Lilly Firefly par Léna Van Eyck – 9 – Flagellation tarifée
Après avoir pris quelques miles d’avance, Bob s’est arrêté afin de penser la blessure qu’il a reçue au cuir chevelu..
Il reprend la route en direction de Norton City, il n’a nulle intention de se rendre là-bas. Non il contournera la ville pour aller plus à l’Ouest.
Il ne s’inquiète pas quand il voit deux cavaliers sur le point de le croiser.
– Hello ! Dit le premier.
– Hello ! Répond Bob machinalement
– Vous êtes blessé ?
– Je suis tombé de cheval, ça a saigné mais y’a rien de grave.
– Vous n’êtes pas d’ici ?
– Non je viens de Jonastown ! Improvise Bob
– Vous en venez ou vous y aller ?
– J’en viens !
– Vous n’êtes pas sur le bon chemin ! Vous avez dû vous égarer…
L’autre cavalier vient soudain de réaliser ! Un gros de moins de trente ans ! On ne sait jamais.
– Lève les mains et jette ton arme ! On va juste faire une vérification.
– Mais je n’ai pas d’arme !
– Suis-nous !
Bob n’a pas le choix !
A Norton city, on le colle dans le bureau du shérif Lynch. On va chercher le patron du drugstore qui le reconnait.
– Bin quoi, j’ai bien le droit d’acheter à bouffer où je veux ?
– Bien sûr, mais c’est quand même bizarre, tu ne sais pas si tu viens ou si tu vas à Jonastown et en même temps tu viens faire tes provisions à Norton city pour quatre personnes pendant huit jours. Tu ne te foutrais pas un peu de notre gueule ?
– Hé ! Oh ! Vous m’accusez de quoi au juste ?
– De rien pour le moment, mais tu vas nous conduire chez tes petits copains que tu ravitaillais.
Une décision qui rassure un petit peu Bob, qui pensait un moment qu’on l’accuserait directement du cambriolage chez McGregor. Il essaie d’anticiper la situation. Peter et William vont le voir arriver avec deux ou trois patrouilleurs… Voilà qui ne pourra finir qu’en fusillade. A lui de savoir saisir sa chance à ce moment-là.
Arrivé à proximité de la baraque, les patrouilleurs s’étonnent :
– Ils n’ont pas de chevaux, tes copains ?
– Ils sont peut-être partis faire un tour.
– On va aller voir.
Après les sommations d’usage, la patrouille entra en force, découvrant la cabane vide.
– Ils sont où tes copains ?
– Je n’en sais rien, on s’était un peu disputé.
Les patrouilleurs fouillent dans la baraque dans laquelle il ne reste plus grand-chose, mais ne trouvent rien d’intéressant. A l’extérieur ils remarquent la tombe fraiche de Danny.
– C’est quoi ça ?
– Une pauvre victime d’un duel au révolver ! Répond Bob.
– C’est toi qui l’a tué ?
– Non c’est l’autre !
– Quel autre ?
Bob inventa un nom.
– Il est recherché ce mec-là ?
– Je ne sais pas !
– Et sinon tu vis de quoi ?
– Je joue aux cartes et aux dés !
– Bizarre tout ça ! On va retourner chez le shérif, on verra bien ce qu’il va décider.
Le shérif était dubitatif, malgré son comportement singulier, rien ne prouvait que Bob ait quelque chose à voir avec le cambriolage chez McGregor.
Bien sûr, on aurait simplement recherché un coupable, Bob pouvait parfaitement remplir ce rôle. Mais la priorité de McGregor était de retrouver son argent. Et ce n’est pas en pendant Bob au bout d’une corde qu’on le retrouvera !
Le shérif Lynch eut alors l’idée de laisser Bob en liberté mais de la faire suivre.
« S’il a quelque chose à voir avec le cambriolage, il va essayer de récupérer sa part… »
Bob est tout surpris d’être libre. Il ne sait trop que faire et décide de retourner à la cabane faute d’autre idée.
La porte est restée ouverte et de ses affaires, il ne retrouve que sa gourde et son écuelle.
Il se doute bien que le magot est maintenant entre les mains de Peter. Mais il ignore comment le récupérer.
« Il est peut-être parti avec William Buchanan ? Facile à vérifier ! Mais après je fais quoi ? »
Il se dit que l’idée lui viendra en chevauchant.
Plusieurs fois il sent comme une présence lointaine derrière lui.
« Un cavalier ! J’ai compris, le shérif de Norton-City me fait suivre… Je fais quoi ? Je le sème ou je l’oriente sur une fausse piste.? »
A défaut de trouver une idée géniale, il se dirigea vers Colsontown, attacha son cheval devant le Pretty Saloon et entra.
– Tiens, te voilà toi, il y avait longtemps… Lui dit Dorothy, je te sers un whisky ?
– J’ai pas un cent sur moi, je me suis fait dévaliser sur la route par trois connards, ils m’ont pris mon fric et mon flingue.
– Et il t’ont laissé ton cheval ? Se gaussa la belle mature.
– Oui, ils ont été dérangés. Prête-moi 50 cents; je vais essayer de me refaire.
– Pas d’embrouilles, hein ?
– Tu me connais !
– Justement !
Doté d’une dextérité peu commune, Bob avait acquis depuis longtemps une technique qui lui permettait de gagner aux dés. Au bout d’une heure il avait suffisamment d’argent de poche pour s’acheter un nouveau révolver et pour boire un petit coup.
– Davy n’est pas là ? demanda-t-il à Dorothy.
En fait il se fichait complètement du sort de Davy Donaldson, le patron du lieu, mais il faut parfois savoir alimenter la conversation.
– Davy est parti, je ne sais pas où il est !
– Il est parti, comme ça ?
– Oui, et je ne souhaite pas en discuter.
– Ah bon ! Je serais bien monté avec une fille, mais elles ont l’air bien discrètes en ce moment.
– Elles ne sont que trois à travailler, deux filles, Kate et Lilly ont quitté la maison, je vais les faire remplacer mais ça va demander quelques jours… Tiens voilà Molly qui descend, c’est pas la première jeunesse, mais c’est une grande professionnelle.
– Je sais, je suis déjà monté avec elle.
– C’était pas bien ?
– Si, mais on m’a dit que vous aviez une nouvelle, et on m’en dit grand bien.
– La nouvelle ? Lilly ? Elle n’est pas restée bien longtemps, elle est partie je ne sais où ?
– Tout le monde fous le camp alors ?
– Ben non, moi je suis là !
Dans ce genre d’établissement il faut toujours qu’il y en ait qui se mêlent de la conversation des autres.
– J’ai cru la reconnaitre quand notre diligence a été attaqué ! Intervient l’importun.
– Ce n’est pas possible voyons ! Rétorque Dorothy, elle se serait planquée où, en attendant le départ de la diligence ? D’autant qu’elle ne connait personne en ville.
Bob comprend alors que c’est de moi qu’il s’agit, mais garde l’information en réserve, On ne sait jamais, ça peut servir.
– Je t’emmène mon biquet ? Lui demande ma Maman.
– J’hésite…
– Tu le regrettera pas, je vais mettre toute ta bite dans ma bouche
– Bon, on y va !
En chambre, Bob se déshabille sans un mot.
– Ben dis donc, il y a longtemps que je ne t’avais pas monté.
– Oui j’ai été un peu débordé ces temps-ci.
– Tu veux qu’on fasse comme la dernière fois ? Lui demande Molly.
– Oui, oui !
– Si je comprends bien tu n’as pas été sage ? Lui dit Molly entrant dans le jeu souhaité par le client.
– Non, j’ai été vilain, j’ai fait plein de bêtises !
– Et donc il va falloir que je te punisse ?
– Oh, oui, j’ai envie d’être puni !
– Tu sais que je peux être très méchante avec les vilains garçons qui ne font que des bêtises ?
– Ça fait rien, une punition, c’est une punition, mais s’il te plait montre-moi tes nichons.
– Ah, oui c’est vrai que t’aimes bien les regarder, j’avais oublié ! Mais comme tu es en punition, je ne sais pas si je vais te les montrer.
– C’est trop cruel.
– Oui, mais c’est comme ça ! A la fin de la punition, peut-être que tu auras le droit de les voir ! Bon assez discuté, en position, vilain garnement.
Bob grimpe sur le lit et se met en levrette, le cul cambré.
Molly choisit une cravache dans son petit placard intime, une qui cingle bien.
– T’a vu la belle cravache ! Je vais t’en donner cinquante coups !
Et c’est parti, un coup sur la fesse droite, un autre sur la fesse gauche.et on recommence.
– Aïe !
– Ces quoi ces cris de pucelle ? Je te fais mal !
– Aïe !
– Tu veux que j’arrête ?
– Non, mais c’est un peu fort !
– Dis donc, c’est pour une punition que tu es monté, pas pour une promenade en bateau.
– Oui…
– Alors je fais quoi ?
– Continue
– Bien sûr que je vais continuer, et en prime tu auras droit à dix coups supplémentaires, ça t’apprendra à rouspéter.
Ma mère reprend sa flagellation, le cul de Bob ne tarde pas à devenir cramoisi. Du coup elle tape moins fort, le but de l’opération n’étant quand même pas d’empêcher le bonhomme de s’assoir pendant huit jours.
Elle fait une petite pause, passe sa main entre ses fesses et va à la rencontre de sa bite.
– Mais dis donc, tu bandes !
– Ben, oui !
– Et tu n’as pas honte de bander pendant une punition ?
– Je ne fais pas exprès.
– Je me demande !
Elle continue de taper, elle ne sait plus trop où elle en est dans son comptage, pas grave.
– Et voilà ! soixante coups ! Tu verrais ton cul ! On dirais une pièce de boucherie ! Se moque-t-elle. Eh, tu fais quoi ? Garde la position ou je vais me mettre en colère !
Ma mère retourne vers son petit placard, range la cravache et s’empare d’un joli godemichet en bois d’olivier poli.
– C’est pour qui le joli petit joujou ?
– J’aime pas ça ! Proteste mollement Bob.
– Que tu aimes ou pas, c’est le cadet de mes soucis. Allez lèche-moi ça et après je vais te le foutre dans le cul.
– Et si je refuse ?
– C’est comme tu veux, le client est roi ! Mais moi à ta place, je me laisserais faire, une bonne punition sans humiliation ce n’est pas une vrai punition… et en plus si je t’humilie, ça va t’exciter. Pas vrai ?
L’argument a dû porter. Molly approche le gode de la bouche de Bob qui se met à en suçailler l’extrémité.
– Allez mieux que ça !
Et cette fois le gode coulisse dans sa bouche.
– Ben voilà, ce n’est pas plus difficile que ça ! Mais dis-moi, tu as l’air d’avoir des dispositions, je parie que tu as déjà sucé des vraies bites.
– Ah ! Non, j’ai jamais fait ça !
– Tu devrais essayer, ça te plairait peut-être.
– Pouah !
– Quoi « pouah », ça te dégoute les bites ?
– J’ai pas dit ça !
– Ben tu vois, tu progresse !
– Bon c’est fini pour la sucette, maintenant ça va être la fête à ton cul.
– Non !
– Mais si !
Le gode bien imbibé de salive lui pénètre l’anus. Bob pousse un cri rauque avant de se laisser faire docilement.
– C’est bon, hein, mon cochon ?
– Hummm.
– Et je te préviens s’il ressort sale, je te fais nettoyer avec la langue.
– Berck !
– Quoi « berck »,je le fais bien moi !
Après presque dix minutes de mouvements de va-et-vient dans son cul, Molly retire le gode et lui met sous le nez !
– Allez lèche !
– Non !
Molly n’insiste pas.
– Et maintenant tu veux jouir comment, vilain garçon ?
– Tes seins, tu avais promis !
– Je n’avais pas promis, j’avais dit que je verrais, mais comme je suis bonne fille, je vais te les montrer.
Molly se dépoitraille et se tire les tétons devant les yeux exorbités de Bob.
– Je peux les toucher !
– Et en quel honneur ? Je te les montre c’est déjà pas mal… Remarque si tu me donnes un petit supplément on peut s’arranger.
– La prochaine fois je te donnerais plus !
– Pas de problème.
– Je vais me branler, je peux t’envoyer ma purée sur tes nichons ?
– Quel sens de la poésie ! Mais d’accord vas-y
Le Bob, excité comme un pou, enpogna alors sa bite de sa main droite et se l’astiqua en bonne cadence. Puis sentant la liqueur monter, il visa les seins de ma mère laquelle se l’étala bien comme il faut uniquement pour que Bob s’en foute plein la vue.
– C’était bien ? lui demande Molly par pure politesse.
– Comme d’habitude. Mais tu ne m’a pas sucé !
– Oh ! Quel terrible oubli, se gausse ma mère, la prochaine fois je te sucerai deux fois ! Mais dis-moi, tu travailles toujours à la scierie ?
– Non ! Mais au fait, le neveu Buchanan, il vient toujours ici ?
– Il y a longtemps qu’on ne l’a pas vu, mais je crois qu’il est tombé amoureux d’une des filles d’ici.
– Ah, oui ? Laquelle ?
– Kate .
– Donc elle ne travaille plus ici ?
– Bin non !
– Mais cet amour, il est réciproque ?
– Si on te demande…
Mais Bob avait compris, pour avoir un peu fréquenté Kate le temps de quelques passes il la savait douce et gentille, mais aussi vénale. Il lui semblait alors évident que si elle avait suivi William Buchanan, c’était plus pour l’appât des dollars que pour ses beaux yeux, qui d’ailleurs n’étaient pas si beaux que ça ! Et une petite idée commença à mijoter dans l’esprit tordu de Bob.
à suivre
Payer pour se faire fouetter ? Ben oui, pourquoi pas ?
Oh, vas-y mamie, fouette moi les fesses !
J’aurais aimé vivre en ces temps là !
Y’avait pas le Sida, mais y’avait les morpions
Ah, les vieilles catins et leur expériences !