Le sauna c’est chaud (ma première expérience bi) par ecureuil74

Le sauna c’est chaud
(ma première expérience bi)
par ecureuil74


Mon pote E. viens d’installer un sauna 4 places dans le sous-sol de sa maison. Du beau travail, une pièce complètement dédiée à la détente et au plaisir. Une douche très contemporaine avec des accessoires design, un carrelage mural bien tendance, des chaises longues dans lesquelles se reposer et bien entendu un magnifique sauna en bois avec sa porte vitrée, son poêle, son seau et la louche pour arroser les pierres chaudes.

Le tout, inondé de musique d’excellente qualité sonore et de lumière tamisée.

De quoi passer de longs moments de détente après une bonne journée de ski ou une éprouvante ballade en montagne. Chez nous il y a de quoi faire.

Lors d’un précédent passage chez E., j’avais déjà été invité à tester l’endroit, mais un peu gêné devant sa compagne j’avais décliné. Pas de maillot, pas le temps et en vérité je trouve que ces activités sauna, hammam ou spa sont plus de l’ordre du privé, de l’intime…je trouve un peu bizarre d’inviter des amis et de faire trempette ensemble (?).

En y réfléchissant honnêtement, je n’avais pas trop envie d’être à trois dans cette boite surchauffée et plus honnêtement encore, mon fantasme serait plutôt de m’y retrouver en tête à tête avec E.

Je ne suis pas ce que l’on pourrait appeler un gay, un homo ou plus vulgairement un PD, mais je prends plaisir à apprécier la beauté des filles comme des garçons. D’ailleurs à ce sujet ma compagne partage aussi cette opinion qui peut choquer quelques mâles un peu rustiques…j’en ai fait l’expérience. Heureusement pour moi elle a l’intelligence de respecter mes gouts sans pour autant partager tous mes fantasmes.

Et justement, quand il s’agit de beauté masculine, E. se pose là ! le teint mat, taille 1,90, fin et musclé, ce qui est normal puisque c’est un bon sportif, mais surtout un visage et des yeux à faire pâlir d’envie une biche. Apollon est un prénom qui lui irait à ravir.

Cette fois nous avions bien sué au cours d’une randonnée VTT dans les forêts environnantes qui bordent son hameau. Cinq heures non-stop en selle, ça commence à compter.

De retour chez lui vers 16 h 30, nous nous débarrassons de tous le matériel de vélo rempli de boue

Casque, gants, vestes.

Le soleil encore haut, il me propose une boisson fraiche que nous prenons dans son jardin en commentant notre excursion, bien installés dans des transats.

Après quoi, nos verres vides et la raideur des muscles se faisant sentir il me propose de prendre une simple douche cette fois-ci.

Sans doute a-t-il senti que je n’étais pas très porté sur le sauna ou bien a-t-il réfléchi que je n’avais pas de maillot.

Rapide analyse de la situation…nos compagnes et les enfants sont toujours en promenade dans les bois, nous sommes seuls dans la maison…je me lance :

– Ben…cette fois je pense que je vais apprécier un bon sauna bien chaud ! Dis-je
– Tu as pensé à ton maillot ou tu veux que je t’en laisse un ?
– Bah ! On est entre hommes, il n’y a peut-être pas besoin de textile ? Personnellement cela ne me dérange pas du tout, nous sommes naturistes.
– Comme tu voudras, moi je ne suis naturiste qu’entre mes murs dit-il en riant.

Nous voilà dans son local détente en train de quitter nos T-shirt et maillots moulants de vélo…hum ! Pas mal équipé E. !…

J’ai toujours tendance à voir « celle » des autres mâles plus avantageuse que la mienne. Par contre il n’est pas circoncis, dommage, c’est bien plus joli et dans mon idéal, il l’est.

Je passe le premier sous la douche, avec force shampoing et au bien chaude. Je sens son regard dans mon dos, que doit-il penser de moi ?

Une fois rincé, je lui laisse la douche et file dans la cabane de bois, au chaud !

J’aperçois E. par la vitre fumée de la porte du sauna, ses mains savonnent vigoureusement ses membres, ses fesses sont fermes et dodues, on en croquerait bien volontiers. Il fait couler à nouveau l’eau de la douche pour faire partir la mousse de son corps, raccroche le pommeau et s’engouffre à son tour dans le sauna. Côte face pas mal non plus le mec, des bourses bien faites et bien pleines.

Sa chère-et-tendre ne s’en occuperait-elle pas assez ?

J’attaque direct :

– « tu es vraiment bien foutu pour ton âge dis-donc ! (il a 10 ans de moins que moi)
– – bizarre comme réflexion, tu es le premier mec à me dire ça, mais j’apprécie quand même, merci.
– Et ça te met mal à l’aise venant d’un garçon ? Moi je trouve ça normal, fille ou gars je sais apprécier ce qui est beau, selon mes critères, tout est relatif bien sûr.
– Tes critères ? C’est quoi au juste ?
– Une taille au-delà de 1,80 m, une peau saine, un visage équilibré et des muscles bien développés mais pas trop, en plus ton teint mat fini l’ensemble.
– Je passe donc l’examen avec succès ! Quelle est la récompense ?
– Il n’y a ni concours, ni récompense, c’est la nature qui t’as ainsi doté, et ton seul mérite est de faire du sport pour entretenir le cadeau qu’elle t’a fait. Je n’aurais jamais dû te dire des choses pareilles, tu vas plus te sentir !
– Dis-donc, il y a quelques détails qui échappent à tes critères dit-il avec un sourire mesquin.
– Peut-être, (silence) lesquels d’après toi ? Tu m’inquiètes ?
– Mes pieds bien sûr !
– Ha ! Tes pieds…hum…
– Et ma queue aussi non!
– Pardon ?
– Quoi ? Tu n’es pas capable de l’apprécier au même titre que le reste de tes critères ? Si tu es si naturiste que tu le dis, tu dois en voir de toutes les formes et de toutes les tailles, sans parler des couleurs et puis j’ai bien remarqué la façon dont tu me matais avec insistance lorsque je prenais la douche.
– Heuuu…tu as raison, oui, enfin peut-être… (grillé).

Assis sur le banc d’en face, il redresse son torse et ouvre ses cuisses pour laisser pendre son membre mou à ma vue (je l’avais déjà catalogué) mais dois-je lui faire encore un compliment ? La situation pourrait bien devenir ambiguë…

– Alors ? Tu en penses quoi de celle-là ? Il la soupèse du bout des doigts
– Et bien, elle parait honorable, mais comme ça, au repos ça n’est pas significatif tu sais…
– Tu penses pouvoir me la mettre au « garde-à-vous » me demande-t-il avec un sourire?

Plus moyen de reculer à présent, d’ailleurs en ais-je réellement envie ? Sans autre forme de dialogue je descends de mon banc, installe ma serviette au sol pour m’y agenouiller et être ainsi au plus près de « l’affaire ». Comment s’y prendre ? Quand je fais ça pour moi, ça va tout seul mais là…c’est tout à l’envers !

Je commence donc à effleurer ses boules épilées, elles sont grosses et bien remplies, c’est assez agréable au toucher. Je les fais rouler doucement entre mes doigts, je les prends toutes les deux a pleine main. E. est sur le qui-vive, je suppose qu’il n’est pas habitué à les confier à autrui… Ces petites caresses commencent à faire leur effet car de « tout mou » sa queue passe à « demi-molle » » et je devine la forme de son gland qui gonfle sous sa gaine de protection. Je passe alors des couilles à sa queue afin de lui prodiguer aussi quelques caresses délicates.

Je la prends à plat dans ma main, l’observe un moment, elle a tendance à vouloir se relever toute seule, d’elle même, en hésitant, un peu comme un petit animal qui vient de naitre et essaye de se lever pour la toute première fois…c’est si mignon !…alors je la serre mieux entre mon pouce et mon index et commence à faire coulisser cet anneau dans un lent va-et-vient qui produit l’effet attendu assez rapidement. Le gland se pointe au bout de son boudin. Je serre un peu plus et coulisse encore un moment et comme un accouchement il sort complètement en même temps que E. pousse un petit soupir de contentement.

A présent l’affaire et bien avancée, E. bande bien fort, le bout de sa bite est passé du rose bonbon acidulé au violet gorgé de sang, je le branle vigoureusement en le regardant droit dans les yeux, de ma main gauche je serre ses couilles (pas trop fort) et de la droite mon anneau coulisse souplement le long de cette très belle queue, et soudainement je lâche tout, me recule pour m’asseoir et regarder le spectacle.

Sans y prêter attention, ma queue aussi est passée en position verticale, et une goutte translucide perle déjà au bout.

J’observe E. avec un sourire en coin et la tête légèrement penchée de côté.

– Comme ça effectivement, c’est beaucoup plus significatif, dis-je et je n’en ai pas encore vu de si belle…

Le pauvre E., dos courbé, jambes écartées, les bras posés sur le rebord du banc et la bouche bée, il a le regard vide alors que la seule partie de son corps qui paraisse en vie est sa magnifique queue tendue vers le plafond.

Après un court silence, son cerveau paraît se reconnecter et il finit par prononcer quelques mots d’une voix juste audible :

– Tu ne vas tout de même me laisser dans cet état ?

Et moi de répondre d’un air faussement innocent :

– Ben quoi ? C’était juste pour évaluer la chose, à présent effectivement, je me rends mieux compte, voilà.
– Mais tu peux aller jusqu’au bout
– Tu as une femme pour ça non ?
– Ça n’a rien à voir là, on s’accorde une tranche de bon temps entre hommes, voilà tout dit-il.
– Tu veux dire que « JE » t’accorde une tranche de bon temps…
– Bon, ok !, fini moi et après je te rends la monnaie de ta pièce ! Ça marche ?

Sans attendre de réponse, il se relève, s’approche et se plante devant moi avec son vit face à mon visage. J’hésite encore lorsqu’il me saisit par la nuque de sa main gauche et dirige sa bite vers ma bouche. Que faire ? En vérité je n’attendais que ça non ? Assume mec ! C’est quand même l’un de mes fantasmes favoris.

Pour la première fois de ma vie j’ouvre grand mes mâchoires pour laisser passer la bite d’un garçon et je sens son « bonbon rose et chaud » qui frôle le fond de ma gorge. Sans relâcher ma nuque E. commence déjà à m’imposer un lent mouvement de va-et-vient auquel je ne peux me soustraire. Il s’enfonce de plus en plus dans ma bouche et j’ai l’impression que je vais dégobiller à chaque fois que son gland touche ma glotte.

Ça commence à m’énerver et je me retire d’une ruade arrière violente, son regard m’interroge. Je l’attrape alors par les couilles tandis que mon autre main lui fait l’anneau et en même temps que je le branle doucement, j’essaie de suivre le mouvement avec le bout de mes lèvres sans toucher avec les dents, pas évident finalement cet exercice !

Ce traitement paraît tout de même plaire à E. car je l’entends vaguement pousser des râles de satisfaction chaque fois qu’il touche au fond et que je tire sur la peau de sa queue.

C’est curieux, son gland me paraît plus gros qu’au début ? Ou est-ce moi qui n’arrive plus à ouvrir assez ? À moins qu’il ne soit prêt à…. (Ho ! non ! non ! non ! pas dans la bou… trop tard) je me retire brusquement sans desserrer les lèvres mais le temps que je me dégage il me décharge en plein visage une énorme giclé de sperme chaud et odorant. Je m’en prends tout autour de la bouche et cela me dégouline aux commissures des lèvres dans les poils du torse. Je m’essuie d’un revers de main et le traité de salop !

– Tu aurais pu m’avertir avant de tout lâcher !

La queue toujours dans ma main commence à se ramollir, je la regarde avec un sentiment de gâchis de travail mal fait, c’est vrai quoi ! Lorsque c’est ma chérie qui me fait la même chose je suis le premier à le lui reprocher, alors quoi ? Je relève mon regard vers E., effectivement il reste sur sa faim… bon, OK ! Je ferme les yeux et retourne au turbin beurk !!!

Au début du moins cela fait bizarre, le gout un peu fort et la consistance, mais finalement ça glisse mieux et je l’accepte encore un peu plus loin aussi reprend-t-il un peu de vigueur mais il en manque par rapport à tout à l’heure alors de ma main gauche je fais jouer ses boules entre mes doigts doucement, tout doucement mon doigt le plus long glisse plus loin à la recherche de nouvelles sensations…là, c’est chaud et légèrement humide, ma première phalange pénètre son anus sans résistance aucune alors même que je sens un raidissement dans sa queue que je n’ai pas laissé sortir de ma bouche.

J’introduis encore un peu plus mon majeur dans son cul tout en le suçant avec plus de vigueur.

A en croire les plaintes de E., je dois pas mal me débrouiller car une nouvelle fois je sens gonfler son bonbon d’amour et je manque de gerber chaque fois qu’il veut aller au fond de ma gorge. Encore deux aller-retour et des petites giclés de sperme chaud sortent par saccades accompagnées de « haaa ! » répétés, mais cette fois je ne lâche pas l’affaire, c’est pas si mauvais finalement, alors je redouble de vitesse mon mouvement de cou et accompagne le mouvement d’un savant branlage avec l’anneau que fais ma main droite, je veux le sucer jusqu’à la garde mais manque de m’étouffer, je me retire à nouveau brutalement pris d’une envie de vomir, je me précipite au dehors du sauna en toussant et crachant, pas très glamour…

Quelle expérience ! J’ouvre le robinet, le pommeau me gicle dessus lui aussi et j’ouvre la bouche aussi pour me la rincer un peu. Cinq minutes passent. Je reviens penaud dans la cabane de bois et découvre E. en train d’entretenir sa « raideur » par de lents mouvements de la main droite le long de sa bite, le gland est toujours dehors et quelques gouttes sont tombées à ses pieds sur le planché qui les absorbent mieux que moi apparemment…

Il me laisse m’assoir, le silence s’installe entre nous et devient gênant…puis sur un ton très doux E. me confie :

« C’était sympas ce que tu m’as fait, vraiment sympas, c’est la première fois que je me fais sucer par quelqu’un d’autre que ma femme tu sais ? »
– Ben figure toi que c’est la première fois qu’un mec fourre sa queue dans ma bouche et m’étouffe avec son sperme, mais tu avais remarqué je suppose ?
– Ouais, bon, tu manques de pratique mais honnêtement pour une première tu t’ais pas mal débrouillé tu sais. Encore un long silence.

Il continue à se branler doucement puis me demande :

« On fais quoi maintenant ? »

Vaste question…

Je lui réponds que je n’aime pas rester sur un échec, je veux bien remettre l’ouvrage.

– Si tu veux, mais alors tu t’occupes encore de mon trou du cul, j’ai adoré et, sur ce, il prend appuis avec ses mains sur le banc supérieur, me tourne le dos et pose ses genoux écartés sur l’étage le plus bas en m’offrant son magnifique petit cul.

Que faire de ça ?

Moi, il y a longtemps que je ne bande plus alors, je m’approche, caresse son dos, ses côtes, ses fesses, mon majeur glisse une nouvelle fois entre ses fesses à la recherche de l’entrée divine, ma main gauche passe devant pour saisir sa queue encore vigoureuse.

La proximité de son cou m’attire et je me laisse aller à déposer quelques baisers du bout des lèvres d’abord dans le cou, puis sur les épaules, entre les omoplates.

Je lâche sa queue, son odeur m’enivre, mais qu’est-ce que je fais ?

« Stop ! Arrête de penser !… »

je lèche sa colonne en descendant, je bise, je lèche, je bise, je descends, les fesses…il les tend un peu plus en arrière, j’y vais, je lèche sa raie, je bise ses fesse, et sans plus me retenir, passe le bout de ma langue dure et tendue sur son cul, je lèche son cul et il aime ! Je le sais car ma main droite est passée entre ses cuisses à la recherche de sa bite qui n’a jamais était aussi raide et gonflée. Je tente de le branler tout en lui léchant le trou du cul mais l’exercice est scabreux… alors je lâche son membre j’agrippe sa paire de fesses à deux mains, pour les écarter et consciencieusement m’applique à lui enduire l’anus de « lèche baveuse ».

Il se trémousse, m’invite à continuer, se caresse la queue pour que je continue cette divine caresse.

La vulgarité de cette position, la soumission qu’elle implique m’excitent au plus haut point et cette fois, moi aussi je suis à fond, ma bite et tendue, le gland et gonflé et il demande à fourrer alors je fais sortir encore un peu de bave de ma bouche que je laisse couler entre les fesses de E. puis me redresse et la bite à la main impose un lent mouvement de pinceau avec le gland dans la raie de son cul. Il ne bronche pas, qui ne dit mot…il consent alors ? Je vise alors son anus marron foncé et ridé, y enfonce d’abord mon majeur qui rentre comme dans du beurre, le retire et y met mon gland décalotté à la place. C’est bien plus gros mais en forçant, l’anneau rectal s’ouvre petit à petit. Je pousse avec mes reins tout en le tenant par les anches. Un peu trop fort sans doute car E. me souffle de faire doucement. C’est la première fois que je me glisse dans le cul de quelqu’un et c’est une vrai révélation que cette sensation de domination en même temps que de grosse bêtise…haaa ! haaa !

Cette fois c’est moi qui décharge, je suis pris de frissons électriques à chacune de mes giclés dans son cul, et ça ne s’arrête pas, une, deux, trois !

E. à lui aussi des coulées de sperme qui pendent au bout de sa queue ramollie, le gland est rentré dans son fourreau de peau mais le liquide visqueux continu de sortir et à tacher le bois surchauffé.

Après un temps de repos que nous passons en silence à écouter nos cœurs battre, collés l’un a l’autre, je pose un ultime baisé entre ses omoplates et lui demande à l’oreille s’il souhaite continuer.

– On va arrêter là pour cette fois non ?
– Comme tu veux E., mais c’est à charge de revanche Ok ? Tu me dois la monnaie de la pièce je te rappelle…

Pour toute réponse il s’agenouille, prend ma nouille molle et l’avale en entier. Puis il recule en pinçant les lèvres et en tirant sur ma peau élastique jusqu’à laisser échapper le gland dans un vilain bruit de gamin qui suce une Chupa.

– Je n’oublierais pas ! me dit-il en se relevant.

Du bruit dans la maison ; les gamins qui déboulent dans l’espace détente à grands cris, les femmes qui arrivent aussi mais évacuent tout le monde à la vue des slips. Fin de journée entre amis…bons amis…

Je n’avais jamais été dans un sauna de cette température…

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2 réponses à Le sauna c’est chaud (ma première expérience bi) par ecureuil74

  1. Sorenza dit :

    Première expérience ? Tout ça d’un coup ? Ça m’étonnerait ! je sais bien que parfois la réalité dépasse la fiction.
    Sinon c’est pas mal malgré quelques passages à mon humble avis, inutiles

  2. jordan dit :

    Du bon gay mais si c’est parfois un peu bourrin 😉

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