Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 009 – Petites Familiarités… et grosse débauche par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 009 – Petites Familiarités… et grosse débauche. Par Verdon

Aujourd’hui je me réveille au milieu de la matinée. Je suis décontracté nu et étendu de tout mon long sur le lit, heureux d’avoir récupéré un peu de confort après toutes les épuisantes fantaisies que j’ai partagées cette nuit avec Ernestine.

Au fait mais où est-elle celle-là ? Plus personne ?… Elle est rentrée chez elle ? (elle n’a que le jardin à traverser). Pourquoi ?… Fâchée peut-être…Va savoir…c’est une Nana et il y a longtemps que j’ai renoncé à comprendre comment ça fonctionne une nana.

Pourtant elle était bien contente de se prendre ma bite cette nuit… il y a des moments comme ça où elle biche de se faire ramoner l’entrée des artistes… et puis après plus rien… Bon c’est vrai que j’avais le pinceau un peu flagada et que je me suis endormi sur la tâche. Ça ne se fait pas… elle dû être vachement déçue la vorace.

N’empêche que, assis sur le bord de mon lit, je regarde ma queue condescendante. Elle m’a l’air assez satisfaite ce matin. Encore vigoureuse elle a bonne mine mon appendice ! Elle affiche tout de même quelques signes irréfutables prouvant sa virée cette nuit dans le trou du cul de ma copine… (Pas très reluisant son petit médaillon, cette nuit !…).

Oh la cochonne d’Ernestine ! Vous allez me dire que comme entrée en matière pour ce nouveau roman… c’est un peu du cru, du concret certainement… Ben oui, quand on va au charbon, ça fait partie des aléas du service… j’ai donc bien rempli mon devoir et… son cul en même temps !.. .Bon, faute de ménagère j’ai quand même le lavabo !

Elle est revenue cet après-midi ma chômeuse, guillerette et nue comme d’habitude. Je ne lui ai rien dit. Certes une petite tape d’amitié sur le cul. De toute façon elle n’en a rien à foutre des tracas de ma pine. L’entrée ça lui plaît, le dessert beaucoup moins… alors quand elle peut y échapper… vous m’avez compris ! Pourtant certaines fois quand elle fait le rince-pine, elle n’y va pas avec des lingettes la cochonne, surtout si la pine est belle ! Si vous voyez les gros yeux blancs qu’elle fait. !

Je vous l’ai dit, c’est une nana. C’est un coup tu veux, et le lendemain c’est non. De l’exubérance, de l’insouciance, la crise de nerf ou bien le mal au crâne, ou alors c’est une crème… Bon, ce n’est pas pour autant une mauvaise fille, point du tout. C’est son droit et quand elle a du pet elle n’en est encore que meilleure. Elle se le bouge souvent son cul, elle est chaude. Elle adore que je la tienne un peu en laisse, que je la dresse gentiment. Je la fais patienter, je la cajole… plus une petite récompense… et hop ça marche ! Je l’aime ma garce !

Vous allez me découvrir complétement macho quand j’écris tout cela. Mais non, pas du tout. Je la vénère ma copine. Juste un peu soumise, elle aime ça mais elle fait ce qu’elle veut. La preuve …elle va, elle vient, elle aime le changement et même que des fois elle sort ses griffes et me fait marcher sur la tête, elle me tient par le bout du nez, ma salope.

– Oh ! Plutôt par le bout de la queue qu’elle me rétorque.
– C’est qu’il te plaît mon bout de queue, petite vicieuse !
– Sûr ! Elle est bonne ta bite, elle est tendre, moelleuse, elle a bon goût, mais vois-tu il y a longtemps j’ai connu un tonton qui avait l’âge que tu as aujourd’hui, avec une putain de bite à desceller les pavés du quartier Latin ! à son âge il bandait plus que toi !
– Ah bon merci pour le compliment… et alors qu’est-ce qu’il t’a fait de plus ce vieil étalon avec son marteau piqueur, à part te baiser ou t’enculer ?
Oh rien de spécial si non me remplir la chatoune et le trou du cul qu’il m’a élargi… et il a fait ça si bien que tu en profites maintenant mon salaud !
– Ben voyons…Tu m’étonnes, telle que je te connais tu ne devais pas les serrer tes fesses… Allez raconte-moi…

Alors voici ce qu’elle me raconte cette chipie d’Ernestine :

C’est l’époque, me dit-elle, où je fréquente Odette et Julien, tu sais les deux bourgeois chez lesquels j’ai passé la fameuse partouze que je t’ai décrite dans mes précédents épisodes.

Tu te rappelles que ce jour-là je me suis fait initier par mes vieilles Tantes et leurs comparses, tous et toutes aussi lubriques les uns que les autres.

Quelques temps plus tard je suis invitée un dimanche à midi chez ce fameux tonton : mon oncle Adrien et son épouse Juliette, deux gentils sexagénaires que j’aime bien depuis mon enfance de par les affections particulières qu’ils m’apportent.

Ils forment tous les deux un couple amoureux mais aussi pernicieux car ils n’hésitent pas quelque fois à faire des rencontres très chaudes avec d’autres couples. Elle a toutefois un petit côté bravache, je dirais même vache tout court vis-à-vis de son mec et elle est jalouse.

Elle ne le laisse pas aller tout seul à des rendez-vous coquins alors qu’elle-même a des réunions secrètes avec des gouines. Il faut dire qu’elle a viré aussi sa cuti celle-là. Les hommes ça l’intéresse moins que les nanas qu’elle rencontre de plus en plus souvent mais toute seule. (Elle a raison, un homme entre deux amoureuses et… bonjour les dégâts !).

Aussi lui fait-il la gueule quand il est tenu à l’écart de ses joyeux moments alors qu’elle l’empêche d’en faire autant de son côté avec des amis.

Pas cons tout de même, ils finissent par s’entendre et chacun trouve son bonheur sans que ça nuise à leur entente. Ils font donc ces rencontres séparément, à la seule condition de tout se dire et même pourquoi pas de se raconter leurs exploits. Ce qui finalement ajoute du piquant à leur bonne relation. (Aujourd’hui j’ai sucé un beau noir… Humm ! et toi qui as-tu enculé mon chou ?). Ils s’excitent ainsi mutuellement et quand ils se retrouvent leurs amours deviennent de plus en plus intenses et sauvages.

Ernestine continue son histoire en me disant :

– Ce n’est donc pas étonnant lorsque je viens les voir, qu’Adrien me mette la main aux fesses.

Au début je suis plutôt réticente, rapport à la Tatie que j’ai peur de fâcher. Je suis mal à l’aise et je crains qu’on se fasse surprendre. Il me dit que ce n’est pas un souci, son épouse est d’accord et elle ne lui en veut pas. D’ailleurs cette dernière ayant donc une affinité particulière pour les femmes s’amuse certaine fois à me troubler en se présentant à moitié nue devant moi et même en m’aguichant. Ce qui ne m’est pas désagréable. Mais je trouve qu’elle exagère quand elle m’agrippe violemment les seins pour les bécoter ou pour me les pincer sans me dire « s’il vous plaît’ ! » Ce doit être une sacrée maîtresse. Je la soupçonne de maltraiter un peu mon oncle car j’ai remarqué des traces de flagellation sur son cul et même des rougeurs sur les seins ainsi que sur les couilles qu’elle a dû martyriser avec des pinces à linge et en tirant dessus. Mais quand je lui pose des questions il n’ose pas me répondre, (Il a sa retenue, et puis à chacun ses plaisirs et sa discrétion…)

Avec lui tout doucement j’établis une grande complicité et tu penses bien, ajoute Ernestine, qu’ayant l’aval de Juliette je ne me gêne pas pour me faire sauter par Adrien chaque fois qu’elle s’en va grignoter la foufoune d’une copine (en attendant mon tour !.

Il a une sacrée biroute le tonton. Pas très longue sans doute mais épaisse et souple juste assez pour agrémenter ma petite chatte et bien la défroisser. Il est joli mon oncle, même s’il n’est pas de première jeunesse. J’aime le voir planté devant moi, les jambes écartées, son gros sexe impressionnant en flagrant délit de provocation face à ma petite bouche ouverte et tout émotionnée par ses belles intentions !

– Suce-moi qu’il me dit, et sans hésitations il pousse à travers mes lèvres humides son glorieux instrument. Ses couilles dans ma main je le suce goulûment.
– Il m’étouffe mais c’est bon, c’est fort, c’est un bon mâle ! Il me baise en bouche.
– Allez ! Ouvre-la ta petite gueule d’amour ! Qu’il me dit le salaud en me pistonnant la luette…

Moi je ne dis rien, vous pensez bien… Je suce.

J’apprécie d’avaler son gland bien ferme. Il a une odeur assez curieuse de vieux bouc, qui me plaît et en plus un bon goût de vieille chair moelleuse qui a macérée sans doute, dans plus d’un petit trou mange-tout, sans compter de nombreuses foufounes généreuses et pisseuses. Ce qui en bonifie la saveur. Je suis fière d’avaler la bite de cet homme qui enfile si bien des Dames infidèles. Grâce à lui j’ai appris à sucer de bonnes bites.

D’ailleurs aujourd’hui, rajoute ma fofolle, les yeux bandés je suis capable de distinguer, une bite âgée, d’une plus jeune. Ce qui est bien utile dans certaines réunions où l’on suce des bites en file indienne… Humm ! Je peux aussi faire le distinguo entre la quéquette d’un jeune marié pas très dégourdi qui n’a pas encore trop chahuté l’entrecuisse de sa chère épousée et le vireton de celui aguerri qui aura débourber le cul et tous les bons orifices de dames matures et infidèles.


– Putain ! Toi avec tes Tantes tu t’es forgé une sacrée réputation libertine !
– Bon, revenons-en à mon Tonton sa belle bite et sa salope d’épouse.

Donc ne pouvant baiser sa compagne comme il veut, il se rattrape dans les bras de quelques charmeuses qui ne dédaignent pas ses belles dispositions mais il n’en trouve pas une prête à lui offrir le coin le plus secret de son anatomie.

C’est décevant. Il est bâti notre homme pour se permettre de commettre ce genre de frivolités avec toute personne consentante, normalement constituée et qui aime se faire user le trou divin. Il a longtemps forgé celui de son épouse qui a toujours apprécié la bonne chose. Mais depuis son virage, elle ne veut plus lui offrir ce coin charmant. Les garces qu’il rencontre n’ont pas le petit alésage coopérant non plus et, timide le couillon n’ose pas les brusquer. Alors ça lui manque au pauvre homme !

Du coup, le coquin se tourne-t-il vers moi. Je suis jolie femme, célibataire avancée, bien éduquée et je l’avoue assez aguichante avec ce tonton dont j’ai vite mesuré la concupiscence. Je ne suis pas bégueule quand il me passe sa main au cul. Ça m’excite. Pour être franche, ça me donne même envie, et plus ou moins inconsciemment je dandine mon popotin bien souvent devant lui, tout en souhaitant insolemment qu’il n’aille pas plus loin ! Pourtant cette main baladeuse et la tendance du bonhomme à se coller contre mon cul, me donnent des envies bizarres. J’ai l’entrecuisse qui me démange et l’anus qui se contacte.

Lui aussi il s’excite beaucoup et il pense que je dois être fille à lui offrir ce qu’il recherche.

– Alors petite coquine tu vas me l’ouvrir un jour ton petit trou mignon ?
– Oh Tonton tu es un gros vicieux !

Un jour il me baise debout, dans la cuisine, le cul contre l’évier… c’est bon de se faire cogner le cul en même temps et ma foi j’en ressens tant de plaisir qu’on remet cela souvent.

Il se défoule le pépère. Vraiment il a une bonne queue. Je l’apprivoise le bon bout de chair. J’aime à le voir débander puis se redresser quand je le tripote.

En me coinçant le visage entre ses mains il m’oblige à avaler ses humeurs, le dégueulasse ! Mais je m’y fais. J’accepte sa brutalité, il y a des moments où je suis un peu sa ‘chose’.

Les choses vont bon train, il me flatte le cul. Je crie, je pleure, je joui et je pisse, si bien qu’un jour :

– Bande de cochons qu’est-ce que vous faites…

C’est la tante qui arrive impromptue alors que mon Tonton est en train de me secouer le cocotier, mais qu’importe ! Elle se présente dans l’embrasure de la porte du séjour.

– Mais c’est tonton…il me fait des choses, Tatie !

Elle les voit bien ces choses qu’il me fait le saligaud… il m’a couchée sur la table. J’ai les jambes au plafond et il me tronche la foufoune comme bouc en brebis ! Elle se réjouit du spectacle.

– Petite salope ! C’est toi qui l’excite avec ton beau cul ! Adrien fout-lui une bonne trempe à cette morue qui vient se faire foutre sous mon nez, la salope ! Regarde comme elle mouille ta garce ! Bourre-lui le cul qu’est-ce que tu attends ?

Alors j’ai droit à une bonne fessée, (il obéit à sa vieille, le salaud ! Tous les mêmes ces mecs !)…couchée en travers de ses genoux, j’encaisse de bonnes claques, il me réjouit les fesses qui tremblotent comme la gelée sur le pâté du père Grosjean.

– Va s’y, elle aime ça, continue ça lui fait du bien !… (elle s’excite la vieille !).

Il devient de plus en plus cochon mon fouteur. Il me fout bientôt le doigt au cul. Boff… Ce n’est pas désagréable… Je crie mais c’est bon !… Quand il m’en met deux, puis trois… je commence à deviner ses intentions. Il ne va tout de même pas m’enculer le tonton ! Devant la Tante ! Ça ne se fait pas !

Il me saisit à bras le corps, me porte dans la chambre et me jette comme un sac de patates en travers du matelas. Puis il me retourne, la jupe sur la tête, après m’avoir complétement dénudée.

Et le joli paysage qu’il admire lui donne le vertige.

Je mets une main devant mon cul pour en défendre l’entrée.

– Non, tonton, tu l’as trop grosse !… et puis je suis ta nièce… pas devant Tatie !
– Je t’en flanque des scrupules moi ? Tu en as rien à foutre de ta tante !… qu’il me dit… et ton cul il n’est pas moins vénérable que ton con, alors enlève-moi cette main et tourne-toi que je te le ramone ce cul ! Tu vas voir ce que je fais aux p’tits culs serrés comme le tiens !… Demande à ta Tante.

Elle en rougit la Juliette mais elle en mouille aussi. (Que de souvenirs…).


(Il en fait trop le tonton il veut faire le fier à bras devant son épouse qui se délecte de la tournure des événements).

– Mets tes mains sur le matelas… et écarte les jambes…
– Mais c’est qu’il est pressé le salaud… Ah bon !
– Ah non !… Tu l’as trop grosse tonton ! Regarde comme tu bandes !
– Ben il aurait fallu y penser avant petite salope !… Tu m’as trop excité avec ton p’tit cul qui pointait sous mon nez… Salope !
– Ah oui !… Ben voyons !

Alors j’écarte…

(Aussi je lui dis :
– Ernestine ! ne me dit pas que ce n’était pas prémédité de ta part…
– Oh ! Si peu qu’elle me répond !)…

Elle continue :

– Sois gentille… me dit Adrien en me tapotant la fesse et en me titillant agréablement la rondelle.

Sans doute va-t-il se calmer… il devient raisonnable… il sait traiter qu’une Dame ça se traite avec douceur.

– Un peu de fermeté Tonton mais pas trop quand même. Ça ne va pas entrer il est trop gros bon sang, tu le sais !… aller un doigt dans le cul et puis ça devrait suffire… non ?

Pourtant, je ne sais pas pourquoi j’offre quand même mon dos rond qui se fait consentant… allez, va savoir ! (c’est peut-être le doigt sur ma rosette humm ! C’est si pernicieux et puis c’est un appel à la débauche… je me sens devenir vicieuse. Je vais y passer.).

– Allez, laisse-toi faire salope…Tu vois bien que c’est bon !
– Oui… mais va s’y doucement tonton, juste un peu…Voilà, comme ça, ne pousse pas…elle est bonne ta bite, mais elle est froide aussi…
– Attends on n’est pas bien comme ça, lève-le donc ton cul !… Voilà écarte les fesses, ça ira mieux !…Tu vas voir si elle est froide ma pine petite insolente !
– Allez, on recommence…écarte bien les fesses…j’y vais tout doux…

Il passe sa main entre mes fesses.

– Mais c’est que tu mouilles conasse ! Tu es vraiment salope…tu l’attendais ma pine !…ouvre ton cul tu vas l’avoir !…

Avec ma mouille il s’enduit la pine et mon trou du cul et… hop !

– Aïe !…

Il n’a pas été tout doux le salaud. Il m’a affranchie d’un coup… Oh putain !… Le con !… Oh la bonne brute. Heureusement que je m’étais déjà taquinée la pastille avec un joli gode !

– Eh ! retire-toi, j’ai mal, retire-toi… Non attend c’est mieux, ne bouge pas… ne bouge plus !… Oh bon sang qu’elle est grosse ! Ne recule pas !

Il ne se retire pas, mais coincé au fond de mes fesses je le sens qui jouit très fort en faisant des soubresauts et en geignant comme un porc. Il me bourre le cul comme un artilleur bourre la gueule d’un canon !

Il n’a pas pu retenir la purée plus longtemps, le pauvre… il vide ses humeurs dans ma boîte à ouvrage, il jute comme un pompier. Il va il vient, il jute encore, ça mouille, ça me soulage. Je me détends légèrement. Ça glisse. Je me décontracte. Oh oui encore un peu, doucement, c’est bon ! Encore…

Arc-bouté sur mon dos et contre mes fesses, j’aime cette bonne présence en moi. Ça me gonfle le colon comme un gros caca. C’est gênant mais c’est bon. Je suis presque bien pendant un moment…Je me ramolli. Je réalise que je me fais enculer pour la première fois par une si grosse pine. Il pousse encore une ou deux fois. Il coulisse doucement, bon sang j’en ai plein le cul mais c’est bon.

– Putain ma mère si tu voyais ta fille… j’en ai la chatte toute humide… (Je suis vraiment salope !) Mais j’ai l’anus en feu. J’ai envie de chier.

Adrien se plaît pendant un moment à m’écraser les fesses, planté à fond dans mon trou du cul. Mais il n’est pas très fin, il n’attend même pas d’avoir débandé avant d’extraire son terrible harpon qui me trousse les muqueuses à l’envers en m’arrachant de petits cris tandis que je frappe des deux mains sur la couette tout en serrant les dents. Je lui chie son matos.

– Oh ! ça fait du vide mais quel mal à l’anus !

Je sens que ma petite porte n’a pas dû encore se refermer… quel courant d’air !

Il s’en fout. Une fois sorti du petit espace, il m’écarte les fesses pour admirer son travail. J’ai sans doute le trou béant qui déballe en grimaçant le trop plein de ses amours (voilà de quoi satisfaire sûrement la vanité d’un bon enculeur). Il se penche, me fait une longue bise sur ma rosette meurtrie, puis avec un coin du drap il m’essuie la raie culière comme s’il essuyait le cul d’une casserole, le con.

Ouf ! Ça y est. Il est content le salaud. Je me redresse. Il me serre dans ses bras et m’embrasse à m’étouffer. (Ça y est, ça revient la tendresse, le loup devient agneau !) Sa langue qui me triture le palais compense les douleurs de mon anus qui se resserre tandis que sur mes cuisses je sens dégouliner ma mouille….

– (Je confirme, je suis une salope).

Il est content. J’en suis heureuse. Il disparaît un moment dans le salon… Je suis sûre qu’il est allé embrasser son épouse pour lui exprimer sa joie, sa déférence et lui démontrer sa virilité. Elle est heureuse elle aussi de s’être rincé l’œil. Ce fut un beau spectacle. Elle le maîtrise son homme mais l’admire de savoir si bien s’occuper d’une nana… elle en sait quelque chose ! Il a des Couilles son mec ! (d’ailleurs elle se dit que devant ce bel exploit, il lui faudrait peut-être repiquer un peu elle aussi à la bite…). Elle mouille.

– C’est bien mon chéri tu l’as enfilée comme une chienne, ta grue ! C’est ce qu’elle méritait, bravo! Elle va en garder un bon souvenir pendant un moment en allant aux chiottes ! Quand tu auras fini avec elle, tu me l’enverras, je vais m’empresser à mon tour de bien la dresser, elle a des ressources !

La salope, j’ai tout entendu ce qu’elle a dit… la chienne… me soumettre… les chiottes ! On verra qui va se soumettre… peau de vache ! J’en connais qui vont s’occuper d’elle…

N’empêche qu’ils sont salauds les hommes. Tout à leur plaisir, rien ne les arrête et surtout pas un trou du cul ! (fut-il merdeux). C’est que quand on est sous eux on compte pour beurre… on est plus qu’un cul !… (Oh quel cul ! qu’ils nous disent.) Mais leur poids sur notre dos, leurs emballements, leur fougue et puis ce grand encombrement… ça nous enflamme la libido… ça nous fouette le sang… ça nous donne la rage, l’envie de chier, celle de ruer, de nous éclater, le besoin de pisser… de pleurer ! Il faut bien qu’on se l’avoue nous les nanas… ça nous bouscule, ça nous fait mal et pourtant on dit : « encore ! « ‘ C’est qu’on en a envie… on mouille… on assume… On est des salopes !

Mais on n’est pas les seules comme ça, il y a des hommes aussi.

– Des hommes aussi…que veux-tu dire par là ? Explique-toi, lui demande Adrien soudainement intrigué par ces dernières paroles.
– Eh bien des hommes qui se soumettent… qui vont avec d’autres hommes, qui se font sodomiser, ça existe, c’est courant, ce n’est pas un drame !
– Oh toi, je te vois venir. Tu as des idées vicieuses dans la tête…
– Il n’y a rien de vicieux, les femmes se font bien enculer alors pourquoi pas les hommes aussi… ce serait une solution pour ton problème de famine anale !
– Me faire enculer !… Mais ça ne va pas !
– Mais non mon gros couillon… oublie-le ton petit trou, mais ta belle pine tu pourrais la planter entre les miches d’un autre… ça ne te fera pas mal ça ! il y a des messieurs qui ont de beaux culs…je te le jure ! il y en a qui ont envie de se faire enculer, qui le tendent leur cul et qui plus que moi en redemandent, encore’ !
– Alors avec ton équipement tu peux faire des heureux et te satisfaire en même temps !
– Tu me vois avec une tapette… un homo, pourquoi pas ? Non mais des fois tu débloques ma nièce…
– Oh là, la que vas-tu chercher ! Une tantouze c’est un gars comme un autre sauf que côté cul ça le démange un peu plus que par devant !… Tiens je vais t’en trouver un…oui, oui j’en connais un… tu vas voir… Hi, hi… Que du bonheur !.. .Mais si, mais si…
– Au secours ma nièce est devenue folle !….Quoique !

Et c’est ainsi que j’ai présenté Julien un soir à Adrien. Il s’est laissé convaincre, mais ça n’a pas été sans mal, du moins pour moi car j’ai dû payer de ma personne pour l’amadouer (par là où vous savez… vous vous en doutez !… Mais ça a été si bon !).

Julien vous le connaissez, avec Odette sa compagne ils sont les propriétaires de cette villa où nous avons vécu cette belle partouze il y a quelques temps. Côté cul le Julien il a des références. Un peu plus jeune qu’Adrien, il a de tous temps patiné de bonnes queues avant de se les faire enfiler proprement dans son trou d’aisance. C’est un suceur émérite et il s’est fait si souvent buriner la cocarde qu’il sait maintenant manipuler sa boutonnière comme une véritable fente d’amour. Dure pour ceux qui l’aime serrée, plus tendre pour les délicats et large pour les gros calibres. Il a des profondeurs insoupçonnées, ce qui lui permet de briguer de bonnes pines.

Avec ma complicité, Odette, et Julien nous invitent chez eux pour une soirée qui s’annonce des plus chaudes si l’on s’en réfère à l’excitation que procurent les deux femmes qui d’entrée se bécotent comme deux gouines dans le salon, sans s’occuper des deux mecs qui assis sur la banquette en face, les dévorent des yeux.

Ça commence par des bisous, des câlins, des patins de plus en plus féroces qui sidèrent Adrien car il ne s’attendait pas à de telles filouterie de la part de sa nièce.

Tandis qu’Odette me relève déjà le jupon et entreprend de me dégrafer ma chemise pour y engager sa main gauche et me titiller les mamelons. Je me retrouve très vite agenouillée devant elle, les cuisses grandes ouvertes et dégagées de tout chiffon, laissant voir un superbe paysage à ces messieurs, d’autant que je ne porte pas de culotte.

(Tu as tout prévu, salope !).

Du coup, Odette se place derrière moi pour me boulotter la rosette qui est des plus flamboyante tant elle est imbibée de mouille. Ce faisant elle a laissée tomber sa jupe pour offrir face aux hommes le charme puissant et insolent de son volumineux postérieur. Postérieur qu’elle a elle aussi, sûrement par inadvertance, oublié de couvrir par la moindre muselière.

Ernestine qui me raconte tout cela n’en n’oublie pas d’ailleurs de me faire savoir que de temps à autre, elles se payent des coups d’œil jouissifs vers leurs deux amis pour voir dans quels états ils croupissent…

Il bande le vieux. Il bande tant, qu’il ouvre déjà sa braguette et s’apprête à se jeter sur ce cul qui le nargue si fort.

– Non, non, lui fait signe Julien qui lui souffle qu’il ne faut jamais s’introduire au milieu du labeur de deux femmes en goguette.

En même temps il pose sa main sur la cuisse de son ami dont le pantalon s’est volatilisé.

Adrien se rassoit, toujours surexcité par l’attitude des deux femmes, il ne s’aperçoit pas des attouchements que lui fait son compère sur son sexe qui bande raide en dehors du caleçon.

Il n’en bande que plus le salopard ! Sans se rendre compte non plus que son copain a le pantalon sur les chevilles et les couilles à l’air.

Bientôt les voilà tous les deux sans froc et Adrien l’œil toujours fixé sur le trou du cul de la vieille, mais (serait-ce inconsciemment ?) il n’en oublie pas de desserrer ses cuisses pour laisser plus d’aisance à la main de son collègue qui a saisi le bel engin et le masturbe.

En 69 nous en profitons pour nous bouffer mutuellement la foufoune tout en gardant un œil sur les deux voyous. On sent que quelque chose se prépare et on en fait davantage pour exciter les deux mecs. Déchaînée je bouffe la rosette odorante d’Odette qui leur présente son gros cul fendu. Elle a un sacré goût de pisse et des poils au cul la cavale !

Ils sont debout maintenant les deux mecs et complétement à poil. Ils se tiennent par la bite, sagement et peut être un peu timides… c’est la première fois qu’Adrien touche une pine en dehors de la sienne.

Elle est belle la pine de Julien. Un bon morceau, un peu gras comme la sienne. C’est mou, ça pend, c’est doux, ça fait drôle d’avoir autre chose que sa propre bite dans la main. Il la caresse, l’observe… elle est flasque malgré les premiers moments d’émotion, la voilà qui pique du nez et se repose sur les gros roustons, comme sur un oreiller.

– Putain c’est bon Julien… tu sais y faire, toi !… Tu as vu le cul de la vieille? Je la sauterais bien, moi.
– Attend, ça viendra… viens avec moi, on va s’amuser.

Mi-content, mi-penaud il le suit non sans jeter un dernier coup d’œil sur les femmes qui se gamahuchent comme des détraquées.

Ils se tiennent par la pine les coquins pour aller dans la chambre voisine. Julien se frotte contre son ami pour l’exciter davantage et cuisse contre cuisse il se coule tout doucement dans les bras d’Adrien en poussant son cul contre son pubis, à la recherche de cette belle queue qui pointe vers ses fesses. Pris un peu au dépourvu il ne sait pas trop comment s’y prendre Adrien. C’est Julien qui mène le jeu. Il sent que son ami n’est pas encore assez excité pour se décider, alors il s’agenouille devant lui et tout de go embouche sa pine pour une profonde fellation.

L’effet est immédiat, le pénis se redresse vivement et son propriétaire saisissant la tête de Julien, il l’enfonce profondément sur son sexe en faisant des va-et-vient de plus en plus rapides et en criant son bonheur.

– Oh oui, c’est bon, putain que c’est bon… tu suces bien mon salaud ! Je vais te la mettre au cul !

Sentant l’issue prochaine, Julien se retire et se penche en travers sur le lit pour offrir sa belle ouverture. D’une main il guide la bite au bon endroit. Ça patine un peu, ça glisse tant c’est humide… ça dérape, mais en s’y reprenant deux ou trois fois, il trouve le bon endroit, il pousse et ça entre… Oh oui sa entre… il fait sa place le gros nœud… oui c’est chaud… ça tire un peu sur son prépuce qui se retrousse, le gland dépasse la brune collerette de la rosette qui se referme aussitôt pour l’emprisonner.

– Putain c’est bon ! Putain de cul ! Mais ouvre-le, mon con !

Il s’enfonce davantage encore… il réalise qu’il encule un PD, une tapette, une tantouze comme dit Ernestine… ah que c’est bon ! Il va lui en foutre à ce con, il va le bourrer, l’engrosser, lui casser le cul à ce gros con, cet ami, ce bon gars, cette femme à couilles qui a un cul comme cette putain d’Odette qui est là, à le regarder ! Mais qu’est-ce qu’elle fout là cette salope et avec sa nièce en plus ? Oh la honte ! Mais quelle honte ? Il n’en a rien à foutre de la honte, c’est le cul qui compte !

– Oh oui vous êtes trop beaux ! Elles le rassurent…
– Vas-y tonton bourre-le, c’est beau, c’est bon et il aime ça… care-lui ton gros vié raz son petit trou !…fend-le, défoule-toi ! C’est bon un mec !

Il n’a plus honte le tonton, il s’en fout de la vieille qui lui met la main au cul et des mamours de sa nièce qui l’encourage en lui caressant les épaules… il prend son pied, il hurle son plaisir. Il jute, il jouit dans ce trou d’enfer…que c’est bon ! Putain mais c’est bon un cul d’homme !

Affaissé un moment sur le dos de son enculé il finit par dégainer son pénis qui lâche encore quelques giclées sur le dos de l’impétrant. Saisissant à pleine main ses couilles il secoue son sexe mou en le cognant sur la raie du cul de Julien, puis se redresse pour asseoir à côté de lui sur le bord du lit.

Aussitôt ce dernier s’empare du joli membre sorti tout chaud de son fondement et le suce avec gourmandise en guise de remerciements. Il offre en même temps son cul encore tout ouvert à Odette qui se régale des dernières gouttes de bonheur s’échappant de son petit trou. Petites gouttes délicieuses que les deux femmes vont ensuite partager en échangeant dans leurs bouches de voluptueux baisers.

Julien écrasé sur le lit comme crapaud sur l’autoroute, n’en revient pas. Qu’est-ce qu’il s’est pris ! Ce n’est pas sa première enculade mais, bon sang Il y a été fort son fouteur ! C’est qu’il a un sacré matos le Monsieur ! Et il sait s’en servir ! Il vous remplit le cul sans demander pardon. Ben oui c’est ce qu’il aime le Julien. Il n’est pas une mauviette…il lui faut de la pétulance, de l’emportement…il n’est pas là pour s’endormir.

– Ah oui ! Chapeau ! Tu me l’as bien mise…

Il se relève le bienheureux, et Adrien qui l’est tout autant reste là, penaud et fier à la fois. Il ne sait plus trop où il est. Qu’est-ce qu’il a fait ? Il a enculé un mec et ma foi il n’a même pas honte ! Ben oui, après tout pourquoi pas ? Il n’aurait jamais cru en être capable. Il avait dans le temps sauté ainsi plus d’une nana, à commencer par la sienne qui aimait bien cela dans le temps, mais un homme !

– Sacrée Ernestine, je lui revaudrais ça ! Faut-il qu’elle soit salope pour m’entraîner dans ce bon traquenard !

Après tout ce tintamarre, les femmes s’étant calmées et les hommes ayant récupéré, ils se retrouvent assis sur le canapé, pas très bavards, un peu oiseux mais souriant et décontractés.

Les gros lolos d’Odette, pendouillent tandis qu’elle se gratte machinalement la chatoune. J’ai posé une main sur la bite de mon oncle pour le féliciter de sa belle prestation. Je le câline, je fais coulisser avec mes doigts la peau de sa pine molle, je soupèse le bel engin. Il est fatigué mais tout tendre et moelleux il mérite de bonnes caresses et surtout un gros bisou que je lui fais sur le gland qui montre encore avec fierté son bout du nez qui a du mal à ressortir de son prépuce que je retrousse.

– Alors tonton il était bon le cul de Julien ?
– Oh oui ! Petite salope tu nous as matés… ça t’a fait mouiller, cochonne !
– Humm ! C’était toi le cochon qu’est-ce que tu lui as mis au Julien !
– Ben il a aimé, non ?
– Oh oui que c’était bon ! qu’il répond l’enculé, tout en se tripotant encore le chibre mou.
– Et à mon cul, tu lui ferais ça à mon cul ?

Ça, c’est la vieille qui s’est redressée pour mettre son gros postérieur sous le nez d’Adrien toujours obnubilé par la vue de ce voluptueux paquet de chair qu’elle écarte devant lui ! Et ce trou ! Putain ce trou !

Mais il est nase le pauvre homme, il n’en peut plus, il a tout donné, il ne bande même plus, alors la vieille elle a beau lui montrer son fion, il n’y peut rien, sauf à lui foutre un doigt dedans et une bonne claque sur les fesses.

– Ah salope ! dit-il tout en remuant son doigt, tu repasseras ma vieille et tu ne perdras rien à attendre ! je vais t’engrosser comme ton cochon de mec, poufiasse !
– Oh mais il devient gentiment grossier mon tonton !
– Ne t’en fait pas ma chérie, le prochain coup c’est lui qui va se faire enculer !
– Hi, hi…va falloir l’attacher !

– Bon il me faut rentrer à la maison…

Je connais une impatiente qui va me bouffer la queue dès mon arrivée, avant de me chauffer le cul la jalouse !

Allez les petits vicieux, je vous en souhaite tout autant…

…et à la prochaine.

(06/11/2022)

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Une réponse à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 009 – Petites Familiarités… et grosse débauche par Verdon

  1. Jean-seb dit :

    J’adore

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