La Dame
par Mondoi
Je m’appelle Liliane, j’ai 26 ans, l’autre jour j’ai aidé une dame mariée d’une quarantaine d’années, de mon immeuble, à remonter ses courses de la semaine, elle m’a offert un café, m’a dit que j’étais gentille en me posant la main sur l’épaule. Mon mari est tout le temps absent pour son travail et je m’ennuie un peu seul à la maison. Nous avons sympathisées, elle m’a trouvée jolie et m’a caressé les seins en me disant qu’elle enviait ma jeunesse, elle a vue que j’étais gênée et m’a dit de me détendre, que nous étions entre femmes et que si je voulais être son amie, elle sera gentille avec moi.
Martine est grande, brune à cheveux longs, une poitrine généreuse, très douce dans ses paroles et ses gestes, je succombais à son charme et acceptais d’être sa copine.
Je lui proposais de ranger les courses ensemble, elle me dit de rester manger des crudités pour le déjeuner.
– Aide moi, tu pelles les carottes, moi le concombre.
– Je suis penchée sur l’évier à laver les carottes, elle me montre le concombre,
– Tu as déjà vue un morceau pareil ?, c’est vrai qu’il est gros et long,
– J’aimerai que mon homme soit monté comme ça !
Elle voit que suis intimidée
– Mais tu rougis, comme c’est mignon, tu n’es plus vierge quand même ?
– Non, non, j’ai un copain depuis un an
– Il en à une belle comme ça ?
– Ho non, mais elle est pas mal et puis y a pas que ça qui compte !
– La, tu as raison, les caresses ça compte aussi dit elle en me prenant par la taille
Moi, toujours courbée sur l’évier, je tressaute.
– Détend toi, je suis sûre que tu n’as jamais été caressée comme je sais le faire.
Ses mains glissent sur mon corps, sur le dos, les épaules puis descendent sur mes fesses qu’elle masse en les écartant, je tremble, mais c’est d’émotion, je suis troublée par les mains d’une femme, elle me retourne et sa bouche approche mes lèvres, je suis comme hypnotisée, elle m’embrasse à pleine bouche, je me laisse faire, sa langue entre en moi et caresse la mienne. Je lui rends son baiser, nos langues s’entremêlent, mes mains partent à la rencontre de son corps qui se colle au mien, je sens la chaleur de ses seins, de son ventre, elle glisse une jambe entre les miennes, les écartes du genoux, je me laisse aller, mon ventre me brule et réclame des caresses, j’avance mon pubis à la rencontre du sien et le frotte avec des mouvements de hanches, je ne me reconnais pas , je suis sur un nuage.
Sa main caresse mon ventre, descend sur ma motte, ma culotte se mouille, elle remonte ma jupe, glisse sa main entre mes cuisses, me masse la vulve à travers ma culotte trempée, ses doigts passent sous la couture et m’écartent les lèvres, un doigt s’insinue et glisse dans mon vagin, je m’ouvre en levant une jambe, un deuxième doigt se joint au premier, elle les fait rentrer et sortir, frotte mon clito , redescend jusqu’à la raie des fesses, titille mon anus, le plaisir monte, elle s’agenouille et baisse ma culotte.
– J’aime ton odeur intime dit elle en reniflant ma fente…
Et elle se met à me lécher la moule à grand coup de langue
– Humm, que j’aime ce parfum de sexe et de pipi, tu n’en aurais pas quelque gouttes pour moi
Je me surprends à répondre,
– Tout à l’heure si tu es sage, mais fais moi jouir avant,
– Oui, ma chérie, je vais te faire prendre ton pied, viens sur la table.
Elle m’enlève mes vêtements et moi les siens, sa poitrine est vraiment opulente, je lui suce les tétons, son sexe est couvert d’une épaisse toison brune, j’y passe la main, elle écarte, elle dégouline de mouille, je lui rentre trois doigts, elle les prend facilement, je les ressors et les renifle, elle aussi sent la pisse et plus que moi et en regardant le fond de sa culotte, je m’aperçois qu’il n’est pas très nette. Je ne dis rien, ça m’arrive aussi, des fois je fais exprès de la garder un ou deux jours pour mon mec qu’aime ça, je lui la mets sous le nez, elle me dit que c’est le concierge qui l’oblige et qui lui a fait le cul se matin avant les courses, elle ne s’est pas essuyée depuis.
Je suis sur la table, à quatre pattes, les genoux pliés pour faire saillir ma croupe, Martine m’écarte les fesses, sa bouche se colle à ma vulve, elle l’embrasse, la lèche à grands coups de langue, la hume, ses mains sont partout, sur mes seins qu’elle pince, sur mon clito qu’elle branle, mon sexe qu’elle étire pour rentrer sa langue et mon anus qu’elle doigte, elle y passe la bouche, sa langue me pénètre, elle la vrille dedans, elle est bonne avec moi, le plaisir monte, monte, elle se saisie du concombre en me disant :
– Je vais te le mettre, tu vas aimer et elle l’enfonce doucement dans mon vagin qui réclame une grosse queue, elle le bouge d’avant en arrière pendant que ses doigts percent mon petit trou qui s’ouvre à la pénétration, le légume est gros dans ma chatte, je lui demande quelque chose de plus gros dans l’anus et elle prend une des plus belle carotte qu’elle m’enfonce dans le sphincter, je jouis d’être baisée par devant et par derrière, ça monte de ma chatte et de mon cul et j’explose dans un crie en lui jutant au visage, elle boit tout ce qu’elle peut, la bouche collée à ma fente.
Maintenant, c’est son tour, elle est sur la table, allongée, attendant son cadeau, je m’accroupis au dessus de son visage, lui replis les jambes vers moi en les tenant et lui enfile le légume dans son cul et lui le branle, elle est comme une folle, criant !
– Non, pas ça, encore, plus vite, elle se caresse les seins ou se doigte la vulve et le clito, elle jouit, dit Maintenant !
Et la, je lui pisse dans la bouche et pousse comme aux WC, la carotte restée dans mes fesses sort petit à petit et elle la gobe avec ce qu’il y a dessus, puis vient le paquet, un étron dur et odorant qu’elle prend dans sa bouche, elle jouie comme une salope, une chienne en chaleur, de longs jet sortent de sa fente, elle grogne de plaisir, à moitié étouffée par mon caca dans sa bouche, je finis de lui pisser dessus et je prends mon pied une deuxième fois en la voyant agitée comme une truie.
Elle m’a proposé que l’on se voit plus souvent, que l’on parte en week-end ensemble… Quelle voisine sympathique !
Calme toi mon gars, t’écris trop vite
Publié trop vite, ce texte a pourtant du potentiel mais il aurait mérité d’être relu et affiné