La première fois Le contexte par ecureuil74

La première fois
Le contexte
par ecureuil74

Parfois, il est difficile de comprendre les aléas de la vie.

On espère, on imagine, on fantasme et rien ne se produit jamais. Pourtant, un jour ou l’on ne s’y attend pas le moins du monde, quelque chose se passe…

Il suffit de saisir le moment et de le vivre pleinement.

Pour la première fois de ma vie, je n’ai pas laissé filer l’occasion…

Voici comment cela s’est passé.

Depuis que je suis inscrit dans ce club de sport, j’ai pu repérer à peu près les habitués, ceux qui viennent pour tchatcher, pour transpirer ou pour faire les beaux et se faire voir.

Moi, c’est pour jouer au ping-pong que je me suis inscrit, comme ça je fais du sport, je transpire mais aussi je rencontre des gens, et on peut discuter entre deux matchs, par contre il n’y a pas beaucoup de filles pour ce sport, c’est dommage mais elles préfèrent les machines de « torture » ou les cours collectifs avec un coach mâle hyper bien foutu…. Quoi que les coachs femelles ne soient pas mal non plus, seulement, la musique à fond et les ordres qu’elles donnent me coupe immédiatement toute motivation…

Je veux bien faire des efforts pour plaire à ma chérie, mais à mon rythme, et seulement s’il y a un sauna à la sortie….

Bref, depuis quelques semaines, je joue presque à chaque fois contre un garçon aussi assidu que moi (une séance par semaine) et d’un niveau équivalent, si bien qu’il s’est instauré une saine rivalité entre nous. Une fois je le bats, la fois d’après c’est lui qui me met minable.

L’autre soir, mardi donc, voilà que nous mettons en jeux un « coup à boire »…. Ok c’est parti soyons joueur ! Par contre pour ne pas rentrer trop tard à la maison il n’y aura pas de sauna après le match.

Résultat : 2 matchs pour moi, un pour lui. Bonne bourre.

Douche rapide, et il me propose d’aller chez lui, plutôt que de traîner les bars du quartier, d’autant qu’il n’a pas averti sa louloute. Je le suis en voiture jusqu’à leur appart situé à 10 minutes de là. Un beau petit T3 mansardé au niveau 2 d’une petite résidence tranquille. C’est douillet et la décoration m’indique que les occupants ont du goût et qu’ils sont soigneux de leur « petit cocon », comme nous….

Depuis le vestibule ou je pose mon blouson, j’aperçois les lueurs d’un écran de télé dont on entend le son très feutré mais les images sont cachées par le confortable canapé 3 places qui lui fait face, et dont deux pieds nus dépassent. Sans doute la maîtresse de maison.

– « Coucou ma puce » lance Fabien, j’ai invité mon adversaire de ping-pong…

La dame se met debout, et là. OUF !!!

Brune, cheveux mi- longs relevés derrière la nuque par une pince, 1 m 65 à vue d’œil, elle n’est pas fine mais pas enrobée non plus, disons entre deux avec ce qu’il faut ou il faut. Elle est simplement vêtue d’une nuisette blanche transparente dont le décolleté vertigineux laisse voir un beau piercing au nombril, string blanc mini, mini… cet ensemble affriolant est mis en valeur par le joli bronzage de sa peau. Ben ça c’est de l’accueil ! J’ai beau avoir la même à la maison, ça secoue quand même son homme des coups pareils, surtout après une bonne partie de ping-pong.

Fabien fait les présentations

– « Sophie/Didier, Didier/Sophie », « on boit un petit quelque chose ?

Allez ! Un Coca fera l’affaire, je conduis, merci.

Sophie glisse silencieusement avec une belle démarche féminine vers la cuisine et j’en profite pour jeter un œil sur l’envers du décor… que du beau!

Pendant qu’elle s’active nous lui piquons sa place dans le sofa. Lorsqu’elle revient, rien n’a changé dans la tenue, mais en plus elle se penche face à nous pour déposer le plateau à boissons fraîches…. Fraîches les boissons…fraîches houlà ! La ! C’est beau ça, quelle belle poitrine, bien ferme, bien haute et ronde comme j’aime. Elle fait exprès ou quoi ? Remarque il fait chaud ici.

Je jette un rapide coup d’œil à Fabien, il a un petit sourire au coin des lèvres, je crois qu’il ne s’y attendait pas non plus mais qu’il apprécie autant que moi, peut-être plus d’ailleurs, à la réflexion, je me demande…. Il n’a tout de même pas droit a ça tous les soirs ? Ce serait dommage de s’y habituer.

Elle distribue les boissons, me tend un verre et une canette avec un beau sourire appuyé et se laisse aller en travers du fauteuil à notre gauche de sorte que ses belles jambes nues épousent l’accoudoir en cuir de buffle noir.

Elle ne boit rien mais laisse aller un

– «J’avais hâte que tu rentres mon cœur… » à l’adresse de Fabien (glups !).

C’est peut-être pour ça qu’il a perdu 2 parties le bougre !

Dans la position langoureuse qu’elle adopte, le bâillement de son décolleté me laisse voir librement un joli téton conique et rose, en pleine santé, il joue à cache-cache sous la fine dentelle blanche.

Bien que d’habitude, la présence d’une télévision m’accapare totalement les yeux, ici je dois dire que c’est sa poitrine qui est la plus magnétique…et cela doit se sentir, forcément, si j’en juge par les regards pleins de malices que s’échangent les deux tourtereaux.

Finalement, malgré la différence d’âge qui nous sépare, je dirais environ 10 ans, je ressens tout de même une certaine gêne, et je crois qu’ils en profitent, ils ont l’air de bien se marrer tous les deux. Une belle complicité.

Dans ma poitrine un signe qui ne trompe pas, mon cœur commence à taper plus fort que d’ordinaire, quelque chose d’exceptionnel et de plaisant se profile, c’est affolant. J’ai déjà ressenti cette sensation

Ok ! J’ai trop de fois laissé passer l’occasion, je tente le coup, après tout on se connaît à peine, si j’essuie un refus qu’est-ce que je risque, j’en serais pour une bonne honte et puis basta :

– « Tu es vraiment très… sexy Sophie, ça donne envie d’en voir un peu plus ».

Je regarde Fabien, suis-je allé trop fort? Celui-ci hausse les sourcils à l’attention de sa belle comme pour l’interroger « alors? » Elle sourit et c’est ici, à ce moment précis que tout commence. D’un doigt léger entrebâille son haut et dégage un sein, tout doucement, puis l’autre, qu’est-ce qu’ils sont beau grand dieu!!! Je n’en crois pas mes yeux, cette nana est en train de nous faire un strip live, dis-donc

Il se passe quelque chose dans mon slip, ho! Rien d’impressionnant, une demi-molle tout au plus, mais c’est un bon début.

A présent Sophie la coquine malaxe calmement sa poitrine avec de tendres mouvements circulaires, elle prend un sein en coupe dans sa main, pince un téton, tire un peu dessus, à force de quoi ces caresses lui font ouvrir les cuisses et l’on peut alors apercevoir au creux intime de son string une petite tache humide, ça alors. Si je m’attendais ?

Avec une voix douce et un regard langoureux, elle nous lance

– « Et moi, j’ai droit à quoi ce soir ? Deux parties pour le prix d’une ?

J’adresse un nouveau regard interrogateur à Fabien et je m’aperçois que lui aussi s’est laissé aller sur le sofa dans une position confortable qui met en valeur son entrecuisse gonflé… bon OK! Si c’est comme ça! , Je dégrafe mon jeans, fait sauter mes pompes et je descends tout ça sur les genoux, le slip est venu avec et ma trique se dresse instantanément je suis en forme, Fabien se redresse pour se rendre compte de plus près, il a l’air satisfait. Je suis propre, circoncis et épilé de frais (j’adore).

Il m’imite et dégage de son boxer une queue bien tendue avec un gland gonflé à bloc déjà bien rouge, on dirait la jumelle de la mienne. Mon cœur bat dans mes oreilles, si ça continu je vais tomber dans les pommes…

La miss pousse un petit sifflement d’admiration ou pour le moins de satisfaction, elle est ravie de la tournure des choses, et moi donc!

Un petit moment passe comme sur un nuage, durant lequel nous nous caressons individuellement en nous regardant les uns les autres comme pour venter à l’autre les mérites de nos appareils respectifs, Sophie a glissé l’une de ses fines mains dans sa culotte et attaque les choses sérieuses, le fond de son string a maintenant changé de couleur et l’on aperçoit une bosse sous le tissus de dentelle qui fais des ronds.

Fabien bon-prince me glisse à l’oreille

« Ça te dirait de goûter à son miel? »

Je sursaute quand il me mord le lobe de l’oreille… j’étais déjà en train de la butiner en rêve.

Le sourire de la coquine me donne le feu vert pour m’exécuter, je fini de me déshabiller, quitte tee-shirt et chaussettes, et nu comme Adam je m’agenouille sur le tapis au pied de la belle qui instantanément pivote avec le bruit caractéristique du bon cuir épais de son fauteuil, elle me présente alors ses cuisses de velours légèrement grassouillettes.

Alors le plus délicatement que je peux, je lui hôte sa petite culotte et découvre ho! Splendeur divine, une chatte délicatement épilée, avec seulement une petite toufette en son sommet, un simple trait de poils, en quelque sorte une chatte punk…

Mais c’est un peu plus bas que tout est encore plus beau, sa fleur encore fermée n’est qu’une fente fine mais humide il suffit que je lui effleure les genoux pour qu’elle écarte les cuisses un peu plus et l’éclosion a lieu devant mes yeux ébahis Je vois là, en direct deux beaux pétales d’un rose délicat qui s’ouvrent, se déploient sur son intimité odorante. Hum !!! Je me penche, j’avance le visage vers cette vallée profonde et enivrante, je hume.

De la pointe de la langue, je goûte, je lape, langue pointue qui ouvre la fleur encore un peu plus, langue ronde qui la caresse sur toute la surface, langue curieuse qui fouille son doux vagin, elle dégouline. Son miel est un délice des dieux.

Fabien qui jusque-là nous observait en silence tout en se caressant le membre lentement s’approche de nous et chuchote une proposition, il aimerait bien que sa chérie prenne sa belle queue en bouche. Elle accepte par un sourire.

Il nous enjambe, se cale à genoux sur les accoudoirs du fauteuil face à Sophie qui le saisie immédiatement de la main gauche par les couilles de l’autre par la queue. Sans lui faire mal (elle connaît son affaire) elle l’ajuste, embrasse le gland gonflé sur lequel perle une goutte de rosée, elle lèche tendrement, de la base jusqu’au gland, plusieurs fois, à droite, à gauche, la grosse veine centrale (la société Miko s’arracheraient les cheveux de voir ça) puis tout à coup, sans crier gare, elle l’avale avec une facilité déconcertante, jusqu’a la garde. Ouf !!! Y’a du vécu là! Elle la retire lentement, la branle formant entre son pouce et son index un anneau divin et l’avale à nouveau.

Pendant ce temps, moi je lèche, je lèche, je lèche toujours, faisant des petits cercles concentriques autour de son bouton, puis la sentant venir, je plonge plus profond dans sa chatte pour la faire languir un peu, je joue. Elle est vraiment très agréable, très douce, très propre, elle a une odeur particulière mais pas désagréable du tout. De là où je suis, je devine son petit anus impeccable, il me tente celui-là, j’essaye de tirer la langue jusque-là mais elle n’est pas assez longue, dommage.

J’adore offrir ma langue à une chatte, enfin, jusqu’à ce jour, je n’ai jamais léché que celle de ma douce… mais j’aimerais tant qu’elle soit ici avec nous, qu’elle profite elle aussi de ces instants magiques, tellement doux, on dirait que le temps s’est arrêté, tiens c’est vrai ça! Hum que c’est bon!

Je lève les yeux pour voir Fabien de dessous, il est bien foutu lui aussi, de belles cuisses musclées, un petit cul de sportif, pas trop de poils, une belle paire de couilles bien attachées, ben oui ! A trente ans, ça tient bien ! Et une queue ho ! Oh ! Une très belle trique, suffisamment longue mais sans trop, un diamètre correct, disons qu’elle ne défigure pas Sophie qui est en train de l’astiquer, tout ce que j’aime voir… mais qu’est-ce qu’il me prend ? Je bande plus fort en matant le cul de mon copain ? Houlà ! …

Ben ouais! Ben tant pis, j’aime. J’aime son cul qui s’agite, j’aime apercevoir son anus bien clean qui apparaît et disparaît alors que Sophie l’avale et le ressort de sa bouche. La queue est luisante, elle coulisse comme un vérin bien huilé.

Tout à coups, ses belles fesses se contractent.

Il saisit Sophie par les cheveux et la « force » à l’avaler en entier, jusqu’à la garde.

Est-ce qu’elle va le boire ? Whoua ! La dose! Elle veut tout garder la salope mais il en sort par le coin des lèvres, elle avale, glups, glups, ouvre de grands yeux tous ronds, mais elle y retourne, elle suce encore, elle veut tout lui prendre…

Finalement, il se retire délicatement, sa bite un peu plus mole retombe, son gland me regarde droit dans les yeux. Il semble dire wouf !!! Bon score mon pote !

Fabien saisit le visage de son amoureuse et lui donne le plus tendre des baisers d’amoureux, ils me plaisent bien ces deux-là !

– « Et toi alors ? Tu ne viens pas »; qu’il lui demande ?

Elle ferme les yeux, entrouvre la bouche en se massant la poitrine de façon experte. Alors, je m’applique un peu plus sur ma mission car la vue de ces jolis p’tit culs m’a quelque peu troublé. Je me remets à lécher de plus belle et je crois qu’elle apprécie la coquine, je la fouille à nouveau avec encore plus d’intérêt pour son clitoris qui se met à gonfler lui aussi. C’est alors que je sens la présence de Fabien derrière moi, je pensais qu’il était parti se laver ou boire un verre d’eau, en tous cas, à présent, il est là, juste derrière moi… oh! Oh ! Oh !

Il glisse une main baladeuse entre mes cuisses alors que je suis encore à genoux en train de brouter la chatte de sa femme qui décidément est bien longue à venir… il me caresse l’intérieur des cuisses, remonte, ces gestes tendres m’invitent à écarter les genoux un peu plus. J’ai le visage enfoui dans la chatte de Sophie, mes deux bras sous ses cuisses et avec mes mains, je la tiens fermement par l’aine. Mes genoux sont bien calés sur l’épais tapis de sorte que je me retrouve dans une position proche de la levrette.

Sa main remonte encore et il m’attrape les couilles houlà !… Mais non, Il y va tout doux, il joue avec mes testicules, les fait bouger dans leur bourse car elles sont un peu à l’étroit, si bien que la chaleur de sa main les réchauffe et qu’elles se détendent. Sans que je m’en rende compte tout de suite car j’ai la tête ailleurs, je me mets à bander de plus belle, alors, il attrape ma queue et commence à me branler. Je me fais branler par un mec ! J’y crois pas ! Un garçon, un beau garçon tient ma bite bien dure dans sa main, et il me besogne consciencieusement, avec application, mais putain. C’est bon ça ! Hum ! C’est trop bon ! Il sait bien y faire le lascar, normal c’est un garçon. Je me détends un peu, whoua !!! Hum! Que c’est bon, il a senti que j’aime ça, je me surprends d’ailleurs « J’aime ça, houuu ! J’aime ça ». Sophie s’impatiente car j’ai du mal à lui bouffer la chatte en même temps de façon constante.

Ça le fait marrer Fabien, alors il lâche ma queue, me caresse les boules à nouveau pendant un petit moment et remonte jusqu’à… jusqu’à… non ! Il va ne pas faire ça? Jusqu’à mon anus que mes fesses laissent entrevoir, bien en vue, le champ libre à l’envahisseur…

Fabien me fait une douce bise près de l’oreille et me demande dans un chuchotement

– « Tu veux ? »… (Glups)… heueueu ?

Comme je ne dis mot (forcément, j’ai la langue dans les profondeurs intarissables de cette salope de Sophie) il m’ouvre les fesses vérifie l’hygiène et me fait grâce d’une lèche divine ho ! Sa langue humide glisse sur mon trou lui apportant une vague de fraîcheur. Je connais cette bonne sensation, ma chérie ose parfois cette pratique, uniquement lorsque je suis hyper propre et épilé. C’est le cas ce soir. Comme il y revient goulûment je présume que mon trou est appétissant.

Je connaissais ça, mais là! Putain que c’est bon, mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je rêve ? Mais non, mais non, je broute une excellente chatte et je me fais lécher le cul par un superbe mâle… quelle plénitude, quel bonheur !

Après ces coups de langue experts et bien baveux, le garçon se relève (il va se laver ? non) m’attrape par les hanches hou la! Ho ! Ho ! Mais… qu’est-ce que… je sens son gland brûlant qui frappe à l’entrée de service.

Là, je ne fais pas le malin.

Il ne va tout de même pas faire ça ? Si ? Mais ça ne va jamais rentrer. Un gode de base ok, mais cet engin-là ?

Il force un peu, s’agrippe à mes hanches, pousse doucement, et moi qu’est-ce qu’il m’arrive? Je me relâche, je me détends, je passe même une main sur le côté, et je l’aide en lui ouvrant le chemin de mon cul. J’écarte une de mes fesses et… Il m’encule ! Je pousse un râle qui se perd dans les plis du sexe humide de Sophie lorsque le gland ouvre et se glisse dans mon anus. Ça ne se fait pas facilement mais « ça le fait » quand même, mon anneau laisse passer le gland, sa tire, puis juste derrière, il se resserre sur sa tige… c’est ça qui est bon pour nous les mecs, ce moment ou un anneau chaud, puissant, serre le bout de la queue juste à la base du gland. Je n’ai aucun mal à imaginer le plaisir qu’éprouve mon pote Fabien à me faire le cul, ses doigts sont plantés dans mes hanches (un peu rembourrées) sa bite est bien gonflée et il pousse un long râle de male satisfait.

Je suis en train de me faire enculer par un superbe beau gosse. Allez viens mon tout beau ! Humm ! Ha ! Vas-y ! Encule-moi bien ! Doucement, doucement, il a compris.

Mais j’aime ça bon sang! J’aime ça ! C’est bon ! C’est bien meilleur que le gode en imitation de vraie queue. Celui que j’avais offert à ma belle qui n’a jamais voulu s’en servir, ni pour elle ni pour me le fourrer !

Elle ne comprend pas ! C’est dommage! Je l’ai toujours utilisé seul.

D’ailleurs moi non plus je ne comprends pas ce qu’il m’arrive ce soir, mais qu’est-ce que j’aime ça whouaou ! Encore, encore, encore, ouille ! Pas trop quand même… trop loin c’est douloureux, dommage.

Il est vraiment doux ce mec, il y va avec prudence, me chuchote des compliments sur mon cul, me demande si ça va… il est attentionné.

Ben ouais! Ça va bien, je suis comblé ! Depuis le temps que je fantasmais là-dessus…

Je ne suis pas déçu. Je sens son gland qui vas-et-viens en moi, c’est une drôle de sensation, il ne me met pas tout son bel engin, ça ferait beaucoup, en fait il doit bien aimer l’idée de m’enculer, car il ressort à chaque fois, puis lentement, tout doucement il me pénètre à nouveau, c’est le très fameux passage du gland.

Au bout d’un moment quand même, ça commence à chauffer malgré le lubrifiant de sa capote, s’aurait été mieux de me tartiner un peu la rondelle avec du gel avant de commencer…

Soudain, Sophie se cambre, elle vient enfin la coquine, il était temps, son pubis me force à reculer, Fabien pénètre plus profond dans mon cul, elle m’agrippe les cheveux et me plaque le visage dans sa chatte inondée. Je sens alors la vague de chaud qui s’écoule du fond de son ventre secoué de spasmes violents.

Elle ne crie pas. Son plaisir se traduit plutôt par un long couinement aigu, lèvres fermées elle a le regard vide en direction du plafond puis elle revient vers son amant qui a son tour commence à pousser un râle plus masculin, l’homo-erectus en lui se réveille…

Je sens sa verge se gonfler en moi, malgré le préservatif, les vagues successives de sperme chaud irradie mon étroit canal. Quelle drôle de sensation ! C’est bon de leur appartenir de cette façon.

Il sort lentement de moi, mon anus a du mal à se refermer, c’est plutôt désagréable comme ressenti. Il s’agenouille, se penche vers moi et me donne un baisser dans le coup, juste derrière l’oreille et me chuchote un « merci » plein de sincérité.

Je le regarde se relever et retirer la capote dont le réservoir était au bord de l’explosion tant il a jouis.

Sophie profite de l’occasion pour se retourner dans le fauteuil en prenant appuis sur le dossier. Elle se cale les genoux sur les accoudoirs, nous présente son magnifique derrière qu’elle écarte bien grand avec ses deux mains pour en dégager l’accès.

« Qui en veut ? » lance-t-elle souriante avec un regard plein de malice par-dessus son épaule.

Etant encore sous le choc de ce que je venais de vivre (très sincèrement je ne sais pas ce qui m’a le plus fais d’effet, ma pénétration par une véritable bite ou l’attention finale de Fabien ?) de fait, celui-ci lance une jambe par-dessus moi, se place derrière Sophie qui passe un bras entre ses cuisses pour attraper la queue tant attendue. Il m’a doublé mais très honnêtement, je ne suis plus dans la course.

Du coup, je me relève et me laisse choir dans le sofa pour les regarder à l’œuvre. Ils sont vraiment très beaux et vont bien ensemble.

Comme devant un bon porno, je mate, vautré dans le sofa, attendant que la désagréable sensation d’être « ouvert à tous vents » ne passe. Mon anneau se resserre lentement mais je suis obligé de serrer les fesses.

Tout en me caressant la queue, je me rends compte que j’ai jouis. Elle est molle bien sûr, mais j’ai du sperme partout. La moquette aussi en a pris pour son garde, et Sophie a inondé le fauteuil.

Mon regard se porte à nouveau sur le couple que je vois de profil, lorsque sa main la trouve, elle l’agrippe pour amener la queue vers l’entrée de son vagin. Sophie tient alors une bite un peu molle, mais en experte, ses doigts agrippent les couilles de son amant et lui prodiguent un massage tonifiant. En quelques minutes de ce traitement, la verge motivée reprend du service, la « tête chercheuse est prête au lancement ». Sophie qui connaît parfaitement son labyrinthe intime la fait entrer en elle et Fabien l’enfile d’un coup de rein surprenant, puissant et volontaire, je peux entendre le choc de son pubis contre les fesses charnues de la belle. Un petit cri de surprise et de bonheur s’échappe de sa bouche. C’est reparti….

Il tient une sacré forme le gamin !!!

Les fesses du garçon bien serrées laissent transparaître toute sa musculature, depuis ses jambes fléchies jusqu’à son dos un peu voûtés sur la « femelle », je pense en les voyant à l’accouplement des grands fauve dans la savane….quelle poésie….Pourquoi certains refusent ils l’idée que nous autres humains sommes des animaux ? C’est tellement beau la nature…

Le déhanchement et les coups de reins de Fabien, fait partir une onde de choc lorsque ses boules s’écrasent contre les fesses de Sophie. L’écho du choc se diffuse au travers du corps de la jeune femme jusqu’au bout de ses seins, tout ceci à une vitesse relative et phénoménale.

La verge gonflée et luisante coulisse entre les doux pétales enduits et brillants dans un va-et-vient parfait.

Avec un accouplement d’une telle intensité ils ne tardent pas à atteindre le sommet de leur plaisir en commun, mais au lieu de rester unis dans la « descente », j’observe les fesses du garçon reculer afin que se retire sa queue à la façon d’un reptile repus. Le gland dégagé se laisse choir, moins gonflé, l’ensemble déjà moue et luisant, comme épuisé par une ultime bataille.

Fabien saisi son outil à pleine main et fini en se masturbant nonchalamment pour offrir sa semence et inonder le sillon des fesses ouvertes de sa maîtresse.

S’il l’encule aussi… je mange mon chapeau !

Sophie pose le front contre ses bras croisés en appuis sur le haut du dossier ; Ses cuisses toujours bien écartées laissent couler de nombreuses traînées de liquide translucide, mélange de sperme et de mouille, elle apprécie la douce chaleur de ce liquide qui glisse vers ses genoux. Elle ne bouge plus. Le calme a maintenant envahi la pièce. On n’entend plus que des respirations essoufflées qui cherchent à retrouver le calme intérieur.

Sa chatte béante aux lèvres molles est auréolée d’une belle mousse blanche témoin d’une activité à un rythme intense. C’est le calme après la tempête. Le temps est encore suspendu, pourtant après un bon quart d’heure nous passons à tour de rôle à la salle d’eau pour nous remettre en état.

De retour au salon je perçois des changements, le calme est installé pour la nuit, la lumière est légèrement plus vive, plus de télévision mais de la musique en fond sonore. On discute calmement, je leur confie mes impressions en avouant que c’est pour moi la première fois, mais ils l’avaient bien deviné (ha bon ? j’ai fait des erreurs ?).

Fabien se dit très honoré de cette primeur, je lui réponds que le plaisir est sincèrement partagé et que je ne suis gêné par aucun regret; Sophie s’inquiète de mon « état » en connaissance de cause (elle pense à mon derrière) mais je la rassure, même s’il y a des côtés gênants je suis volontaire pour une revanche…..

Un rapide regard vers son copain m’indique que j’ai une nouvelle fois activé en eux l’instinct des joueurs.

Ils m’apprennent alors que ce genre de « débordement » n’est pas chose courante chez eux bien qu’ils en soient friands. Cela fait plusieurs semaines qu’ils parlaient de mon cas pour finalement se mettre d’accord. Quelque pars je me sens flatté.

Ils m’ont étudié selon plusieurs critères et j’ai passé l’évaluation avec succès sans même m’en rendre compte.

Sur le ton des reproches mais avec une pointe de malice, la coquine me dit qu’elle aurait bien voulu tester aussi ma jolie queue, car même si elle adore celle de son compagnon cela n’enlève en rien la nécessité de la comparaison. Dans tous les cas elle me félicite pour mon hygiène irréprochable et l’expertise de mon coup de langue, Fabien confirme lui aussi.

Sur cette note positive et avec une pensé fugitive pour ma Louloute resté seule au fond d’un lit glacé, je leur fais mes adieux, avec souhaits et promesse de se revoir une prochaine fois…..et pourquoi pas à 4 ? Ou 2+2 ?

Sourires entendus, bisous, bonsoir.

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

4 réponses à La première fois Le contexte par ecureuil74

  1. Ivanel dit :

    C’est bien mais ça manque de pipe entre ces messieurs

  2. apijo54 dit :

    Belle surprise pour l’invité , j’adorerais ce genre de rencontre , lècher et faire jouir Madame pendant que le conjoint s’occuperait de mon cul !

  3. Sorenza dit :

    Du bon bisex bien écrit, un peu curieux tout de même que dans un contexte bisexuel, ces messieurs ne se sucent pas la bite ! C’est pourtant sympa de sucer une bonne bite bien raide ? Vous n’êtes pas d’accord avec moi, les amis ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *