
– T’inquiète.
Savourey lèche quelques instants le cul de sa femme de ménage, introduit son membre, puis entame des allers et retours assez bourrins mais qui ne déplaisent pas à la blackette qui commence à sentir le plaisir monter…
Et soudain le drone entra dans la chambre, affolée Aminata crie « au secours » et se dégage de l’étreinte de son employeur.
– C’est quoi ? C’est quoi ? Piaille-t-elle en se reculottant quelque peu.
– Un gosse qui s’amuse avec une merde téléguidée, faut pas te mettre dans un état pareil.
– Vous en avez de bonnes, vous ! Ça fout la trouille !
– C’est fait pour ça ! Mais ils ne vont pas m’emmerder longtemps…
Le petit appareil s’était comme la dernière fois posé sur le lit.
« Si je pouvais l’immobiliser ? »
Savourey se saisit d’un oreiller afin de tenter de le bloquer.
Octave et Vanessa, morts de rire devant l’écran de contrôle se régalaient. Anticipant le geste de Savourey, Octave fit redécoller l’engin qui se posa un moment en haut de l’armoire normande avant de débiter le même charabia que la dernière fois :
– Boreshmush zimolefok krek.
Puis de reprendre son envol vers l’extérieur.
– Bon sang ! Il essaie de me dire quelque chose, mais quoi ? Et pourquoi ne reste-t-il pas ?
Aminata regardait son employeur avec des yeux tous ronds.
– Ne cherchez pas, je parlais tout seul !
– Vous avez entendu, il a parlé, le machin ! S’exclama la blackette.
– Ben oui, il a parlé !
– Et vous avez compris ce qu’il racontait ?
– Rien du tout !
– C’est peut-être un truc militaire, j’avais vu un truc comme ça à la télé, des militaires qui faisaient des expériences bizarres et pour endormir les gens, ils faisaient courir des bruits comme quoi, c’était des martiens !
– Pas des martiens, des extraterrestres ! Rectifia Savourey
– C’est pareil !
– Mais non !
– Alors, c’est presque pareil. Au fait, vous penserez à mes sous ?
– Vous ne perdez pas le nord, vous ! Je les ai posés sur le petit meuble, là !
– Y’a le compte au moins ?
– Aminata, vous êtes chiante !
La réflexion de la femme de ménage le troubla. L’hypothèse militaire, il l’avait évacuée la première fois, pratiquement par réflexe ! Pourquoi des militaires parlerait-il en charabia ? Pour tromper l’ennemi ? Drôle de façon de tromper l’ennemi ! Et puis c’était contre ses convictions, pour lui ce n’était pas l’armée qui dissimulait ses expériences en les attribuant aux ovnis, mais bien le contraire : l’armée qui cachait à la population les apparitions d’ovnis en faisant croire à des expérimentations secrètes.
« Reprenons calmement, si des extraterrestres veulent me contacter pourquoi se sauvent-ils si vite ? Et puis ce charabia, toujours ce charabia ! »
Et soudain, il trouva une explication : Les ovnis voulaient effectivement le contacter, mais traqués par les militaires, ils ne pouvaient s’attarder afin de ne pas se faire repérer. Quant au charabia, c’était un code, bien évidemment !
« Mais putain, comment je peux faire pour le décoder ? »
Mardi 30 janvier
La troisième incursion fut plus compliquée, le temps s’était mis à la pluie de façon quasi permanente et les fenêtres de chez Savourey ne restaient plus longtemps ouvertes. Octave voulu monter d’un cran dans la panique qu’il provoquait chez son ennemi d’enfance et eut l’idée de munir le nez du drone d’une aiguille en carbure de tungstène.
Ce jour-là le drone arriva en piqué devant la fenêtre fermée, brisa la vitre, mais le choc violent, non content de briser l’aiguille sans doute trop fine déstabilisa un élément du mécanisme, ce qui fait que l’appareil s’immobilisa sur le plancher.
L’écran de contrôle d’Octave montra le drone se scratcher, puis l’écran devint noir.
– Merde ! S’écria Octave. Plus moyen de le faire bouger, la batterie a dû se déplacer.
Il avait envisagé l’éventualité d’une panne voire même d’une capture, et avait pour se faire gommé toutes les inscriptions sur les composants afin de bien troubler Savourey. Mais là sans être catastrophique, la situation était gênante car elle survenait trop tôt.
– Tu vas faire quoi ? Lui demande Vanessa.
– Je ne sais pas, on s’est bien amusé mais pas assez ! Je voulais le rendre fou de rage, le ridiculiser… J’ai l’impression d’avoir fait dans le pétard mouillé.
– Tu pourrais toujours en construire un autre ?
– C’est long, c’est beaucoup de travail… Je suis un peu démotivé, là !
– Mon pauvre biquet, faut pas te lamenter, je vais te faire un petit câlin.
– Là tout de suite ?
– Mais, non, à la maison, on va prendre nos aises. Ça te dit ?
Après avoir bu un verre en vitesse, les deux comparses se déshabillèrent.
– Je n’ai pas emporté mon gode, on improvisera, tu veux quelque chose de spécial ?
– J’aimerais bien gouter à ton pipi !
– Tu sais, je suis désolée, là, maintenant, je n’ai pas du tout envie de pisser, peut-être dans quelques minutes…
– C’est pas bien grave !
– Non, mais j’aimerais bien te faire plaisir ! Tu voudrais quoi à la place ? Me lécher mon petit cul, peut-être !
– Bonne idée.
Octave aimait le goût un peu âcre du cul de Vanessa, il la lécha longuement et après avoir demandé la permission lui enfonça deux doigts.
– C’est bon, ce que tu me fais, gros coquin. Allez viens, à mon tour de te faire des bonnes choses, assis toi. Non pas sur le fauteuil ce n’est pas pratique, sur la chaise, là !
Vanessa s’assit sur lui et s’empara des tétons d’Octave en les pinçant assez fortement.
– Oh, oui, vas-y c’est trop bon, continue.
– Ben dit donc, tu as vu comme ça te fait bander !
– C’est parce que tu as des doigts de fée.
– Et qu’est-ce t’as à regarder mes nichons comme ça ! Tu veux les embrasser, vas-y te gêne pas, ils sont à toi.
Voilà une chose qu’il ne faut pas dire deux fois à l’ami Octave qui se jette sur le néné droit comme un hérisson sur une brosse à cheveux. Ses lèvres s’emparent du téton, l’aspirent, le lèchent, le tètent et quand le droit à eu sa part, il passe au gauche.
– Je te suce et après tu m’encules ? Propose la belle escort-girl.
– Je t’aurais bien léché la chatte un petit peu !
– Pas de problème, tu veux que j’essaie de pisser un peu avant ? Maintenant ça va peut-être venir.
– Bonne idée !
– Et je suppose que tu veux en boire un petit peu ?
– Tu sais bien que j’adore ça !
Ils se dirigèrent tous deux vers la salle de bain. Octave s’accroupit dans le carré à douche, la bouche ouverte, Vanessa pissa, une bonne pisse bien drue que l’homme dégusta avec gourmandise.
– C’est rigolo, le pipi, je ne pensais pas en faire autant. Viens, maintenant on va aux toilettes ? Proposa-t-elle
– Aux toilettes !
– Ben oui, aux toilettes !
Vanessa s’assoit alors sur la cuvette :
– Voilà, t’as mon minou à nettoyer, mais je t’ai fait un petit cadeau, j’ai pissé exprès un petit peu sur mes pieds, tu vas pouvoir te régaler !
– Tu es trop mignonne !
– Ça c’est bien vrai !
Il est embarrassé Octave ! Par quoi commencer ? Il décide de se garder les pieds pour le dessert et plonge sa langue dans la chatte de la belle rouquine.
Il lèche abondamment le minou trempé d’urine. Vanessa pousse quelques soupirs.
« Elle simule ou pas ? »
Octave est assez intelligent et a assez d’expérience avec les filles qui se font payer pour savoir que le client ne les fera jamais jouir, ou alors ça reste exceptionnel, mais il sait aussi qu’il n’a pas les atouts pour le faire, si son physique s’est apaisé avec l’âge, il n’a rien d’un vieux beau qui pourrait faire mouiller ces dames.
Vanessa a de son côté l’intelligence de ne pas simuler bêtement, juste quelques soupirs, signifiant probablement que cette caresse ne lui est pas désagréable.
Il ne s’attarde donc pas et passe à autre chose, Vanessa tend son pied de façon à ce qu’Octave n’ait pas à se baisser de trop.
Retrouver le goût du pipi sur les pieds, ces petits pieds qu’il chérit, le met dans un état d’excitation maximum, il lèche le gros orteil avec une avidité telle qu’il en bave, tandis que sa bite est bandée comme un arc.
– Faut que je jouisse ! Viens vite dans la chambre… non on n’a pas le temps ! Ta bouche vite !
– Jouis sur mes seins mon petit Octave, ils vont être contents mes beaux nénés de recevoir ton sperme.
Moment calme, kleenex et cigarette, avant que Vanessa propose à brûle-pourpoint :
– Et si j’essayais de le récupérer, ton machin ?
– Hum, mais comment veut-tu faire ça discrètement ? C’est impossible !
– Mais non, à tous les coups, il voudra me le montrer, quand j’aurais repéré où il est je profiterais d’un de ses moments d’absence pour balancer le drone sur sa pelouse, et en partant je le récupère et je le mets dans un grand sac en plastique, tu n’auras qu’à m’attendre à l’endroit habituel.
– Mais il va deviner que c’est toi ?
– Mais non, il est tellement dans son délire qu’il croira que les « martiens » l’ont réparé à distance.
– Hum, y’a des risques, et puis il ne faudrait pas qu’il l’ait enfermé à clé quelque part !
– Je peux toujours essayer de voir si c’est possible.
– J’ai une meilleure idée, si vraiment, c’est la batterie qui a bougé, ce serait que tu la remettes en place, je t’expliquerai comment faire, et à ce moment-là, je reprends le contrôle du drone, je le fais voler devant lui et je le fais partir !
– Il faudra qu’il y ait une fenêtre d’ouverte, mais je m’en chargerais, on va essayer. Explique-moi pour la batterie…
A suivre
C’est très bon
Moi aussi j’aimerai boenlécher les pieds de Vanessa
J’adore ces épisodes dans lequel l’air de rien toutes les petites fantaisies que nous aimons bien sont décrites les unes après les autres dans une ambiance décontractée et festive