Ma Maîtresse et mon esclave
Chapitre I et II
par Charime
Il y a des soirées dans lesquelles on se demande ce qu’on est venu faire. Ce soir là j’avais une envie folle de me casser et aller voir ailleurs si j’y étais. Avant de partir, je fis un tour pour dire au revoir à mes amis par politesse. Avant de sortir, je passais par les toilettes. J’ouvrais la porte et tombais nez à nez avec une jeune femme en train de se soulager.
Surpris, je voulus me retirer mais je me ravisais et restais la regardant finir ses besoins. Elle ne sembla nullement gênée par ma présence. Mais là où je restais scotché sur place, c’est quand elle me demanda de me soulager devant elle. Après un court moment d’hésitation, j’ouvrais ma braguette et sortais mon sexe. Je m’approchait de la cuvette quand elle empoigna ma bite et la plaça sur sa poitrine. Je ne pouvais plus attendre et me soulageais sur elle. Elle promena ma queue sur son corps et au moment de finir de pisser, elle se pencha et mettait sa bouche devant le jet d’urine en se caressant violement son sexe. Elle ne tarda pas à jouir violement. Une fois mes dernières gouttes avalées, elle commença à me sucer de la plus agréable manière qui soit. J’avoue ne pas avoir réussi à me retenir, et jouissais dans sa gorge.
Pendant que je remettais de l’ordre dans ma tenue, elle me demanda à finir la soirée chez elle. Là, je n’hésitais pas et la suivais. Pendant que je la suivais avec ma voiture, dans ma tête je me faisais un cinéma d’enfer. Cinéma qui me faisait bander à en avoir mal. Devant chez elle, elle m’indiqua une place de parc pour mon véhicule et m’attendit tranquillement. À peine vers elle, elle me lança sa culotte dans les mains. Devant l’ascenseur, elle retira sa courte robe, dévoilant un corps magnifique. Devant sa porte, elle posa son sac à main sur le sol et le fouilla pour chercher ses clés. Je n’ai pas pu m’empêcher de caresser sa croupe si bine offerte. Elle se tortilla comme pour guider ma main plus au centre. Mon pouce s’enfonça dans on anus et mon index dans son sexe béant. Elle se redressa sans que je puisse retirer mes doigts de ses orifices. Elle tourna son visage vers moi et m’embrassa à pleine bouche. La porte ouverte et n’y tenant plus je la prenais longuement sur le tapis du corridor.
Depuis, on ne quitte plus et nos jeux…enfin… à suivre
Voila maintenant 10 ans que nous sommes cul et chemise. Elle m’a entraîné dans des jeux, un délice. Combien de nos jeux m’étaient totalement inconnu.
Quelques jours après notre première et humide rencontre, elle m’appela chez moi. Elle me donnait rendez-vous dans un coin que je ne connaissais pas. Suivant ses instructions à la lettre, j’arrivais sans peine dans la cour d’une vielle ferme abandonnée. Il faisait grand beau, une odeur de ferme se faisait sentir en même temps qu’une odeur de foin. Je me dirigeais vers la grange et la trouvais nue, à genou sur le sol en bois. En m’avançant vers ma belle, je pouvais voir qu’elle portait de drôles de bracelets aux poignets et au cou.
Arrivé à sa hauteur, elle me donna un mot.
« Devant toi, je me donne, devant toi, je deviens ton esclave. Je m’abandonne à toi totalement et sans restriction. Depuis notre première rencontre, j’ai découvert un plaisir nouveau. Ton urine est un pur délice, ton sperme n’est que chef d’œuvre. Je désire que tu me donnes tout ce qui sort de toi.
Ton esclave qui t’aime »
Lisant cette missive, je restais sans voix. Je sais que certains penseront à voix haute que tout cela n’est que pure invention. Et bien qu’ils le pensent. Je lisais et relisais ce mot pendant que ma douce ouvrait mon pantalon et sortait mon sexe pour l’engloutir.
Dans ma tête je me posais mille et une questions, c’est quoi une esclave, on fait quoi avec une esclave, etc. Mais sa bouche faisait merveille et mes questions s’envolèrent pour ne penser qu’aux plaisirs qu’elle me donnait. Je me retenais le plus possible pour ne pas jouir de suite. Ne me contrôlant plus, je me retirais de sa bouche, retournais ma belle et lui plantais mon dard en son anus si accueillant. Je limais longuement, longuement, je la sentais venir, ses gémissements augmentaient au fil de mes coups de boutoir entre ses fesses. Elle jouissait en lâchant un puissant râle de plaisir, sa tête s’agitait dans tous les sens. Je me retirais avant de jouir et lui présentais ma queue à sa bouche, elle la lécha en me regardant dans les yeux avec à sa bouche un sourire de plaisir. Elle finit par engloutir mon sexe et à le pomper avec volupté. Sa main caressait mes boules et mon anus, plantant un doigt en mon cul de temps à autre. Je finis par jouir de cette délicieuse torture. Mes jambes me lâchèrent et me retrouvais à genou devant elle, je l’embrassais longuement. Après avoir repris mes esprits, je sentais sur ma langue ce goût, celui de mon cul et je me surprenais à aimer ce goût.
Je venais de découvrir un nouveau plaisir, la scatologie. Mais d’avoir jouit comme cela, me donna une envie de pisser. Je me redressais et lui montrais ma queue à moitié bandée. Elle comprit et ouvrit sa bouche afin de recevoir mon urine. Je me vidais en elle sans retenue et la dernière goutte bue par ma belle que je l’embrassais à pleine bouche pour connaître ce goût.
Ce goût me plaisait, j’aimais ma petite esclave. Pour la récompenser, je bouclais ces bracelets dans le dos et la retournais pour la fesser abondamment. Elle se laissa faire tenant même ses fesses pour mieux recevoir mes coups. Après une bonne dizaine de claques et les fesses de ma soumises bien rougies, je la libérais pour l’embrasser encore et encore.
Après un moment de récupération, je lui demandais de venir vivre avec moi. Elle me proposa son appartement, plus grand que le mien et mieux équipé pour tous les plaisirs du sexe, j’acceptais aussitôt. Elle ajouta que je devais la traiter comme une esclave avec tout ce que cela comporte. Je devenais, à ce moment, l’esclave de ses désirs et elle des miens. La journée n’était de loin pas terminée. Elle fouilla son sac de voyage et en sorti quelques accessoires, un martinet, des pinces, un gode martinet et bien d’autres surprises. Je découvrais un autre univers inconnu, celui de du SM. Toujours nue, elle me donna les pinces. Ne sachant où les placer, j’avais l’air idiot. En me souriant elle me montra ses seins. Je les posais sur ses tétons, mais de manière brutale. Elle serra les dents pendant mes gestes plutôt brusques. La voyant souffrir, je voulus retirer les pinces, mais au lieu de d’enlever, je tirais dessus ce qui eu pour effet de la faire gémir encore. Je la voyais souffrir et avoir du plaisir en plus.
Comme je vous l’ai déjà écrit je découvrais le SM. Je voyais son visage s’épanouir devant moi. Enfin, je retirais les pinces le simple fait d’enlever les pinces, la fit hurler de douleur et de plaisir en même temps. Elle se laissa tomber sur le sol à genou, son beau regard se posa sur mes chaussures qu’elle lécha avec fougue. Je me sentais un humeur de sadique absolu, je la voulais cette fois et la dominer, je voulais aussi ressentir les plaisirs qu’elle éprouvait dans la soumission et le lui avouait. Elle se redressa avec un sourire enjoué, m’embrassa tendrement en me caressant la queue. À mon oreille, elle chuchota qu’elle me ferait tout découvrir qu’elle allait être mon guide.
Anna allait devenir ma Maîtresse et mon esclave à la fois.
Christian & Anna
note du webmaster : Les chapitres suivants, trop éloignés de l’esprit du site n’ont pas été conservés (avril 2023)
L’usine à fantasme fonctionne a fond les manettes… mais sans doute un peu trop vite !
Les chapitres suivants sont mauvais et à la limite peu compatibles avec l’esprit du site, pourquoi les conserver ?
Je viens de jeter un coup d’œil aux chapitres que tu évoques
Je rejoins ton appréciation et les envoie dans la corbeille !